Punaise mon mal de dos est vraiment lié aux victoires de Ziggler !

Logiquement j'aurai moins mal à partir de dimanche ^^'.

Je jetterais probablement un oeil au Tag Team, au Swagger vs Christian et au Sandow vs Kidd mais sinon ça fait un bail que regarder SD ne sert pas forcément à grand chose malheureusement.

Etrange cette position des match dans la carte ! Oo
On a un gros match au début, puis ça semble baisser en "prestige" au fil est a mesure du show ( Terminer sur un squash ( Rerererereredondant ) et un match entre un lowcarder de luxe et un "newbie" c'est quand même culotté ).

Citation :

Dark Match : Big E. Langston bat Dean Ambrose

Arg ! ><

Damien Sandow en Main Event

Beth qui gagne

Double Chokeslam

Il manque le segment final non ? J'ai lu sur 411mania qu'une stipulation était rajoutée au main event de No Way Out : si c'est Cena qui perd le match, c'est lui qui sera licencié.

Tombstone a écrit:

Il manque le segment final non ? J'ai lu sur 411mania qu'une stipulation était rajoutée au main event de No Way Out : si c'est Cena qui perd le match, c'est lui qui sera licencié.

Exact

Tombstone a écrit:

Il manque le segment final non ? J'ai lu sur 411mania qu'une stipulation était rajoutée au main event de No Way Out : si c'est Cena qui perd le match, c'est lui qui sera licencié.

Bigre moi qui espérait une victoire de Show'...

Je pense que ça relève du segment du milieu, l'annonce de la stipulation.

Tombstone a écrit:

Il manque le segment final non ? J'ai lu sur 411mania qu'une stipulation était rajoutée au main event de No Way Out : si c'est Cena qui perd le match, c'est lui qui sera licencié.

Cena va battre le record de licenciement... ça manque cruellement de crédibilité et d'originalité. La carte de ce Smackdown parait quand même très faible, hormis l'opener, ça donne pas vraiment envie.

Ils croient encore qu'on peut avaler un renvoi de Cena?
Bye bye Laurinaitis...

Dommage, il y avait encore un semblant de suspens avec le segment d'hier.

Sharpshooter a écrit:

Ils croient encore qu'on peut avaler un renvoi de Cena?
Bye bye Laurinaitis...

Dommage, il y avait encore un semblant de suspens avec le segment d'hier.

Il peut perdre et être réengagé le lendemain aussi

Un Smackdown un peu bizarre dans l'ordre des matchs mais j'ai hâte de voir ce que cela va donner en le visionnant.

Showtime a écrit:

Sharpshooter a écrit:

Ils croient encore qu'on peut avaler un renvoi de Cena?
Bye bye Laurinaitis...

Dommage, il y avait encore un semblant de suspens avec le segment d'hier.

Il peut perdre et être réengagé le lendemain aussi

Ou alors, la WWE compte profiter du renvoie de John Cena pour ramener son cousin mexicain, Juan Cena, qui devra assurer le marché mexicain à la place de Mysterio.

Juan Cena, ou la connerie qu'ils ont ESSAYE de nous faire avaler

Juan Cena c'était juste pour que les spectateurs des house-show puissent voir leur idole, je pense qu'ils se doutaient bien que personne ne serait dupe ! Il n'est pas apparu une seule fois à l'écran ;)
Par contre j'avoue que Cena aime les renvois avec retours éclairs

Tricky38 a écrit:

Juan Cena c'était juste pour que les spectateurs des house-show puissent voir leur idole, je pense qu'ils se doutaient bien que personne ne serait dupe ! Il n'est pas apparu une seule fois à l'écran ;)
Par contre j'avoue que Cena aime les renvois avec retours éclairs

Les renvois de Cena c'est le rêve d'Arlette réalisé.

Le match All Stars

J'ai eu la sensation agréable en visionnant l'ouverture du show que tout était enfin à sa place dans le main event de la WWE : Punk, Bryan, Sheamus et Ziggler, en train de se bouffer le nez pour les deux ceintures mondiales. Ne changez rien : c'est parfait !

AJ se retrouve au départ repositionnée plutôt en face, en feudant avec Vickie, puis termine en parfaite fiancée du démon. Un vrai plaisir de se dire que tout est possible pour dimanche.

Ziggler impose petit à petit son style au micro, aussi survolté que dans le ring.

Bref, tout ce que je demande, c'est d'avoir ces quatre-là associés jusqu'à Summerslam, et l'été sera beau.

Les Squashs

Brodus qui se fait démolir le genou par Otunga... après la bastonnade donnée par le Big Show, on tombe de plus en plus bas, décidément.... Hornswoggle lui mord le mollet la semaine prochaine ?

En tout cas, bon discours micro de sa part. Clay a tout pour lui : dommage que les bookers n'aient pas confiance...

ENFIN ! Les deux jobbers donnés en pâture à Ryback ont cette fois eu l'idée géniale d'attaquer EN MEME TEMPS. Ben oui, c'est quand même mieux. Et l'un deux a même eu l'occasion de tambouriner sur la tête de Skip, avant de finir en bouillie. c'est peu, mais c'est tout.

Sandow/Kidd, j'aurais préféré une vraie feud. Là, le Damien commence déjà à se répéter, et le match est bien trop court. Pourvu que ces deux-là se retrouvent vendredi prochain pour faire mieux, mais ça a l'air déjà terminé, cette affaire.

Christian/Swagger, sympa, mais trop court là aussi. Bon, ça permet de voir lutter Swagger, et Christian étrenne sa jolie ceinture.

RAW

Trèèès bon discours heel du Big Show en milieu d'émission, et segment solide entre Cena et Lauri pour clore le show. Du travail de pro, vraiment. Sauf que cette histoire a déjà du mal à me passionner à Raw, alors c'est assez désagréable d'avoir une deuxième séance à Smackdown. Ce main event était du pur show rouge, il n'avait rien à faire là (mais bon, les ratings, les salles vides, toussa...).

Je vais zapper volontairement tout ce qui concerne la storyline majeure de RAW, pour la simple et bonne raison que je suis tout bonnement passé à côté. J'ai tellement subi de discours creux et laborieux dans cette feud que je m'en suis totalement désintéressé, au point de ne pas pouvoir me concentrer sur les segments qui lui ont été consacrés sur ce Smackdown.
Juste que réagiter une énième fois le spectre du renvoi de Cena, c'est juste navrant, je crois même que le mec le plus in kayfabe qui soit ne croit même plus à ce tour de passe-passe si usité.

J'ai plutôt apprécié les squashs de cet épisode.
Prenons le moins intéressant dans l'état actuel à mon avis : Ryback. Je reconnais que les squashs sont très honnêtes (plutôt inventifs, pas trop répétitifs, avec des variations qui donnent l'impression d'un moveset déjà assez étoffé pour un Powerhouse squasheur, ce qui est une technique de booking qui n'est pas si mal que ça). C'est juste que la manoeuvre d'ensemble autour de son personnage est tellement du déjà vu (voire ringarde) que je ne pense pas que ça marchera. Ca a foiré à la TNA avec Crimson... Le principal intérêt de Goldberg, c'est qu'il était LE SEUL et unique à squasher tout le roster en deux coups de cuillère à pots. Tandis que là, Ryback se retrouve mêlé à une tripotée de mecs qui ne font que des squashs (Brodus, même si ça évolue, Cesaro, Sandow), comment retrouver ce qui faisait l'aura de Da Man alors qu'il fait grosso modo ce que tous les débutants actuels dans le roster sont amenés à faire. Pire encore, Sandow squashe Tyson Kidd, Brodus squashe Heath Slater, des mecs du roster, donc des mecs supposément bien au-dessus des têtards anémiques que dévore Ryback à chaque show. L'embouteillage des squasheurs ne lui profite pas du tout en ce qui me concerne.

Pour Brodus, je commence vraiment à apprécier la direction du personnage. La WWE a éclairci un peu le flou qui régnait sur sa situation : Brodus est bien banni de RAW, le coup du draft à Smackdown était trop équivoque et les officiels auraient gagné à l'exposer de manière beaucoup plus claire. J'ai suspendu mon disbelief pour croire à l'attaque post-match d'Otunga, et j'ai trouvé que faire un peu de build-up pour dimanche n'était pas du luxe, d'autant que ça peut inciter des gens à regarder le preshow (et donc possiblement à commander le PPV après). Quant à Brodus lui-même, il a vraiment un truc, au-delà de la gimmick, il a une forme de bonhommie, de fraîcheur que je ne retrouve pas chez Ryback, que je trouve fadasse comme pas deux. Le perso ne casse pas des briques, mais je trouve qu'ils commencent à prendre un peu la mesure de ce qu'il peut offrir. D'autant plus que dimanche on devrait assister à son troisième non-squash après ses match contre Ziggler et Miz.

Quant à Sandow, je suis un ignoramus ad aeternam.

Une nouvelle fois encore, des courbettes sont de mise devant l'impressionnant travail des géniaux bidouilleurs vidéo de la WWE. Si leurs éditeurs sons sont toujours à la ramasse (à lancer la fausse pop de Sheamus dix secondes avant la vraie par exemple), leurs homologues aux vignettes promotionnelles ont encore fait fort avec la vidéo hypant le Christian vs Cody de dimanche. Rythmé par le leitmotiv du laïus de Rhodes sur le prestige retrouvé du titre, couplé au très bel effet de montage superposant quasiment les deux hommes levant la ceinture, j'ai trouvé que ce montage mettait la ceinture comme rarement en avant. Du très très beau boulot, comme d'habitude.
Le Christian vs Swagger eut quant à lui un petit goût de coitus interruptus (autant rester dans la langue de Virgile) mais fut une sucrerie sympathique, je trouve notamment Christian excellent sur les contres de ses Spears, qui sont d'une fluidité remarquable.

Il y eut des Divas, certes.

Le gros moment de ce Smackdown furent évidemment ses 25 premières minutes. A l'instar de mon VDD, j'ai ressenti également ce petit frisson de la satisfaction pleine et totale de voir ferrailler dans le ring la crème de la crème de la WWE actuelle. De voir un title picture en totale adéquation avec les desideratas d'une bonne partie de l'IWC, fussent ces derniers des feux de paille, ce que je n'espère pas. L'agencement des segments micros était à mon avis parfait et l'enchaînement s'est fait sans heurt aucun. Je suis évidemment ravi de voir Ziggler récupérer une partie du monopole de Vickie au micro, et son phrasé mitraillette fait toujours merveille en lui permettant de combler l'une de ses principales faiblesses qui réside dans sa difficulté à moduler ses intonations de voix (qui le rendent parfois un peu monotone). J'excuserais les imperfections de certains discours et notamment certaines cheap pops (et sincèrement, j'aimerais que toutes les grand-mères du monde ressemblent encore à Vickie Guerrero), j'irais assez vite sur la qualité du match (très bon et solide, bien booké) et sur le build-up du match pour le World Heavyweight Championship ce dimanche pour me concentrer sur ce qui fait le sel de cet opener étendu, à savoir ce fameux quatuor au coeur de la lutte pour le WWE Championship.

Cette rivalité a pris une tournure extrêmement visuelle, presque graphique. C'est du catch autant que de la peinture, un tableau impressionniste qui se construit point par point, avec une certaine maestria. Le segment de ce vendredi fut une orgie visuelle, au moins autant que celui de lundi. Entre l'image du mastodonte incompris Kane venant recueillir dans ses bras la frêle AJ (vous savez quoi? Kane c'est King Kong dans ce segment, et je m'en veux de m'être fait griller la politesse par un lecteur des CdC qui aura fait preuve d'une réelle sagacité), celle de Punk s'attaquant à Kane pour libérer sa dulcinée de ses griffes au point de la faire tomber au sol, et celle d'AJ s'asseyant sur la rampe d'entrée alors que les flammes du titantron de Kane s'élèvent en arrière-plan, on peut constater que la rivalité a pris une dimension épique.

Parce que je vous le donne en mille, AJ, c'est Hélène de Troie, la pomme de discorde. La femme qui a fait vaciller des royaumes qui se sont battus pour ses beaux yeux. C'est la Big Red Sparta qui part à l'assaut de Pâris Brooks. Et comme dans la mythologie, un grand cheval à tête de chèvre pourrait sceller le sort de cette guerre.
Le segment a en tout cas posé un postulat très clair pour dimanche : les trois hommes se battent pour le WWE Championship et pour AJ. La gloire ne fait pas dans la demi-mesure. Remportez la guerre, et vous remporterez l'amour, et inversement.

J'extrapole, mais l'idée est là, d'autant que les proportions épiques de ce sac de noeuds sont magnifiquement vendues par un trio d'hommes virils au sommet et par une fragile nymphe qui fait preuve d'une maîtrise de jeu assez impressionnante. AJ a su trouver l'équilibre parfait dans le dosage de la simple folie et de la séduction manipulatrice pour un résultat somme toute ébouriffant. Je suis certain qu'on tient là l'une des deux ou trois meilleures rivalités de l'année. Elle est tout ce qu'on aurait aimé que soit la rivalité Cena/Kane : complètement déglinguée, mais cohérente, riches en images fortes et en segments d'exception, et sans doute concrétisée par un match de gala ce dimanche à No Way Out. Au milieu de la morosité ambiante du produit proposé par la WWE en ce moment, chérissons cette oasis de fraîcheur qui consacre qui plus est des compétiteurs on ne peut plus méritants!