Diable ! Est ce que Mr. Anderson nous fait une dépression à la Cena ?
Peut-être un peu court mais ça se lit tout seul. Good job. ;)

il semblerait que ça soit le côté obscur qui ait pris le dessus !


Même réflexion que Clowny, c'est un poil court, mais ça se lit bien et les dialogues traduisent plutôt bien le changement qui s'opère dans la tête d'Anderson.

Je tiens à préciser que je ne suis pas l'auteur de cette promo (et que vous ne saurez pas de qui il s'agit ah ah ah ah ah ah ah (ah))

Voix off : Bonjour et bienvenue dans un nouveau numéro de « Vis ma vie », aujourd’hui nous suivrons la vie incroyable de Brodie Lee, futur star de la WFA qui feras son tout premier match de Pay-Per-View lors de WFA No way out, il a accepté de nous recevoir chez lui pendant une semaine afin de voir comment il se préparait pour un combat d’une tel importance.

Jour 1 :

Animatrice :  Bonjour, comme vous pouvez le voir je suis devant le parking de la WFA, nous sommes à J-7 et il est 6 heure du matin, Monsieur Lee nous attend dans son camion, apparemment il n’y aura pas de difficulté à le trouver.

La caméra suit l’animatrice à courte distance déambulant entre les véhicules des quelques lutteurs suffisamment matinaux pour être présent.

Animatrice : Ah je crois l’avoir trouvé !

Caméraman : Oui en même temps il n’y a qu’un seul camion ici…

Animatrice (à voix basse) : Bon Roger tes commentaires je m’en passerais ! Si tu ne veux  pas pointer au chômage, ferme-la maintenant !

Caméraman : Euh vous êtes sûr qu’il est courant de notre arrivée ? Il y a un panneau ne pas déranger sur la porte arrière…

Animatrice : Bien sûr qu’il est au courant voyons, et je vais te le prouver de ce pas !

La jeune femme s’approche du camion d’un pas assuré avant de frapper à la porte, un large sourire la lèvre et le regard fier. Après quelques jurons en provenance de l’intérieur, la porte finis par s’ouvrir sur un Brodie Lee visiblement mal réveillé. Il regarde l’animatrice, le caméraman, marmonne un vague "merde !" se gratte la barbe puis claque la porte.

Animatrice : On dirait bien que Monsieur Lee n’est pas du matin…

Caméraman : On dirait surtout qu’il n’est pas au courant…

Animatrice : Mais si ! Attend je vais appeler mon contact à la WFA, il va arranger ça !

Elle s’écarte de quelques mètre pour téléphoner, la caméra reste centré sur elle jusqu’à ce que la porte du truck s’ouvre de nouveau, Brodie Lee sort du conteneur et envoie son poing en direction du caméraman qui ne s’écarte pas à temps et encaisse le coup de plein fouet, la caméra tombe au sol et filme maintenant en direction de l’animatrice qui acquiesce au téléphone avant de se diriger vers Brodie Lee l’air inquiète.

Animatrice : Tenez, c’est pour vous !

Brodie Lee saisis le mobile et le porte à l’oreille

B.Lee : Allo ! Qui ça ?! Laurina….quoi ?! Pipolepowa ?!  Rien compris ! […] Ah ok ça ça m’parle ! Ok ! Ok !!! Salut !

BigRig retire le mobile de son oreille, semble chercher quelques choses sur l’écran puis finis par jeter l’appareil au sol avant de l’écraser du plat du pied. Le visage de l’animatrice se décompose mais quand Brodie Lee lui fais signe de le suivre elle reprend immédiatement consistance et ordonne au caméraman de se relever.

B.Lee : Bon apparemment, je dois vous supporter pendant la semaine, mon canapé est un peu crâdos mais ça feras l’affaire, et toi avec ta caméra tu dormiras dans la baignoire ! C’est pas du grand luxe, mais ça s’ras toujours mieux que mon plumard !

Animatrice : En fait Monsieur Lee, nous sommes venus voir comment vous vous préparez pour votre combat de dimanche, nous serons uniquement là en journée…

B.Lee : Ah ok, bon faites pas attention au bordel…

Le duo entre dans la remorque du camion à la suite de Brodie Lee, l’agencement est chaotique, le sol est jonché de cadavre de bouteille, la déco minimaliste et le bazar ambiant.

B.Lee : Restez dans le salon je dois faire un peu de ménage !

Brodie s’avance vers le fond du conteneur et passe une porte à droite, à l’ouverture de celle-ci un ronflement sourd emplis la pièce, il en ressort quelques second après, portant sur l’épaule un homme hirsute visiblement endormis.

B.Lee : C’est mon partenaire d’entrainement, il a un peu trop bu hier  et il va aller finir sa nuit dehors…

L’homme endormis est balancé à l’extérieur du camion sans ménagement, et Brodie Lee semble chercher quelques choses dans la pièce, le caméraman ne perd pas une miette et filme la pièce sous toutes les coutures, suivant scrupuleusement les ordres de l’animatrice qui exultes.

Animatrice : N’hésite pas à filmer les calendriers aussi, au pire on les flouteras ! Il faut que les téléspectateurs s’imprègnent du cadre de vie de Monsieur Lee.

B.Lee (à quatre pattes en train de regarder sous le canapé) : Brodie !

Animatrice : Pardon ?

B.Lee : Appel moi Brodie ! Pas la peine de me servir du Monsieur, j’suis pas à la banque !

Animatrice : Euh bien, d’accord Brodie, qu’est-ce que vous cherchez ?

B.Lee : Hier on était trois à l’entrainement…

Animatrice : Et ?

B.Lee : Bah il m’en manque un ! Bon tant pis il a dû partir c’est pas bien grave ! Je graille rapidos et ensuite on passe à l’entrainement …

Animatrice : Très bonne idée, je suis sûr que nos téléspectateurs ont très envie de voir de quoi est constitué le petit déjeuner d’un athlète ! Filme ça Roger !

La caméra focus sur Brodie Lee ouvrant un à un ses placards l’air hagard, il finit par trouver une boite de viande séché qu’il engloutit sans ménagement avant de boire à même le robinet de l’évier. Puis il se redresse, écarte les cheveux retombé sur visage et lâche un rôt tonitruant qui arrache une grimace de dégout à l’animatrice.

B.Lee : Je suis prêt !

Animatrice : Bien nous vous suivons alors, (puis à voix basse) Roger, on coupera le petit déjeuner au montage…

Caméraman :(lui aussi à voix basse) Tu préfères pas couper le reportage plutôt ?

Animatrice : Monsi…Brodie par quoi commence votre entrainement ? Cardio ? Force ? Footing ?

B.Lee : Mécanique !  Puis un peu de route et ensuite on verra l’heure!

L’émission présente un montage résumant les quatre heures d’entretien du camion de Brodie Lee, l’animatrice semble dépitée et le caméraman est à plusieurs reprises mis à contribution malgré lui.

Animatrice : Bien, maintenant que votre camion est prêt on pourrait peut être passer à l’entrainement maintenant Brodie ?
 
B.Lee : C’est déjà commencer ! Et maintenant la détente ! J’installe le pare buffle et je vous montre !

La caméra centre sur BigRig qui s’affaire à installer à l’avant du camion un immense parechoc agrémenté de fourche de chariot élévateur. Une fois la tâche accomplis il conseille à l’animatrice de rester ici et de ne pas en louper une miette. Puis il décroche la remorque avant de monter dans la cabine. L’image zoom sur l’avant du camion qui démarre au quart de tour dans un bruit terrifiant. Le véhicule s’élance à pleine vitesse et traverse le parking avant de faire un demi-tour net pour faire face à une Lamborghini flambante neuve. Brodie Lee passe la tête par la fenêtre du truck et hurle au caméraman de ne pas louper ça  puis il fonce en direction de la voiture de luxe, l’embrochant sur les pales avant de l’exploser contre le mur. Les bruits de tôles froissées et les coups de klaxon du truck se mélangent dans une cacophonie sans nom pendant que la journaliste s’interpose devant la caméra en hurlant qu’il ne faut surtout pas filmer ça. Pendant ce temps Brodie Lee descend du camion, la fierté se lit sur son visage. Il s’avance vers l’animatrice et l’interpelle :

B.Lee : Alors poupée ! Ça t’a plus ?!

Animatrice : Mais vous êtes un grand malade ! On ne pourra jamais diffuser ça ! Et d’abord à qui est cette voiture ?!

B.Lee : Bonne question ! J’espère que c’est celle d’Adam Cole !

Animatrice : Bien la journée se termine, nous allons nous reviendrons demain…

B.Lee : Hein ?! Mais il est à peine 12h ?!

Animatrice : Ahah oui le temps passe vite n’est-ce pas, je vais être en retard, à demain...

Jour 2 :

Caméraman : Vous êtes sûr qu’on est obligé d’y aller ?

Animatrice : Pas le choix, ça fais partis du contrat, et puis j’ai contacté Monsieur Laurinaitis, il a sévèrement recadré Brodie Lee, aujourd’hui ça devrais bien mieux se passer.

Caméraman : Si vous le dites…

La journaliste s’approche du camion, toujours suivis de près par la caméra, elle frappe doucement à la porte arrière du véhicule…attend quelques secondes…s’apprête à réitérer mais est interrompue par l’ouverture de celle-ci. Brodie Lee semble plus réveillé que la veille, et d’un geste singeant une courbette il fais signe au duo de rentrer.

Animatrice : Bonjour monsieur Lee, Monsieur Laurinaitis a dû vous communiquer le planning de la journée…

B .Lee : Possible....

Animatrice : Et…Et vous comptez le respecter cette fois non ?

Brodie Lee se lève d’un bond et frappe un grand coup du plat de la main sur sa table de camping qui s’effondre, dans un fracas indescriptible.

B.Lee : Ecoute moi bien poupée ! Je vous accueil ici toi et ton Boyscout parce qu’on me laisse pas le choix, je vais coopérer car sans ça je vais devoir me taper tous les talk-shows possible et imaginable, mais JE fixe les règles !

La caméra zoom tour à tour sur le visage déformé par la colère de Brodie Lee puis sur celui terrorisé de l’animatrice. Big Rig redresse sa chaise, s’installe dessus et après avoir repris son calme invite la jeune femme à démarrer son interview.

Animatrice : B..Bien première question : Vous ferez bientôt votre premier match en PayPerView à la WFA, quel est votre état d’esprit ?

B.Lee : Boarf, c’est qu’un match étape… Le GM veut surement voir de quoi je suis capable et du coup il m’envoie un avorton pour me tester…

Animatrice : Vous êtes donc plutôt confiant ?

B.Lee : Non du coup tout vas se jou….Putain ! Bien sûr que je suis confiant ! Imagine une mobylette sur la route d’un truck lancé à pleine vitesse ! Tu crois que ça va finir comment ?!

Animatrice : D’accord, question suivante : Pourquoi vous en prendre à Chihuahaman Red pour vous faire connaitre ?

B.Lee : Pourquoi pas ?

Animatrice : Ce n’est pas vraiment une réponse ça…

B.Lee : Si je te dis qu’il était là, et que j’avais juste envie de lui casser la gueule ça te vas ?!

Animatrice : Je m’en contenterais… Question suivante, quel est votre objectif à la WFA ? Un titre vous intéresse plus que les autres peut être ?

B.Lee : Botter des culs , me fendre la gueule, gagner de la thune…

Animatrice : Très primaire comme motivation…

Brodie Lee se tourne vers la caméra le majeur tendus :

B.Lee : Et ça c’est primaire ?

Et il lâche un rire gras avant de se lever et partir en direction de la porte de la pièce.

B.Lee : Bon je vais à l’entrainement vous venez ou pas ?

L’animatrice et son caméraman se lèvent tout deux sans un mot et ils suivent à courte distance Brodie Lee qui s’avance à pas décidé vers une vieille voiture qui tiens plus de l’épave que du véhicule. Il s’approche de la portière passager, l’ouvre dans un grincement strident et entre dans le véhicule, une fois sur le siège conducteur il fait signe au duo de le rejoindre. Le caméraman se tourne vers l’animatrice qui excédée, lui fais signe d’y aller rapidement. Après une vaine tentative d’ouvrir la porte arrière elle finit par grimper dans le véhicule par le côté passager. Après un léger toussotement la guimbarde démarre dans une fumée noire et Brodie Lee fonce en direction du mur, il fais demi tour à la dernière seconde et explose de rire en voyant le visage effrayé de ses passager.

Animatrice : Vous êtes obligé de rouler comme ça ?!

B.Lee : Ouais poupée ! Avoue que ça seras nettement moins vendeur si je roulais comme une mémère !

Animatrice : Et où allons-nous ?!

B.Lee : Dans le gymnase ! Pour l’entrainement !

Animatrice : Euh vous voulez dire AU gymnase ?

B.Lee : Non DANS le gymnase !

Caméraman : J’ai peur de comprendre…

Sans plus attendre Brodie Lee écrase le pied au plancher et encastre la voiture dans la vitrine du gymnase voisin. Par chance personne n’est blessé, mais les lutteurs qui s’entrainaient se ruent en direction de la voiture bien décidés à en découdre avec le chauffard.

B.Lee : Et l’entrainement commence maintenant !

D’un violent coup d’épaule Big Rig envoie valser la portière gauche de la voiture, et dans la foulée se précipite à l’extérieur, le premier adversaire est au contact et il agrippe Lee par les cheveux, qui le repousse d’un violent coup de pied à l’abdomen, avant de l’envoyer rouler sur le capot. Dans l’enchainement il se jette sur les deux suivant et leur inflige un double clothesline qui les envois directement au sol. Le premier homme est de retour, il s’accroche dans le dos de Brodie Lee et commence à le frapper au visage, Big Rig se jette dos contre le mur pour y écraser son assaillant, mais celui-ci tiens bon ! Les deux autres hommes viennent se joindre à la mêlée mais Brodie Lee s’est finalement débarrasser de son adversaire précédent et il l’envoie directement sur eux ! Le gérant du gymnase sort de son bureau comme une furie, matraque à la main ! Big Rig l’accueil avec un Big Foot qui le renvoie d’où il vient ! La caméra n’en loupe pas une miette, profitant de cet instant de répits elle zoom sur le visage exultant de Brodie Lee, ce dernier semble en effet s’en donner à cœur joie. Le premier agresseur tente de fuir, mais Lee lui donne la chasse ! Bulldog ! Le pauvre homme n’avait aucune chance ! Il vient d’être écraser au sol comme une simple poupée de chiffon ! Seul le gérant est encore debout et il tente le tout pour le tout ! Il charge Brodie Lee ! Truck Stop ! Big Rig était à la réception ! L’homme gît au sol visiblement sonné.

Brodie Lee se dirige vers le bureau et en ressort triomphant, un bloc de post-it à la main, le caméraman sort de la voiture et le suit de près pour ne rien louper. Lee griffonne rapidement le papier avant de le poser délicatement sur le corps du gérant, la caméra zoom dessus et on peut y lire : « Pour le remboursement voir avec Monsieur John Laurinaitis, WFA Building».

Big Rig remonte dans la voiture, sous le silence complet de ses passagers. La voiture démarre au troisième essai, et lorsque la marche arrière est amorcé, le pare choc avant et le capot se désolidarise du reste et reste sur place. Le chemin de retour se fait dans un silence de mort. Une fois sur le parking de la WFA, Brodie Lee gare le véhicule sur la place réservée à Adam Cole. Puis il se dirige vers son camion tout en faisant signe au duo de le suivre, une fois dans le conteneur qui lui sert d’habitation, il aide la journaliste à se hisser, puis tend sa main au caméraman pour l’aider à son tour, celui-ci hésite un instant mais finis par accepter. Brodie Lee saisis la caméra et le repousse violement avant de refermer la porte ! La caméra est posée sur la table et filme sommairement Big Rig qui ordonne à l’animatrice d’aller dans la salle de bain et d’y rester. Une fois qu’elle s’est exécutée, il bloque la porte avec une chaise et reviens s’installer face à la caméra.

B.Lee : Ecoute-moi bien Big Johnny ! Pour la troisième fois, je ne suis pas une de tes vedettes de téléréalité de merde ! Il est noté sur mon contrat que tu couvrais tous les frais d’entrainement tant que la caméra était là, j’espère que ça ne te couteras pas trop cher… Maintenant tu vas peut être me laisser me préparer correctement pour mon combat de No Way Out… 

Brodie Lee se relève, vas libérer l’animatrice de sa prison de fortune, et lui tend la caméra.

B.Lee : Vas rejoindre ton boyscout, quand Big Johnny verras les images il voudra surement annuler l’émission, je te montre pas la sortie je pense que tu es assez maline pour la trouver toute seule…
Sans se faire l’animatrice saisis la caméra et quitte précipitamment le camion.

WFA Building quelques heures plus tard :

John Laurinaitis : Ahah !  Voyons voir ce que vas donner le reportage sur l’entrainement du p’tit nouveau !

L’animatrice et le caméraman échange un regard gênée, et entame une sortie discrète alors que le générique de l’émission se lance…

FIN

Voilà première promo pour Big Rig Brodie Lee, écrites en deux fois (merci le pc qui a rendu l'âme entre deux,), j'espère que ça se ressentiras pas trop et que vous prendrez autant de plaisir à la lire que j'en ai pris à l'écrire

Promo Vladimir Kozlov

L’été fut chaud cette année, mais le cycle des saisons suit son œuvre et en Russie comme partout dans le monde, l’hiver vient… Sauf qu’ici ça meule vraiment sévère.

Table ronde des derniers dirigeants communistes du monde moderne. Raul Castro, Kim Jong-Un, Trương Tấn Sang et Choummaly Sayasone discutent ensemble. Xi Jinping est un peu à l’écart, en même temps dire que la Chine est communiste c’est comme dire que François Hollande est ferme, ça n’a aucun sens. La présence de Guennadi Ziouganov est remarquée.


Ziouganov : Moi déclarer ouvert sommet parallèle dirigeants communistes du Monde.

Xi : Et pas que, nous autres chinois on utilise l’économie de marché.

Kim : EXECUTION !

Ziouganov : Calme camarades, nous autres devoir nous entendre, et nous besoins de chinois, eux vachement balèzes quand même.

Xi : On a la deuxième armée du monde, t’es pas rien. Regardez le l’autre demi-coréen, ses bombes c’est du pet de rat hihihihi !

Kim : TA GUEULE ! EXECUTION !

Sayasone : Moi tout le monde s’en fout

Sang : Moi aussi

Castro : Eh ! Nous on a niqué les américains récemment, d’ailleurs Kennedy soit encore s’en mordre les doigts…

Xi : Vos gueules les puceaux !

Kim : VOS GUEULES ! EXECUTION !

Ziouganov : Messieurs, moi demander vous calme. Moi ici pour présenter à vous nouveau chevalier porte étendard de communisme en occident. Pour l’instant lui avoir fait début fracassants et continuer dans sa lancée. Le fondateur du nouveau système soviétique, le camarade Vladimir Kozlov !


Kozlov arrive avec DAR au bout d’une laisse


Castro : Oh regardez, il promène un asiatique. Ah merde non, c’est un vrai nain…

Kim, Xi, Sayasone, Sang : CONNARD !

Ziouganov : Vladimir va maintenant parler à vous.

Kozlov : Cпасибо camarade secrétaire général. Moi aller à WFA dans pratique du catch pour rétablir communiste dans occident corrompu par décennies de capitalisme, mené par États-Unis, Allemagne, France et autres puissances véreuses. Nous commencer par petit morceau mais quand petit morceau touché, cellules autour muter et devenir comme point de départ. Echec pas envisageable, plan parfait pour réussir retour communisme dans occident malsain.

Xi : Et c’est quoi ton plan ? Petit livre qui marche bien ?

Castro : Guérilla ?

Kim : EXECUTIONS !?

Ziouganov : Lui…

Kozlov : Нет, nous pas révéler plan pour le moment. Ce que vous devoir savoir, c’est que tout ce que vous avoir dit être obsolète. Nous être bien plus en avance que vous.

Kim : Seuls les traitres ne parlent pas ! EXECUTION !


Kozlov sort une faucille et un marteau et frappe Kim Jong-Un avec ! Il l’attrape et Iron Curtain sur la table, qui explose ! Les autres dirigeants sont médusés. Il y a du sang partout


Kozlov : Autres objections ? Нет ? Très bien, si vous pas voir d’inconvénients, moi partir. До свидания !

Ziouganov : Bien messieurs, nous passer à autre sujet : Trouver nouveau dirigeant pour Corée du Nord…

********

On retrouve Kozlov dans un restaurant, seul.


Kozlov : Добрый день camarade serveur. Moi prendre un Lenin’s Burger et un Koka Kolkhoze Пожалуйста.

Serveur : Bien, pour le burger, un supplément viande ?

Kozlov : Дa.

Serveur : J’apporte cela tout de suite.


Quelques minutes passent, un autre serveur arrive et… fracasse le plateau sur le crâne de Kozlov ! C’est Dustin Runnels, l’alter ego de Goldust. Le russe se relève mais prend un coup de pied violent au visage. En venant le frapper, Runnels se prend une assiette en pleine face et Kozlov en profite pour lui lancer un table ! Le choc est d’une rare violence, mais The Bizarre One se relève. Kozlov prend alors un élan sur toute la longueur du restaurant et SPEAR A TRAVERS LA VITRINE. Les passants sont médusés. Kozlov se relève le premier et balance Runnels contre l’arrêt de bus à côté, son corps étant stoppé net par la vitre de plexiglas qui ne s’est pas brisée sur le coup. Dustin gît au sol, Kozlov se relève en retirant les morceaux de verre dans son bras et sur ses vêtements.


Kozlov : Toi pas avoir compris, дурак ? Moi détruire toi. Rendez-vous à No Way Out, Гoлдуcт.

Du très bon boulot 'ralar ! ^^ Lauri va t'adorer.

Tmaniac : Je me suis vachement poilé sur la première partie ( Castro  ) dommage que la seconde partie soit aussi courte.
Par contre tu voulais pas dire Cody Runnels ?

Clown Bastard a écrit:

Après c'est un avis perso' mais je suis pas fan de la fin, l'accumulation des guest... en fait j'ai vu arriver le Miz je me suis dit "Et un match avec victoire de Lesnar pour bien conclure tout ça." mais finalement non. Au moins on est surpris mais j'ai trouvé que ça faisait "trop".
Ça reste néanmoins une excellente promo.

Je suis entièrement d'accord avec toi concernant la fin mais au moment ou je l'ai écrit je n'avais aucune inspiration pour celle de Slater, du coup j'ai voulu garder la carte du match dans la promo au cas ou je n'aurais toujours pas d'inspiration.  

Hey, il n'empêche que Godot est le seul à être dans les deux Main-Event. Gloire à Godot 

Clown Bastard a écrit:

Je me suis vachement poilé sur la première partie ( Castro  ) dommage que la seconde partie soit aussi courte.
Par contre tu voulais pas dire Cody Runnels ?

J'ai eu peur que la première partie soit un peu courte, d'où le rajout de la deuxième partie. Mais bon c'est que ma deuxième promo, j'ai encore un long chemin a parcourir avant d'arriver à la cheville de certains.

Et pour Dustin, pas d'erreur, c'était bel et bien ça.

Promo Trent Barreta

Un sentiment de joie m’emplissait depuis la victoire au Royal Rumble, rien d’extérieur à la WFA et à ma carrière ne pouvait m’atteindre. J’étais le plus heureux au monde mais maintenant que j’avais accompli la plus belle chose dans ma carrière, je n’avais plus envie de rien. Une vie de débauche m’attendait pour fêter ma victoire, même ça, j’y ai rechigné. Aller à une fête avec des pieds de plomb, c’est comme se rendre à un enterrement. John Morrison m’avait envoyé de multiples invitations via Twitter à ses nombreuses fêtes, surement  motivées par mon futur choix concernant mon adversaire à Wrestlemania.

John Morrison a écrit:

@JoMoGreatness

@WFATrentBarreta

Félicitations à toi pour cette victoire, John Morrison n'a pas oublié ces soirées passées avec toi, tu as toujours eu bon goût, en particulier quand tu évoquais la gloire de John Morrison. La Lumière de la WFA t'invite à sa soirée de célébration demain soir et nous pourrons parler de ton futur match de championnat contre Rando Norton.

John Morrison a écrit:

@JoMoGreatness

@WFATrentBarreta

Tu n'es pas venu hier soir, tu as du te faire recaler à l'entrée. John Morrison remet le couvert ce soir et a prévenu les vigils de ton arrivée. Il t'attend les bras ouverts pour fêter comme il se doit ta future victoire pour le titre de Rambo Dorton

Généreux ce cher John, malgré ses invitations motivées, il continue de se foutre de ma tronche, oui je ne suis pas très grand, oui je ne suis pas une montagne de muscles, mais c’est grâce à ce mix que j’ai émergé lors du Rumble. Enfin ce n’est pas la question. John se sert des gens, à l’instar de DiBiase avec De Burchill. Il se rapproche de personnes pour ensuite s’en servir comme source de moquerie, il est comme ça je ne lui en veux pas, on a passé de bonnes soirées avant qu’il n’atteigne le sommet de la WFA, depuis c’est la grosse tête. Je suis juste blasé par les choses qui se passent autour de moi, plus rien n’a de l’importance.

Malgré tout, un soir, j’avais envie de penser à autre chose et j’ai donc rejoins John dans son club personnel, les vigiles m’ont gentiment laissé passer, ils ont jeté un coup d’œil à une photo auparavant mais ils l’ont fait, encore un coup de JoMo. A peine passé la porte, de nombreux journalistes et photographes m’ont sauté dessus, ils voulaient ma réaction concernant le Rumble. J’avais aperçu John au fond de la salle, il a tout de suite remarqué l’attroupement autour de moi et bien avant que j’aie pu ouvrir la bouche, il était déjà là pour voler le spotlight, il répondait pour moi, je le regardais, il avait une telle aisance, une aisance naturelle à sortir des conneries. Une fois les journalistes satisfaits, John m’invite à la rejoindre à sa table, après un coup d’œil furtif, que des poules de luxe à sa table, très peu pour moi, après m’être assis et aussi vite éclipsé, de toute façon personne ne l’aurait remarqué, j’ai été prendre l’air. Encore une fois j’ai été assailli de questions, cette fois pas très glorifiantes.  "Ca fait quoi d’être le pire vainqueur du Rumble à ce jour ?", "Vous devez user de stratagèmes minables pour vous rendre intéressant, pourquoi ?", "Vous avez manigancé tout, de votre départ à votre retour, quel favoritisme de la part des dirigeants." Je ne savais où donner de la tête tant les questions étaient rapides. Une fois que j’ai enfin pu m’exprimer, les journalistes n’attendaient même plus leur réponse et retournaient à l’intérieur du bâtiment à la recherche d’interviews croustillantes. Malgré mon état post victoire, ces questions qui ressemblaient plus à des affirmations m’ont fait réfléchir, la carapace qui s’était formée autour de moi s’est effritée rapidement. Je ne pensais pas que des langues de vipères me feraient cet effet-là. L’effet de mode Trent Barreta est déjà passé, j’ai battu 29 autres gars et le peu de considération que j’avais a fondu comme neige au soleil, je dirais même comme neige en plein Sahara. Généralement j’avais de bonnes relations avec tout le monde, mais là c’était la goutte d’eau. Je suis rentré dans le club, j’ai glissé un petit mot à John pour le remercier, il en a profité pour faire une photo avec moi et demandé comme titre pour la couverture : "La réussite de Trent, c’est grâce à moi. Je suis fier de mon exploit." Après un sourire commercial, je sors de cet endroit trop féminin pour moi, même les hommes sont efféminés.  Heureusement que je n’habitais pas loin, il avait commencé à pleuvoir, des trombes d’eau, autant dire que j’avais passé la pire journée depuis un bon moment. C’était son compter les managers que j’avais croisé sur mon chemin me reprochant tous la même chose, ma victoire au Rumble, ça suscite des jalousies. J’avais battu Batista à la fin et donc le Gang, et bien les managers qui d’habitude se comportaient en gentlemen, ont retourné leur vestes, certains allant jusqu’à me dire qu’Orton aurait dû me frapper plus fort, que de toute façon, ma victoire n’était qu’un coup de bol et qu’il ne fallait pas compter sur moi à Wrestlemania vu que si je n’étais pas blessé d’ici là, je ne durerai pas 2 minutes sur le ring avec le champion alors que ces même managers me félicitaient pour mes précédents règnes et chaleureusement qui plus est. Je les ai regardé, j’ai rigolé et je suis parti. Franchement, je ne pensais pas que les gens étaient comme ça. Il n’était pas tard quand je suis rentré, les mois juillet-août sont les 2 mois de repos à la WFA, j’ai donc allumé la télé et je suis tombé sur ce Talk Show "soit disant" sans langue de bois, Voiceless TV. On y parlait de moi et pour changer en mal, je n’en croyais pas mes oreilles, qu’on s’attaque à moi, face à face, je prends mais pas quand le droit de réponse est mis au placard. Autant dire que j’en prenais pour mon grade …

Citation :

"Difficile de savoir qui méritait ou non la victoire lors du Rumble Match, mais le retour du petit Trent Barreta a fait des vagues dans le lockeroom. Et le plus hilarant, c’est que les haters de ce vol sont perçus comme des « jaloux » ou des « dégoûtés » de ne pas avoir vu le coup se monter. Ne sommes-nous pas tout simplement capable de se dire, de penser, de manière constructive, qu’il y avait plus méritant ?"

"Victoire qu'il ne doit qu'à la gentillesse des membres du Gang qui n'ont pas souhaité mettre un terme définitif à sa carrière lors du Raw précédent le PPV ..."

"Après tout, Trent ne remportera jamais le titre à Wrestlemania, et n’en fera sûrement pas le Main Event. 18 secondes, le record de Bryan et Sheamus battu ?"

Autant dire que tout ça me laisse sur le cul, je vis dans un monde de faux cul, des hypocrites. Plus faux les uns que les autres. Peut-être devrais-je vraiment partir pour voir à quel point moi, le petit freluquet Trent Barreta pourrait leur manquer, c’est une possibilité mais je ne veux pas laisser ma place de vainqueur du Rumble à qui que ce soit, et si je devais partir, ce sera après Wrestlemania et ma probable défaite en moins de 10 secondes si j’en crois les "Madame Irma", suiveurs de la fédération.

Mine de rien, deux mois de vacances devraient m’être bénéfique dans tous les sens, du repos bien mérité et toutes les divagations sur moi devraient être oubliées. C’était sans compter WFA.com qui a pris mon histoire pour en faire un article, article qui malgré très objectif, ne fait que raviver le feu de critiques constantes, un survol des commentaires m’avait rhabillé pour deux ans, même si quelques fans avaient été plutôt gentils.

Après 2 semaines d’ermitage complet, je me suis décidé enfin à allumer la télé, toujours les mêmes conneries. C’est décidé, la télé et ses programmes bas de gamme prendront encore la poussière pendant un long moment. J’avais acheté le DVD du Royal Rumble 2013, mais je n’avais jamais eu l’envie de le regarder, mais aujourd’hui l’envie est apparue.  Revoir la tronche de ceux qui m’ont descendu m’a presque fait vomir, je ne veux pas que ces 2 mois se terminent, je vais devoir rebosser avec ces gens-là. Ça me file des maux de têtes mais chose certaine, mon attitude ne va pas changer quand je serai devant eux, c’est tout juste si je leur dirai bonjour. Qu’ils aillent crever. J’ai fait avance rapide sur les deux tiers du PPV pour arriver sur le match tant attendu, le Rumble, j’ai savouré ca match de bout encore plus mon entrée et voir la tête des survivants sur le ring était jouissif. L’emballage final avec Batista était sans doute le meilleur moment, je revivais dans ma mémoire en même temps que de regarder les images. Ça avait l’air plus facile une fois assis dans son canapé, c’est sûr.

Période ermitage terminée, j’ai donc choisi de m’aérer l’esprit, bien mal m’en a fait, je suis tombé sur le quatuor Gang avec leur valet Paul De Burchill. J’ai voulu les éviter mais j’ai échoué. Ils m’ont très rapidement encerclé, ils m’ont dit que ma victoire était une belle preuve de chance et que je ferai mieux de bien choisir mon adversaire à mes risques et périls. Une belle tentative déguisée de menaces de la part de Randy et de sa bande de rigolos. J’ai écouté ce qu’ils avaient à me dire, mais c’est rentré d’un côté pour en ressortir directement de l’autre sans faire d’escales. J’ai écarté Ted du bras pour passer mais Lesnar m’avait agrippé l’épaule et Batista m’a dit qu’ils n’en avaient pas fini avec moi. Je serai encore victime d’eux si je n’oriente pas mon choix. Je suis parvenu à partir après mais ils m’ont interpelé de loin, je me suis retourné machinalement, j’ai vu qu’ils avaient fait agenouillé Paul De Burchill et que Randy Orton s’était éloigné un peu avant de lui foncer dessus et de miner un Punt Kick qui était censé me rappeler celui que j’ai subi, peut-être même un prochain à recevoir. Je n’y ai guère pris attention et je suis rentré chez moi.

Après cet épisode, je me suis remis en route pour l’appartement, m’aérer l’esprit quelle idée de génie ! Des idées pareilles, c’est de l’or en barre. Je devrais les refiler à un autre gus plutôt. De retour dans mon havre de paix, là où rien ne tourne mal. Mais malheureusement, le jour tant redouté arrive très vite, le jour de la reprise, revoir les autres, tous ceux qui crachent dans mon dos. Et bien j’en déciderai le moment venu. Pour le moment, je veux juste profiter des dernières heures de calme avant la tempête, la tempête nommée par les spécialistes, la tempête Trent. Celle qui va retourner tout et tout le monde, sans faire de distinctions, sans mêler le personnel au professionnel. Je suis dans la forme de ma vie et ca va se savoir.

8h30, putain de réveil. Je n’avais jamais eu de tels pieds de plomb pour recommencer après la trêve, mais il faut montrer de la bonne volonté malgré qu’elle ne soit pas présente. Ce n’est pas après avoir pris mon destin en main que je vais lâcher tout. Et pourquoi pas tout abandonner ? On reprocherait la fuite, on crierait au scandale, on parlerait de lâcheté, je n’ai plus rien à prouver. J’ai accompli bien plus que beaucoup d’autres qui eux sont mieux considérés, rien ne devrait m’arrêter mais j’ai bien envie de me placer sur une voie de garage pour observer, apprendre et revenir invincible pour taire les critiques.  Mais ça laisserait le champ libre pour de mauvaises personnes qui sont déjà établies, ca je ne veux pas, je vais démantibuler les rouages de la corruption faite WFA, remettre un bon nombre de chose à leur place et grimper au sommet de la pyramide.

Je ne compte pas reprendre directement mais quand cela me semblera le moment opportun, aucune date butoir, aucune pression, pas de soucis ni de tracas, vivre une vie douce et paisible loin de l’ambiance plus qu’oppressante d’une semaine normale. Moi, Trent Barreta ait décidé qu’il était temps de mettre un peu de distance, de m’écarter pour observer.  N’ayez crainte, je ne laisse pas tomber à titre définitif, je veux juste une pause aménagée, je reviendrai en temps voulu, une fois que le climat de travail se sera amélioré et que les tensions se seront apaisées. Une fois que les journaux et autres émissions télé se seront jetés sur autre chose de plus croustillant que ma petite personne.  Que certains aient revu leur jugement et calmé leurs ardeurs. Par la présentes, comme vous l’avez compris je quitte la fédération temporairement, du moins jusqu’à ce que je l’ai décidé et pour encaisser mon match de championnat récupéré à la sueur de mon front. Je me fiche de la sanction, du moins  si vous osez m’en donner une. Je ne suis plus capable mentalement de continuer sur cette lancée. Je demande à ce qu’on me laisse tranquille.



La personne repose la lettre sur son bureau, elle semble inquiète, elle tend la feuille  à l’homme sui se tient à sa droite. L’homme à gauche tape du poing sur la table avant d’ouvrir la bouche :

Laurinaitis : Il n’en finira donc jamais de nous poser des problèmes celui là, après sa victoire volée lors du Royal Rumble, il nous fait faux bond et contrecarre tous nos plans.

Stephanie : Doucement John, rien n’est perdu, rien n’est terminé, certes il n’a pas précisé sa date de retour mais il laisse suggéré que ce sera avant Wrestlemania, il vaut mieux pour nous. Laissons-lui sa pause et profitons-en pour préparer un programme spécial pour son retour. Je suis assez d’accord avec lui sur certains points, l’ambiance n’est pas au top ces moments ci et beaucoup de lutteurs se voient déjà arrivés alors qu’ils ne sont nulle part.

JBL reposant la lettre : Quel fils de … Il me le payera !

@Gbacca, @Clown Bastard, @Godot, @Sexy: Cette promo est un peu spéciale pour moi, puisque ce sera la dernière avec Layla, personnage que j'affectionne tout particulièrement depuis presque un an maintenant. J'ai essayé de livrer la meilleure qualité possible, la dernière, et quelques parts en hommage à vous, clairement. A une lutte que j'ai adoré contre Djay, à un final dont je ne pouvais rêver mieux avec Clown et Serena, et car je respecte et j'adore le boulot de Godot, Alicia étant une relève en or massif. Bien sûr, sans oublier Sexy, maître de la perversion et qui aura booké plusieurs moments hors du commun (et lesbien, ça rime) dans cette division féminine que j'adore. En esperant que cela vous plaise, si ressenti vous avez, n'hésitez pas. J'aimerai connaitre vos critiques  

FINAL : LAYLA WALLACE
UNE RÉTROSPECTIVE FORCÉE

- J’aimerai passer à autre chose, messieurs. Allez donc harceler vos précieux témoins, je suis sûre qu’ils n’attendent que ça.

- Des témoignages on en a, le votre ne nous intéresse pas. Bien. Voici la déposition de votre amie… Ou de votre ex-amie, comme vous préférez… De toute façon, nous avons assez de preuves pour vous inculper dores et déjà, mais je dois avouer que ça m’intéresse quand même de connaître votre version des faits.

- Je croyais que mon témoignage n’était pas nécessaire ?

- Il ne l’est pas.

- Hum… J’ai cru vos bobards, vos promesses alléchantes… Et maintenant, je suis la, assise sur une chaise dans un enclos de huit mètres carré. Ça manque cruellement de Pulp, tout ça.

- Je commence à en avoir marre de ses conneries !

- Johnson, fermez la !

- Elle nous mène en bateau depuis ce matin avec ses romans à la con, Jerry. Si vous ne voulez pas jouer le méchant flic, c’est vous que ça regarde. Moi, je veux savoir pourquoi !

- Pourquoi ?

- Ouais, pétasse. Pourquoi ? Vous aviez tout ! Une vie loin des galères, un salaire plus important que le mien et celui de mon collège réunis, un job tout sauf dégueulasse… Je pense être en droit de comprendre.

- Comprendre ? Il n’y a rien à comprendre. Toi et moi, on sait très bien que je vais prendre pour combien, dix, vingt ans ? Peut être plus… A l’heure actuelle, t’es juste en droit de remballer le reste de ton sandwich et quitter ma cellule.

- TA cellule ? Sale petite…

- Johnson !

- Hum… Écoute moi bien trésor, t’as sûrement pas vu le match à la télévision mais on est en train de torcher le cul d’un dossier qui va jouer ma carrière, tu me suis ? Les médias, la presse à sensation, les jurés et même ta putain de fédération de danseurs étoiles sont à nos trousses. Donc, ils sont à mes trousses. Et s’y a bien un truc que je déteste, c’est de me retrouver fliquer.

- Hiiihiii !

- Quoi ?

- Non, c’est ton expression… Se faire fliquer quand on est flic, c’est quand même con…

- VA TE FAIRE FOUTRE !

- Johnson, ça suffit ! Sortez d’ici, je m’occupe d’elle.

- C’est vrai, Johnson, vous êtes tout rouge… Comme une tomate…

- Put… Ça te fait marrer, hein sale pute ? Tu n’as aucune idée de ce qui t’attend. Ici, et en taule. Je vais jouer de mes relations pour faire de ta vie un véritable cauchemar. Te coller dans un pénitencier si sombre que tu finiras par en perdre la vue. Tu boufferas ta soupe à même le sol, comme une chienne. Un petit chien, c’est exactement ce que la petite anglaise voyait en toi, en te regardant, je pari ? Hein ? Apporte moi ci, ramène moi ça… Tu étais son esclave, sa bonne à tout faire… Elle s’est servi de toi comme je me sers de Jerry pour ressuyer la merde sous mes chaussures. Et les gens te prennent pour un modèle… C’est la France qui a raison, les américains partent vraiment en couilles…

- […]

- Oh, j’ai touché un point sensible… Elle en serait presque mignonne, si elle n’était pas pathétique. Je me tire d’ici, Jerry. Tache de la faire parler. Je te signale qu’on est deux dans cette merde. Si je coule, tu coules avec moi, vieux débris.

- Toujours un plaisir de travailler avec vous, Johnson. Bon. Mademoiselle ? Que… Mais enfin, qu’est-ce qui vous fait rire ?

- Il a oublié son sandwich. Le gros lourdaud qui oublie son quatre heure… Vous devez avoir du mal à le supporter.

- Vous n’avez pas idée, il se prend pour un prince du FBI depuis toujours. Je ne lui en veux pas, c’est plus facile de se prendre pour quelqu‘un d’autre quand votre femme vous trompe, joue l’hypothèque de votre maison au blackjack et ne passe même pas chercher les gosses à l’école.

- Pauvre agent Johnson…

- Écoutez, Mademoiselle… El, Wallace ? On pourrait commencer par là.

- El. Layla El, pour ce soir.

- Bien… Vous ne me facilitez pas la tache, avec vos belles phrases préenregistrées… J’ai horreur de revêtir le costume du gentil policier, ce n’est pas moi. Vous savez pourquoi ? Je suis le gentil policier, pas besoin d’un accoutrement. Je ne peux pas prétendre que les choses iront mieux mais si vous parlez, vous soulagerez déjà cette peine au fond de vous. S’il faut revenir en arrière, nous le ferons.  Dimanche 04 Novembre 2012. WFA Wrestlemania. Nous avons recueillis cette première pièce à conviction. Si vous voulez bien regardez l’écran TV en face de vous.




- Ces échelles vont me manquer.

- Que vous inspire ces images ?

- Après la fête, tout s’estompe. Les chaises vides, on peine à tourner la page. C’était le bon temps, cher agent Jerry. Les grands débuts de Layla Wallace, une gimmick toute trouvée. Facile de se cacher derrière Mia. Femme forte, puissante, orgueilleuse et confiante jusque l’extrême. Une façon de revenir sur le devant de la scène, si vous voulez. J’en avais tellement besoin… Je ne pouvais plus rester aux côtés de Serena. Il y avait un monde entre le niveau des lutteuses à l’époque, et celui que l’on peut voir aujourd’hui. J’avais une carte à jouer. Pulp Fiction attirait les foules, mon manager était en pleine bourre avec son précieux CM Punk… J’étais un peu jalouse de lui, mais à la Wrestling French Addict, les hommes obtiennent 90% du temps de caméra. C’est d’autant plus dur de se faire une place dans un système pourri jusqu’à la moelle. Je l’ai fais. Ce n’était que mon troisième match, après deux tentatives contre…

- Britani Knight ?

- Ne prononcez pas son nom.

- Euh… D’accord. Excusez moi, continuez.

- Je n’étais pas surprise de la revoir au sommet de l’échelle. Au sommet de la chaîne alimentaire. Au sommet du monde. La WFA vie, nerf à vif, à jamais virulente. Nous n’avions droit à aucun round d’observation. Regardez la compagnie à laquelle nous devions faire face. Beth Phoenix, Kharma, Mickie James… Des anciennes championnes, des stars en déclin, des vedettes en quête de rédemption… Je n’étais que la petite nouvelle de 35 ans, has been pendant la majeure partie de son existence, prête à en découdre sous l’apparence d’une autre. Il y avait moi, et elle, sur le toit de la plus grande scène de toute. Et puis j’ai décrochée cette mallette. J’ai prouvée au monde que je ne faisais plus partie du décor, de la figuration. Je ne sais pas si mon manager à pesé dans la balance, comme beaucoup de gens le pensait. A vrai dire, je n’en ai rien à foutre. Il était fier de moi, fier de ce que j’avais accomplie. Le reste n’avait aucune importance. Pour l’instant…

- Que voulez vous dire ?

- Rien… Vous auriez un Bounty ?

- Pardon ?

- Ou un cake à la framboise ? Non ! Encore mieux ! Des pancakes à la myrtille, comme dans le film !

- Hum… Layla Wallace est une manière d’échapper à la réalité, n’est-ce pas ?

- Je… Non, vous… Je ne sais pas. Sans doute. Ce personnage me suivait jusque dans la vie de tous les jours. Je pouvais m’évader, vivre pleinement ma nouvelle ère, dans le Main Event de la division féminine. Je ne me suis jamais posée la question, à savoir qui j’étais vraiment, jusqu’à ce que…

- Jusqu’à la nuit du vol ?

- […]

- Dimanche 06 Janvier 2013. Caroline du Nord. L’écran est juste en face de vous.




- Backlash. Je me souviens de cette nuit la. Elle voulait la mallette, et je voulais la mallette et son majordome… J’ai du avoir les yeux plus gros que le ventre…

- C’est à ce moment que les choses ont changées ?

- Non. Ce n’était encore qu’une adversaire. Une copine. Elle ne l’avouera jamais, mais je déclenchais en elle une fougue comme jamais auparavant. Votre magnéto fonctionne ? Alors observez ses matchs avec moi, et sans moi. Vous verrez. Elle n’a jamais été aussi élégante, gracieuse, et mortellement dangereuse qu’avec Layla Wallace. Trois Cradle DDT dans un même combat… Du jamais vu, n’est-ce pas ? La Pulpin’ Touch.

- Il y avait des rivalités dans les coulisses que l’on ne pouvait pas voir à l’écran ?

- Je ne supportais pas Michelle McCool. Mais ça, vous le savez déjà. Sinon, les premiers temps furent délicieux. Je croyais renaître, à travers Wallace. Un comble qu’une fausse identité vous donne l’impression d’exister à nouveau. Je n’avais pas à me plaindre. Mon manager continuait sa petite guéguerre avec un mec barbu, un type, Djay Bacca je crois. Mais c’était le premier à saluer son talent, sa détermination et son palmarès hors caméra. Un peu à la flamme bien moyen-ageuse, vous voyez ce que je veux dire ? Hiiihiii…

- Vous ne répondez pas à la question…

- Ok. Très bien. Quand je rentrais dans les vestiaires, je croisais toujours… votre anglaise. Nous n’étions plus devant la caméra, ni devant une foule hurlant nos noms pendant des heures. Rien ne l’empêchait de venir tailler une bavette. Pendant plusieurs mois, elle ne l’a jamais fais. Je devais l’intimider, du haut de mes un mètre 57... Bref. Le courant ne passait pas. Et mes relations avec Serena se sont dégradés. Je n’avais qu’elle comme amie. Nous faisons le tour des shows ensemble, mais mon attirance pour… On s’arrête la.

- Britani Knight.

- Mon attirance pour elle a vite décuplée. Je rêvais de pouvoir me jeter sur elle, sans savoir comment, ni même pourquoi. Lui ôter jusqu’à sa petite culotte en dentelle, que j’imaginais noir et blanche, à la limite du gothisme. Passer ma langue sur son corps pendant qu’elle ferait de même sur le mien. Entendre ses murmures dans mon oreille, gémir au contact de ses mains… Au fil des mois, je faisais tout pour prendre mes douches aux même horaires que Britani. A travers la brume, je la voyais se passer du savon sur un corps parfait, athlétique et d’une magnifique douceur. Les jours passèrent. Les semaines aussi. Rien. Je me souviens que pendant les répétitions des Survivor Series, sa bouche avait effleurée la mienne pendant une tentative de tombé. C’est la que mon regard à vraiment prit le dessus sur la réalité. Je lui ai fais comprendre que mon corps avait besoin d’elle. Pour une nuit, peut être plus, mais je devais coucher avec cette femme.

- Hum… Vous aviez déjà eu des relations sexuelles avec une femme auparavant ?

- Non. Jamais. Avant le lendemain des Survivor Series. Elle est venue chez moi. Je m’en souviens comme si c’était hier… Je suis partie vers la terrasse d’un petit appartement de fortune que la WFA payait pour les périodes de Pay Per View. J’avais besoin de prendre l’air, et de m’asperger le visage d’eau bien froide. Il pleuvait. Quand je suis rentrée, elle m’attendait dans le couloir. Britani. Elle a mis un doigt sur ma bouche puis m’a fait signe de la suivre dans la chambre. On est arrivées à moitié nues, sans que je comprenne ce qu‘il m‘arrivait. Elle m’a poussé avec un sourire égrillard sur le matelas. Je me suis retrouvée sur le dos alors qu’elle défaisait mon soutien gorge et descendait mon pantalon sur mes cuisses, puis mes chevilles, pour enfin le faire valser dans les airs. Tout ça en seulement deux ou trois coups de mains. Elle s’est avancée au dessus de moi, a ôté le peu de vêtements qu’il me restait, et commença à m’embrasser avec vigueur. Hyper excitée, je ne pense pas utile de le préciser. Je posais mes mains partout où je le pouvais : ses hanches, son ventre, ses seins, qui ne sont pas si petits que ça, soit dit en passant ! Ses bras, ses joues, sa bouche… Elle a eu un premier orgasme très vite, ça l’a secouée comme une décharge électrique et je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas tout lâcher moi aussi. Elle est venue voler un baiser sur mes lèvres, comme dans un rêve, tout était dingue, le goût de sa langue, ses seins contre ma poitrine, ses doigts dans mes cheveux... Agent Jerry ?

- Hum…

- Vous êtes toujours vivant ?

- Oui… Euh… Bien sûr. Il fait chaud dans cette salle, vous ne trouvez pas ? Je donnerais tout pour de l’air climatisé.

- Vous êtes chou.

- Pour… Poursuivez.

- C’était magique. Elle est partie vers 10 heures, le lendemain matin. Et…

- Et quoi ?

- Et rien. Justement. Je n’ai pas compris. Raw, Smackdown, les tournées Européennes qui ont suivis… Je ne comptais plus. J’étais un plan cul, si vous préférez. Un plan cul qu’elle s’amusait à détruire dans la presse. J’avais perdue mon amitié avec Serena pour une petite traînée à laquelle je donnais trop d’importance. C’est à ce moment que les choses ont vraiment pris une tournure différente. Se dégrader.

- Se dégrader ? Vous êtes dure avec vous-même. 28 Avril 2013. WFA Invasion :




- La plupart de nos sources, dont une grande partie travaille avec vous à la Wrestling French Addict, décrivent votre couronnement comme la principale raison de votre rechute. C’est exact ?

- Je serais curieuse de savoir qui vous avez bien pu interroger…

- Ce n’est pas la question.

- Et puis franchement, « rechute » ? C’est un peu exagéré, non ? Je suis pas la cousine de Jack L’Éventreur… Ou la demi-sœur de Vincent Vega.

- Comment avait vous vécu cette période ?

- Hum… Ce n’est pas la plus pertinente de vos questions, cher agent Jerry. Vous vous doutez bien de la réponse. J’étais enfin à la place qui me revenait. Je me souviens que mon manager avait tout misé sur une promo cochonne, pour ne pas dire carrément vulgaire. Je risquais de perdre ma place au sein de la fédération, si son texte n’était pas comprit. Une chance qu’il ait obtenu son succès. J’avais surtout pris ma revanche sur Britani, et toutes les autres. Vous auriez vu sa tête… Indigne de marcher sur les traces de Mia ! Mon règne n’aura durée que deux mois, jusqu’au Royal Rumble. Et pendant deux mois, je ne savais plus où donner de ma personne.

- Vous entreteniez toujours des relations amicales avec Serena Deeb ?

- Non, pas spécialement. Elle avait le nez dans son boulot, à jouer les femmes fortes et ténébreuses. Sa rivalité avec AJ Lee dépassait la fiction. Au point de se retrouver avec des discussions parfois… houleuses entre elles. Comme une obsession, viscéralement. Elle avait besoin de jouer les matriarches, vous voyez ? La voix de la raison, le haut conseil de la division féminine. Elle n’a pas supporté l’idée que d’autres lutteuses lui volent ce privilège. Hum… A croire que je ne suis pas la seule à finir à moitié folle.

- Je n’ai pas dis que vous l’étiez.

- Mais vous n’avez pas dis le contraire.

- Ok… Tout ça c’est bien beau mais… Enfin ça ne nous avance pas vraiment. Je sais que vous êtes une femme bien. Parlez moi. Je ne sais plus quoi faire. En plus de vingt ans de métier, c’est la première fois que je suis assis en face d’une… En face d’une…

- Criminelle ? Meurtrière ? Folle furieuse ?

- D’une coupable indifférente. Qui non seulement ne nie pas les faits, mais ne semble pas atteinte du moindre remord. De la moindre émotion.

- Ce n’est pas très gentil, inspecteur. Mon âme se porte à merveille, vous pouvez disposer.

- Vous êtes encore en état de choc, c’est compréhen…

- Vous pouvez disposer. Attention, il me reste un coup de fil. Je connais mes droits, inspecteur. Si je compose le numéro de Marcellus, vous allez finir votre carrière dans un vieux local du Nebraska…

- Que…

- Il fait froid la bas… Tous des paysans ! Hiiihiii… Marcellus à beaucoup de pouvoir, et le bras long, je ne me répèterais pas.

- Je… ‘chier.




Huit heures plus tard :


- Depuis combien de temps elle dessine des afro-américains chevelus et armés jusqu’aux dents ?

- Euh… Trois heures et vingt-quatre minutes, Johnson. Trois heures vingt-quatre.

- Tu perds ton temps, Jerry. Le temps c’est de l’argent. Et l’argent, c’est des finances pour des enquêtes autrement plus graves. On pourrait foutre le camp, balancer ce foutu dossier Wallace à la poubelle et aller sur le terrain. Tu prendras ta retraite dans quelques mois, vieux fossile. Profite du temps qu’il te reste, au lieu de partir à la poursuite d’une chimère. Écoute… On m’a collé dans tes pattes alors que je fêtais mes 19 ans, l’un des plus jeunes diplômés de l’académie. Aujourd’hui j’ai treize piges de métier, avec toi comme partenaire. Comme équipier. Et jamais je ne t’avais vu dans cet état. Je pourrais comprendre… si on avait pas enfermé une putain de criminelle sous les barreaux ! Mais la, tu as gagné. C’est ton œuvre. MERDE, JERRY ! Reprends toi, bordel ! Elle a enlevé cette femme, l’a séquestré pendant plus d’une semaine et demi avant de recevoir un appel anonyme. Quand on a débarqué, c‘est un miracle qu‘elle tenait encore en un seul morceau. Layla a avoué, point barre ! C’est terminé ! On a évité un joli massacre.

- Je veux comprendre.

- Putain de merde, moi aussi je le voulais ! Regarde la. Incapable de contrôler ses sentiments, d’aligner deux phrases cohérentes d’affilées.

- Le coup de fil venait d’elle.

- Quoi ?

- Le téléphone anonyme. La localisation de ce bâtiment entre O’Connell Street et Loki. L’immeuble était abandonné depuis des lustres, ce n’est pas logique.

- Qu’est-ce que tu veux dire ?

- Elle s’est vendue. Elle voulait qu’on la retrouve. Ça explique son refus de choisir un avocat, ou encore le plaidoyer coupable. Elle ne veut pas se battre.

- Raison de plus pour jeter l’éponge, Jerry. Souviens toi de cet après-midi là. Une pluie qui assomme le capot de la voiture. Un vent d’ouest, une circulation à n’en plus finir. Et puis ce sentier, sur la gauche. Un bois. Des champs à perte de vue. Le ciel est gris, la foudre commence à gronder, on entend un appel du central… La vieille femme disparue est enfin localisée. Qui est-ce qu’on envoie pour chopper cette salope ? Nous. Et ce jour la, alors que tu lui passes les menottes, je vois dans ton regard que c’est ta dernière mission. Ton dernier putain de Donut’s en reprenant la route. Elle est accomplie. Rentre chez toi.

- […]

- Allez.

- Laisse la moi un jour de plus.

- PUTAIN… Tu déconnes, Jerry. Je te soutiendrais pas la dedans. Connaître son motif, je m’en branle, démerdes toi tout seul. Tu fais chier…




- Mademoiselle El ?

- Tiens, vous revoilà, grand fou, quelle agréable surprise. Je n’ai pas utilisée mon coup de fil. Georges ne me répondrait pas, de toute façon. Prier demain pour éviter le pire. Hiiihiii…

- Je… Je vais vous passer une nouvelle vidéo de…

- D’un tournage ? De Pulp Fiction 2 ? Je suis sûre que c’est ça ! Ooooh j’espère qu’il y aura une suite… Avec le fils de Will Smith pour remplacer Samuel Jackson ! Qu’est-ce que vous en pensez ? Il est beau…

- 23 Juin 2013. Royal Rumble.

Citation :

Wallace reste bouche bée. Comment peut-elle être tenir ? Elle roule sur le côté. Britani se tient l'épaule, qui s'ajoute à la liste des membres touchés : côtes, jambe et nuque. La Pulp Diva approche son visage du sien et lui chuchote quelques mots... Puis elle enroule les jambes autour de sa taille et applique un Body Scissors ! Knight hurle de douleur. Layla n'arrête pas de répéter qu'elle est désolé. La Lady tente tant bien que mal de se débattre, en donnant des coups de poing sur les jambes de son adversaire, mais elle souffre trop pour frapper correctement. Elle tend le bras pour atteindre les cordes mais elles sont bien trop loin. Elle est prise au piège. Elle n'as pas d'autre choix que d'abandonner. De son côté, Wallace la supplie de taper. Britani refuse. Cela va faire bientôt une minute qu'elle dans cet étau. Elle roule sur le côté et replie ses jambes. Elle prend appui sur ses genoux pour s'élever. Elle... elle se colle à Layla ? Mais que fait-elle ? Elle approche son visage du sien. Elle l'embrasse sur les lèvres ! Wallace, surprise, ne s'aperçoit pas que ses épaules sont rivées au sol : 1... 2... 3 !

Justin Roberts : Here is your winner and your new Knockout's Champion : Britani Knight !

Britani en a profité pour voler la victoire ! Et Layla ne s'en est pas rendu compte ! Voici Georges qui arrive des vestiaires. Il grimpe sur le ring et va s'inquiéter de l'état de Wallace. La Lady s'approche de lui et lui tire le bras. Il refuse de bouger. Le ton monte et Britani lui hurle de la suivre. Il refuse et retourne vers Layla. Il l'aide à se remettre debout puis l'accompagne jusqu'aux cordes. Wallace est dans un état second, elle a le regard dans le vide. Le majordome lui abaisse les câbles et elle passe entre ceux-ci. Knight les regarde sortir du ring puis se rue vers Georges. Elle lui demande de rester mais il secoue la tête. Il s'excuse puis raccompagne la Pulp Diva vers les vestiaires. A l'intérieur, Knight lui hurle de revenir mais il ne se retourne pas. Elle s'énerve et jette la ceinture à ses pieds ! Elle tombe à genoux et c'est ainsi que démarre le second règne de Britani Knight.

- Georges. Nous ne l’avons jamais retrouvé, depuis votre arrestation. Plutôt bizarre, pour un vieillard qui n’a rien à se reprocher.

- Méfiez vous, agent Jerry. Georges est très bien conservé, pour son âge.

- Vous aviez fait de lui un complice ?

- Georges ? Bin voyons… Il serait incapable de faire de mal à une mouche, même si je lui demandais. Alors enlever quelqu’un ! Non, c’était… C’était ma propre initiative. Dites-moi, vous n’auriez pas des mots fléchés ? Ou une cassette vidéo qui ne montrerait pas mon passé de catcheuse ? C’est fou ce qu’on s’ennuie ici…

- Parlez-moi de ce baiser.

- Je ne vois pas où vous voulez en venir.

- Il est écrit dans mon rapport que mademoiselle Knight aurait délibérément… embrassée la championne –Layla Wallace-, afin de provoquer une distraction  pour le compte de trois. Je dois avouer que je ne comprends rien à ce cinéma de catch, mais cette piste ne me laisse pas indiffèrent. Un passé qui revient sur le tapis, une simple pulsion… Ou un moyen plus rapide de se débarrasser de vous.

- Hiiihiii j’adore quand vous cherchez à comprendre.

- Elle se servait souvent de vous, comme ça ?

- Pardon ?

- Je veux dire… Après avoir couché l’une avec l’autre. Je devine que les officiels, si c’est bien comme ça qu’on les appelle, ont jugé intelligent d’orchestrer une rivalité publique en partant de là. Ca a dû être terrible pour vous, quand on sait à quel point Britani se foutait de votre gueule.

- Arrêtez.

- Toutes ces petites attentions devaient vous faire espérer bien plus que ce que l’on voit à l’écran, n’est-ce pas ?

- Je vous en prie…

- Et jour après jour, dans les vestiaires, la réalité reprend le dessus. Elle vous ignore, elle vous rend responsable de la décadence de cette division féminine, et il ne reste que vos yeux pour pleurer. Ce n’est pas très pulp, ça, non ?

[…]

- Je crois que le pire dans une relation à sens unique, c’est le désamour total de l’autre. Britani a tué votre carrière, et pour ça, vous avez enlevé…

- FERMEZ-LA ! JE VOUS EN PRIE… TAISEZ-VOUS…

- Mais bordel, c’est pas logique ! Il n’y a aucun lien entre votre otage et Britani Knight ! C'est une fausse piste, et vous le savez ! A qui vouliez vous faire du mal ? Si je dois éplucher la moindre théorie sur votre enfance pour boucler l’enquête, je le ferais. Dites moi quelque chose !

- J... Je... Qu... Quelque chose.

- Putain... Je suis désolé. J'ai pas envie de vous faire du mal. Ce n'est pas moi qui m'en chargerais. Je vous laisse une dernière chance, Layla. Regardez moi dans les yeux. On est pas obligé d'en arriver la, vous le savez. Tout cela prend des proportions qui nous dépasse. Pourquoi ? C'est tout ce que je vous demande. Pourquoi avoir enlevé cette femme ? Pourquoi vous rendre une semaine plus tard ? Ce coup de fil, c'était vous, n'est-ce pas ?

- O... Oui.

- Pourquoi ?

- Je... Je veux mes pancakes aux myrtilles, s'il vous plait.

- Hum... Très bien. Je suis désolé. JOHNSON ! Appelez moi l'agent Johnson, cellule d'interrogatoire B4. Oui. Merci. Layla, il est encore temps de... Ah ! Vous voila.

- Agent Jerry ! Encore en mission lesbienne ?

- Fais moi plaisir, vas te faire foutre.

- Ooooouh, toujours aussi chaude, la gouine ! Ça m'exciterait presque, si j'étais pas marié !

- Johnson, vous avez carte blanche. Agissez comme bon vous semble, tout ce que je veux c'est des réponses.

- Jerry Harper passe du coté obscur... Si on m'avait dis ça un jour...

- Je vous laisse.

- [...]

- Il est sympa, Jerry, hein ?

- [...]

- On est peut être partis sur de mauvaises bases. Je me présente : Franklin Johnson, je travaille pour les fédéraux. Je suis également le partenaire de Jerry, ici comme sur le terrain. Il m'a tout apprit. Et maintenant, je nettoie ses merdes. Jerry est faible. Il devient sénile, aveuglé par son envie d'être le gentil policier. Moi, j'ai pas ce genre de problème. Je n'écoute que moi. Et tu n'as pas idée de ce que j'ai pu faire aux gens pour qu'ils crachent le morceau. Des tueurs, des pédophiles, des traders... Ce n'est pas une petite catin anglaise qui va me faire peur, ou changer d'avis. Tu me suis ?

- [...]

- Ok. Je vais te montrer deux copines à moi. Ça, c'est madame Bambou. Un morceau de bois que je vais glisser sous tes ongles et briser à même la peau. Avec un peu de chances pour moi, je devrais t'enfoncer une dizaine de micro-échardes dans la chair jusqu'à la première phalange. Non, ne fais pas cette tête la, jolie Layla, je ne t'ai pas encore montré le plus intéressant. Voila la cousine de madame Bambou, alias miss Volte4. Une petite pince reliée à une dynamo qui t'enverra un petit coup de jus si tu tombes dans les vapes. Oui, j'adore être préventif. Alors maintenant, tu as deux solutions. Tu déballes tout dans les 15 secondes, et on en reste la... Ou tu continues à jouer les putains de Cyntia Wallace, et je peux te dire que la flamme bien moyen-ageuse, tu vas la sentir passer. Alors ?

- Mia.

- Quoi ?

- C'est Mia Wallace, espèce de petite pucelle.

- Hum... Bizarrement, c'était la réponse que je voulais. Tu aimes Tarantino ? J'adore torturer les gens en musique, et avec toi, je sais exactement quoi mettre... Tu connais le Super Son des Seventies ?




Une semaine plus tard :


- Layla, écoutez attentivement ma voix. Nous sommes le 31 Octobre 2013, il est 23h30 et vous entamez votre 16eme jour d’incarcération. Levez la main si vous êtes d’accord. Bien. Vous êtes anglaise, levez la main si vous êtes d’accord. Bien. Putain, il vous a pas raté, le fils Johnson… Ecoutez Layla, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c’est que vous allez devoir faire face à Serena Deeb à No Way Out. Levez la main si vous comprenez. Euh… J’ai dis levez la main si vous comprenez ! Bien. La mauvaise, c’est que dans votre état, vous n’êtes pas capable de lutter. Vous entamerez donc des examens complets à compter d’aujourd’hui, et ce pour une durée de 10 jours, jusqu’au Pay Per View.

- Com…

- Oui ?

- Comment pouvez vous me laisser sortir ?

- Quelqu’un à payer un… énorme pot de vin pour vous laisser sortir. Cette personne m’a tout expliqué. Elle est la, derrière cette porte. Faites entrer… Layla ? Layla, ne vous endormez pas ! C’est bien, je…

- Allez réveille toi, ma grande.

- Qu’est-ce que…

- Quoi, tu ne me reconnais pas ? Pas un bisou ? Pas un petit câlin ?

- Serena ??

- Yep, en chair et en os. Vous pouvez y aller, inspecteur. Je n’en aurais pas pour longtemps.

- […]

- Alors comme ça, tu as mis le doute dans la tête des fédéraux pendant tout ce temps ? Admirable.

- Fous moi le camp d’ici…

- C’est pas très gentil, Lay’. Je t’ai quand même sortie d’une peine de vingt ans de prison. Fais moi un sourire, ma belle. Voila. J’ai expliqué à cet idiot d’agent Jerry le pourquoi du comment.

- De quoi tu parles ?

- Oh ne fais pas l’innocente. Je lis en toi comme dans un livre, ma puce. N’oublies pas que je suis ta super copine. Ces clampins ont crus que tu avais kidnappé quelqu‘un pour toucher Britani. Lui faire mal. On s’est toi et moi que c’est faux. Ils n’ont jamais connus l’identité de cette femme, n’est-ce pas ? Celle que tu as volé en douce ?

- Non… Elle… Elle a donné un faux nom.

- Évidemment, puisque cette personne la c’est ma mère. Oser lever la main sur la famille de ton ennemi… Tu dois vraiment être désespérée ma petite. Je respecte ça. Pour une fois, tu as fais preuve d’une certaine logique, et tu as posée tes couilles sur la table. Ou tes ovaires, c’est toi qui vois. Ces guignols de fédéraux n’ont eu d’yeux que pour Britani, à l’extérieur. Elle a été interrogé une bonne quinzaine de fois. Et moi ? Pas une seule. Alors je sais pourquoi tu as enlevé la seule personne qui compte encore un minimum pour moi, mais je veux te l’entendre dire.

- Je…

- Dis le moi.

- Je veux en finir avec toi… Je… Tu as toujours été celle qui me comprenait. Qui lisait en moi. Tu as essayé de m’avertir pour Knight, tu as voulu me sauver… Mais je n’ai plus besoin de toi, Serena. Après la perte de mon titre, j’ai compris. J’ai compris que si j’avais perdue, c’est parce qu’il y avait toujours cette image de moi apprenant le monde du catch à tes côtés. Comme une novice. Comme un petit toutou. Mia Wallace, c’était un moyen de lâcher ton emprise sur moi. Je te DETESTE Serena pour ce que tu as fais de moi ! Je te déteste d’être ce que tu es ! Je te jure qu’à No Way Out tu n’auras rien à te mettre sous la dent. C’est terminé ! Mon manager, la course au titre, et toi, toi putain ! TOUT EST FINI ! Je lutte pour ma liberté ! Tu ne supporterais pas l’idée que je sois meilleure que toi. Mais c’est le cas. Tu n’y peux rien. Alicia Fox, AJ Lee, même Britani… Elles valent toutes plus que toi. Tu es de la caste des Beth Phoenix et autre Natalya. Appartenant au passé. Très loin d’être pulp. Hum, c’est drôle. C’est exactement ce que je pouvais dire à ta mère, pendant qu’elle tremblotait assise sur cette table. Parfois, je pouvais lire dans ses yeux qu’elle me donnait rais…

- FERME TA GUEULE ! PUTAIN LAYLA ! TU NE PEUX PAS… SALE PETITE PUTE ! Je suis contente que tu le prennes comme ça ! Je n’aurais aucune compassion, aucun remord à briser ton cou à No Way Out. Putain… Profite bien de ta semaine d’entraînements, ma belle. Je n’ai plus aucune pitié pour toi.

- Je… Serena, attends !

- Qu… Quoi ?

- Tu ne trouves pas que j’ai grossie ? Ce jean me pèse, c’est incroyable ! Faut que j’arrête les milk shake…

- Hum… Tu me fera toujours rire, toi et ton syndrome Peter Pan. Va te faire enculer. Oh et, en passant… Je t’ai laissé une petite vidéo. Regarde, et apprends. Une dernière chose... Pourquoi tu n'as rien balancé aux flics ? Pourquoi ne pas leur avoir dit la vérité ? Faire donner un faux nom à ma mère ? Tu ne voulais pas les faire venir jusqu'à moi ?

- Je voulais te garder pour moi. Personne ne pourra te baiser, sauf une Wallace.

- Ne dis pas ça, Lay'... Depuis tes orgies avec l'autre bouffonne, j'ai tendance à croire que c'est du premier degré...

Citation :

L'Anti-Diva ne répond pas mais va relever Layla et la met à genoux à côté de Knight.

Serena : Je veux qu'elle regarde.

Wallace tente de se débattre mais son ancien mentor la tire par les cheveux.

Serena : Je t'ai dit de regarder !

Deeb ramasse un micro.

Serena : Tu ne comprends pas ? Je fais ça pour t'aider. Pour que tu ne deviennes pas comme elle. Elle est faible.

Layla : Tu es folle.

Serena : Tu sais ce qu'on fait aux chiens fous ? On les attache. On est liées toutes les deux, frangine. Alors prenons ça au pied de la lettre. A No Way Out, on s'affrontera dans un Dog Collar Match. Toi et moi, avec des colliers autour du cou. Reliées par une chaîne en métal. C'est ta petite pute qui va être jalouse.

Layla : Continue d'aboyer tant que tu le peux.

Serena : Je n'ai pas peur de toi, Lay'. Je te connais mieux que quiconque. Tu ne peux pas me battre. Mais ne t'inquiète pas, une fois que tu seras à ta place, à mes côtés, je reprendrais ton entraînement. Mais d'abord... un petit avant-goût de ta défaite.

Layla essaie de détourner le regard mais l'Anti-Diva l'en empêche. Deeb fait un signe de tête à Alicia, qui sourit avant de porter son Con-chair-to sur Britani. Wallace se fige sur place. Après quelques secondes, elle se lève brusquement mais l'Anti-Diva la retourne, lui donne un coup de pied dans l'abdomen et la place entre ses jambes. Riot Piledriver ! Layla et Britani sont allongées côte à côte au milieu du ring. Serena et Alicia se dévisagent. Georges entre dans le ring, ayant récupéré le Knockout Championship, et se rue vers Wallace et Knight. Deeb sort du ring, un sourire malsain sur le visage tandis que Fox grimpe sur le turnbuckle pour célébrer.

- Je me suis bien fais allumée, ce soir la… Mia… La liberté. 10 Novembre 2013. No Way Out. Après tout, je n’ai plus rien à perdre. OH PUTAIN ! SI ! J’espere qu’elle n’a pas mis la main sur ma figurine édition limitée de Reservoir Dogs ! Oups... Hiiihiii...




10 Novembre 2013 :


Vidéo promotionnelle : THIS IS WFA NO WAY OUT :

Ben j'ai beaucoup aimé. Je sais pas trop quoi dire d'autre sinon que je risque d'en chier un peu pour égaler l'niveau ( Déjà que j'ai pas d'idées pour Burchill ).

Beaucoup aimé celle de Trent également.

François a écrit:

il avait une telle aisance, une aisance naturelle à sortir des conneries.

 

@ SwantonBomb : Et Randy est le seul champion du monde de la WFA !
@ TS : J'ai adoré ta promo pour Layla, dommage que ce soit la dernière. Par contre, l'attitude que tu as donné à Franklin ressemble plus à Trevor qu'à Franklin.  




??? : Mesdames et Messieurs, bien le bonjours ! Vous m'avez bien entendu reconnu, je suis Maria Menounos et vous êtes bien, sur cette nouvelle émission diffusée sur WFA TV.

La présentatrice marque une pause pour laisser le public applaudir.

Maria : Le principe de cette émission est simple, j'accueille une superstar de la WFA qui évoque sans langue de bois sa carrière à la WFA et aujourd'hui, nous avons de la chance, car je vous demande d'accueillir sous vos applaudissements à la fois un catcheur et un homme d'affaire en la personne de Heath Slater !


La foule applaudit le rouquin qui son apparition avec un large sourire.

Maria : Bienvenue Heath dans cette émission. Je suis très heureuse que vous soyez mon premier invité !

Heath : Le plaisir est partagé !

Maria : Alors nous allons des maintenant revenir sur toute votre carrière mais ne commençons pas par le commencement. Parlons tout d'abord du dernier PPV de la WFA ou tu as failli battre John Morrison (huée de la foule à l'annonce de ce nom) pour le titre mondial. On peut même dire que tu aurais du être sacré champion ce soir là.

Heath : En définitive, on ne pas savoir ce qu'il se serait passé si John n'avait pas lâchement feint une blessure. Et c'est surtout pour cela que je lui en veux car je ne saurai jamais quelle aurait du être la fin de cette rencontre sans son geste de peur.

Maria : Je vous trouve très sévère avec vous même, vous avez fait jeu égal avec le champion, vous l'avez même surpassé à certain moment de la rencontre.

Heath : C'est vrai mais cela ne veut rien dire. Mais bon, j'espère avoir de nouveau ma chance un jour pour ce titre en un contre un.

Maria : Vous êtes vous croisé depuis en dehors des salles de catch ?

Heath : Non, j'ai mieux à faire de mon temps libre qu'allez dans de pauvre soirée avec 4 ou 5 personnes se pensent être de la haute société.

Maria : Très bien alors revenons maintenant en arrière, lors de ton arrivé à la WFA vous n'étiez même pas encore apparu devant les écrans qu'on parlait déjà de vous grâce à Twitter.

Heath : (rire) Oui en effet, j'ai eu une petite rivalité avec Bully Ray notamment.

Maria : Mais je crois que tous les fans se posent la même question, êtes vous ami aujourd'hui ?

Heath : On ne sera jamais les meilleurs potes du monde mais je sais qu'il a un profond respect pour tout ce que j'ai accompli depuis mon arrivé. Il m'a même confié un jour qu'il était très fier de voir que je l'avais dépassé dans tous les domaines !

Maria : Que diriez vous d'un match entre vous deux un jour ?

Heath : Avec plaisir ! Enfin, pour cela il nous faudrait deux choses. Premièrement, espérer qu'il ait bien réglé sa prothèse auditive pour pouvoir entendre ce que l'on dit en ce moment même puis deuxièmement, qu'il accepte de ne pas pouvoir regarder les feux de l'amour pour pouvoir s'entraîner un peu. Bref, on a malheureusement très peu de chance de voir ce match un jour …

Maria : Dommage mais pensez vous que sans cette rivalité twitter, votre carrière à la WFA aurait été la même ?

Heath : Elle aurait mit peut être un peu plus de temps à décoller mais je ne pense pas qu'elle aurait été fondamentalement très différente si Bubu et moi même n'avions pas eu cette rivalité virtuelle.

Maria : Très bien mais passons à autre sujet, regardez ce petit magnéto.

Citation :

Les deux hommes sont de nouveau face à face, Trent décide de foncer vers son adversaire et... Heath l'intercepte avec la bombe de spray lacrymogène, et un sacré gros coup directement au visage du champion! Trent Barreta est debout mais ne semble plus savoir ou il est! Heath s'avance alors vers Trent et tente de le pousser mais celui-ci le repousse encore une fois! Slater appelle alors Goldust et celui-ci lui lance un coup de poing américain. Heath donne alors un énorme coup de poing à Barreta et celui tombe de tout son long sur la planche en plein milieu de la gigantesque structure! Heath Slater hurle une nouvelle fois, il tend les mains en l'air et fait le signe de Equality of Chance! Il relève le champion, lui porte son Inverted DDT! Trent Barreta tombe alors une nouvelle fois. Heath sans pitié, pousse alors Trent Barreta du haut de l'échaffaudage! Le corps de Trent Barreta tombe alors dans un bruit sourd directement sur le ring 15 pieds plus bas.

Silence soudain, le public et les arbitres sont sous le choc.

DING DING DING

Justin Roberts: "Ladies and gentlemen, your winner, and the NEEEEEEEEEEEEEEEW WFA United States Champion, Heeeeeeeeeath Slaaaaaaaaaaaaaateeeeeeeeeeeeeer!"

Heath : Ah ma rivalité avec Trent Barreta autour du titre US.

Maria : Vous regrettez l'utilisation de cet objet dans l'obtention de ce titre ?

Heath : Absolument pas ! Il ne faut pas oublier que le monde du catch s'est construit avec ce genre de chose. La foule conspue le catcheur usant de ce genre d'artifice pour gagner un match mais 20 ans plus tard, elle aime se rappeler de tous les moments un peu WTF. D'ailleurs, cette fin de match à construit nos deux carrières et je suis certain même s'il ne l'avouera jamais, que Trent pense comme moi.

Maria : Vous avez eu une discussion avec Trent à ce propos depuis ?

Heath : Bien entendu, il n'a toujours pas digéré cette histoire et c'est normal d'ailleurs mais on a tout de même aujourd'hui de bon rapport. D'ailleurs, un main event à WM nous opposant pour le titre mondial serait génial !

La foule semble entièrement d'accord.

Maria : Par la suite, vous avez défendu plusieurs fois votre titre contre un certain DH Smith.

Heath : Un mec très doué qui aura une très belle carrière solo, j'en suis certain.

Maria : S'il est très doué, cela rajoute du prestige à vos victoires sur lui.

Heath : Mais carrément ! Mais bon, il à fini par me battre en usant d'une mode qui c'était créé sur Twitter. Mode qu'il avait lui même créé sur twitter puisqu'il n'arrêtait pas de demander un match revanche aux officiels et ces derniers n'eurent d'autre choix que d'accepter sa demande vu que toute sa famille a joué le jeu. Mais il ne s'est pas arrêté là le bigre !

Maria : C'est à dire ?

Heath : Il a exigé qu'il n'y ait personne aux abords du ring ! Personne pour me soutenir moralement ! Il a tout fait pour me déstabiliser mentalement et cela a fini par marcher vu qu'il a remporté le titre mais bon, je lui pardonne ces erreurs de jeunesse …

Maria : Cela me donne une transition parfaite pour la suite, parlons maintenant d'EoC.

Heath : Entrer dans ce noble clan, le plus vieux de l'histoire de la WFA, est la meilleure décision de ma carrière. On est une grande famille qui ne connaît pas les disputes et surtout qui aide tous ceux qui en ont besoin. Vous n'imaginez pas combien de personne dans les coulisses de la WFA ont eu besoin nous.

Maria : Tant que ça ?

Heath : Oh oui, et tout ceci est du à une personne, Dylan ! Peu de personne le savait jusqu'à très récemment mais ce mec à un cœur en or ! Il est toujours prêt à filer un coup de main sans rien n'attendre en retour !

Maria : Nous nous retrouvons juste après une pause publicitaire pour la suite de cette émission spéciale Heath Slater ! A tout de suite !

Voix off féminine : Vous aussi vous avez des problèmes plus que gênant dans une zone très intime ? Alors si vous aussi vous en avez marre qu'un certain John Morrison vous ait refilé une mycose, utilisez le ''stop mycose vaginale JoMo'' de la gamme Slatie !

Spoiler:

Maria : Nous sommes de retour avec le grand Heath Slater et nous allons continuer de parler de vous. Parlons maintenant de votre gamme Slatie. Comment en avez vous eu l'idée ?

Heath : Eh bien, tout c'est joué sur Twitter. Lors de ma rivalité virtuelle avec BuBu Ray, j'ai tellement eu de message de soutient de la part des fans de lutte, que je me suis dit que je me devais de les remercier en les aidant avec divers produits quotidiens de grande qualité à prix défiant toute concurrence !

Maria : Une prochaine gamme est-elle prévue prochainement ?

Heath : Bien entendu ! Mais vous en saurez plus lors du prochain WM.

Maria : J'ai pu remarquer que vos fans se posent souvent la même question, comment cohabitez vous avec les autres catcheurs de votre agent, je parle bien entendu de Brock Lesnar et d'Austin Aries précédemment ?

Heath : Alors je m'entendais très bien avec Austin par contre avec...

??? : Oh, deux minutes ! Pause, pause, pause !

Apparaît alors à l'écran John Morrison.

Morrison : J'y crois pas là, vous vous foutez de ma gueule? Non parce que là sérieusement, c'est bien drôle mais s'en est presque gênant également ! Alors à tout l'univers de la WFA, JOYEUX POISSON D'AVRIL. (rire gras) non sans déconner, qu'est-ce vous devenez ? Hein Heath ? Maria ? Vous espériez ma venue, me voici !!!

Alors que Heath éclata de rire, Maria ne put s'empêcher de répondre au champion.

Maria : Pardon ?! Personne ne veut vous voir monsieur Morrison, alors si vous souhaitez avoir droit à une émission spéciale, veuillez contacter le product...

Morrison : Tsss … Terrible erreur ma beauté, tu viens de foutre en l'air l'audience de ton émission en ne m'invitant pas ! Oh, mais que de rigolade en cette sublime soirée j'ai envi de dire. J'rigole pas, vous avez illuminé ma soirée. Alors juste pour vous répondre comme ça vite fait, parce que sinon j'vais vous laisser dans la merde, à vous laisser espérer de bonne audience qui n'arriveront jamais, je vais tout simplement vous dire : Why ? Pourquoi ? Porque ? Vous êtes des déchets de la société, non mais sérieusement regardez vous, aucune victoire importante depuis des mois pour le rouquin et aucune émission ayant du succès pour la présentatrice ! Non mais en faite, je vous respecte, non c'est vrai, car grâce à vous je me sens encore plus supérieur qu'habituellement! Cela aurait été d'autres loosers, j'vous assure j'lui aurais pété la gueule. Mais bon, là, j'ai porté mes boules et j'me suis ramené sur ce fucking plateau, tout simplement pour vous dire que vous êtes PITOYABLE !

Morrison abaissa alors son micro en regardant les deux personnes concernées avec un air moqueur.
Maria regarde John Morrison avec un air de mépris mais laisse Heath reprendre la parole !

Heath : John... John... John, the shaman of junkee ! Ecoute moi bien mon petit, tu es qui pour venir sur ce plateau et dire autant d'absurdité ? Je vais même te faire une petite confidence, j'ai bien failli prendre mes distances avec la WFA pour faire soigner mes différentes blessures et c'est pour cela que je dois te remercier car si je n'ai pas arrêté temporairement ma carrière c'est grâce à toi, grâce à l'envie que tu m'as donné de te botter le cul et ainsi de remporter ton titre, ce même titre que tu ne mérite pas, que tu n'as jamais mérité ! Et puis tu penses vraiment que cette émission spéciale me concernant va faire un flop ?

Morrison : Assurément Slatiche... Enfin, il y aura une grosse augmentation du à ma présence !

Heath se lève de son fauteuil.

Heath : Alors, qu'est-ce qu'on attend pour se battre ?! Il suffit d'installer un ring pendant une petite pause publicitaire et c'est partie !

Morrison : Tu crois vraiment que je vais gaspiller de mes précieuses secondes pour toi ? Surtout que j'ai une méga soirée qui est organisé juste pour moi dans quelques heures alors ma réponse est non !

Heath : J'en étais sur et certain …

Morrison : Ah mais ne te méprend pas, lors du PPV si la sécurité te laisse entrer dans la salle, je te battrais avec plaisir ! Mais c'est pas l'heure mon chou. Par contre, tu es tellement prévisible que je savais que tu ne voudrais pas attendre le PPV pour tenter de me voler ma lumière, alors j'ai croisé un pote qui voudrait te dire quelque chose avant de te défier pour un futur show alors messieurs de la régie, envoyez le magnéto !

Une vidéo est alors diffusé, on y voit Vladimir Kozlov sur un fond rouge avec DAR accroché à un porte manteau.

Citation :

Kozlov : Lors du dernier Smackdown, il s'est passé ce qu'il se passe à chaque show ! Moi être victime des huées de ce public américain trop occupé à bouffer de la nourriture dégueulasse pour apprécier de vrai catcheur ! Vous criez votre haine envers ma personne et les idéaux glorieux que je représente, sans arrêt, c'est la même rengaine de votre côté, vous montrez tout votre dégoût pour moi quand j'arrive puis vous refusez d'entendre ce que j'ai à dire, qu'importe toute l'importance que mon message a... Et pourtant, comme je ne cesse de vous le répéter, suivre ma voie ne rendrait votre pays décadent que meilleur, vous seriez enfin les hommes et les femmes que vous rêveriez d'être, cette image qui vous échappe encore et toujours mais que vous ne cessez de poursuivre. Vous avez face à vous le guerrier ultime, le soldat qui a résisté à toutes les épreuves ! Après des années d'entraînement, d'épreuves toutes plus éprouvantes les unes que les autres, j'ai connus les glaces de Sibérie, les vents à vous trancher la peau, l'eau qui gèle alors que vous y trempez les pieds. Toute ma jeunesse a été une torture et ce pour une raison unique ! Pour me faire devenir ce que je suis aujourd'hui, pour que je devienne cet homme qui se tient face à vous, montrant chaque semaine sa force supérieure à un public ébahi mais qui se refuse encore et encore de se dire que je suis bel et bien au-dessus de tous les autres. Oui, j'ai résisté aux pires épreuves et encore aujourd'hui, je le prouve ! Rappelez vous d'une chose, qu'importe la défaite, j'ai subi un assaut qu'aucun humain n'aurait pu encaisser, j'ai reçu un violent coup de défibrillateur pour fêter mes deux ans juste pour m'endurcir ! Quand je regarde tous les autres membres du roster de la WFA, je me dis qu'aucun n'aurait pu résister à ce très beau cadeau d'anniversaire ! Quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez, vous ne pouvez occulter une chose. Je suis un surhomme ! Ma résistance et ma force supérieurement naturelle font de moi le factotum de cette fédération, l'individu le plus apte à devenir le futur du combat ! Et c'est pour cela que je me dois de sauver ce pays des vermines qui y sont depuis bien trop longtemps. Et les pires personnes de ce pays sont les membres de l'EoC qui représente tout ce que je déteste ! Ils trichent ! Pas que dans les matchs mais également avec leurs idéaux !

Alors que la vidéo continue d'être diffusé, Heath Slater ne s'aperçoit pas que le russe se trouve derrière lui ! Ce dernier le soulève de son fauteuil et le jette violemment contre le sol sous les cris d'une Maria effrayé qui quitte le plateau !
Kozlov prend son temps pour relever le membre d'EoC et tente de l'amener vers la table mais Slater ne se laisse pas faire et tente de se défendre comme il peut ! Malheureusement pour ce dernier Kozlov l'envoie contre cette table qui se brise en plusieurs morceaux ! Il le relève et Iron Curtain sur l'un des fauteuils !
John Morrison fait alors son retour et regarde Heath Slater pendant que Vladimir Kozlov quitte les lieux.

Morrison : Oula, ça va marcher beaucoup moins bien ! Votre ami rouquin sera t-il présent lors du prochain PPV de la WFA ? On s'en fout mais soyez rassuré ! C'est bien moi qui vous fait l'honneur de rendre l'antenne, alors bientôt !

Godot a écrit:

@ TS : J'ai adoré ta promo pour Layla, dommage que ce soit la dernière. Par contre, l'attitude que tu as donné à Franklin ressemble plus à Trevor qu'à Franklin.  

Oui comme référence je n'y avais pas pensé, j'ai juste pris Franklin car j'entends beaucoup ce nom en ce moment m'vois tu  

Et...

"Vous voulez le beurre et l'argent du beurre ? Un produit dérivé, du sextoy au jeu de société ? Un peu de bonheur dans une vie sans pudeur ? Pas d'erreur, votez Slater !"

Ceci était un message de la campagne "Un titre pour Slater, la fédé pour JoMo"

Bon, fatalement tout le monde s'est réveillé quand je pouvais pas lire donc j'ai plein de retard, bande de vils .


J'ai beaucoup aimé la promo pour Brodie Lee, le style d'Aralar m'a vraiment plu.

Même remarque que l'ami Clowny, concernant Kozlov, c'était vraiment sympa, Tmaniac il ne te reste plus qu'à prendre confiance en toi pour oser faire plus !


Très bonne promo pour Trent, françoinet, une de mes préférées dans tes promos pour Barreta. Et de quoi montrer à mon sens que la victoire au Rumble n'était pas usurpée.


Comme toujours TS, une excellente promo, mais Britani n'est pas qu'une garce voyons... enfin si... mais une garce bien éduquée c'est pire


Bonne promo également Godot pour le Slatie One, avec un personnage que j'aime toujours autant !

Gbacca a écrit:

Très bonne promo pour Trent, françoinet, une de mes préférées dans tes promos pour Barreta. Et de quoi montrer à mon sens que la victoire au Rumble n'était pas usurpée.

    

connard de Barreta 

2 days ago …

Un jour, UltraDropkick se souvint de la grande époque qu’il a connue avec les Freaks et s’était dit, « pourquoi je ne reviendrais pas ? Je règnerais sur la Terre entière et c’est moi qui contrôlerai cet empire ! » .

Le seul hic, c’est qu’il devait regagner le respect de ses paires et il décida de prendre sous son aile un lutteur de WFA, Curtis Axel. Axel était fait pour qu’ils se rencontrent, ils sont arrogants, prêts à tout pour avoir ce qu’il désire un vrai mental de compétiteur, bref ils voulaient tous balayés sur leur passage.

Pour qu’une nouvelle ère naisse, une autre doit disparaitre et UD et Curtis Axel étaient gonflés à bloc pour renverser la hiérarchie actuelle à la WFA. Mais ils savaient que pour cela ils devaient faire appel à d’autres lutteurs, assoiffés de gloire, de prestige tout comme eux pour les aidés dans leur quête du Saint-Grall (désolé pour l’orthographe de  Saint-Grall, j’y vais au feeling ^^). Curtis et lui comptaient monter un empire mais pour le moment, l’heure est au commencement et le chemin vers la gloire et la reconnaissance sera long, oh oui très long mes amis !
 

1 week later …


UD et Curtis se baladent dans la rue, non lon du siège de la WFA pour faire valider aux HB leur entrée à la compagnie de Stamford. En passant dans une ruelle sombre remplie de toxicos et de prostitués, les deux acolytes rencontrent deux minables personnages du nom de Godot et de Brock Lesnar. Le premier manager de l’autre est un bonhomme au physique de pantoufles et à la démarche des plus grands bouseux existant sur Terre et de l’autre côté du ring on a un catcheur … Si, si je vous assure c’est un catcheur ! Bon c’est vrai qu’a part sa masse musculature et sa belle voix de pucelle qu’on vient tout juste de violé à Tijuana entre deux containers le garçon n’est vraiment pas intéressant.


UD : Salut Godot ça fais un bail qu’on s’est pas vu non ?

Godot : Ah Drop ouais effectivement, qu’est-ce que tu fais ici à Stamford ?

UD : Ba comme tu vois je vais inscrire Curtis à la WFA, je suis son nouveau manager, je remonte en scelle !


Godot : Attends, t’es en train de me dire que tu reviens à la WFA après deux ans d’abscence ?

UD : Ba ouais.

Godot et Lesnar se mettent à rire :

Godot : Sérieusement ? Après l’échec que tu as eu avec Riley et les Origins tu veux vraiment subir une nouvelle humiliation devant tout un peuple ?

UD : Je n’ai pas été humilié au contraire on aurait pu devenir les maîtres du monde avec Origins mais le destin a fait que je quitte Riley et que je prenne du recul. Mais maintenant je reviens plus fort et je suis persuadé qu’avec Curtis, nous atteindrons des sommets !

Lesnar : Excuse moi le maigrichon mais j’ai bien peur que toi et ton minuscule lutteur ne faites pas le poids pour lutter à la WFA, il faut des couilles et du talent et ça vous en manquez vu tes performances dans le passé !


UD : C’est toi qui me parle de couilles avec ta voix de pucelle ! Va te faire pousser des couilles et arrête les hormones espèce de pourriture !

UD et Lesnar ont failli en venir aux mains mais Curtis et Godot sont venus les séparés avant que UD ne se fasse démolir par The Next Big Thing. Après cette courte dispute, Curtis Axel se moque des deux loques en face de lui :

Curtis : Vous avez peut-être brillés et vous brillez peut-être toujours à la WFA  mais sachez que je suis le futur de cette compagnie et dès que j’aurais franchis le seuil de la porte de VKM, vos ennuis commenceront et c’est à ce moment que vous vous rendrez à l’évidence, vous reconnaitrez que, moi Curtis Axel je suis le présent et le futur de cette compagnie et que …

UD : Hooooooooo ! C’est bon tu peux arrêter là, ça fait 20 minutes qu’ils sont partis pauvre con !


Curtis : Ba merde qu’est ce qu’on fout dans ce couloir et qu’est ce que je fous en slip moi d’abord ? Tu m’as vendu à un cirque de travlos brésiliens c’est ça ?

UD : Qu’est ce qui m’a foutu un abruti pareil, t’es au centre de developpement de la WFA pour faire ta formation plutôt tu la fera et plutôt tu seras l’étoile montante de cette compagnie et moi je me ferais du fric, much money !

Curtis : T’inquiètes Drop on va dominer ce fucking world peu importe le temps que ça prendra nous serons les maîtres et par des fluxs (spéciale dédicasse à l’Organisation ^^) les autres rejoindront notre EMPIRE !



TO BE CONTINUED …..  

Citation :

Lesnar : Excuse moi le maigrichon mais j’ai bien peur que toi et ton minuscule lutteur ne faites pas le poids pour lutter à la WFA, il faut des couilles et du talent et ça vous en manquez vu tes performances dans le passé !

Cela vaut également pour l'actuel ''champion" de la WFA.
En tout cas, j'ai bien aimé ta promo UD.  

Thanks Godot

Yop les gars ! Je vous rappelle que vous avez encore jusqu’à dimanche pour nous pondre une promo.

Kid Kash : Salope !

Eric Young : Salope !

Crimson : Saaaaaaaaaalope !

Le QG des BRC chez la mamie d'Eric Young ressemble un peu à une poubelle qu'on aurait déversé sur une maison de poupée. Les cadres représentant des chats sont recouverts de chaussettes sales, le service à thé est remplie de whisky, le papier peint à fleur rose est plein de traces de couteaux et de tâches de gras... Quand à Mamie Young, elle reste prostrée de peur dans son canapé à regarder "Qui veux gagner d'l'argent en masse" en espérant ne pas attiser la colère des voyous qui on investis sa maison... d'autant que depuis leur retour ils avaient l'air vraiment en colère.

Eric Young :... Bon je pense que la réunion avance bien.

Kid Kash : Ferme ta gueule Young !

Mamie Young : M...mais je n'ai rien d...

Kid Kash : Ta gueule la vioque ! C'est pas à toi qu'on cause.

Eric Young : Chut mamie. Kash est ronchon.

Crimson : Salut m'ame Young. ♥

Eric Young : Crims' je t'ai déjà dit de plus regarder mamie comme ça.

Crimson : J'y peux rien... elle est folle de mon corps.

*Brisage de tasse à thé sur le crane de Crimson*

Crimson :... Ça pique !

Eric Young : Bien fait !

Kid Kash : Les gars... aidez moi là. On a besoin d'un plan pour gagner ce match. J'vous rappelle que si on perd on se fera virer par cette saaaaaaaloooooope !

Crimson : Saaaaaaalooooooooooope !

Eric Young : Toutes des saaaaaaaalooooooooopes... Sauf toi mamie.

Kid Kash : On viens de finir tout notre stock de Whisky-Verveine et Vodka-Rhubarbe... et j'dois vous dire qu'a part m'avoir donné envie d'chier ça m'a pas aidé à trouver une solution.

Crimson : On entre dans la cage, on leur nique la gueule, on sort de la cage, on nique la saaaaaaaloooooope et on reprend nos titres... et j'invite mamie Young à faire une p'tite ballade en bécane.

Eric Young tapant du poing sur la table : TU TOUCHE PAS A MA MAMIE !

Kid Kash : Crims t'es bien gentil, mais si c'est pour nous vomir des conneries pareilles vos mieux qu'tu la boucle à tout jamais. Les gars on se réveilles, c'est une elimination chamber. Ce qui fait notre force c'est notre nombre.

Crimson : Votre force c'est moi.

Kid Kash : La ferme Crims ! Maintenant imaginez qu'au cours du match on se retrouves à un contre trois pendant que les deux autres sont dans les chambres ? On l'a dans l'cul. Y nous faut un plan... Crims' ?

Crimson : On entre dans la cage, on leur nique la gueule, on sort de la cage, on nique la saaaaaaaloooooope et on reprend nos titres... et j'invite mamie Young à faire une p'tite ballade en bécane.

Kid Kash : [...]

Eric Young : Crims ?

Crimson : Ouaip ?

*Brisage de plateau à thé sur le crane de Crimson*

Crimson : 'a pique.

Kid Kash : Bon... personne d'autre dans l'assemblé n'a une idée ? Young ? Eric ? Eric Young ? EY ? Non personne ? Pas même Eric Young ?

Eric Young : AH !

Kid Kash : OUI ERIC ?

Eric Young : Ah non...

Kid Kash : Oh mais sérieusement les gars faites un effort là ! On va s'faire virer par cette saaaaaaaaaaalooooooope ! Et après quoi ? On va finir comme la fine équipe d'la WFA ? Non on ce souviendra d'nous que comme des tocards aussi tôt arrivés aussitôt repartis la queue entre les jambes et ça j'dit non. On est les Brutal Redneck Coalition ! On est une meute ! Et à No Way Out on va poutrer les fiottes Dinasty, face de croute de sperme et on va passer sous l'nez d'la salooooope tout fierots ! Ok ?

Crimson et Young : OUAIS !

Kid Kash : Bon ! Alors qui a un plan ?

Crimson : On entre dans la cage, on leur nique la g...

"PAN !"

Kid Kash : [...]

Eric Young tenant un chauffe lit tordu par le coup donné à Crimson : Non mais là pardon mais il allait encore parler d'ma grand-mère.

Kid Kash : J'ai mal à la tête.

Crimson : Tu veux ma place ?

Eric Young : Sinon j'ai un plan de secours.

Kid Kash : [...]

Eric Young : Ça vous intéresses ?

Kid Kash : Non CONNARD ! PARLE !

Eric Young : Bien alors il nous faut un local. On entrepose des chaises, des tables, y en a plein dans le cagibi de mamie. On ce sert du vieux meuble de grande-tante Fabienne Edena Young comme d'un comptoir, puis on d'mande à mon ongle John-Abraham Young qu'a une distillerie de nous fournir l'alcool, pis pour la bouffe j'ai ma cousine Jesabelle-Ruth Young qu'est chasseuse de castor comme ça on peut faire des paninis en plus de servir l'tord boyau. Et pour l'ambiance ben y a l'tourne disque à Mamie Young. Ça t'dérange pas mamie ?

Mamie Young : Non mon gredin.

Kid Kash :... Et ?

Eric Young : Et si tout va bien on s'fait une p'tite clientèle dans l'village. L'plus emmerdant c'est la concurrence. Faut dire on peut s'en débarrasser facilement, 80% des gars du village c'est de Young et aucun témoignera contre nous si les troquets concurrents disparaisses ( Sauf l'bar de cousin John-Fabrice Young qu'est quand même d'la famille ).

Kid Kash :... Mais en quoi ça va nous aider bordel ?

Eric Young : Dans l'match ? A rien. Mais au moins ça nous f'ra une bonne issue d'secours quand on s'fra virer par l'autre saaaaaaalooooooope !

Voix Off : Au crépuscule de l’année 2013,
dans un monde dominé par des mecs en slip :

Citation :

Une longue vidéo présentant des catcheurs luttant dans cette tenue défile

dans un monde où personne ne viens à la broscousse de l’un des notre piégé par une meuf :

Citation :

Kaytlin : « Attention Richie si je te vois fricoter  avec les demoiselles d’honneur je t’éclate la face »

Citation :

Kaytlin : « … tu es le marié toi » !
Richie : « Ah bon ? Et je me marie avec qui » ?
Kaytlin : « Mais avec moi crétin » !
Kaytlin : « Richie… ce n’est pas drôle ! Maintenant tu te tais, tu es beau et  tu vas choisir le smoking que j’aurai choisi pour notre mariage » !

Citation :

Steamboat : « Y’a qu’à No Way Out j’ai un match contre Kaytlin ! Et que si je le perds, je suis obligé de l’épouser » !

un monde ou les hommes sortent en jean :

Citation :

Il se retourne mais Ziggler est déjà descendu du taxi et s'est engouffré dans le night-club. Enfin, il essaie... avant qu'une main ne l'attrape par le col.

Dolph : Non mais ça va pas ?!

Videur : C'est toi qui va pas bien. T'as vu comment tu es habillé ?
Ziggler est, en effet, vêtu d'un jean et d'un sweat-shirt.

bref dans un monde qui vas mal …
Il était temps qu’un homme intervienne…
Un homme qui porterait un costume…
 

Citation :

Hum un homme qui porterait un VRAI costume…
Un homme qu’on appellerait …
 
L’image se coupe et le plan de caméra recule doucement dévoilant ainsi l’écran télé où la vidéo passait, puis un fauteuil de bureau visiblement occupé par un homme. Celui-ci tourne le dos à la caméra et son visage est hors champ, seul son bras droit apparait clairement, une chevalière gravée des initiales « BK » sur le majeur  battant le rythme sur un verre de scotch agrémenté de glaçon.
 
Voix féminine sexy : Monsieur, un appel pour vous, c’est très urgent…
Le fauteuil amorce une rotation vers la caméra tandis que la caméra continue de reculer mais avant même que le visage ne soit visible, le champ est obstruée par le dos d’une jeune femme en tailleur.
??? : Ah Natacha vous tombé à pique, saviez-vous que j’allais bientôt signer à la WFA ? Et que du coup je devrais quitter la compagnie… Oh vous allez tellement me manquer Natacha !
Voix féminine sexy : Mais…Au téléphone… Un certain Monsieur Bradshaw Layfield, il a dit que c’était urgent…
??? : Allo, John ? Oui attend un peu je te rappelle, j’ai une affaire extrêmement urgente  à régler. *bruit de téléphone qu’on raccroche* Natacha, rien n’est plus important que toi, tu me permets de te tutoyer j’espère, maintenant que nous sommes plus collègues, nous pourrions peut être…
Le verre de scotch est posé sur la table et la caméra zoom dessus, un message défile en bas de l’image : « Suite à un souci indépendant de notre volonté cette partie de la vidéo ne seras pas sonorisé », les glaçons commence doucement à s’entrechoquer à un rythme régulier et l’image fais un fondu au noir. 

 [...]

Au retour de l’image, le fauteuil est de nouveau tourné, et l’homme est au téléphone :

??? : Booster les ventes de No Way Out ? Ouais c’est dans mes cordes, tu m’connais voyons… Ne t’inquiète pas pour la global corp, j’ai déjà donné ma démission et je viens de fêter mon départ.
Une série de cri féminin strident résonne dans le bureau d’à côté :
Natacha : Il m’emmène aux bahamas !!!! Il est même prêt à rencontrer mes parents !!!
Voix 2 : Super ! Je suis trop contente pour toi !!!
Voix 3 : Je veux être ta demoiselle d’honneur !
??? : Mon patron me fais signe que je ferais mieux de partir maintenant, au fait j’ai une idée de spot publicitaire pour la WFA, je t’envoie ça très vite ! On se rappelle plus tard, je dois vraiment y aller maintenant !
L’homme se lève d’un bond, révélant ainsi un costume trois pièces anthracite d’une rare élégance, son visage reste néanmoins hors champ, il sort de son bureau à vive allure et se cache de justesse derrière la photocopieuse pour éviter Natacha et ses amies qui se dirige à vive allure vers la porte arborant en lettre doré les initiales « BK ». Il passe la tête par-dessus l’imposante machine et ses cheveux châtain se dévoilent fugacement avant qu’un jeune homme  vienne déposer une pile de dossier devant l’objectif de la caméra. Celle-ci se décale immédiatement mais l’homme en costume a disparus…
 
On le retrouve quelques mètres plus loin en train d’enfiler un large manteau, la caméra se rapproche mais un homme d’un âge avancé, large d’épaule et plutôt grand s’interpose et file en direction du mystérieux  « BK »
 
Homme Agé : Ah ! Quel dommage de vous voir partir ! Fils, vous avez été l’un de mes meilleurs employés, si jamais ça ne marchais pas à la ouéfa, la porte vous seras toujours ouverte.
??? : Merci monsieur Hennigan, par contre je dois partir rapidement, j’ai un rendez-vous très important.
Homme Agé : Oh ! Prenez donc ma clef pour l’ascenseur, je ne vais pas vous laisser arriver en retard à cause de l’escalier.

« BK » remercie chaleureusement Hennigan, et quitte précipitamment la pièce, suivis de peu par la caméra qui tente désespérément de capter son visage, une fois dans le couloir, il s’engouffre dans l’ascenseur, l’image cadre ses pied, chaussé dans des chaussures en cuir noir impeccablement ciré, les portes commence à se refermer, l’image tremble légèrement et remonte rapidement en direction de son visage… masqué par le journal qu’il est en train de lire…. Et les portes de l’ascenseur se referment. La caméra repart en mouvement, l’image montre la descente d’escalier quatre à quatre sur une dizaine d’étages. Une fois dans le parking, elle recherche activement « BK »…
Et finis par le retrouver, quelques mètres plus loin, un casque de moto vissé sur la tête et la bécane enfourché, l’homme attend que l’image se rapproche, et fais un signe de victoire en direction de la caméra.

« BK » : Retrouvez moi prochainement à la WFA, ça seras Legen…

Il allume le contact, et fais ronfler le moteur, le Son de la moto résonne dans le parking et l’homme est prêt à partir. Mais Il se tourne à nouveau vers la caméra :

« BK » : …Dary !!!

Et il démarre à toute vitesse, se fendant d’une roue arrière parfaitement exécuté alors qu’il s’éloigne de la caméra.

FIN

Une promo assez courtes mais ça aurait été difficile de faire plus long tout en conservant l'identité du personnage secrète. Merci au segments de Steamboat/Kaitlin/Ziggler que j'ai honteusement pompé

À chacun d'entre vous, membres du Wrestling French Addict Universe, internautes, spectateurs, superstars du roster de la fédération et même vous messieurs les dirigeants, préparez-vous à vivre la plus grande expérience que cette fédération ait jamais connu. La Wrestling French Addict sera le théâtre de la bonne parole. La bonne parole sera propagée entre les quatre murs de cette fédération. Les gens s'agenouilleront devant lui. Les gens l'étendront. Les gens l'écouteront. Les gens l'attendront. Les gens l'appelleront. Les gens le respecteront. Les gens le supplieront. Les gens retrouveront l'espoir.
Préparez-vous à en prendre plein les yeux car l'heure approche. Préparez-vous à en prendre plein les yeux...


Vous connaîtrez son nom.


Vous n'y échapperez pas...


La Route pour WFA WrestleMania IV a commencé il y a maintenant quelques mois mais pour lui, ça commence maintenant. Il dira tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Cette fédération a besoin d'une voix. Les règles du jeu vont changer. Les codes seront brisés. Il sera la Star, avec un grand "S", que la Wrestling French Addict Company attendait. Il viendra pour vous libérer de vos souffrances. Il vous trouvera. Il vous guidera. Il vous convaincra.
Préparez-vous à en prendre plein les yeux car il arrive. Préparez-vous à en prendre plein les yeux...


Vous connaîtrez son nom.


Vous n'y échapperez pas...







Et vous savez pourquoi ? Parce que...










D'Angelo Dinero : C'est l'heure ! Le Pope arrive à Wrestling French Addict Company ! Et votre destin est entre les mains du Pope...

C'était une bonne "salooooopppeeeeee" de promo Clowny, j'me suis bien marré en la lisant ! (et moi j'aime la chute arrête de t'auto-flageller avec "mes fins de promos sont pas bonnes" nom de Zeus.


  je sais qui c'est Aralar... c'est Briton Knight, le frère de Britani et il vient ramener sa sœur dans le chemin de l'hétérosexualité (ouais bon ou pas, reste que j'ai bien aimé ^^' ).


@Swanton, ça tombe bien cette vignette on avait prévu de le faire débuter d'ici peu de temps...