Les festivités de fin d'année 2013 font comme à leur habitude étape par le sacro-saint Top 10 de la WWE. Si nous avons déjà sollicité votre aide par les Wrestler Awards ici nous ne récompensons que la WWE et uniquement la WWE! Epaulé par mon fidèle acolyte Black Bolt, nous allons faire ensemble le point sur une année à deux vitesses pour la compagnie reine du catch mainstream, qui a alterné le très bon et l'affligeant, jusqu'à une fin d'année fort peu enthousiasmante. Mais cela nous n'en dirons pas un mot, puisque nous ne parlerons que du meilleur, et rien de plus!
Les modalités de calcul sont simples : pour chacun de vos tops 10, nous avons attribué 10 points à votre numéro 1, 9 points à votre numéro 2... et un 1 point au numéro 10, je vois que vous avez suivi. Certains événements se recoupant parfois, certains événements ont regroupés sous la même dénomination ou rattachés à un événement en lien direct, et ce de manière totalement arbitraire, parce que la démocratie, c'est comme le People Power, sans un homme, tout s'écroule comme un château de cartes. Nous avons reçu en tout treize tops 10, ce qui fait que le total maximum en cas de sans-faute s'élève à 130 points. L'an dernier, l'Undertaker et Triple H avaient tout écrasé sur leur passage, ne laissant aucune chance à leurs poursuivants. Le vainqueur de cette année aura-t-il fait une telle razzia? Réponse tout de suite!

Deux moments qui se répondent sont donc réunis symboliquement à cette neuvième place, le début puis la fin d'une période sombre pour beaucoup de fans, à savoir cette deuxième partie de l'année qui aura vu le triomphe puis la chute de Daniel Bryan. On ne le savait pas encore quand Hunter a soudainement trahi le barbu pour offrir sur un plateau le titre WWE à Randy Orton, mais cette période marquait en fait le début du règne de la Vipère, son retour au sommet après des années d'errance en milieu de carte, entre blessures et contrôles positifs à la Wellness Policy. Ce Pedigree porté sur Bryan est bien un des moments-clefs de l'année, officialisant le turn inattendu de Triple H, et lançant en fanfare l'angle majeur de l'Authority, un angle qui pourrait bien se terminer en 2014 à Wrestlemania. Et c'est probablement le rôle de victime joué par Bryan dans cette histoire qui explique ce classement finalement assez modeste.

La victoire de Randy Orton à TLC marquait donc le triomphe final et définitif de l'apex predator en 2013, vainqueur de son plus grand rival pour posséder à la fois les deux ceintures mondiales. La vraie face de la WWE cette année-là, c'était bien lui, du moins dans le kayfabe. Un match à l'importance historique évidente, mais qui n'a malgré tout pas vraiment été à la hauteur de son enjeu, dans le sens où il n'aura été qu'un bon main event de pay-per-view, et pas un match réellement légendaire. Si on ajoute à cela le caractère assez artificiel de la feud, expédiée en quelques semaines, l'impression de déjà-vu devant un énième duel en pay-per-view entre le Champ et le Legend Killer, et donc la déception de voir Bryan injustement exclu de la title picture, on peut considérer comme un bon résultat cette dernière place ex-aequo dans le classement. Le retour du côté obscur de deux heels aussi talentueux que le Game et RKO restera tout de même un des bons points à retenir de toute cette storyline.

Après s'être fait déjà pas mal de fans à la NXT, voilà qu'une série de spots vidéos annonce à partir de la fin mai l'arrivée prochaine à Raw d'un nouveau groupe, la Wyatt Family. Le thème musical utilisé est envoûtant et entêtant, les images tout droit sorties d'un film d'horreur à la Massacre à la Tronçonneuse. Enfin à nouveau des personnages hauts en couleurs, à la fois grotesques et effrayants, réalistes et délirants, loin de la trop grande sobriété de la plupart des gimmicks actuels. Et nouvelle bonne surprise le grand soir venu, avec une entrée théâtrale et dramatique, seulement comparable de nos jours à celle fameuse de l'Undertaker. Le public plongé dans le noir qui frémit d'impatience, le «We're here» lancé par Bray Wyatt, puis la longue entrée nocturne, avant une apparition sur le ring digne là encore du Deadman, voilà de quoi impressionner, pour ce qui était simplement le début d'un groupe de rookies. S'ensuit un beatdown violent du Big Red Monster, et la confirmation qu'un groupe d'un genre nouveau venait de faire son entrée, plus malsain, plus agressif, plus dérangeant que le heel de base croisé à la WWE. Il faudrait remonter à la défunte SES pour retrouver un exemple comparable, mais la secte straight edge n'avait jamais bénéficié d'un soutien aussi puissant que la famille de l'ex-Husky Harris. Les temps changent (peut-être un des effets de la plus grande implication de Triple H au sommet). Alors, tout n'a pas été parfait ensuite (une feud longuette avec Kane, des beatdowns répétitifs, un match décevant à Hell In A Cell), mais le groupe aura su progressivement s'imposer, bénéficiant d'une feud plus consistante face au duo Punk/Bryan, et faisant preuve d'un réel talent dans le ring, couplé aux promos fiévreuses et exaltées de leur leader. L'envol définitif du groupe vers le main event semble avoir été acté à la toute fin de l'année, avec la conversion dramatique de Daniel Bryan, et alors que Luke Harper et Erick Rowan semblent eux promis à un règne de champions par équipe. Une place dans le top bien méritée donc, pour un groupe candidat à la succession du Shield en 2014.

Le Shield aura plané sur cette année 2013, devenant instantanément un des piliers de la compagnie grâce à un booking parfait et une alchimie idéale. Grand garant de la qualité des shows de janvier à décembre, moteur principal de l'essor spectaculaire de la division par équipe face à la Team Hell No puis aux frères Rhodes, longtemps invaincu grâce à sa cohésion parfaite et ce face aux plus grandes stars du roster, le trio s'est même permis de livrer quelques matchs en solo là encore assez mémorables (notamment un excellent Seth Rollins vs Daniel Bryan). Pour dire, les trois jeunes rookies ont carrément terrassé les Brothers of Destruction, et se sont même permis de faire passer le Deadman à travers la table des commentateurs ! Une année tellement dense, tellement remplie de grands matchs et de séquences fortes, que beaucoup de Freaks n'ont pu isoler un grand moment, et se sont contenté de voter simplement pour l'année irréprochable du trio. Carton plein donc pour le groupe, qui s'en va rejoindre dans la légende les plus grandes stables de l'histoire de la compagnie,  et nous consolera de l'angle inachevé du Nexus il y a trois ans. 2014 sera sûrement l'année de la séparation pour le trio, avec, on l'espère, les trois membres du groupe en bonne place dans le classement des meilleurs moments de l'année, mais cette fois-ci en solo.

Enfin. Après une rivalité en 2009 qui était une belle occasion manquée, il fallait bien que le Taker recroise un jour la route du straight edge. Impossible que ces deux-là ne s'affrontent pas un jour à l'occasion d'un grand rendez-vous, l'opposition était trop parfaite, le choc de ces deux grandes personnalités, de ces deux «monstres» du catch trop prometteur. Alors, nous n'aurons pas eu droit à un affrontement mystique entre la SES et le Deadman (snif), mais on le sait, la disparition de Paul Bearer dans les premiers jours de la feud aura permis de raconter une histoire pas moins mythologique, tournant (peut-être pour la dernière fois) autour de l'urne. Bref, malgré un programme entamé bien trop tard, Punk étant éjecté de la course au titre WWE in-extremis, la rivalité aura su trouver son identité propre, Cihaime revêtant idéalement les habits du heel irrécupérable, dans la plus pure tradition old school du bon contre le méchant, l'honneur du manager en jeu. Une rivalité plus classique et plus simple que l'énorme saga Taker/HHH/HBK proposée les années précédentes, mais qui n'aura pas non plus manqué de force et d'émotion (notamment avec la mémorable mais très controversée séquence de l'urne renversée sur le Deadman, devant un Paul Heyman grimé en Paul Bearer). Comme chaque année, la Streak aura donc volé le show à Wrestlemania, le match étant le seul à faire vibrer la foule, proposant même les deux meilleures entrées de la soirée. Sans atteindre les plus hauts sommets, l'affiche aura été à la hauteur de l'attente, un beau spectacle entre deux lutteurs à l'alchimie évidente, et avec cette part de magie indispensable aux grands évènements. Logique, donc, de retrouver ce match en milieu de classement, on pourrait dire mission accomplie pour le Taker et Cihaime. Et rendez-vous en avril prochain pour le 22-0...

Si l'on se doutait bien, à voir leur dernier trimestre de folie, que l'on retrouverait les deux fils de Dusty Rhodes dans ce classement de fin d'année, il demeurait une hésitation : quel événement impliquant les Rhodes se taillerait la part du loup? La victoire éclatante de Battleground face au SHIELD ou la conquête du titre par équipes, à nouveau face aux représentants du Bouclier de la Justice? Le premier  des deux s'est finalement largement détaché. Storytelling, qualité in-ring, mais surtout plus-value émotionnelle du fait de la présence de l'American Dream en ringside, le match de Battleground est le prototype du feel-good moment dont raffolent les suiveurs de la WWE. Alors que Cody Rhodes est en train de confirmer ses promesses, et que Goldust semble avoir rajeuni de dix ans en redevenant le catcheur enthousiasmant qu'il avait pu être, nul doute que cette nuit du 6 octobre y a joué pour beaucoup.

La division Divas a beau être encore extrêmement morose, elle a su briller par intermittences grâce à quelques performeuses : Natalya, Kaitlyn, voire Tamina, mais surtout AJ, sa championne attitrée depuis plusieurs mois, dont le talent in-ring, le charisme et l'aisance au micro font régulièrement l'unanimité sur le site. Loin des turpitudes atterrantes des Total Divas, real-tv effrayante de vacuité dont le contenu a influé parfois nocivement sur le produit WWE, AJ a su mener sa barque en dépit d'un matériau pas toujours emballant, avec en point d'orgue le RAW du 27 août 2013. Au terme d'un énième Tag Team Match aux performeuses interchangeables, AJ débarque et règle son compte à toutes les Total Divas dans une pipebomb digne des grandes heures de CM Punk, malgré les efforts notables des Bellas pour couler le segment avec leurs jérémiades. Ce soir-là, AJ Lee a rassuré tous ceux qui s'intéressent encore au catch féminin à la WWE : non, elle ne sera pas associée au merdier général, et jusqu'ici, elle ne l'est toujours pas. Et on ne s'en plaindra pas, au-delà de l'exploit d'amener les Divas au pied du podium : à l'image de ce segment, personne ne peut contredire que la Diva de l'année, quoi qu'en pensent les officiels, ce fut elle, sans aucune contestation.

Au lendemain de Wrestlemania, Alberto del Rio, fraîchement devenu face quelques semaines plus tôt, a triomphé de Jack Swagger, qui a bénéficié d'un push éclair surprenant avec son manager Zeb Colter. Au cours du combat, le All-American American a travaillé la jambe du Mexicain, qui reste douloureuse. Del Rio continue ainsi à seller sa blessure quand les notes du thème de Dolph Ziggler résonnent. Alors qu'on attendait un cash-in la veille, c'est donc à RAW que Ziggler fut sacré pour la deuxième fois champion du monde. Porté par le meilleur public de l'année 2013, qui explose de joie en soutenant massivement celui qui est pourtant le heel de l'affrontement, Ziggler, entouré d'AJ et Big E Langston, offre au WWE Universe et l'IWC un moment extrêmement attendu, et parfaitement réalisé. Qui ne sera cependant que de courte durée : touché par une commotion, il abandonne son titre à Del Rio dès Payback... et entamera une longue descente dans la carte suite à une attitude backstage jugée inappropriée. L'année de Ziggler fut à l'image de la WWE dans son ensemble, mais ce moment, le moment-phare du meilleur RAW de l'année (voire plus), ne pourra jamais lui être retiré.

Sans conteste, le sommet de l'année 2013 à la WWE fut Summerslam. Porté par des Main-Events colossaux, le Biggest Event of the Summer a largement justifié son statut de deuxième PPV de l'année, et plus encore. Symbole d'un show quasi-parfait, le combat entre CM Punk et Brock Lesnar a empilé les qualificatifs élogieux et fut qualifié dans la review collective de “mémorable”, “virtuose” ou de “match de rêve”. A l'époque, Clown parlait de “bijou de brutalité et d'intensité” et Godot de “pur régal”.  Autant de superlatifs pour désigner une rencontre d'une rare intensité entre les deux poulains de Paul Heyman, meilleur match de Lesnar depuis son retour à la WWE et meilleur match de l'année pour beaucoup. Mais pas pour tout le monde apparemment...

… Puisque le champion incontesté de 2013 revient au match qui l'avait déjà supplanté pour le statut de Main-Event de Summerslam. Plus grand nombre de mentions (onze) et de premières places (cinq), la victoire de Daniel Bryan ne souffre d'aucune contestation, même si le triomphe n'a pas l'ampleur de celui du End of an Era de l'an dernier. C'est surtout la consécration de Bryan, coqueluche de Catch Asylum et de l'IWC depuis deux ans puisqu'il était déjà le catcheur le plus nommé du top 10 de l'an dernier, devant CM Punk et son année entière de WWE Champion. Le match contre John Cena avait sur bien des points la saveur du Summer of Punk d'il y a deux ans. Il n'a pas déçu, malgré la blessure de Bryan. Mais au-delà de la simple victoire, c'est le fait que celle-ci fut parfaitement clean, avec ce magnifique Busaiku Knee, qui rend le moment plus mémorable encore. Le sommet de l'année de l'incontournable Bryan est donc logiquement élu Moment de l'Année de la communauté Catch Asylum!

Merci encore à tous nos participants, et à mon comparse Black Bolt pour la rédaction de cet article!
Et maintenant place à 2014!

Merci pour le travail (commentaires et comptes)
 

C'est beau... espérons que 2014 aura aussi ses grands moments (parce que je te dis pas l'arnaque sinon) !

Pour ma part, l'excellent Punk/Taker aurait certainement été sur ma troisième marche du podium, avec le cash de Dolph, le soir du RAW avec un public complètement ouf en 4.
Sinon, il est très bien, bravo Sharp et BB pour cet article. Les photos nous rappellent de bons souvenirs
Il y en a quand même eu avant qu'Orton ne prenne le titre

Merci pour le décompte et l'article. Pour ma part j'avais complètement laissé de côté AJ et les Rhodes, mais c'est vrai qu'ils méritent une place dans ce classement.

Dans les viennent-ensuite, j'avais plébiscité Zeb Colter dont les propos avaient bien fait réagir lors de son arrivée avec Swagger. Il est un peu plus en retrait et tourne un peu en rond désormais, mais c'est un personnage que j'ai bien aimé suivre en 2014.

Même si j'ai pas toujours mis les mêmes choses, en fonction de me chouchous toussa, je sortirai que 2 "évènements" de la liste.

L'unification des titres par Orton qui fut, à mon sens, un non évènement. Après le match, j'avais plus une sensation de "toussa pour ça" que "ouah quel grand moment" alors qu'effectivement ça aurait dû être un grand évènement.

Et je retirerai également les débuts des Wyatt qui pour moi ont été un gros raté, mais vraiment, un énorme flop je dirai même plus. Bray vachement en retrait, des débuts très mous, la feud contre Kane ensuite très très moyenne. Non les Wyatt, hormis depuis quelques semaines sont un des gros flop de 2013 à mon sens et seront sans doute un top de 2014.

Sinon, j'avais complètement oublié la shoot promo d'AJ mais c'est bien qu'elle soit là.

Le Shield aurait je pense mérité d'être plus haut... mais j'imagine qu'ils sont cités pas mal de fois et pour des raisons différentes tant leur année fut dense.

Niveau matchs, les plus marquants, en ppv du moins, sont là, mais pas dans l'ordre dans lequel je les ai mise, j'ai placé le Punk vs Lesnar au-dessus du Cena vs Bryan, (du moins si je me rappelle bien, sinon, bah on va dire que j'aurai dû faire ça ). Le feel good moment de la victoire de Bryan a été trop court et la qualité du match moindre à celle du Punk vs Lesnar pour être au-dessus.

Et enfin, en bon mark de Ziggler, mon numéro 1 était son cash-in !


Voiloù, merci à Sharp' et BB pour le comptage et la rédaction !

En même temps, un match d'unification entre deux mecs qui ont déjà été plus de 100x sur le même ring ensemble, c'est pas intéressant.
C'est pas comme l'unification de Vengeance 2001 ou Austin/Jericho n'ont pas beaucoup été sur le même ring ensemble avant le match d'unification. Là, on a vraiment une fin de PPV basique, Orton triomphant, tout est normal, aucune surprise..

Gbacca a écrit:

Et je retirerai également les débuts des Wyatt qui pour moi ont été un gros raté, mais vraiment, un énorme flop je dirai même plus. Bray vachement en retrait, des débuts très mous, la feud contre Kane ensuite très très moyenne. Non les Wyatt, hormis depuis quelques semaines sont un des gros flop de 2013 à mon sens et seront sans doute un top de 2014.

Pour ceux qui avaient détaillé leur choix, ça se focalisait beaucoup sur les vignettes promotionnelles il est vrai.

Il me semble que le public avait bien réagi le soir de l'apparition des Wyatts (même s'il y avait eu les fameux chants Husky Harris). Bon après, c'est vrai que les débuts ont été laborieux dans l'ensemble.

Je trouve aussi le Punk-Lesnar meilleur que le Bryan-Cena, mais si on juge en terme de moments, la fin du match, le moment de la victoire clean de Bryan, est bien à sa place en numéro un. C'est bien l'image forte de 2013 pour la plupart des fans, et probablement le moment que l'on retiendra le plus quand on repensera à cette année.

Et sinon, j'avais cité la promo de Mark Henry, qui restera aussi un très bon souvenir.

Houlala ! Comme Gbac', mon top personnel est bien différent du top final. Voici le mien pour ceux que ça intéresse...


1. Division Tag Team ressuscitée

2. Daniel Bryan bat John Cena clean en main event de Summerslam

3. The Shield (qualité du booking et des matchs impliquant le trio)

4. Le retour de Goldust et son association avec son frangin

5. Le travail exceptionnel de CM Punk : il est dans tous les meilleurs matchs de l'année 2013 (contre Cena à Raw, contre Lesnar à Summerslam, contre l'Undertaker à WM, contre Jericho etc...)

6. Paul Heyman est le meilleur orateur de la WWE

7. Antonio Cesaro (que dire de plus ?    )

8. AJ Lee, héroïque, continue de porter seule la division féminine.

9. The Rock regagne le WWE Championship (les matchs n'étaient pas top mais cette image du People's Champ' avec cette ceinture sur l'épaule valait le coup pour moi)

10. La WWE se décide enfin à unifier les deux titres mondiaux (même si c'était mal réalisé, la décision de le faire est une bonne chose, même si c'est tardif)


Encore et toujours cet oubli du catch tag team, je vous hais, bande de... MECREAAAAAAAAAAAAAAAAANTS !     

Que veux-tu, on avait perdu l'habitude, les réflexes reviennent pas tous immédiatement.
Et en dehors du SHIELD qui est revenu à toutes les sauces dans les tops, j'avais parlé de citer des événements ponctuels je rappelle.

Et les TT sont quand même représentées à trois reprises dans ce top, c'est pas si mal comparé aux années précédentes.

Eh oui : c'est un classement des meilleurs moments, d'où le problème qui s'est posé avec le Shield, dont il n'y a pas vraiment UN grand moment qui ressorte de leur année parfaite.

Sinon, tu mets aussi la victoire de Bryan, le travail de Punk est souligné par la présence de deux de ses matchs, et Goldust et AJ sont bien présents dans les deux listes.... Il n'y a finalement que Paul Heyman, Cesaro et le Rock qui sont oubliés, sinon ça concorde.


A part ça, je note que le Shield, Bryan, Punk, le Taker et Lesnar étaient déjà bien représentés l'an dernier, et que Dolph Ziggler était 4ème avec sa victoire au Money In The Bank, et est 3ème un an plus tard avec le cash de sa malette :

https://www.catchasylum.com/t2169-article-le-top-10-wwe-2012-de-catch-asylum

Putain pourquoi j'ai oublier de voter moi

Merci beaucoup pour l'article qui représente assez bien l'année 2013!
Mine de rien, il y a quand même eu de beaux moments dans la fédération de Stamford
En espérant que 2014 nous en propose d'avantage!