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 One Night Stand 2014

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Flying Panda
Glorieux Ursidé
Flying Panda

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyMer 9 Avr - 17:46

C'est le mec qui s'appelle Kezman4ever qui dit ça ?

Va te cacher va Sheik
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Clown Bastard
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Clown Bastard

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyMer 9 Avr - 17:54

TheStraightedge17 a écrit:
Aura t-on des petites critiques des HB pour les promos cette session ? Ou c'est Gbacca qui devait se farçir tout le sale boulot de commentaires ?  Razz 

Sinon vous pouvez commenter les promos des autres aussi si vous tenez tant à avoir des appréciations.  Mister Green 
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JGabriel68
Hall Of Famer
JGabriel68

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyMer 9 Avr - 18:26

Promo David "The King" Hart Smith

Nouvel élan



--------



Chéreau : Mesdames et messieurs, bienvenue pour une soirée qui s'annonce historique. Je suis Philippe Chéreau, et je vais commenter ce show en compagnie de mon collègue Christophe Agius. Christophe ?

Agius : Bonsooooir Philippe, bonsoir à tous et bienvenue à Lafayette, Louisiane, pour un nouveau numéro de WFA RAAAAAAAW !

Chéreau : Je disais un show historique, car pour la première fois, un duo de commentateurs francophones sera aux commandes ce soir.

Agius : Ouais, on a vu de la lumière, alors on est rentré. Comme Voiceless TV n'existe plus, c'est parfait pour nous.

Chéreau : Mais le plus important, Christophe, c'est que dans moins d'une semaine, les Superstars de la WFA en découdront sur le ring, pour One Night Stand !

Agius : Sur le ring, ... ou en dehors, Philippe ! Car n'oubliez pas qu'à One Night Stand, ça va être...

Agius et Chéreau (ensemble) : EXTREEEEEEME !

--------



Et la première personne à s'amener sur le ring de RAW, ce soir, n'est pas un lutteur. Ce n'est autre que le manageur de l'actuel Mister Money in the Bank, Jean Gabriel ! Quelle surprise de voir le show débuter de la sorte.
Le jeune homme descend la rampe en toute décontraction, sur une musique électro fendant l'air, arborant un grand sourire et tapant dans les mains des fans présents en ringside. Un look plutôt cool en t-shirt et un jean déchiré, baskets aux pieds et arborant des lunettes de soleil de marque; c'est certain, un vent de printemps souffle dans l'aréna ce soir !
Il monte ensuite sur le ring, et grimpe sur les quatre coins du ring pour effectuer quelques pauses, sous les flashs des spectatrices en émoi. Il demande un micro, et attends le calme pour débuter.

JGab : Wow ! Quel accueil, et quelle ambiance ce soir, merci ! C'est génial d'être avec vous ce soir, pour un show qui s'annonce explosif. Entre un match de championnat et la présence du GANG, vous en aurez pour votre argent, je vous le promets.

La public applaudit le manageur, qui reprend la parole en levant bien haut la main.

JGab : Cependant depuis Wreslemania IV, l'attraction numéro 1 de CHAQUE show de la WFA n'est autre que mon client, votre Roi, David Hart Smith !

Des chants "DH Smith" éclatent dans la salle. Jean Gabriel, le sourire aux lèvres, prends le temps d'apprécier l'instant. Après tout le travail effectué depuis ses débuts à la fédération, cette ovation sonne pour lui comme une récompense personnelle.

JGab : Comprenez bien, David est maintenant... Hé bien, il est maintenant Mister Money in the Baaaaaaaank !

A ces mots, la foule réagit immédiatement par de bruyants "Yeah" ou "Long live the King".

JGab : Deux ans ! Deux années que je travaille avec David toujours plus dur chaque jour, dans l'espoir de le voir couronné d'or ! Je lui ai fais signé ce contrat le liant à la WFA, lors de la semaine d'Axxess de Wrestlemania II, et il a débuté le dimanche même en remportant la Dark Battle Royal. Vous étiez là, vous vous en souvenez, n'est ce pas ?

Applaudissements des spectateurs.

JGab : Débutez à Wrestlemania n'est pas une chose facile, mais être jeté dans l'inconnu qu'était le roster de l'époque l'était encore plus. A RAW, personne ne prêtait attention à ce petit jeune qui débutait, et pourtant, faute de son talent, il apparaissait déjà dans des matchs de championnat. La jalousie montait dans les rangs, et c'est pour ça que j'ai jugé préférable, avec les officiels, d'envoyer David lutter à Smackdown. Il a alors connu une belle rivalité autour du titre des Etats-Unis. D'ailleurs, Trent Barreta, champion à l'époque, est aujourd'hui champion du monde poids-lourd. Belle progression, non ?

Le public lance des "Let's go Trent !".

JGab : C'est là que le plus dur a commencer pour nous. Le talent de David était indéniable et sa popularité grandissante, ont fait de lui une des jeunes têtes de proue du show bleu. Mais les officiels étaient réticents à l'utiliser, personne ne croyait en lui. Personne ne pensait qu'il ferait un bon champion US. Et donc rien ne nous a été facilité. Le Wrestlemania Screwjob, vous vous en souvenez ? C'était trop pour moi. J'ai alors décidé d'agir, et faire appel à vous pour nous soutenir, et mener la révolte.

Encore une fois, la foule applaudit chaudement le manageur, qui les remercie par un beau sourire. Avant de reprendre, il prend toutefois une mine plus sévère, et enlève ses lunettes de soleil. Certaines fans en profitent pour photographier le beau jeune homme se tenant au milieu du ring, armé d'un micro.

JGab : Mais ce que vous devez savoir, c'est que vous, les fans, les officiels ne vous écoutent pas non plus. Car malgré votre soutient, ils ont préférer pusher John Cena aux Survivor Series, en lui donnant les ceintures TV et US, et brisant l'ascension de David. Mais bordel, il est où Cena aujourd'hui ?!

La salle hurle alors sa frustration au nom du Marine avec des "Bouh!" ou des "Cena sucks". Soudain, toute l'aréna se retrouve plongé dans le noir...



Des premiers murmures rauques s'élèvent des gradins, tandis que la pyrotechnie s'emballe sur la scène. Les flammes révèlent une ombre, qui n'est autre que celle du Roi de la WFA. Il se tient debout, le torse bombé, regardant fièrement l'aréna dans l'obscurité. Jean Gabriel, toujours sur le ring, profite du spectacle. Le silence est pesant, et l'atmosphère mystique qui se dégage désormais autour de l'entrée du Canadien est phénoménale. Quelle aura acquit par DH depuis sa victoire à Wrestlemania !
La musique prend un virage rock'n roll, et la foule hurle son plaisir. David descend maintenant la scène, levant la mallette d'une main, et l'autre tapant sur son torse. Après être passé entre les cordes du ring, il se retrouve face à son manageur, qui a posé un genou à terre. DH pose une main sur son épaule comme signe d'approbation. Le jeune homme se relève et tend alors son micro. Le Canadien s'en saisit, et fait alors face à la foule. Celle-ci est hystérique, et des chants "DH Smith" brisent l'air.

DH : Merci mon bon manageur, que d'éloges tu me fais. Sans toi, je ne serai jamais arrivé là, tu le sais.

La foule applaudit, et lance des "You deserve it". Le Canadien visiblement un peu ému reprend alors.

DH : Mais maintenant, les choses sont différentes. Je contrôle mon destin, il est entre mes mains. Oublié l'accroc Cena, terminé la rivalité avec Equality of Chance, ou même ma collaboration avec Tyson au sein de la Hart Dynasty. Je désire un règne de champion, et je suis en mesure de l'obtenir. Rien n'y personne n'est en mesure de m'arrêter. Le ciel est ma seule limite, mais je me contenterai d'une ceinture de champion du monde. Après toutes les épreuves que j'ai eu à traverser, tous les combats que j'ai eu à mener, je suis prêt. Je suis prêt à mettre toutes les forces qu'il me reste, pour enfin atteindre le sacre ultime. Car tout le monde sait qu'un Roi sans couronne, n'est pas légitime. Je n'aspire qu'à ça. Devenir légitime grâce à mes valeurs.

DH, Jean Gabriel et le public, en choeur : Combativité ! Courage ! Honneur !

DH : Et c'est avec honneur que je défierai un champion du monde, ce soir ! Je vais utiliser ma mallette, grâce au contrat qui me le permet ! Et je vais me parer d'or, c'est une promesse que je vous fais !

La foule n'en croit pas ses oreilles, et exulte ! Un défi pour un match de championnat du monde, en direct live ce soir, pour écrire l'histoire ! Quand soudain...



La musique de Triple H retentit dans l'aréna ! Le Game déboule sur la scène, et est accueillit chaudement par le WFA Universe. Il ne perd pas de temps, et s'amène vers le ring, tandis que DH et son manageur le regarde avancer.
Triple H enjambe les cordes, et s'empresse d'aller demander un micro aux officiels. Il prends alors rapidement la parole, en regardant le Mister Money in the Bank dans les yeux.

Triple H : Hé David, ou plutôt King David. Tu prétends être le nouveau Roi, laisse-moi te dire que tu as devant toi le Roi des Rois !

La foule ne sait comment réagir. Encourager leur nouveau chouchou, le prometteur possesseur de la mallette du MITB, ou bien accorder la gloire que mérite un Hall of Famer de la WFA ?

Triple H : Tu sais que je t'aime bien. J'apprécie ce que tu fais à la fédération, et je suis admiratif de ton talent. Tu es bel et bien un digne héritier des Hart. Je suis un de tes soutient, et un de tes amis. Et en tant qu'ami, je trouve que tu t'apprêtes à faire une bêtise...

DH : Parle, je t'en prie, mon ami. La parole est tienne, qu'as-tu à me dire ?

Triple H : Ce que j'ai à te dire, c’est que j'ai peur que tu ailles dans le mur. Toi et ton manageur, vous nous avez rappelé à tous combien il est dur de progresser dans une fédération quand les têtes pensantes ne comptent pas sur toi. Tu as su brillamment te relever, et ce peu importe le nombre de bâtons qu'on a utilisé pour te taper dessus. Sache que tu as gagné mon respect.

La foule applaudit cette déclaration du Game.

Triple H : Et puis à No Way Out 2013, avec l'aide de Sheamus et du petit Kidd, tu nous as débarrassé des BRC. Et après tous les tords que ces lascars nous avaient causés à ma femme Stéphanie et moi, je te suis redevable.

DH : Je suis honoré d'avoir put servir utilement, mais je ne demande rien en échange. Je ne fonctionne pas comme ça. Je veux avoir le mérite de triompher seul, comme le ferait un bon Roi.

Triple H : David, ce que je te propose, c'est de devenir ton mentor. Le Roi des Rois pour couronner un nouvel homme à la WFA. Tu as les armes pour réussir, mais laisse moi t'apporter mon expérience. Je pense que tu en as besoin. Écoute, je ne doute pas que tu puisses devenir champion du monde tout seul, mais sache qu'une fois au sommet, tu seras la cible numéro 1, et tout le monde pourra t'atteindre et de te frapper dans le dos, pour te voler ton trône. Laisse moi être celui qui veille sur tes arrières. Qu'en dis-tu ?

David se retourne alors vers son manageur Jean Gabriel, toujours présent sur le ring. Les deux discutent alors entre eux à voix basse un long moment, avant que le jeune et fringuant manageur lance un "Deal", que la foule accueillit avec ferveur. Les trois hommes au centre du ring, se serrèrent ensuite tous la main, avant qu'Hunter reprenne.

Triple H : Je disais donc qu'un combat, certes à la loyale ce qui est tout à ton honneur, face à un champion du monde, n'était pas une bonne idée. Tu ne dois pas oublier que dimanche, à One Night Stand, tu vas faire face à Brodie Lee, dans ce qui sera une guerre aussi dure psychologiquement que physiquement. Alors en tant que nouveau mentor du Roi, j'annonce que le match de championnat de ce soir est annulé !

Le public déçu par la nouvelle, siffle le Game. David s'approche alors d'Hunter, et lui demande un match tout de même. Le Canadien souhaite ne pas perdre le rythme de la compétition en vue du Pay-Per-View.

Triple H : Ok, très bien. Alors qu'on amène un jobber des coulisses, ce soir c'est Open Challenge pour le nouveau King de la WFA !

--------


Et c'est Damien Sandow qui réponds à l'appel du Game, et qui s’octroie un peu de spotlight, dans une émission où il a depuis longtemps disparu. Et qui sait, peut-être une victoire retentissante attend l'Intellectual Savior of the Masses, s'il parvient à battre DH Smith ?


David "The King" Hart Smith (w/ Triple H) vs Damien Sandow

Les 2 hommes se jaugent du regard sous les encouragements de la foule acquise au Canadien. Smith avance et propose une épreuve de force mais Sandow lui répond par une Clothesline qui couche le Canadien. David se relève directement, sous le regard amusé de l'intellectuel. David s’élance alors dans les cordes, Sandow esquivant son adversaire une première fois, mais pour mieux recevoir un Spear de Smith derrière ! David relève son adversaire, le projette dans les cordes et l’accueille par un coup de pied dans le ventre qui l'arrête net et Running Somersault Neckbreaker ! Tombé de Smith, 1...2… non ! Sandow lève l’épaule.
David relève une nouvelle fois Damien Sandow, puis l’envoie dans le coin, et Dropkick en plein visage ! Sandow roule vers l’extérieur pour reprendre ses esprits mais Smith le suit de près, sous le regard de Triple H. Il le prend par l’épaule et le retourne, cependant un Headbutt de Sandow fait reculer Smith ! Damien monte sur l’escalier et Diving Clothesline ! Il fait alors remonter Smith sur le ring et y rentre à son tour, il relève son adversaire et le projette dans le coin. Il s’en approche, et débute une série de droites et de gauches, tantôt dans le visage, tantôt dans le ventre. Sandow semble vouloir en finir, il relève David, mais celui-ci contre et enchaîne avec une Vertical Suplex. Smith veut en terminer à son tour, il se baisse sur Sandow mais celui-ci effectue un Roll-up. Smith se dégage à 2 ! Damien Sandow relève alors Smith et lui envoie une gifle au visage en lui criant "qu'il n'est Roi de rien du tout". David se frotte la joue et enchaine avec un European Uppercut qui sèche l'intellectuel. Smith fait le signe de la fin, il attrape les jambes de Sandow et Sharpshooter !! Damien tente tout ce qu'il peut pour attraper les cordes mais il est bien trop loin. Il finit donc par taper ! Damien Sandow abandonne sur soumission du Roi !!

*Ding, ding, ding*



And the winner... "The King" David Hart Smith !

Triple H et Jean Gabriel montent alors sur le ring, pendant que DH pousse du pied Sandow à l'extérieur. Hunter et le manageur célèbrent alors la victoire du Canadien, en lui levant chacun un bras. La photo finale est belle, et c'est surtout un message envoyé à Brodie Lee pour dimanche. Le Roi est en grande forme, et sera intraitable. Épaulé par le Roi des Rois, plus rien ne semble arrêter le futur sacre de DH.
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TheStraightedge17
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyMer 9 Avr - 18:49

Clown Bastard a écrit:
TheStraightedge17 a écrit:
Aura t-on des petites critiques des HB pour les promos cette session ? Ou c'est Gbacca qui devait se farçir tout le sale boulot de commentaires ?  Razz 

Sinon vous pouvez commenter les promos des autres aussi si vous tenez tant à avoir des appréciations.  Mister Green 

J'en conclue que la réponse est non lol

Réponse en mode mikl : faites vot' boulot aussi bande de trinigay, heureusement que vous êtes pas payé Sheik
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Bon Brute & Truand
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyMer 9 Avr - 19:19

@TS : Je préfère dorénavant garder mes appréciations pour moi... histoire de ne pas spoiler les futurs résultats.
Je me contenterai d'encourager ceux qui font des efforts et progresses à la rigueur mais pas plus.
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Tombstone
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 3:48

PROMO BRAY WYATT


Dernier WFA Smackdown avant One Night Stand, Vladimir Kozlov et Goldust sont pour l’instant dominés dans le match qui a été fraichement décidé par Paul Heyman en début d’émission. En effet, dans le cadre de la Road to One Night Stand, The Walrus a offert au WFA Universe un No DQ tornado tag team match entre EoC et le duo 100% hardcore Raven et Rhyno !


Aux abords du ring, Dylan-Alexander Remington ouvre de grands yeux inquiets. Vladimir Kozlov est en train de subir les assauts conjugués des deux Extremists Raven et Rhyno, qui prennent un malin plaisir à violenter le soviétique. Goldust ne s’est toujours pas remis du Drop Toe Hold de Raven qui a fait chuter le Bizarre One tête la première sur la chaise dépliée en ringside. OMG ! Raven vient d’installer une table contre le montant de coin. Rhyno et son partenaire installent ensuite Kozlov contre cette table… Raven le maintient en position tandis que Rhyno se place dans le coin opposé… et il est parti, il fonce droit sur son adversaire ! GORE ! GORE ! GORE ! Oui Gore, mais sur Raven ! Car le Moscow Mauler a échangé sa place avec le Corbeau au dernier moment ! Raven est passé à travers la table. Droites de Kozlov sur Rhyno et il l’envoie dans les cordes… pour mieux le cueillir d’un fantastique coup de boule ! Et c’est l’Iron Curtain ! Non ! Rhyno s’est dégagé et Low Blow sur le soviétique ! Piledriver de la War Machine ! Et c’est le tombé : 1… 2… coup de kendo stick de DAR sur le dos de Rhyno ! OMG ! Dylan-Alexander s’implique ce soir ! Rhyno se retourne et fait face au nain. Nouveau coup de bâton ! C’est bloqué par l’Extremist qui le lui arrache des mains. DAR va passer un sale quart d’heure on dirait…

Kozlov se remet debout, mais Rhyno pivote et lui fracasse le kendo stick en plein visage ! DAR veut s’échapper mais Raven l’attrape. Les deux anciens de l’ECW prennent un malin plaisir à terroriser Dylan… mais ils n’entendent pas la rumeur enfler chez les fans. Goldust is back ! Le sang coule de son front mais le plus important c’est qu’il tient une chaise hérissée de fil de fer barbelé ! Et il l’abat sur le dos de Raven, puis sur celui de la War Machine sous les hourras du public ! Les Extremists se tordent de douleur au tapis et DAR est sain et sauf. The Bizarre One, déchainé, place la chaise au sol et relève Raven : FINAL CUT SUR LA CHAISE AUX BARBELES ! OMG ! Goldie aide Kozlov à se relever et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Vladdy se dirige vers Rhyno et il l’installe dans le coin, assis sur la deuxième corde, les jambes bien écartées. Goldust, pendant ce temps, a retiré le fil de fer barbelé de la chaise pour se l’enrouler autour de sa botte… Oh… mon… dieu ! Je n’aimerais pas être à la place de Rhyno… The Prince of Perversion se dirige vers la War Machine et lui décoche un coup de pied dans les valseuses de sa botte « barbelée » !!! OUCH !!! Après avoir encaissé la version hardcore du Shattered Dreams, Rhyno n’est plus. Kozlov ramasse Raven et lui applique son Iron Curtain ! Ca passe, c’est le tombé : 1, 2, 3 ! Victoire d’EoC !




Justin Roberts : « The winners of this match… Goldust and Vladimir Kozlov… EQUALITY OF CHANCE !!! »

Les membres d’EoC se congratulent sur le ring et DAR est particulièrement ravi. Il donne un mouchoir à Goldust qui essuie le sang de son visage. Puis Dylan prend un micro et fait signe d’arrêter la musique. Il est obéi et les chants « EOC ! EOC ! » se font entendre. Raven et Rhyno (ce dernier se masse l’entrejambe) sont sur le chemin des coulisses, la tête basse.

DAR : « Alors monsieur Heyman ? Je suis sûr que ce n’était pas l’issue que vous escomptiez pour ce match, n’est-ce pas ? Pas trop déçu ? Goldust n’est pas champion Hardcore par hasard comme vous le pensiez peut-être, loin de là… Les « monstres de foire », le Freak Show, comme certains se plaisent à nous nommer, connaissent mieux que quiconque la voie extrême… Nous vivons 24 heures sur 24 dans l’extrême ! DAMMIT ! Nous SOMMES l’extrême ! L’Equality of Chance est toujours sous-estimée, moquée, raillée, tournée en ridicule, montrée du doigt… Mais elle est toujours là, vaillante, gaillarde, prête à donner tort à ses détracteurs. EOC est comme le roseau de la fable : elle plie parfois… MAIS ELLE NE ROMPT JAMAIS ! »

Public : « YEAAAAAAAAAAAAH !!! EOC ! EOC ! EOC ! »

DAR : « Raven et Rhyno n’ont fait qu’ouvrir l’appétit de mes camarades ! A One Night Stand, Dean Ambrose joindra ses forces aux nôtres et cette alliance triomphera du mal, triomphera de ces autres monstres, triomphera de la Wyatt Family ! J’invite d’ailleurs tous les amis d’EOC à apporter leur soutien à mes camarades et à… »

Dylan tapote son micro mais rien n’y fait. Il ne fonctionne plus. Sans prévenir la salle est d’un coup plongée dans le noir et seul l’écran géant reste allumé. Les images sombres montrent la flamme vacillante d’un briquet Zippo qui éclaire faiblement le visage souriant de Bray Wyatt en train de se balancer doucement, il doit certainement être dans son fauteuil à bascule. D’une voix calme et tranquille, il chantonne alors :

All our times have come
Here but now they're gone
Seasons don't fear the Reaper
Nor do the wind, the sun or the rain
We can be like they are

Come on baby
Don't fear the Reaper
Baby take my hand
Don't fear the Reaper
We'll be able to fly
Don't fear the Reaper
Baby I'm your man

La, la, la, la, la
La, la, la, la, la


« Hahahaha… Bravo ! Bravo ! Encore ! Ce déchaînement de violence était des plus agréables à regarder. Je vous félicite. Mais à One Night Stand, ce ne seront pas des fantômes d’un lointain passé que vous affronterez, ce seront des monstres ! Des monstres tout ce qu’il y a de plus réel, des monstres comme on n’en trouve dans les asiles, dans les prisons, dans les tranchées, sur les champs de bataille, dans l’enfer de ce monde pourri jusqu’à la moelle, putride, décadent, sauvage, féroce ! Il vous faudra plus que des coups de bâton et du fil barbelé pour venir à bout de la Wyatt Family… héhéhé… Il vous faudra d’abord savoir et accepter qui vous êtes vraiment. Laissez le Sinister Minister vous expliquer… La fin est proche… La vérité est révélée… Les mensonges sont dissipés… Mais vous ne voulez pas savoir, vous ne voulez pas admettre, vous ne voulez pas accepter la situation. Equality Of Chance refuse de voir les choses en face ! Regardez-vous ! Vous n’êtes pas à votre place, mes amis. Vous avez essayé de changer, de vous adapter, de vous intégrer… de jouer un jeu qui n’est pas le vôtre… mais le LEUR !

Oui, mes chères brebis, vous vous êtes fourvoyées, vous vous êtes égarées ! Vous êtes… des monstres ! Au plus profond de vous, vous le savez, vous êtes… des monstres. Vous avez choisi de renier votre véritable nature pour leur faire plaisir, vous avez décidé de jouer un rôle qui n’est pas le vôtre, un rôle qui ne vous ressemble pas, tout ça pour une illusion, pour un rêve, pour un mensonge ! Vous avez cru qu’en jouant leur jeu, vous accéderiez à la normalité. C’EST FAUX ! Vous avez cru qu’ils vous accepteraient, qu’ils vous considèreraient comme leurs amis, leurs frères ! Erreur ! C’EST FAUX ! Vous n’êtes que des jouets pour eux, vous n’êtes que les bouffons de ces monarques assis sur leurs chaises, des singes savants à qui ils jettent des cacahouètes ! »

Public : « BOOOOOOOOOUUUUUUUUUH !!! »

Bray : « Et Dean Ambrose ? Vous croyez qu’il est votre ami ? C’est un chien fou, un électron libre qui ne pense qu’à lui. Il ne vous aide pas de bon cœur, non. Il veut la ceinture de Goldust, rien d’autre. Où est-il ? Il doit déjà aiguiser la lame du poignard qu’il vous plantera dans le dos quand le moment de la trahison sera venue… oh et ce moment viendra, n’en doutez pas ! Hahaha… »

Les huées redoublent et le doute semble s’installer au sein des membres d’EoC…

Bray : « Allons, je vous en prie mes amis, cessez de fermer les yeux ! Extirpez-vous de ce piège ! Redevenez vous-mêmes ! Reprenez votre liberté ! Vous n’êtes pas comme eux, vous ne serez jamais comme eux et vous n’y pouvez rien ! Dylan, tu l’as dit toi-même tout à l’heure : EoC reste, malgré tous vos efforts, la victime des quolibets, des moqueries, des railleries, du mépris... Le temps est venu pour Equality of Chance de réaliser sa chance justement, de laisser tout son potentiel s’exprimer ! Cessez de vous mentir à vous-mêmes ! Redevenez vous-mêmes ! Redevenez des monstres ! Faites-vous respecter et craindre à nouveau ! Soyez fiers de ce que vous êtes au fond de vous ! … Et prenez cette main que je vous tends à présent ! Oui ! JOIN ME ! JOIN US ! JOIN THE WYATT FAMILY ! »

What ?! Le public, DAR, Kozlov et Goldust demeurent abasourdis par la proposition du Master of Macabre.  

Bray (il chante à nouveau) : « Come on baby ! Don't fear the Reaper, baby take my hand ! Don't fear the Reaper, we'll be able to fly ! Don't fear the Reaper ! Hahaha ! Alors Dylan, quelle est ta réponse ? »

DAR : « Je… nous… MENSONGES ! Ces gens nous soutiennent ! Ils croient en nous, ils croient en EoC ! Toutes ces épreuves que nous avons traversées, tous ces sacrifices que nous avons faits, toute la douleur que nous avons endurée, tout le sang que nous avons versé pour faire la grandeur d’EoC, nous renierions tout cela si nous te rejoignions ! Nous y perdrions nos âmes et nous renierions qui nous sommes… nous ne sommes pas des monstres, nous sommes devenus… des HOMMES ! La réponse est NON ! Nous te combattrons et nous gagnerons ! »

Kozlov et Goldust approuvent les paroles de leur leader et ami, sous l’ovation de la foule massée dans la salle. The Eater of Worlds a perdu le sourire et le feu danse dans ses yeux…

Bray : « RAAAH… Mon cher Ken avait vu juste, il m’avait pourtant averti. Il vous a côtoyés assez longtemps pour prédire votre réaction. J’ai décidé contre son avis de faire l’essai, de faire ma proposition… Mais visiblement, j’ai prêché dans le désert. Vous n’êtes pas prêts, non vous n’êtes pas prêts à accepter la vérité, à accepter qui vous êtes ! Vous avez avalé vos propres mensonges, vous vous êtes enfoncés si profondément dans votre délire que vous êtes pris au piège de votre propre illusion ! Eh bien soit… vous l’aurez voulu. Si vous ne vous libérez pas par vous-mêmes… c’est la Wyatt Family qui vous LIBERERA ! HAHAHA ! RUN ! »

The Sinister Minister rabat d’un coup sec le couvercle du Zippo et la flamme disparaît. Tout n’est plus que ténèbres sur l’écran géant comme dans la salle ! Après un bref instant, la lumière revient et stupeur ! Sami Callihan et Ken Anderson sont dans le ring ! Ils attaquent Kozlov et Goldust en fourbe ! Les coups s’abattent sur le champion hardcore et le Moscow Mauler sous les huées des spectateurs. DAR tente de venir en aide à ses camarades mais Anderson lui décoche un violent coup de pied en plein visage qui l’envoie valdinguer à l’extérieur du ring. Ca va mal pour EoC : Mic-Check d’Anderson sur Kozlov et Callihan exécute son Jobber Clobber sur Goldust… mais les fans font du bruit ! C’est le Mad Dog ! Voilà Dean Ambrose armé d’une chaise qui déboule des vestiaires en trombe et plonge dans le ring. Quel swing ! Chairshot sur The New Horror ! Et coup de chaise sur le dos d’Anderson, et un autre ! Et un autre ! Ambrose est fou furieux ! Il jette la chaise au milieu du ring et relève Callihan, il lui attrape la tête et fait signe à la foule : il va exécuter son Headlock Driver ! Oui ! Non !

Les lumières se sont à nouveau éteintes et la salle est encore sous l’emprise des ténèbres… Et quand quelques secondes plus tard, la salle se retrouve éclairée, des cris d’horreur et d’effroi sont poussés par des fans ! Bray Wyatt se tient derrière Ambrose. Il y a deux sacs en toile à ses pieds. Le Mad Dog lâche Callihan et se retourne et voit Wyatt. Il va pour le cogner mais Bray ôte alors son chapeau et une nuée de mouches s’en échappe, il y en a des centaines ! Dean, surpris, trébuche sur le corps de Callihan et se retrouve assis. Bray en profite pour lui donner un coup de pied en pleine tête ! Il y a encore des mouches sur la tête du Master of Macabre mais il s’en moque et sourit. Il ramasse un sac et le jette à Mr. Anderson qui se relevait avant de lui crier : « OPEN IT ! » The Eater of Worlds s’empare alors du deuxième sac… Kozlov et Goldust reviennent à eux, Anderson jette alors dans leur direction le contenu du sac… OMG ! Des blattes, des phasmes, des cafards, des vers de terre, des mille-pattes, des araignées, des mantes viennent d’être déversées sur le ring ! Les cris des spectateurs redoublent ! Kozlov et Goldust quittent le ring et rejoignent Dylan qui est terrorisé par ce qu’il voit. Bray Wyatt vide son sac sur Ambrose : deux serpents tombent alors sur le Mad Dog ! L’hystérie gagne la salle. Il y a deux pythons sur Ambrose ! Lorsqu’il prend conscience de la situation, Dean est pris de panique et repousse vivement les reptiles avant de quitter le ring le plus vite possible !





Callihan est relevé par Bray et Anderson ramasse la chaise avant de la déplier au milieu du ring. The Master of Macabre s’assied alors tranquillement. Dans une ambiance irréelle et chaotique, les gros plans sur les visages des fans tétanisés, terrifiés, écoeurés, se succèdent. Kozlov, Goldust, DAR et Ambrose, haletants et sous le choc, n’en croient pas leurs yeux. Ils restent pantois et incrédules, prenant soin de rester à bonne distance du ring où, parmi les serpents et les insectes grouillants, flanqué de ses deux âmes damnées, le sinistre et démoniaque Bray Wyatt siège en majesté. The Sinister Minister se met alors à rire à gorge déployée, un essaim de mouches noires au-dessus de sa tête formant une macabre couronne…



FIN



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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 16:51

Promo Mizou partie 2


Frog est à présent garé devant un petit immeuble d’une demi-douzaine d’étages. Cela fait deux jours qu’il a parlé à Mizanin, et après avoir repensé un long moment à la façon dont se sont passées les choses, le jeune homme a décidé de retenter sa chance. Un indicateur lui a mailé cette adresse, mais à présent le manager se demande vraiment si ce n’est pas une mauvaise blague. La dernière fois qu’il s’est rendu chez le Miz, ce dernier habitait dans une grande maison, en compagnie d’une belle et plantureuse blonde. Difficile de croire qu’il aurait déménagé dans ce … enfin bref. Eh puis, Frog se rappelle aussi parfaitement de l’état dans lequel se trouvait Mizanin lorsqu’il l’a rencontré au bar. Derrière ses beaux vêtements et sa coiffure impeccable de façade se cachaient une odeur assez nauséabonde (qu’il avait d’abord associé à l’établissement) et une face renfrognée n’ayant pas reçu de soin depuis … fort longtemps.
Le talentueux manager se met donc en route. Le lieu ne lui inspire pas vraiment confiance … très différent des endroits où il a l’habitude de se trouver. Enfin, après plusieurs mois à manager Steen, les bleds craignos, ça commence à le connaître ! Ahlala, y a pas à dire, la nouvelle génération n’a pas la même classe que Shawn … Il arrive encore à Frog de rêver de cette fabuleuse nuit après la conquête du titre, lorsque Michaels l’avait emmené faire un tour du côté de Beverly Hills pour fêter ça. Une fiesta dans la baraque de Leonardo DiCaprio, ça a quand même une autre gueule que … enfin bref.
 
Junkie 1 : Eh mec, t’as pas un p’tit truc ?
 
Frog, tiré de ses pensées : Hein !?
 
Junkie 2 : Il t’a demandé si t’avais d’la came mec.
 
Frog : Ah … euh … de la came …
 
Junkie 2 : T’en as ou t’en n’as pas ?
 
Frog : Désolé, je … j’ai rien.
 
Junkie 1 : Ah … tant pis. Allez viens Bev’ley, j’crois que Junkie Joe a reçu un chargement …
 
Junkie 2 : T’es con toi ! On n’a pu de thune …
 
Junkie 1 : Ah merde ! Eh … t’aurais pas une ‘tite … bah il est où ?
 
Junkie 2 : … Bizarre ce type …
 
Frog a en effet disparu devant les deux énergumènes. Malgré ses quinze centimètres de plus que l’homme en face de lui, il n’a pas hésité à prendre la tangeante et se trouve maintenant planqué derrière un mur, priant pour qu’ils ne retournent pas sur leurs pas. Après une trentaine de secondes, il finit par se remettre et regarde du coin de l’œil les alentours. Pas de trace d’eux …
 
Frog : Putain … c’est quoi ce merdier !? Comment il peut vivre ici …
 
L’ancien manager de Michaels et Van Dam continue finalement son chemin et arrive devant la porte fatidique. Le numéro 25 orne l’entrée de l’appartement de Mizanin. Il peut entendre la voix de ce dernier à travers les murs … signe de la mauvaise isolation sonore du lieu. Mais au moins, il est bien là. Frog finit par pousser le bouton de la sonnette. Aucun bruit … évidemment, même la sonnette est cassée !
 
 
*toc toc toc*
 
Dix secondes après le dernier coup de poing, la porte s’ouvre, laissant apparaître Mike … dans une tenue des plus affligeantes ! Un marcel blanc, un pantacourt brun et de vieilles pantoufles recouvrent le corps de l’ancien champion du monde poids lourd. Il met quelques secondes à se rendre compte de l’identité de son interlocuteur, mais finit par lâcher un retentissant «putain ! ».
 
Mike : Qu’est-ce que tu fous ici ? Je croyais qu’après notre discussion au bar t’aurais compris !
 
Frog : Tu ne crois pas si bien dire, j’ai compris. Je peux entrer ?
 
Mike : Non.
 
Frog : … écoute, j’ai pas non plus spécialement envie de rentrer dans ce taudis, mais au vu des mecs louches qui traînent dehors, je peux pas espérer mieux. Alors si t’as pas envie qu’on t’embarque pour non-assistance à personne en danger une fois qu’on aura retrouvé mon superbe corps honteusement souillé et percé d’une balle, tu ferais mieux de me laisser entrer. Surtout que j’ai une nouvelle proposition pour toi.
 
Mike : …
 
Finalement, le Miz daigne laisser le pauvre Frog entrer dans son humble (mais vraiment, très très humble) demeure. Les deux hommes passent un petit couloir et tournent à droite, pour arriver à ce qui semble être le coin cuisine/salon. Une jeune femme, pas dénuée de charme mais loin d’être la bombe atomique qu’était l’ancienne compagne du Miz, est en train de préparer à manger. Elle salue rapidement l’invité sans trop s’en préoccuper et retourne à ses casseroles. Mike invite froidement Frog à poser ses fesses sur un vieux fauteuil rouge et prend pour sa part place sur un canapé en encore plus mauvais état.
 
Frog : Où est passée ta femme ?
 
Mike : Ma femme … partie, avec la moitié de mon argent et ma maison. Avec les remerciements de la justice américaine.
 
Frog : Ah … mais … et le reste ?
 
Mike : Le reste ?
 
Frog : Le reste de ton argent ! Tu gagnais, quoi, 20 000 $ par mois ? Alors comment ça se fait que tu te retrouves … ici ?
 
Mike : Ah, ça … bah … disons que j’ai eu deux trois problèmes après ma fin de carrière. Mais ça, c’est pas important. T’avais quelque chose à me dire, non ?
 
Frog : Hum … en effet. Je suis revenu te demander d’être mon poulain.
 
Mike : Et une nouvelle fois, je te dis non. J’en ai ras les fesses de tous ces enfoirés. Je suis plus bon qu’à faire des apparitions dans des talk-show débiles ou pour des cérémonies à la gloire des autres. Qu’ils aillent se faire mettre.
 
Frog : J’me doutais que t’allais dire ça. En faite, j’ai pas mal réfléchi à ton speech d’avant-hier, et j’en suis arrivé à la conclusion suivante : t’es pas Mike Mizanin.
 
Mike : Qu’est-ce que c’est que ces conneries !?
 
Frog : Tu ne peux pas être Mike Mizanin, en faite.
 
Mike : Accouche.
 
Frog : Le Mike Mizanin, le seul et l’unique, ne tiendrait jamais un discours aussi hypocrite.
 
Mike, qui se lève d’un bond : Hypocrite, moi !? Arrête de délirer, Frog ! C’est ce business qui est hypocrite, pas moi.
 
Frog, qui se met à la hauteur de son interlocuteur : Oui, tu es un hypocrite. T’as beau faire la grande gueule dans un rade miteux, à chaque fois que la WFA t’as demandé de venir jouer les potiches, t’es venu sans rien demandé de plus.
 
Mike : Ferme te gueule …
 
Frog : Tu sais c’que j’crois ? J’crois que tu rêves que de ça ! Revenir à la WFA !
 
Mike : Je t’ai dit que c’était hors de question !
 
Frog : La seule chose vraie qui est sortie de ta bouche la dernière fois, c’est toute la rancœur que t’as gardé depuis deux ans. Ça, j’en suis sûr, c’était vrai. Le reste, c’est que d’la merde. Je veux bien croire que tu aies envie de frapper chaque fan, chaque lutteur, chaque dirigeant … mais que tu ne souhaites pas revenir … bullshit ! T’es un lutteur Mike, t’es un champion. T’as ça dans le sang ! Peu importe que tu aies ou non le public avec toi, peu importe que tu sois ou non dans les petits papiers des bookers, tu es né pour catcher. Et bordel de foutre Dieu, tu vas t’y remettre !
 
Mike : …
 
Frog : Ce que je t’offre, Mike, c’est une occasion de revenir. Après, peu importe la direction que tu prends, peu importe ce que tu décides de faire, je te suivrai dans ces choix. Je suis ton billet d’entrée, et une fois à l’intérieur, c’est toi qui décide quoi faire. Si ta haine envers eux est réelle, alors vas-y, fais leur payer.
 
Mike : Tu sais quoi, Frog ? T’as raison, j’suis un catcheur, et t’as raison, je fais mes propres choix. Justement, en voilà un !
 
Droite du Miz ! Il vient d’assommer Frog Splash d’un coup sec ! La demoiselle, qui écoutait distraitement la conversation depuis que les deux hommes avaient commencé à élever la voix, se précipite vers eux, affolée.
 
Mike : T’es un connard, ça y a pas de doute. Mais t’as raison sur un point : il me faut un moyen de revenir. J’veux bien signer avec toi, mais j’te préviens, on fait les choses comme JE le veux. J’en ai rien à foutre si ça te met en mauvaise posture, j’en ai rien à foutre si tu te fais virer à cause de moi. J’ai des comptes à régler, et j’vais l’faire, ça c’est clair.
 
Mizanin attrape son nouveau manager par le col. Il le traîne sur quelques mètres, ouvre la porte d’entrée et balance Frog.
 
Summer (aka la meuf de Mizou) : Putain Mikey, qu’est-ce que tu fous !?
 
Miz : T’inquiète chérie, on est juste en pleine réunion pour le boulot.
 
Summer : Le boulot !? Mais t’en as pas de boulot !
 
Miz : Maintenant si ! Allez, on rentre fêter ça.
 
La jeune femme rentre à l’intérieur, sans poser plus de question mais vraisemblablement déboussolée.
 
Miz : Félicitations Frog, t’as eu ce que t’es venu chercher.
 
Mike referme finalement la porte, laissant un Frog Splash semi-conscient se reposer contre la rambarde. Après quelques secondes, il finit par se relever, un léger fil de bave coulant de ses lèvres. Il l’essuie de sa manche, et finit par afficher un sourire en coin.
 

Frog : Bah voilà, c’était pas si dur de le convaincre …
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 18:00

Frog' qui reprend Mizou après avoir gagné le career vs career qui nous avait opposé à l'époque je trouve ça beau Sad

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 18:43

Promo de Brock Lesnar (Godot) et Randy Orton (SwantonBomb) pour WFA One Night Stand 2014

Nous nous retrouvons sur une très belle terrasse de café... Deux hommes semblent discuter, le premier est l'ancien champion du monde Randy Orton, et le second est l'ancien champion Intercontinental Brock Lesnar !


- Ressaisis toi Brock ! C'est ton moment désormais, tu peux retrouver la gloire que tu tenais avant de perdre ton titre et puis nous sommes un nouveau Gang, c'est un nouveau départ pour nous tous. Maintenant qu'il n'y a plus Batista pour nous empêcher de saisir un titre mondial, on peut tous le faire ! Tout ce qui s'est produit lors du Gang V1 appartient au passé, tu as fait ce qui fallait faire, et je n'en suis pas le seul fier, crois moi... Personne ne peut t'arrêter, tu es toujours The Beast Brock Lesnar, et rien ne changera jamais cela.

- Tu as peut-être raison Randy, même si j'appréciais beaucoup Dave, c'était du tout cuit, ça ne servait à rien de discuter avec lui et finalement il me fessait perdre mon temps depuis le début, j'aurais du l'apercevoir, mais je n'y ai même pas fait attention. Tu avais raison le concernant, il ne pensait qu'à sa carrière et non à la notre !

- Tu vois, Brock, la différence entre lui et nous, c'est que nous on se faisait tous confiances, on n'aurait jamais fait passer notre carrière personnelle avant celle du groupe ! En parlant de confiance, tu devrais retrouver ta confiance en toi même, parce qu'il ne faut pas oublier que tu as un match pour TON titre.

- Tu sais Randy, je me dis que finalement tout ce qui s'est produit lors du dernier WrestleMania était nécessaire car tout finirait par se passer tôt ou tard tant le groupe n'était pas assez soudé mais depuis qu'on a formé le Gang V2, tu sais ce que je ressens ? 

- Quoi donc?

- Je me sens aussi bien que possible, ce nouveau Gang est une famille, une famille qui œuvre dans le même sens ! Personne ne pense d'abord à sa petite personne... Oh non, on pense tous au Gang.

- Je n'avais pas vu les choses comme cela concernant WrestleMania, mais tu as raison, nous sommes ressorti plus fort de ce show, plus rien ne peut nous arriver maintenant !

- D'ailleurs Brock j'en profite que l'on soit sans les autres mais que penses-tu des nouveaux ?

- Je suis assez content de Cesaro, c'est une très bonne recrue avec une très bonne mentalité.

- Je suis très content de te l'entendre dire, ce mec a beaucoup de potentiel et peut parfaitement aider le Gang et concernant Paul ?

- Le concernant je préfère encore attendre un peu avant d'avoir un avis définitif sur lui. D'ailleurs, mon ami Paul Heyman à beaucoup de mal à le cerner mais demandé de faire attention à lui.

- J'ai du mal moi aussi à le cerner. Comment peut-on être totalement certain que ce type qu'on a eu cesse d'humilier pendant des mois et des mois n'est pas entrain de nous manipuler pour nous détruire de l'intérieur ? Alors je sais, Ted est plutôt bon pour cerner les gens mais je sais pas, j'ai tout de même un mauvais pressentiment.

- Si jamais il tente quelle chose contre le Gang, je lui ferais subir autant de douleur qu'à cet inspecteur à la noix !

- D'ailleurs Brock, si lors de ton prochain match tu pouvais lui mettre une droite ou deux de ma part je t'en serais reconnaissant !

- Fais moi confiance, ce n'est pas qu'une droite ou deux qu'il va se manger car je peux te dire que jamais personne ne m'a mis en rogne à ce point. Je vais tellement me déchaîner sur lui que les âmes sensibles ne pourront pas mater ce match sans vomir !

- Je me demande tout de même ce qu'il peut bien avoir trouvé contre nous.

- Fais moi confiance Randy, il n'a rien, que dalle ! Et même s'il savait quelque chose, avec ce que je lui réserve lors du notre match, il ne pourra plus jamais parler. Pour moi on a un autre problème bien plus important à gérer.

- Quoi donc ?

- Les GM de Raw et de Smackdown, je ne l'ai trouve pas assez craintif du Gang pour nous manger à la main. On devrait un peu plus s'attaquer à eux !

- Concernant JBL je n'ai pas trop d'inquiétude, il sait que le Gang rapporte énormément de tune à la fédé, donc il ne fera rien contre nous, bien au contraire. Mais John Laurinaitis est trop influençable, tout le monde fait ce qu'il veut de lui, c'est ça le problème ! Vu que tu es le seul au show bleu, il ne faut pas que tu hésites à lui mettre la pression à tous les shows ! Qu'il n'oublie pas qui nous sommes et ce que l'on est capable de faire subir aux autres ! 

- Tu te rends compte, il a osé me faire l'affront de me refuser un match pour le titre de Ziggler ! Heureusement que j'ai insisté...

- Je ne suis pas surpris, Laurinaitis n'a jamais su bien catcher, alors je ne vois pas comment il pourrait diriger un show de façon compétente. Mais bon, tant qu'il sert les intérêts du Gang, pas besoin de faire pression sur la direction afin de le faire dégager. Par contre que dirais-tu de nouvelle recrue pour t'aider à Smackdown ? Car on pourrait faire revenir John Cena ou dire à Seth Rollins que son Dieu nous a choisi pour sauver le catch mondial ou un truc dans le genre.

- Ne t'en fais pas Randy, un catcheur tel que moi n'a besoin de personne pour dominer un show B. De toute façon à ce qu'on m'a dit, Cena a l'air bien ancré dans sa dépression, il n'adresse plus la parole à personne depuis plusieurs mois. Et puis ce n'est pas en acceptant un attardé mental comme Rollins qui va changer quelque chose nous concernant. Et toi Randy, tu n'aimerais pas une recrue de plus pour t'aider à enfin vaincre le ptit Barreta ?

- Très marrant Brock ! Tu sais très bien que depuis que je suis arrivé dans cette fédération mon chemin a toujours été en or, même si les dirigeants ont tenté de ralentir ma reconquête de mon titre mondial en faisant de moi qu'un vulgaire arbitre à Wrestlemania, est-ce que tu y crois toi? Un simple arbitre... 

- Oui enfin, l'idée de jouer psychologiquement avec Dave et Barreta te plaisait beaucoup.

- En effet mais la logique du business aurait voulu que je conserve mon titre et qu'à WrestleMania, je sois l'arbitre d'un match opposant Batista à Barreta pour désigner lequel des deux m'auraient affronté à ONS. 

- Mais il a fallu que Dave vienne tout gâcher... De toute façon, j'ai confiance en toi, je suis certain que tu vas battre ce gringalet sans trop difficulté et d'ailleurs, tu as vraiment intérêt à le battre car ce n'est pas bon pour le monde du catch que la plus grande fédération au monde soit représenté par un tel type !

- Tu crois me l'apprendre ? Je sais tout ça mais une fois que je serais devenu le champion mondial de Raw, il faudra absolument qu'on s'occupe de celui de Ziggler car il ne faudrait pas oublier que l'objectif principal du Gang est de posséder les deux titres les plus importants de la WFA.

- Exact ! Par contre, j'ai une question très importante qui me taraude l'esprit depuis qu'on est ici. Pourquoi sommes-nous venu dans ce putain de bar pour ado pubère ?!

- Pour t'aider à mieux appréhender ton adversaire Brock.

- Quoi ?

- Je connais ta tactique, tu fonces sur ton adversaire et puis c'est tout. Alors ok vu ta force et ta hargne c'est toujours largement suffisant mais le souci avec Roode, c'est qu'il a passé des heures à regarder tous tes matchs, il te connaît par cœur et l'inverse n'est pas vrai, alors nous sommes ici pour y remédier !

- Ah bon, et comment ?


Randy tourna la tête pour s'adresser au serveur.


- Barman, VENEZ TOUT DE SUITE !


Le serveur fit son arrivé.


- Ces Messieurs désire t-il boire quelque chose ?

- Votre alcool le plus puissant pour ma part et toi Randy ?

- Rien pour le moment par contre, j'ai une question a vous poser. J'aimerais savoir si vous n'avez pas des renseignements à me donner sur un de vos clients. C'est un clochard chevelu crétin qui se fait passer souvent pour un inspecteur, on m'a dit qu'il venait assez souvent dans le coin.

- Heu, il passe assez souvent pour se saouler. Mais qu'est-ce que vous aimeriez savoir à son sujet ? Car si vous êtes un ami à lui, je, vous demanderez de partir. Je lui ai interdit de revenir. Il mettait la pagaille dans mon bar à poser toutes ses questions sur tout et tout le monde !

- Ne vous inquiétez pas, nous ne sommes pas du tout ami avec cet individu c'est même plutôt le contraire. Mon ami Brock Lesnar ici présent doit l'affronter dans quelques jours lors du WFA One Night Stand.

- Et je vais tellement lui bottez le train que la prochaine fois qu'il boira quelque chose ça sera dans un lit d'hôpital et avec une paille !

- Je vois alors ça va vous pouvez rester. Je vais dès maintenant faire une fiche avec tout ce qui pourrait vous être utile contre lui et je vous la donne !

- C'est très gentil de votre part, en vous attendant, pourrait-on avoir une salle privé pour faire une partie de poker, nous serons cinq ?

- Pas de soucie messieurs, vous n'avez qu'à aller vous installer dans la salle VIP.

- Très bonne idée Randy, j'ai bien envie de dépouiller un peu ce bon vieux Teddy (rire gras).





*****************

Une heure plus tard...


Brock Lesnar : Ah bah putain ! C'est pas trop tôt les mecs. Avec Randy, on est là depuis une heure. Heureusement que Cesaro est arrivé vite.


Ted DiBiase : Nous en voulez pas les gars, avec Paulo on décuvait de la veille.


Randy Orton : Encore ? Les gars, sérieux, il faut vous calmer. Depuis WrestleMania, vous vous prenez des caisses tous les soirs. Vous allez pas nous taper une cirrhose ou une connerie dans le genre ?


Paul De Burchill : Nous en voulez pas les gars...


Randy Orton : Vous l'avez déjà dit.


Antonio Cesaro : Regardez moi, corps sain, corps pure. Il n'en faut pas plus pour être le prochain champion Pure de la fédération.


Ted DiBiase : Il est drôle le petit suisse. Tiens d'ailleurs, tu m'expliqueras un truc. T'es certainement le seul suisse à venir payer ses impôts en France. T'es con ou tu le fais exprès ?



Brock Lesnar : ASSIS !


Randy Orton : D'ailleurs, on a toujours pas eu notre week-end à Gstaad ?


Antonio Cesaro : Promis, je vous emmène la semaine prochaine. On pourra s'y ressourcer avant One Night Stand.


Ted DiBiase : Avec Paulo, on ramène la boisson.

Randy Orton : On va vraiment finir par croire que vous êtes en couple, vous deux.

Brock Lesnar : TARLOUZES !

Randy Orton : Ranges ce doigt Ted !

Paul De Burchill : Bon... on le commence ce poker ? On s'est pas mis à la verticale pour rien ?

Ted DiBiase : Preum's pour mélanger... Les gars, on mise combien ? 100, 200, 500 ?

Antonio Cesaro : Ouais 200 euros c'est bien.

Ted DiBiase : QUOI ? 200 euros ? Moi je parlais de 200 000 euros !

Brock Lesnar : Molo bourse folle. On a pas tous un papa

Antonio Cesaro : Pas de triche !

Randy Orton : T'es presque trop honnête pour faire partie du GANG.

Paul De Burchill : AH ! AH ! Hmm... La petite est blinde est à 2 et la grosse à 5 ?

Brock Lesnar : Of course...


La partie démarre...


Randy Orton : Check



Antonio Cesaro : Check

Brock Lesnar : Je relance de 5 !


Randy Orton : Beau gosse...

Ted DiBiase : Petit joueur... Je relance de 25 ! Putain les gars vous couchez pas ! C'est pas marrant.

Brock Lesnar : Je vais te plumer DiBiase !

Antonio Cesaro : A toi de distribuer, Randy...

Randy Orton : ...coupe... Bon les gars, comment vous le sentez ce Fatal 4 Way ?

Brock Lesnar : Victoire de Bryan ou de Steen.

Antonio Cesaro : Connard !

Brock Lesnar : Puceau !


Antonio Cesaro : Enfoiré !

Brock Lesnar : Tapette !

Randy Orton : Concentrez vous sur le jeu, les jeunes. Sérieux, j'espère que l'un de vous deux gagnera. Sinon, c'est pas une bonne image que vous donnerez du GANG V2. Nous sommes là pour gagner, pour la gloire et pour le bien de cette fédération. On doit la remettre sur les bons rails. Je ne veux pas qu'un inspecteur aussi crédible que Colombo reparte avec le titre Intercontinental le visage bien propre. Je ne veux pas que l'autre trou-du-cul de Fan de Criminels te batte Ted. Je ne veux pas que cet enfoiré de Bryan ou ce porc de Steen soit challenger numéro un au titre Pure...


Ted DiBiase : Et on ne veux pas que le ptit Barreta soit encore champion du monde poids...


Randy Orton : T'inquiètes pas pour ça... je suis...


Antonio Cesaro : je suis vos 27 et je relance de 10.

Brock Lesnar : T'as la main chaude. Dis donc. Je suis.... Randy, on est tous avec toi, s'il faut seulement je pense pas que cela soit très bien vu si on t'aide à vaincre le ptit Trent.

Ted DiBiase : Quand on y pense c'est à cause de lui que la V1 est partie en couille...

Brock Lesnar : Quoi ?

Ted DiBiase : C'est vrai, si tu avais tapé plus fort Randy, Trent ne serait jamais revenu au Rumble, Batista l'aurait gagné et aurait défié Morrison ou Ziggler à WrestleMania et avec un peu de chance, tu serais toujours champion...

Randy Orton : Avec un peu de chance ?



Ted DiBiase : Je suis.


Paul De Burchill : Mmh... Je me couche...


Randy Orton : Je suis... T'es bon Ted... Je sais où tu veux en venir et tu m'emmèneras pas sur cette pente glissante. Le seul responsable c'est Dave ! Lui et seulement lui.

Brock Lesnar : C'est un égoïste. Et il s'en est rendu compte. Check... Aujourd'hui où il est ? Assis dans un fauteuil en regardant ces vieilles cassettes ? A l'hôpital, où il apprend qu'il ne pourra plus jamais remonter sur un ring ?

Randy Orton : Si ça se trouve,... check... il a pris sa retraite parce que c'était un vieux qui n'arrivait même plus à tenir debout.

Antonio Cesaro :... check... en plus de l'avoir poussé, entre guillemets, vers la sortie, tu vas nous dire que c'est toi qui l'a tabassé après Mania et qui lui a cassé les deux jambes.

Randy Orton : Et pourquoi pas ?

Ted DiBiase : Allez, chacun montre ces cartes. Paulo ?

Paul De Burchill : Je me suis couché...

Ted DiBiase : Randy ?

Randy Orton : Deux paires. As et neuf !

Ted DiBiase : Fumier ! 'tonio ?

Antonio Cesaro : Une paire de cinq

Brock Lesnar : Dommage petit, brelan de valets par les neufs.

Ted DiBiase : Que dalle...

Brock Lesnar : AH ! AH ! 142 euros en une main. Dont tout ça à Ted.


Ted DiBiase : Je m'en fous c'est Punk qui paye.


Paul De Burchill : MOUAH AH AH !


Randy Orton : Tiens d'ailleurs, pourquoi j'ai une note de frais longue comme mon bras pour une soirée organisé pendant un house show qui aurait mal tourné ?

Ted DiBiase : Euh laquelle ?

Randy Orton : Tu fais chier. Trouves un autre gars pour recevoir ton courrier. Il va gueuler à force...

Ted DiBiase : Oh c'est bon.


Le même serveur de la terrasse arrive pour apporter quelque chose à Brock Lesnar.


Le serveur : Pardonnez moi, messieurs... Très bonne partie. La maison vous offre un magnum de champagne. Son meilleur cru. Avec les amitiés du patron.

Ted DiBiase : Vous lui direz mon bon souvenir...

Randy Orton : T'as eu ce que tu voulais ?

Brock Lesnar : Pas vraiment... au moins ça explique le magnum. Pas touche Paulo ! Antonio, confisques leur...

Antonio Cesaro : Donnes ça bordel.

Ted DiBiase : Vous êtes pas drôle. Moi avoir soif. Toi Brock être sympa pour donner bonheur à Teddy et Paulo.

Brock Lesnar : Toi vas avoir poing dans la gueule rapidement. Il y a juste une heure... sûrement l'heure à laquelle il vient chaque jour. 17h15

Randy Orton : Venait.

Brock Lesnar : Venait, oui.

Randy Orton : Bon, on continue à plumer Ted ?

Ted DiBiase : Hey ? Non, seulement vous voulez vous liguer contre moi, sauf toi mon bon Paulo mais en plus pas le droit de boire.

Antonio Cesaro : Tu vas finir à faire équiper avec Carlito et Joe ?

Ted DiBiase : Finalement, c'est pas l'honnêteté qui va te coûter ta place dans le clan mais c'est tes conneries.

Randy Orton : Allez tiens prends un verre.

Ted DiBiase : Quelqu'un de bien.... Qu'est-ce que t'en dis Paulo ?... hein... il est bizarre... il n'a pas ce goût si...

Paul De Burchill : Oui... oui... ce petit goût si particulier... ce goût de...

Ted DiBiase et Paul De Burchill, à l'unisson : CM PUNK !

Randy Orton : AH AH ! Bandes de crétins.

Brock Lesnar : AH ! AH ! Je reviens, je vais pisser.

Randy Orton : J'y vais aussi.


Quelques instants plus tard... aux toilettes...


Brock Lesnar : Ça soulage...

Randy Orton : On y arrive, putain.

Brock Lesnar : Heureusement, on est encore jeune.

Randy Orton : Pas ça, Brock. One Night Stand...

Brock Lesnar : Ouais. Tu le sens pas ?

Randy Orton : Si je le sens pas ? Si bien sûr mais regardes un peu Barreta. Invaincu depuis le Rumble en PPV. C'est chaud quand même...

Brock Lesnar : Tu fais ton gros dur devant eux mais en fait, t'as peur de perdre contre Barreta.

Randy Orton : La peur ? Non ! La rage ! J'ai la rage. Je vais lui faire bouffer ma botte. WrestleMania n'aura été qu'un instant éphémère dans sa carrière.


Brock Lesnar : Le pire est à venir avec Rollins.

Randy Orton : M'en parles pas. Paul Heyman va faire de son mieux pour le mettre hors-service.

Brock Lesnar : Si tu pouvais me renvoyer Lesnar à Smackdown après avec ses trois tarés, qu'il fasse chier Roode.

Randy Orton : Ça marche. Allons finir cette partie de poker.

Brock Lesnar : TED ! ON ARRIVE ! SORS TON CHEQUIER !


De retour dans la salle VIP...


Randy Orton : Bon allez... on termine Ted vite fait bien fait. Parce que moi, j'ai rendez-vous à 19 heure à l'autre bout de la ville. Il est quelle heure au fait ?

Ted DiBaise : 3h 25 ! NON ! 15H 25 ! NON ! Je confonds les aiguilles. Lis Brock !

Brock Lesnar : 17h 15...

Antonio Cesaro : Si ça se trouve Bobby Roode est là...


La porte de la VIP room est alors défoncé par... KEVIN STEEN ! Il entre dans la salle VIP, suivi de Daniel Bryan et de CM Punk. L'inspecteur Roode arrive quelques secondes après eux. Trent Barreta arrive à ses côtés également. Kevin Steen tape sur son gras et fonce sur Antonio Cesaro qui tombe sous le choc. CM Punk se rue sur Ted DiBiase qui fait passer le kid de Chicago par-dessus la table de poker. Bryan fonce lui sur De Burchill. La baston entre les six dégénèrent et s'éloignent de la salle VIP. Les vigiles tentent d'intervenir mais sont repoussés et mis K.O.



Dans la salle VIP, il ne reste plus que Brock Lesnar et Randy Orton, qui font face, respectivement, à l'inspecteur Roode et à Trent Barreta. Brock Lesnar fonce sur Roode et le plaque contre le mur violemment avant d'enchaîner par une série de coups de poing au visage. Roode esquive et Brock continue de frapper le mur. Entre temps, Trent saute sur Randy Orton et le frappe de coups de poing au sol. Randy retourne la situation et frappe Trent avec une chaise. Randy Orton met une première droite à Trent Barreta, qui réplique avec une gauche. La vipère frappe à nouveau Trent avec une droite. L'actuel champion du monde répond comme il se doit avec une droite. Les droites se font encore plus rapides et violentes au fur et à mesure que les secondes passent. Les coups de poings claquent et les deux se retrouvent au sol en continuant de se ruer de coups. Ce n'est que haine entre les deux. Randy Orton repousse Barreta avec les pieds. Les deux sont à nouveau debout et les coups de poing continuent de pleuvoir sur le visage des deux hommes. Orton charge sur Trent qu'il plaque contre la fenêtre mur. Les deux chutent et passent à travers la fenêtre pour se retrouver à l'extérieur du café. Randy Orton fonce une nouvelle fois sur Trent. La charge de l'ancien champion du monde poids lourd écrase le dos de Trent contre le mur extérieur.

À l'intérieur, Brock projette l'inspecteur contre la porte des toilettes qui la travers en la brisant. L'inspecteur Roode ne fait qu'une petite grimace avant de bloquer les coups de poings de Lesnar en protégeant son visage avec ses avants-bras. C'est un véritable combat de rue ou de bar plutôt. Un bon coup de genou dans le ventre vient couper le souffle de Roode qui baisse sa garde. Lesnar met un coup de boule à Bobby Roode, qui ne flanche toujours pas. Brock Lesnar soulève les jambes de son adversaire qui le fait chuter et reprend la série de coups de poings sur le visage encore marqué de Roode. La bataille des poings tourne court puisque Brock Lesnar, après l'avoir relevé, il projette Roode dans une nouvelle porte qui débouche sur une cabine de toilette. Roode tente de récupérer ses esprits le plus rapidement possible. Brock arrive rapidement derrière Roode et porte un coup d'avant-bras dans le dos avant d'écraser sa tête contre la lunette des toilettes. Le visage de Roode est en sang après les multiples coups sur les toilettes. Les yeux plein de haine, Brock Lesnar continue à s'acharner sur Roode en lui hurlant à l'oreille :

Brock Lesnar : Tu vas pleurer du sang à One Night Stand.

Randy Orton : Arrête de le faire saigner, il n'aura plus rien à cracher à One Night Stand.



Brock Lesnar : Où est Trent ?

Randy Orton : Sûrement au-dessus du bar...


Soudain, le serveur fait irruption dans la salle VIP.


- Voilà Trent ! Je vais le démolir !

- Non Brock, non ! C'est le serveur et non Trent !!!

- Tu es sur Randy ? Oh, et puis zut, il est tout fin et tout petit comme Trent alors c'est du pareil au même ! 

- Messieurs, j'ai une proposition à vous faire pour stopper ce combat de rue dans ces locaux ! Une partie de poker en une seule manche, et vu que vous vous détestez, vous n'aurez pas de mal à faire monter le pot même pour une seule partie ! Et quoi de mieux qu'un prélude du prochain main event de ONS ?


Trent Barreta fait son retour dans la salle après être allait chercher un sac de punaise dont il n'a plus l'utilité maintenant.


- Je serais ravi de te prendre de la tune Randy !

- Je n'accepte qu'à une condition, je veux que le montant du pot atteigne des sommets ! 

- Pas de soucie, je souhaite la même chose.

- Mais en as tu les moyens boy ? Car moi en tant que membre du Gang et ancien champion du monde, je suis très bien payé à la WFA mais es-ce la même chose te concernant ?


Les deux adversaires de ONS prennent place autour de la table, les deux clans se mettent derrière leur représentant.


- Comme je n'ai pas confiance aux membres du Gang, c'est moi qui choisi le paquet de carte.

- Pas de soucie champion, mais comme je n'ai pas confiance en vous, c'est Brock qui distribue tes cartes ! Tu es ok Brock ?

- Ne vous inquiétez pas, dans ma jeunesse, j'arrondissais mes fins de mois en jouant le croupier et prenant l'argent des participants à chaque fin de partie ! Je suis un as en tant que croupier !


Brock saisie le paquet de carte, il distribue les premières cartes. Trent Barreta, relance directement pour une somme conséquente avec une paire de 6. Randy Orton paye et le croupier Brock qui dévoile le flop. Le pot fait à ce moment là 13000€ et le flop est dévoilé, D-6-5 qui donne un brelan aux deux protagonistes. Après quelques secondes de réflexion, Randy et Trent mise 9000€. Après une minute de réflexion, Trent relance à 26000€ et Randy paie rapidement pour tendre un piège à son adversaire et ne pas dévoiler la force de sa main tandis que le croupier Brock retourne le tournant qui est la miraculeuse carte dont Randy avait besoin pour repasser devant. Non seulement cette carte offre le carré à Randy mais il offre aussi un full à Trent.
Le pot fait alors 70000€ et Randy mise 25000€. Cette fois-ci, Trent prend son temps et réfléchit tandis que Randy reste impassible comme en son habitude. Le pot fait alors plus de 200000 et la rivière est un 8. Trent mise rapidement 65000€ et Randy annonce tapis pour 200000€ à la grande surprise de Trent qui se lève et demande l'avis de ces amis autour de la table. Finalement, Trent suit le tapis de Randy. Les deux hommes dévoilent leurs cartes et c'est le membre du Gang qui remporte un pot de 850000€ grâce à un carré !
Tandis que les membres du Gang célèbre leur victoire, CM Punk regarde discrètement les cartes qui ont servi lors de cette partie, il remarque alors qu'il y a une autre Dame dans les cartes restantes !


- Non mais c'est une blague ! Expliquez moi comment il peut y avoir une Dame dans le paquet et 4 autres sur cette table ?! Alors Brock ?!

- La réponse est très simple...


Brock se jeta sur Punk et la bagarre repartie de plus belle entre les membres du Gang et leur opposant laissant le serveur dépité. Ce dernier quitta la salle discrètement.


- Bon lorsque vous aurez fini, vous faite la fermeture, ok ? 
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 19:25

Promo Brian Kendrick

WFA Center, salle de conférence B38, 15h.

La pièce est disposé comme un amphithéâtre de faculté, debout sur l'estrade, dans un costume trois pièce impeccable, The Brian Kendrick fais face à un public exclusivement masculin.

TBK : "Bien, bonjour messieurs, et merci d'être venu à ce premier colloque organisé par la WFA, pour ceux qui se seraient perdus, je vous rappelle le thème principal : Gestion de l'image et impacte sur le public. Mais ceux qui sont ici de façon volontaire savent avant tout que c’est aujourd’hui que j’effectue ma grande  campagne de recrutement pour choisir mon futur copilote !"

John Morrison : "John Morrison est un impacte pour le public, il est une grande image comme celle que l’on donne au enfant sage dans les écoles, il est la lumière !"

TBK : "Merci John pour cette intervention inutile, ça me permet justement d'enchainer et de vous présenter mon assistante du jour, la lumineuse, la rayonnante Summer Rae !!!"

Un rire émanant d'une seule et unique personne résonne quelque part dans le fond de la salle, probablement au dernier rang. Et Summer Rae fais son entrée sous le regard admiratifs des hommes du premier rang. Large sourire aux lèvres, elle semble particulièrement heureuse d’être là et dévore Brian Kendrick du regard.

TBK : "Merci au monsieur dans le fond qui a compris ma blague, et merci Summer, ton rôle aujourd’hui seras de juger les candidats sur une échelle allant de un à neuf, pourquoi pas dix ? Tout simplement car je suis à "dix", et qu’en toute logique je ne peux pas me copiloter tout seul. Pour représenter l’équivalent d’un "un", je vais prendre un exemple dans le public. Tiens-toi là bas ! Le mec avec les dreads et la tête de hippie un peu gland."

Tous les regard se tourne vers un des jeunes lutteurs de WFA NXT, l’homme ciblé se lève et prend la parole :

CJ Parker : "Moi ?"

TBK : "Oui toi, viens donc ici afin que la différence soit plus flagrante ! Oh mon dieu, il porte des tongs et un bermuda ! Bon tu as de la chance d’être déjà à « un » sinon tu aurais été déclassé pour ça ! Summer que dirais-tu à un mec comme ça ?"

Summer Rae : "Même pas en rêve !"

TBK : "Merci Summer ! Bon allez CJ retourne à ta place, on t’a déjà assez vu ! Ah au fait, tu es éliminé ! Mais reste tout de même dans le coin, tu as beaucoup à apprendre !"

Un air déçu se dessine sur le visage de CJ Parker alors qu’il quitte précipitamment la salle.

TBK : "Bien ! Tant pis pour lui, et tant mieux pour vous ! Ça fera un adversaire de moins ! Reprenons… Les principales qualités d’un bon copilote sont l’ingéniosité, la disponibilité et surtout… SURTOUT… Le Costume ! Donc tous les touristes habillés en Friday-Wear sont priés de sortir maintenant, merci d’être venu et à plus tard."

La salle de vide d’une bonne vingtaine de personne, mais Brian Kendrick ne semble pas satisfait pour autant.  

TBK : "Oui bon… Quand je parlais de costume, je parlais de costume élégant comme le mien, donc les costumes de super-héros et d’Adam ne comptent pas, Super-Bro’, Hurricane et John Morrison vous pouvez sortir…"

Super Eric se lève, et met ses deux mains ganté de rouge en avant, alors que les deux autres appelés quitte la salle.

Super-Eric : "Pourtant j’ai bien mon costume et les gants !"

Brian Kendrick s’avance, échange un double high five avec son ami avant d’enchainer :

TBK : "Bon ok, tu peux rester Super-Bro’, mais c’est bien parce que c’est toi, mais tu sais que je ne pourrais pas te choisir à la fin. Et surtout si ta femme te réclame tu files, pas envie d’avoir encore des ennuies…. Bon voilà qui est mieux, que des gens en costume, on se croirait presque à wall street."

Summer Rae s’approche de Brian Kendrick et lui glisse quelques choses à l’oreille tout en se collant à lui de façon assez explicite. Mais à la grande déception de la jeune femme, Brian reste imperturbable et après un rapide acquiescement à l’attention de Summer, il entreprend un long et fastidieux discours sur l’art d’avoir la classe.

Le colloque se prolonge ainsi pendant trois longues heures, et il ne reste plus qu’une poignée de candidat alors que la porte principale de la salle s’ouvre rompant ainsi le silence de l’interrogation écrite mis en place par TBK. CJ Parker entre dans la salle, vêtu d’un costume en lin couleur crème, les cheveux attaché et maintenu en place par un bandeau il dégage une élégance en totale opposition avec son style habituel. Sans un mot il avance d’un pas rapide en direction de l’estrade et défie Brian Kendrick du regard. Ce dernier se contente de lever un sourcil interrogateur.

CJ Parker : "Voilà je fais plus copilote comme ça ?"

TBK : "Oui c’est déjà beaucoup mieux…"

La tension est tant palpable entre les deux hommes que Summer Rae s’écarte doucement du champion TV de peur d’être prise dans un affrontement. Les quelques irréductibles candidats sont maintenant debout et guette le moindre signe pouvant faire exploser la situation. CJ Parker glisse la main dans sa poche et en ressort un morceau de papier qu’il tend à Brian Kendrick avant de mettre un genou à terre dans une posture de chevalier.

CJ Parker : "J’ai réussi à t’avoir un rencard avec Madison Rayne ce soir à 20h, le restaurant est réservé, l’hôtel aussi, ton manager va y déposer tes affaires et j’ai commandé un bouquet de rose qu’on livreras à Madison pendant le repas. Je veux être ton copilote,  et avec ça j’espère te prouver que j’en suis digne !"

Les yeux de Brian Kendrick s’écarquillent et les candidats poussent un ouf de soulagement lorsque la tension retombe d’un coup, seule Summer Rae semble déçue et fronce les sourcils de désapprobation.

TBK : "Eh bien je suis surpris, félicitation CJ, tu es mon presque-copilote, je te prends à l’essai pour une semaine, si tu gère bien, je t’apprendrais tout ce qu’un copilote doit savoir ! Désolé messieurs cette séance est terminé, et vu l’heure, je dois aller me préparer mon rencard !"

Les candidats déchus se retirent de la salle non sans manifester leurs déceptions, alors que Brian Kendrick prend congé de Summer Rae en lui faisant une rapide bise, avant de quitter à son tour la salle, suivis de prêt par CJ Parker. Quelques mètres plus loin il croise Fandango en sens inverses :

TBK : "Hey Fandanbro’ ! Summer est en B38, je pense qu’elle t’attend,  je file j’ai un rencard !"

High five des deux hommes et Kendrick reprend son chemin de plus belle […]

« La table du Roy », restaurant ***, 19h59.

Brian Kendrick est devant le restaurant, attendant patiemment sa conquête du soir, les journalistes se battent pour avoir quelques mots du champion TV, mais il s’excuse et annonce poliment que ce soir son attention est réservé à une autre personne. Peu de temps après une limousine rutilante arrive, et Madison Rayne, dans une robe rouge digne d’un festival de cinéma en descend. Les journalistes se tournent tous en direction de la jeune femme, et Brian Kendrick en profite pour envoyer un signe de félicitation à un homme un peu plus loin dans la foule, CJ Parker. Puis il se dirige vers la jeune femme avant de la saluer avec charme et élégance. […]

A l’arrière de la limousine, 01h32.

La soirée c’est très bien déroulé, et Madison a acceptée de venir prendre un dernier verre dans la luxueuse suite de Brian Kendrick, mais après une dernière coupe champagne, elle s’est profondément endormie sur la banquette arrière au grand désarroi de Brian. Il essaye de la réveiller en lui caressant doucement le visage et en l’appelant mais rien n’y fait. Même la sonnerie du téléphone qui hurle à quelques centimètre de là, ne sors pas Madison de sa torpeur.

TBK: "Allo ?"

CJ: "Brian? C’est CJ!"

TBK: "Oui Bro’?"

CJ: "Pour être sûr que la soirée se termine bien, j’ai rajouté un petit quelques choses dans le verre de Madison, tu m’en diras des nouvelles, mais la soirée promets d’être Legend…"

TBK : "…Dary, mais pas trop en fait, je ne sais pas pourquoi mais elle dort là…"

CJ : "Nan tu déconne ? Vous avez déjà finis ?!!"

TBK : "Non elle a juste pris une coupe de champagne et "pouf" elle s’est endormie !"

CJ : "Ah merde ! C’est bizarre ça…Logiquement elle aurait dû être très en forme, tu vois ce que je
veux dire…"

TBK : "Visiblement ton truc ne marche pas…"

CJ : "A moins que … Merde ! J’ai confondu avec les médocs de ma grand-mère… (à l'écart du téléphone) Oh putain! Mamie ! Non ! Laisse ce monsieur tranquille ! (de nouveau au bout du fil) Je dois te laisser Brian, je te rappelle !

Brian Kendrick, raccroche le téléphone d’un air blasé et se ressert une coupe de Champagne, avant d’interpeller le chauffeur.

TBK :"Excusez-moi chauffeur, savez-vous où habite Mlle Rayne ?"

Chauffeur : "Non monsieur, je l’ai récupéré au WFA Center, sur les ordres de Monsieur Parker."

TBK : "Flûte…Bon pas grave, continuez sur la route prévue."

Chauffeur : "Bien Monsieur."

Suite Nuptiale, Hotel *** « Le Firmament », 2h15.

Brian Kendrick entre dans la suite en portant Madison Rayne, toujours endormie, à bout de bras, et le bouquet de rose offert à la jeune femme entre les dents. Après avoir refermé la porte d’un geste habile du pied, il traverse l’immense salon de la suite afin de rejoindre la chambre pour y déposer la jeune femme sur le lit. Il dispose ensuite le bouquet dans un vase puis saisit deux couvertures, couvre Madison avec la première et se retire dans la luxueuse salle de bain avec la seconde.

Tout en dénouant sa cravate il se regarde dans le vaste miroir et entame un monologue :

TBK : "Tu es un gentleman Brian, et demain elle te remerciera pour ça. Ça sera Legend…"

Maintenant en caleçon il se tourne vers le miroir, et y dépose sa main.

TBK : "…Dary, Self-HighFive !"

Puis il éteint la lumière avant de se glisser dans la baignoire, largement emmitouflé dans la couverture. Et le sommeil le gagne rapidement...

Salle de bain de la Suite Nuptiale, Hotel *** « Le Firmament », 9h.

Courbaturés, Brian Kendrick, s’extrait comme il le peut de la baignoire avant de s’étirer, puis il se prépare, longuement… consciencieusement… Tant et si bien qu’une heure et demi plus tard il est fin prêt, dans son plus beau costume et il sort de la pièce, un sourire charmeur aux lèvres. Madison Rayne est déjà debout, en plein exercice de fitness. Alertée par les bruits de pas de Kendrick, elle s’avance vers la chaine Hifi et en coupe immédiatement le son.

Madison : "Oh Brian ! Merci infiniment pour les fleurs, elles sont magnifiques ! Mais l’enveloppe contenant la petite carte était déjà ouverte, tu devrais te méfier de ce fleuriste. En tout cas je suis contente que tu me rendes visites !"

Elle lui donne une large accolade, mais le visage de celui s’assombrit lorsqu’il commence à comprendre.

Madison : "Je suis désolée de t’avoir posé un lapin hier soir, j’ai dû un peu trop forcer sur l’entrainement et m’endormir ici avant que la limousine viennent me chercher, j’avais peur que tu m’en veuille alors je t’ai appelé plusieurs fois pour m’excuser, mais tu répondais pas et je…"

Les paroles de Madison se perdent dans le vide alors que l’esprit de Brian Kendrick confirme ses craintes… Elle n’a aucun souvenir de la soirée, ce qui signifie qu’il a fait tout ça pour rien… Au bout d’un moment elle s’arrête de parler et observe Brian, sans doute dans l’attente d’une réponse à une question qu’il n’a visiblement pas écouté ou entendue. Pris au dépourvu, Brian Kendrick bafouille une vague excuse, prétexte un entretien imminent avec son manager et se retire précipitamment de la suite.

Madison Rayne, perplexe, se regarde dans le miroir voisin, et s’étonne à haute voix : " Je ne sais pas comment je dois le prendre… Je lui propose qu’on commande un petit déjeuner et que je me fasse pardonner ensuite… et il part en courant… C’est vexant… ".

De son côté The Brian Kendrick maintenant dans le hall de l’hotel, attrape son téléphone, consulte son répertoire et appelle CJ Parker :

Répondeur : "Yo ! Vous êtes bien sur le répondeur de CJ Parker, Catcheur à la WFA NXT et copilote du champion TV ! Alors laissez-moi un message !".

TBK : "CJ, t’es viré !".

********

Bon je me suis bien marré à écrire cette promo, j'espère qu'elle vous amuseras aussi.
Merci à John Morrison, Eric Young et The Hurricane pour leurs interventions en guest, les autres n'ont pas de manager donc... Sheik
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SwantonBomb
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 19:29

Je profite des promos de Aralar et de Frog pour vous rappeler que même si vos poulains ne sont pas sur la carte, vous pouvez sortir une promo puisque qu'elle comptera pour les shows post-ONS. Alors n'hésitez pas !
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyJeu 10 Avr - 22:10

PROMO ANTONIO CESARO : La quête.





Orton : En quoi serais-tu une force pour le Gang?

Cesaro : Je suis le meilleur athlète de cette fédération. Je suis l'athlète pur.


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Le GANG au complet fait son apparition sous le titantron. Les protagonistes se placent les uns à côtés des autres. DiBiase arbore un large sourire, sa ceinture sur l'épaule. Il tient par l'épaule Paul de Burchill qui pointe du doigt le public, un sourire dédaigneux sur son visage. Orton affiche sa fameuse pokerface, qui inspire à la fois de l'arrogance et de la peur. Lesnar ne semble pas être fan de ces célébrations et presse le pas vers le ring, l'air déterminé. Enfin, Cesaro lève ses gants rouges flocés « GANG » vers le ciel et fait sa célèbre taunt.

Une véritable démonstration de force émane du groupe, qui est plus dangereux que jamais. Nous sommes à quelques jours de One Night Stand, et le GANG affiche sa cohésion.


DiBiase : Bonsoir à la plèbe de la WFA, et bienvenue à la GANG Reunion !


Bronca dans l'arène pour accueillir cette introduction.


DiBiase : Je n'aurai pas espéré mieux de la part de gueux dans votre genre. Voyez-vous, le GANG est habitué à ces brimades de votre part, et il n'a guère intérêt pour votre mépris. Nous vous connaissons bien, public indigne. Mon cher accolyte Paulo vous connaît très bien même

DeBurchill : Certes, que me semble loin le temps où je pouvais partager vos... idées. A présent, je regarde cette arène et je ne vois qu'une bande de pauvres aigris.

DiBiase : Mais assez parlé de nous, évoquons-donc ce qu 'il va se passer à One Night Stand, à savoir la suprématie totale de notre association. Nous allons triompher

DeBurchill : Régner

Orton : Vaincre

Cesaro : Maitriser

Lesnar : Ecraser

DiBiase : Nos adversaires.


Devant cette tirade qui a fait participer tous les membres, quelques smarts applaudissent même si la majorité de la salle conspue.


DiBiase : Je ne sais pas si je dois parler de mon camarade Randy, tellement sa victoire : pardon sa NOUVELLE victoire pour le titre mondial est évidente.

Lesnar : Barreta est une mauviette

Cesaro : Il n'a pas la carrure, c'est une ceinture blanche.

De Burchill : Et cet inspecteur de pacotille... Aussi charismatique qu'un palefrenier.

Orton : The Beast vs The Bitch, Brock va n'en faire qu'une bouchée. Tout comme le Million Dollar Son va battre CM Punk.

DeBurchill : CM qui ?

Cesaro : Je crois qu'il parle de la crevette qui a défendu un titre invisible contre des adversaires médiocres.

DiBiase : Exact mon cher Antonio, autrement dit, il va connaître un match avec un réel enjeu avec un vrai lutteur bientôt. Mais pas de chance pour lui, il dispose d'à peu près autant de chances de gagner mon titre Pure que de retrouver Kate Beckinsale.

DeBurchill : Elle est bonne celle-là !

DiBiase : Ah ah ah ! J'adore ce segment de branlette ! Parlons encore de nous mes amis, esclaffons nous !


Cet enthousiasme ne semble pas être partagé de tous car le public se met à scander des « Bullshit », fatigué par l'intervention du GANG.


Orton : Nous parlons, nous parlons... Mais il ne faut pas oublier nos petits nouveaux qui vont briller !

Lesnar : J'aurai pas dit mieux ma couille.

DiBiase : Ces deux-là vont combattre pour une place d'honneur, un challenge pour mon magnifique titre. Cela mérite d'être fortement salué.

DeBurchill : J'en profite d'ailleurs pour présenter mes encouragements à mon adversaire du soir, le Miracle suisse Antonio Cesaro ! Battons-nous avec fierté dans l'adversité. Il est évident que l'un de nous gagnera. Si cela est mon cas, j'aurai l'immense honneur, que dis-je, le privilège incroyable d'affronter une future légende de la WFA en la personne de Ted DiBiase


Cesaro s'empare d'un micro, le porte à sa bouche mais ne daigne dire un mot


DiBiase : Et toi, qu'en penses-tu Antonio ? Tu n'as pas eu beaucoup l'occasion de t'exprimer depuis ton arrivée. Allons, ne sois pas timide, tu nous ferai le syndrome du petit suisse ?


Justement, depuis son adhésion au GANG, Cesaro cherchait à tout prix à éviter de s'exprimer. Il était conscient que cela lui desservirait, que les critiques allaient peut-être le désigner comme maillon faible du clan. Ce petit enfoiré de Punk n'hésitait pas à le basher sur Twitter à ce sujet d'ailleurs.
Sa feud avec Ambrose avait marqué les esprits par son côté hardcore, mais Cesaro ne s'était pas imposé au niveau charisme. Il se foutait complètement du charisme, d'essayer de plaire au public. Et en vérité, cela était toujours le cas.
Il ne se soucierait pas de cet aspect jusqu'à le gain d'un titre. Il se l'était promis. Sa détermination à être le numéro 1, à être le plus grand athlète de cette compagnie, cette détermination était devenue maladive depuis sa feud avec Ambrose. Il avait échoué à Wrestlemania et était désormais prêt à tout pour parvenir à ses fins. Et cela passait par l'adhésion au GANG.
Il était le Main-Event à présent. L'horizon s'annonçait radieux. Pour une raison.
D'un geste, il baisse le bras qui tenait le micro et lève l'autre, pour pointer un doigt rageur vers le titre Pure.


Cesaro : Je suis l'athlète pur. Et je vais...




C'est CM PUNK ! IL VIENT METTRE FIN A CETTE MASCARADE ! HOLY SHIT ! IL SE PRESENTE SOUS LE TITANTRON, MET UN GENOU A TERRE ET...


Lesnar : FERME TA GUEULE et laisse finir Cesaro.


La musique s'arrête brusquement, laissant le public de smarts hilare. Mais... Daniel Bryan ! Il débarque du public et se place devant la table des commentateurs. Barreta ! Barreta is here ! Et Roode ! Les quatres amis entourent le ring, le GANG est pris au piège. D'un geste rageur, Lesnar déchire son t-shirt. DiBiase recule de quelques pas pour se placer derrière Burchill. Orton se lèche les lèvres et attend avec impatience ses futurs adversaires. Cesaro... What the fuck ?! SUICIDE DIVE de Cesaro sur Barreta ! Ce qui provoque un bordel sans nom !

Tous les hommes se ruent du côté où Cesaro a sauté et c'est le brawl général ! Les coups pleuvent sans que personne ne prenne le dessus ! Les hommes sont regroupés comme un troupeau, on ne distingue plus rien. Mais... ou est passé Punk ? PUNK A DISPARU ! NON le voilà ! Il est monté sur le turnbuckle et il se lance dans le vide !! OMG il atterit sur tout le monde ! Punk is on fire ! Il se rélève aussitôt avec un saut carpé, célèbre avec ses fans alors que l'intégralité, je dis bien l'INTEGRALITE des lutteurs est KO ! CM Punk a fait un STRIKE ! Il ne s'arrête pas là ! Bon dieu que cet homme est incroyable ! Le voilà maintenant qui fait LE TOUR DE L'ARENE !! La foule est en DELIRE ! On se croirait à un concert des Doors dans un stade ENTIER ! Il finit son tour de stade en 8 secondes 9 dixièmes, revient du côté des lutteurs, saute la barricade et... SWISS UPPERCUT ! Cesaro n'a pas été touché par le saut incroyable de Punk. Il était resté couché après son Suicide Dive et... attendez, il tient quelque chose dans ses mains.

C'est la ceinture de champion du monde. Cesaro la dévore des yeux. Rarement a on vu un regard d'une telle intensité à la WFA. Durant quelques secondes, plus rien n'existe autour du suisse. Il revient finalement à la raison lorsque Orton, sévèrement ammoché après le saut INCROYABLE de Punk, vient lui taper l'épaule pour se diriger vers la rampe. Le GANG bat en retraite en se portant les uns les autres, alors que les faces remontent difficilement sur le ring pour célébrer. Seul Punk semble frais comme un gardon puisqu'il entame une série de pompes et crie «  ITS CLOBBERING TIME ! » devant une foule aussi conquise qu'Asterix chez les amazones.

C'est sur ces images que se termine le show. Le GANG, qui a perdu une bataille ce soir, montre tout de même sa force collective sans failles en injuriant et menaçant leurs futurs adversaires à One Night Stand. Leurs yeux sont tous rivés vers le ring... Sauf les yeux d'un homme. Un homme qui regarde son voisin. L'épaule de son voisin. Son riche voisin.
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyVen 11 Avr - 0:06

Promo John Morrison : La Cité de Lumière



Zeus : John Morrison, m'entends-tu ?


Morrison : John Morrison est actuellement en phase de sommeil, John Morrison n'est pas disponible pour une photo dédicacée.


Zeus : John Morrison, je suis Zeus, Dieu des dieux.

Morrison : Oh je vous connais... John Morrison était fan de vous lorsqu'il était enfant. Même s'il est évident que c'est le contraire aujourd'hui.

Zeus : John Morrison, tu es l'élu. Tu as tout accompli. Il ne te reste qu'une petite chose. Une petite chose qui néanmoins te hante et que tu es incapable d'accomplir aujourd'hui. Zeus vient t'apporter la solution. Tu dois créer la Cité de Lumière.

Morrison : Bon, écoute moi bien petit homme synonyme d'immondice, John Morrison n'a besoin de personne pour régner au zénith et faire partager sa Lumière.

Zeus : Suis mon conseil et crée la Cité de Lumière. Ainsi tu pourras enfin y parvenir. Tu pourras enfin l'avoir. Lui, cet entité qui t'a échappé par le passé. Mais pour y parvenir, tu dois d'abord reprendre ton titre. Je dois te laisser...

Morrison : Tu oses abandonner John Morrison ?

Zeus : Je dois me transformer en cygne pour pécho Pandore. Ciao !

Morrison : …


-------------------------------------------------------------------------------------------------



Orton est toujours au milieu du ring, ses jambes tremblent et il a énormément de mal à simplement tenir debout tandis que Dolph Ziggler tourne autour de lui comme un chasseur autour de sa proie. Les coups de chaises de Ziggler ont clairement laissé des marques sur Randy Orton et Dolph Ziggler s'apprête a exécuter la vipère. Ziggler donne une petit claque à Randy Orton avant de prendre élan dans les cordes et ZIG ZAG! Orton est au sol, sans défense, le match est gagner pour Dolph! 1, 2... et 3 ! Victoire de Ziggler !



Justin Roberts : And here is your winner of this NO-DQ Match, Dolph Ziggler !



Le Show-off célèbre cette superbe victoire en montant sur le turnbuckle pour communier avec le public. Quel momentum du champion de la WFA ! Il est parfaitement affuté et terriblement efficace. De bons présages pour son futur match de championnat.

Il s'empare d'un micro, se recoiffe un peu et attend patiemment la fin des applaudissements à son égard pour entamer un speech.

Ziggler : Wow, je dois dire que le Show-off se sent particulièrement bien en ce moment ! Je pense que vous êtes d'accord avec moi, je suis putain d'impressionnant !

Le blond arbore un large sourire et est acclamé par le public. Peu à peu, il s'impose clairement dans le Main-Event de Smackdown.

Ziggler : J'en connais un qui doit légèrement, très légèrement s'inquiéter pour Dimanche. Je vous apprends que ce gars n'est pas vraiment spécialiste des matchs hardcore en plus. Je ne le suis pas non plus mais faut croire que... j'ai su faire mes preuves ce soir. Qu'en t il de toi, John Boy ? Tu te sens prêt ?!


Le public scande des « NO ! »


Ziggler : Faut dire que tu te fais plutôt discret en ce moment. Tout comme pendant ton règne d'ailleurs. Tu sais, les gens sont ravis de voir à quoi la ceinture WFA ressemble, ils ont carrèment oublié son désign pendant 308 jours. La Diva Morrison ! Il a un contrat mirobolant mais se bat une fois par mois. Fais gaffe mec, tu vas bientôt aller sur un ring aussi frequemment que l'Undertaker.
Tu vois Johnny, Dolph Ziggler est un VRAI champion. Un champion qui défend son titre. Un champion qui vient de battre le challenger numéro 1 au titre de Raw dans un match NO-DQ. Je vais être un peu cru mais en gros, je suis un champion qui a des couilles. Et toi... C'est quand même le comble pour un mec qui a autant de conquêtes de ne pas disposer de testicules, tu ne penses pas ?


Rire général


Ziggler : Alors ouais, tu as gagné ce Fatal Four Way, on doit te l'accorder. Tu m'as même plutôt surpris pour ton comportement avec le ghanéen. Pour le coup, pour la première fois de ta vie, tu n'as pas volé ta place en Main-Event. Tu mérites de m'affronter. Maintenant que j'ai fait ma pause gentillesse, faut pas oublier que... tu restes un illuminé. Et que je suis meilleur que toi. Alors je vais reprendre les mots que tu as pu dire à de nombreux durant ton règne. « Profite bien de tes derniers instants de Lumière, car bientôt, tu retourneras dans l'ombre, John Morrison. »






Oh oh ! Cela va être très intéressant ! La Lumière de la WFA réagit aux paroles du champion et apparaît sous le titantron. Et il porte... un maillot à l'effigie de Ziggler champion ! Avec un large sourire, il secoue son doigt dans un geste de désapprobation vers Ziggler. On peut lire sur ces lèvres « petit chenapan ». Il avance le long de la rampe, roule une pelle à un cadreur et signe un autographe à une groupie, à moins que ce ne soit l'inverse, et se présente face au champion, toujours le sourire ultra-brite. Des deux mains, il applaudit vivement, Ziggler le regarde avec méfiance.


Morrison : Quelle victoire ! Il est là, le champion ! Un tonnerre d'applaudissements ! Ou plutôt... Un soleil d'applaudissements ! C'est pour moi, c'est cadeau !


Le public est partagé entre applaudir leur héros et huer le Shaman of Sexy.


Morrison : Mais dites-moi, c'est la Riggler Mania ! Tu fais chavirer les foules petit blond de pisse ! John Morrison t'a même fait un hommage en portant ce maillot. Il va bien à John Morrison, tu ne trouves pas ? Vous ne trouvez pas ?!


Cette fois-ci, le public hue clairement l'ex champion.


Morrison : Merci pour votre franchise, John Morrison sait qu'il est magnifique. Mais plus sérieusement... Connais-tu la définition d'un hommage mon cher Diggles ?

Ziggler : Tu vas sans doute me l'apprendre, mon cher Polisson.

Morrison : Avant d'être un animal marin qu'on déguste dans de très bons restaurants, un hommage est une célébration qu'on fait d'une chose ou d'une personne... passé. Un événement qui appartient au passé.

Ziggler : Plaît-il ?

Morrison : Laisse John Morrison t'expliquer. Tu vois... Cela. ( il pointe du doigt la ceinture ) C'est actuel. C'est le présent. Mais cela va disparaître à la vitesse de la Lumière. Cela sera bientôt... le passé.


La Lumière de la WFA retire ses lunettes de soleil et fixe Ziggler. Il a arrêté de sourire.


Morrison : Laisse John Morrison t'expliquer pourquoi cela sera le passé. Laisse John Morrison t'expliquer les grandes raisons. Premièrement, tu n'as pas ça.


Morrison retire le maillot à l'éffigie de Ziggler, crache dessus et le lance dans le public. L'arène conspue cette manœuvre et Ziggler réagit avec virulence.


Morrison : Tu n'as pas ce corps d'Apollon, ce corps lumineux. Mais passons, John Morrison n'est pas dupe Dolph Ziggler. John Morrison voit bien que tu fais mouiller certaines culottes. Alors laisse John Morrison t'expliquer ce qui le sépare clairement de toi.

Voilà un an entier que John Morrison est le Main-Event. Que sa Lumière illumine la WFA entière. John Morrison est Mister Money in the Bank. John Morrison est Mister Wrestlemania. John Morrison a battu tous les records en régnant 308 jours. John Morrison est la superstar la plus populaire de cette fédération, et je met au défi un seul de ces gens de dire le contraire ( bronca générale ). Tu veux savoir ce que tu es, Dolph Ziggler ? Tu es une copie pâle de John Morrison. Tu es le MOINS et je suis le PLUS.


Soyons réalistes, regarde toi. Tu te proclames Mister Wrestlemania mais personne ne s'est soucié de tes piètres victoires dans ce PPV jusqu'à que tu gagnes cette ceinture, sans me battre. John Morrison précise bien « sans me battre ». Tu te met en avant physiquement et tu te vantes d'être un chick magnet, mais tu n'as pas une once du charme de John Morrison. Et je peux encore continuer, longtemps et longtemps... C'est ça que vous voulez ? Vous voulez le MOINS ?!


Ziggler se rapproche dangereusement de Morrison, leurs fronts sont presque en contact. Le champion de la WFA semble très agacé.


Ziggler : Tu sais Morrison, je suis plutôt un gars réglo mais tu dépasses les limites... Si tu veux une cure de rappel, laisse moi te montrer ce dont je suis capable, ici et maintenant.

La tension est à son comble, l'arene tape des pieds, tout peut partir en feu d'artifice à tout moment. Soudain, Morrison éclate de rire, recule et remet ses lunettes, reprenant son attitude d'il y'a quelques instants.


Morrison : Allons Ziggies, allons ! Du calme ! John Morrison jouait avec toi ! John Morrison rigole, il sait que tu es un adversaire redoutable . Et que tu es... le champion de la WFA !! HIP HIP pour Ziggies !


La Greatness regarde le public avec enthousiasme, chante «  Let's go Ziggler » et imite la taunt d'Hulk Hogan pour faire réagir le public. Là aussi, un mélange étrange d'applaudissements et de huées se fait sentir.

Morrison : Tu vois Diggler, le public t'aime ! Et tu ne perdras pas tant qu'ils seront derrière toi, c'est sûr ! Pas vrai ? Impossible que tu les déçoivent, tu ne peux pas te le permettre ! C'est pourquoi John Morrison a du réfléchir à une tactique pour notre prochain affrontement. Bien sûr, John Morrison pourrait se contenter de son talent in-ring indéniable et de son charisme incroyable. Mais John Morrison a besoin d'un petit plus. Un petit plus non négligeable. John Morrison a trouvé la solution pour reprendre enfin son titre. Et la solution...


L'ex champion enlève ses lunettes, écarte les bras vers le public et lève la tête au ciel.


Morrison : La solution, c'est VOUS ! Oui, toi ! TOI ! TOI, TOI, TOI ! La Lumière de John Morrison est toujours puissante, elle est largement suffisante pour gagner dimanche mais John Morrison ne peut plus prendre de risques. La Lumière peut atteindre un niveau inimaginable. Nous pouvons créer, ensemble... La Cité de Lumière ! Rejoignez John Morrison !

Ziggler, éclatant de rire : Tu es sérieusement en train de leur demander de te soutenir ?


Morrison : John Morrison comprend votre enthousiasme pour ce jeune blondinet, mais vous ne pouvez pas vous satisfaire de cela... alors que vous avez John Morrison ! John Morrison vous pardonne pour ce réveil tardif, vous étiez hypnotisés, vous étiez dans l'ombre... John Morrison vous tend la main pour rejoindre la Lumière. Ensemble, tout devient possible. Batissons la Cité de Lumière ! La Cité de John Morrison !


Public : NO ! NO ! NO ! NO !

Morrison : LIGHT ! LIGHT ! LIGHT ! LIGHT !


SUPERKICK de Ziggler ! Wow, quel impact ! Morrison ne l'a pas vu venir, le champion de la WFA vient de sécher complètement son challenger sous les hourras de la foule. Mais il ne sourit absolument pas. Au contraire, le champion affiche un visage énervé, et regarde d'un air hautain le corps allongé de Morrison. Ziggler fixe avec le public avec cette même intensité... pour finalement sourire comme à l'habitude, la ceinture levée vers le ciel. Il quitte le ring sans lâcher des yeux Morrison, sans doute pressé d'en découdre avec lui à One Night Stand.

Quelques instants plus tard, Morrison se redresse, un peu sonné. Il se frotte le visage et les abdos, comme sali par la péripétie qui venait d'avoir lieu. Le public regarde le titantron car un segment est en train d'être diffusé. Morrison se lève et s'apprête à partir lorsqu'il décide finalement de rester, intrigué par un bruit qui monte. Là-bas, au fond, un groupe de smarts scande son nom. Le chant est repris dans plusieurs coins, ce qui crée un écho. Un écho assez fort pour être entendu dans toute l'arène. Des smarts. Mais aussi des femmes. Des hommes. Des enfants.

« Morrison ! Morrison ! Morrison ! »



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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyVen 11 Avr - 21:15

Chers bookers, no offense please  Very Happy 

Promo EoC







Justin Roberts: Ladies and gentlemen please welcome at this time, the two times WFA Hardcore champion Goldust, Vladimir Kozloz and the leader Dylan Alexander Remington, please welcome Equality of chance, EoC!

Les trois hommes se dirigent vers le ring visiblement énervés, ils sont applaudit par toute la foule alors qu'ils saluent Roberts en montant sur le ring. Un micro leur est alors tendu et c'est Dylan Alexander Remington qui prend la parole.


DAR: "Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, bonsoir! Vous avez devant vous un groupe qui a été blessé, qu'on a tenté de déchirer, mais qui est plus fort que jamais! Messieurs Goldust et Kozlov seront présents dimanche à One Night Only et en finiront une bonne fois pour toute avec la Wyatt Family! Ensuite nous nous arrangeront avec le talentueux Dean Ambrose et EoC sera forte! Equality of Chance ne mourra jamais et ce malgré tous les coups foireux que nos adversaires peuvent essayer de nous jouer! Nous pourrons plier, nous pourrons être vaincu, nous pourrons être mis au sol, mais jamais au grand jamais vous nous garderez au sol, Equality of Chance se relèvera toujours! Merci pour votre attention!"


Le public scande EoC EoC EoC, les trois hommes semblent vouloir quitter le ring, mais Goldust prend le micro des mains de DAR lui chuchotant quelque chose dans l'oreille. DAR semble surpris mais assez confiant.


Godlust: "Merci beaucoup Dylan, et je sais que nous n'avion que quelques minutes de consacré lors de cet émission, mais je vais me permettre d'en prendre quelques-unes de plus si tout le monde le veut bien, car il est plus que temps pour moi de vider mon sac! Et pour le vider, je vais le vider, ouvrez bien vos oreilles, ça va chauffer, et n'essayez pas de me faire taire chers partons, votre patron et moi sommes très proches, aucun risque qu'il accepte votre censure, de plus, tous les employés de la WFA sont supporters de EoC et ils n'accepteront pas de nous couper le micro. Asseyez-vous donc confortablement ça risque de prendre un bon moment!"


Le public semble surpris mais les chants EoC ne s'estompent que à la faveur des chants Goldust! DAR et Kozlov sont un peu surpris et le leader de EoC semble pensif!


Le public scande EoC EoC EoC, les trois hommes semblent vouloir quitter le ring, mais Goldust prend le micro des mains de DAR lui chuchotant quelque chose dans l'oreille. DAR semble surpris mais assez confiant.



Godlust: "Merci beaucoup Dylan, et je sais que nous n'avion que quelques minutes de consacré lors de cet émission, mais je vais me permettre d'en prendre quelques-unes de plus si tout le monde le veut bien, car il est plus que temps pour moi de vider mon sac! Et pour le vider, je vais le vider, ouvrez bien vos oreilles, ça va chauffer, et n'essayez pas de me faire taire chers partons, votre patron et moi sommes très proches, aucun risque qu'il accepte votre censure, de plus, tous les employés de la WFA sont supporters de EoC et ils n'accepteront pas de nous couper le micro. Asseyez-vous donc confortablement ça risque de prendre un bon moment!"



Le public semble surpris mais les chants EoC ne s'estompent qu’à la faveur des chants Goldust! DAR et Kozlov sont un peu surpris et le leader d’EoC semble pensif!
 
Goldust reprend la parole: "Alors alors, reprenons depuis le début. A qui est-ce que j'en veux? A la Wyatt Family? Pas particulièrement, ils essayent de se faire un nom ce qui est bien normal! A De Burchill? Evidemment que j'en veux à De Burchill, car il a attaqué mon ami, l'a trahit, nous l'a enlevé, mais son heure viendra, notre vengeance viendra! Les personnes à qui j'en veux vraiment sont les personnes qui ont laissé tout cela arriver, les personnes qui ont tout le pouvoir! Les trois personnes qui sont encore au-dessus de nos chères General Managers, vous savez très bien de qui je parle!"
 
Dylan Alexander Remington court vers Goldust et lui parle discrètement
 
Goldust: "Oh non je ne dirais pas de noms, nos fans ne sont pas stupides, ils savent très bien de qui je veux parler! Vous voyez, ce sont les gens qui depuis la création de Equality of Chance ne veulent pas que l'on réussisse! Remontons à la formation de notre groupe, lorsque tu n'étais pas connu sous ton vrai nom mais que tu étais Hornswoggle, obliger de te faire passer pour un nain stupide, pour un animal! Nous avons commencé à travailler dans l'ombre, à recruter les lutteurs dont la direction ne pensait pas qu'ils allaient un jour marcher, parce qu'ils étaient trop différents! Dès le début le patron nous a dit que pour lui nous n'étions que des clowns, loin des idéaux qu'étaient Chris Jericho et les précieux Edge et Undertaker! Il nous a condamnés à errer en Dark Match, à ne jamais rien gagner si ce n'est par disqualification. Nous avons pourtant réussi à gagner l'affection d'une partie du public et les rires de la majorité n'ont pas manqué de suivre! Nous avons recruté des beaux noms, le Big Show, Sheamus, Mark Henry, Katie Lea Burchill, Festus! Notre popularité a commencé à augmenter, cela n'a pas plu à la direction qui ne voulait pas que des abominations pareilles aient du succès! Nous avons alors été punis! Certains ont été virés, d'autres ont été séparés de EoC, personne n'a pu rester, sauf Dylan et moi, deux amis inséparables, même pour l'autorité!"
 
Le public chante "Rocky Sucks! Rocky Sucks! Rocky Sucks!"
 
Goldust: "Oh oui chère public, mais au moins il était assez honnête pour nous dire qu'il ne nous aimait pas! Les directions suivantes n'étaient pas mieux! Nous avons reformés EoC, fait de notre mieux pour en faire le meilleur groupe possible! Notre popularité était telle que nous avons enfin pu arrêter de jouer les méchants devant vous, nous avons aussi rencontré des amis qui le seront pour la vie, je pense à toi Tyson, je pense également à toi Vlad, et je pense évidemment également à toi Heath! Quel magnifique trio on a formé! Nous t'avons amené au Main Event! Mais tu faisais peur à la direction! Comme à chaque fois que EoC arrive trop proche du but! La direction t'as screwé je ne sais combien de fois, tu méritais ce titre putain!"
 
Dylan donne un coup derrière la tête de Goldust
 
Goldust: "Excusez-moi, je continue donc! On nous a déjà donc screwé hors de pas mal de titres, vous pourrez dire que nous pouvons nous estimer heureux d'avoir des titles shots et que beaucoup n'atteignent pas ce niveau, et bien vous avez raison, nous sommes heureux et fières d'avoir ces titles shots et vous savez pourquoi? Parce que nous avons dû nous battre pendant des années pour les avoir!"
 
Le public hurle dans tous les sens, la salle devient dur à tenir, les matchs qui passeront après auront du mal à gérer ce public!
 
Goldust: "Je parlais tout à l'heure de la direction actuelle qui est encore pire que les précédentes, et vous savez pourquoi? Je vais vous donner des exemples. Premier exemple, nous avons recruté des sacrés lutteurs que nous avons aidé à s'améliorer, il y en a un que nous avons voulu aider depuis le début, je vous parle évidement de Mensah X! Sa cause est très juste et nous voulions le soutenir car ses méthodes n'étaient pas les bonnes, nous avons donc demandé à la direction si on pouvait s'associer à lui. Vous savez ce que la direction nous a répondu? Non elle ne nous a pas répondu non en nous riant au visage, elle a fait pire, elle nous a dit que l'idée était bonne et qu'on ferait sa quand la feud de Mensah serait terminée. Pendant plus d'un an elle nous a répété que ce serait pour bientôt, plus d'un an!"
 
Goldust ramasse la ceinture hardcore et la redresse sur sa poitrine
 
Goldust: "Ensuite, il y a un bon bout de temps maintenant, nous avons lancé un concept, EoC Boomerang! Un talk-show pour que les membres de la WFA puissent donner leur avis en plein raw ou smackdown, la direction nous a même offert un beau titantron et une musique d'entrée pour le show! Vous savez combien de fois nous avons pu animer cette émission? Une seule fois! La WFA a peur de ce que les gens peuvent dire quand ils ont la plateforme pour! Continuons parce qu'il reste beaucoup de chose! Vous voyez cette ceinture que j'arbore fièrement? Vous savez combien d'année j'ai dû attendre pour avoir un title shot? Combien d'année j'ai dû attendre pour avoir une ceinture? J'étais la pratiquement depuis la création de la WFA! J'ai dû attendre jusqu'à il y a six mois pour enfin avoir un titre! PLUS DE QUATRE ANS! Et tout ça pour quoi? Pour qu'on me reprenne ma ceinture une semaine plus tard!"
 
Public: "You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap  You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap  You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap  You screwed Goldy! Clap clap clapclapclap !"
 
Goldust: "Merci les gars, vous êtes les seuls sur qui on peut toujours compter! Vous savez ce qui m'énerve encore plus? J'ai croisé le manager de CM Punk un peu plus tôt, vous savez le gars qui se plaint des gens qui reviennent et qui ont des titles shot en en ayant lui-même un dès son retour, vous savez le gars qui est censé être THE VOICE OF THE VOICELESS, enfin son manager m'a dit qu'il était pas vraiment près pour son match et qu'il ne croyait pas avoir la moindre chance etc etc, MEC, j'ai attendu quatre ans, donne le moi ton title shot, donne le à un des jeunes loups dans les vestiaires qui a faim de titre, on se bat jour après jour pour ça, parfois pendant des années, c'est honteux de gaspiller ça et de faire comme si ce n'était rien!"
 
Public: "CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS! CM SUCKS!"
 
Goldust: "Les fans sont vraiment incroyable! D'ailleurs merci pour tous vos achats de produits, c'est ce qui force la WFA a nous laisser du temps d'antenne! Bon maintenant que Heath est plus là vous êtes forcé d'acheter des trucs d'aussi mauvais gout que leur tshirt avec nous trois dessus avec écrit "Two and a Half Men" dessus, très fin WFA, très fin! On n’est pas une blague! On est là pour rester! Vous savez le pire de tout ce que cette direction nous a fait? Quelques semaines avant Wrestelmania encore, nous étions inquiet pour Heath dont le contrat arrivait à son terme peut après le Pay per view, nous avons donc discuté avec la direction et vous savez ce qu'ils ont OSE nous dire? Ils nous ont dit: "On adore votre trio, t'inquiètes on va jamais les séparer, on veut que le trio reste fort et uni!" le tout en virant Heath quelques semaines plus tard! BANDE D'ORDURES!"
 
Le public hue de toutes ces forces, la prochaine figure d'autorité à sortir son nez du backstage risque de passer une très très mauvais 1/4 d'heure!
 
Goldust: "C'est pour ça que nous allons désormais nous venger, vous voulez qu'on oublie le passé de Vlad? Les fans ne sont pas cons, Vlad a un magnifique passé à la WFA que personne ne peut oublier! Vous voulez qu'on reste gentiment en lowcard avec parfois une percé en midcard? I'm sorry I've got some bad news! EoC va recruter, EoC va s'imposer, EoC va gagner des titres, EoC va saboter De Burchill, EoC va massacrer les Wyatts, Goldust va gagner le Money in the Bank et le visage d'EoC cette fraction qui vous ennuie tant va remporter votre titre majeur et devenir le visage de cette fédération, DEAL WITH IT!"
 
Goldust et le reste d'EoC quitte le ring et sortent par le public sous une ovation incroyable d'une foule qui répète les trois lettres encore et encore et encore et encore!




_________________
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Pool catch:
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Xavier Woods - Rollins -Big Cass - AJ Styles - Alberto Del Rio - Ambrose
Heath Slater - Jack Swagger - Erick Rowan - Kane
Becky Lynch Paige
Alexander Wolfe

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyVen 11 Avr - 21:24

Je fais un pitit comm' pour l'ami Show, pour préciser, même si je ne pense pas qu'il y en ait besoin, à mes ex coullègues bookers qu'étant concerné (ainsi que mes kamarades de ces époques) directement par certains propos tenus par Goldust dans la promo que je n'ai pas pris les attaques personnellement, et que Show' a jugé bon de me faire partager sa promo par mp avant de la publier. Je me permets donc de copier ici une partie de ce que je lui ai répondu (ouais je passe sur mes conneries habituelles et mon "jugement plus précis" sur la qualité de la promo lol)


"

Et le pire là dedans c'est que tout est vrai  lol  !

Donc, non je ne me vexe pas, EoC boomerang, Mensah-X et tout ça fait partie des choses dont on a parlé et qu'on n'a pas réalisé, et la promo est, à mon sens, suffisamment bien écrite pour ne pas prendre les choses personnellement.  "

Ps : j'ai pas lu toutes les promos cette fois les mecs, j'ai pas eu le temps Razz

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyVen 11 Avr - 21:58

Promo Psychedelic Warlords


(je précise que la promo a bien été écrite à quatre mains et presque un cerveau entier ! )



L'inspecteur Roode était un bon flic... du moins un efficace. Il a ses méthodes et sait calmer les gros dur et les barjots. Sûrement pour ça qu'on l'a mis sur cette affaire. Un vol avec violence, pas de mort, mais les victimes en sortait toujours avec de gros bobo... et ce n'était que le dernier d'une longue série.
Toujours le même procédé, les deux individus rentrent dans un des nombreux fast-food/Station service de WFA City et commencent à maltraiter les employés voir les clients, repartent avec quelques articles de la station et prennent la poudre d'escampette en volant à chaque fois un véhicule différent.

L'inspecteur se roula une vielle clope, celle qui vous graisse les poumons avant même de l'avoir allumé, puis but son café maintenant froid qui traînait dans sa portière... noir le café bien sûr. Noir comme les nuits à WFA City, noir comme un jazz mélancolique qui remue les tripes et réveilles les pulsions... et les regrets... aux choix.
Mais là on était loin de la city, en pleine cambrousse, sur l'auto-route... loin de tout. L'inspecteur remit la portière de sa voiture en place... elle avait la fâcheuse tendance à tomber toute seule ces derniers temps. Ça serait embêtant que ça le fasse en plein milieux de la route, son café risquerait de se renverser.

Le Fast-food/Station service s'appelle "El cactus abundante en caza". Ils font la meilleure choucroute frite de tout le patelin de ce qu'en dit la publicité. Le clochard sur lequel avait roulé l'inspecteur en se garant le lui avait confirmé. Le pauvre homme fouillait les poubelles de l'établissement tous les soirs afin de se nourrir des restes, triant dans les déchets afin de ne pas tomber sur les pilules de cyanure afin d'éviter une vilaine crise de foie.
Les pilules de cyanures dans les poubelles de fast-food/Station service, une nouvelle brillante idée du Maire Dibiase... dire que c'est ce mec qui paye son salaire. Pauvre vieux clodo', aux moins c'est pas une de ses saloperies qui l'aurait tué. Ouais ça mettait l'inspecteur de bonne humeur ça tiens.

"Aller au boulot." Fit l'inspecteur en enjambant le cadavre du pauvre SDF.

L'endroit était banal. Un Fast-food/Station service banal, sur une air d'autoroute banale, et en face de lui en train d'empêcher de saigner son gros nez avec du papier toilette bon marché de la marque Curtis Axel, un pauvre employé de Fast-food station service banal, dans un costume de cactus mexicain banal.

"Allez y l'ami. Dites moi ce que vous avez vu."

"J'ai vu que vous avez écraser ce vieux Bill. C'est dommage il était sympa. Je remplaçais les pilules de cyanures par de la mort au rat parfois pour lui éviter une indigestion. Maintenant il est mort, c'est triste, mais ça prouve que vous êtes un bon flic au moins."

"Pas un bon, un efficace. Mais parlez moi plutôt de ce nez."

"Un nez classique, toutes les pièces sont d'époques, mais on me l'a saccagé, ainsi que mon magasin."

"Rien n'a été volé ?"

"Quatre boite de choucroutes frites ( les meilleures du patelin ), une brochure pour le parc d'attraction "Bear Pit Splash" ( notre partenaire commercial ), et une boite de chocolat Suisse de la marque Cesaro. Enfin ils ont arraché la porte de nos toilettes extérieures, puis ce sont enfuit avec la décapotable d'un client, un encravaté nerveux avec un attaché caisse tout ce qu'il y a de plus banal dans ce patelin banal. Vous savez ceux qui font un métier dont vous ne savez rien sinon qu'il les fait transpirer et paniquer et qui ne vous intéresse pas plus que ça."

"Hum..."

L'inspecteur tourna la tête vers la vitre donnant sur le parking... ils étaient encore là. Ça faisait plusieurs Fast-food/Stations services qu'ils suivaient l'inspecteur. Deux hommes en chemise Hawaïennes, un grand avec une coupe afro' et un petit gros, laid avec un gros nez. L'inspecteur avec son flair légendaire les repérait toujours. Le petit gros souvent ivre rentrait dans la bagnole de l'inspecteur à chaque fois, ce qui avait pour conséquence de mettre la puce à l'oreille de l'homme de loi. Ils le suivaient... mais pourquoi bon sang ?

Hum... Un problème à la fois. D'abord les deux barbus. Le "Bear Pit Splash" hein ? Peut-être une piste à suivre ? Peut-être la prochaine destination de nos deux lascars ? Sûrement que les deux en chemises hawaïennes le suivrait en douce comme ils le font à chaque fois également ? Tant de questions... et pis l'employé qui commence à foutre du sang partout sur le comptoir merde... le PQ Curtis Axel c'est plus ce que c'était. Dans le temps il avait réussi à étrangler un manifestant juste avec un rouleau... misère... tout se perd dans cette ville corrompue, même le bon papier toilette.

Après avoir mis une tarte à l'employé pour lui apprendre à saigner sur son lieux de travail et qui plus est sur les lieux d'une enquête l'inspecteur posa une dernière question.

"Et comment ils ont dit qu'ils s'appelaient... cette fois ?"

"Joseph Staline et Baruch Spinoza"


**********


Sur la route, un peu plus loin, la décapotable de Staline et Spinoza, alias Ohno et Rowan soulevait un nuage de poussière en roulant dans le désert. Ohno était au volant, cheveux aux vents, probablement parce qu'ils avaient brisé les vitres de la décapotable (ou pas). Il portait des lunettes de soleil de la marque Slatie, parce qu'il n'y avait que ça dans les fast-food de la région. A ses côtés, Rowan venait de finir la boîte de chocolats suisses Cesaro. Il les jeta sur un enfant au bord de la route, ou un cactus, il n'aurait su dire et en plus il s'en foutait.

Erick :  Cher ami que penses-tu qu'il y ait dans cette mallette  ?

Kassius :  Je ne sais pas qu'est-ce que tu y as rangé  ?!

Erick :  Je crois que j'y avais laisser un exemplaire du petit livre rouge et noir de Jeanne Mas, mais j'imagine que ce mauvais opium du peuple aura plu à cet infâme propriétaire d'El sombrero de la plata del mar ".

Kassius :  D'où  ?

Erick :  Tu sais, là où on a acheté les quatre choucroutes, la brochure et la boîte de raviolis suisses. Elles n'étaient pas bonnes d'ailleurs. Arrière goût de chocolat.

Kassius :  S'foutu pays fout l'cas si on peut même plus trouver une vraie bonne boite de raviolis suisses  !

Erick :  Ouais ! Et tu sais d'où ça vient ça  ?

Kassius :  Non  !

Erick :  C'est à cause de tous ces connards du gouvernement. Ils se disent, ouais les mecs on leur donne des raviolis avec un goût de chocolat et bam, on s'habitue à tout et on croit plus en rien et là c'est le monde qui part en couille. Les gens ils ont peur, ils se méfient, et du coup ils demandent plus de sécurité, et ils s'habituent à voir des flics partout, à être contrôlé pour un oui et pour non ! Et boom on se retrouve avec cette foutue dictature sans s'en rendre compte ! Parce que c'est qui le plus grand fournisseur de cette dope qu'on appelle la peur hein ? C'est c't'enculé d'état ! Et qui c'est qui fournit le plus de quoi lutter contre la dope hein ? c'est c't'enculé d'état !

Kassius :  On devrait allez leur casser la gueule !

Erick :  Ouais, partons au capitole, ils vont voir de quels bois nous nous chauffons  !

Kassius :  Parfait ! Allons au "Bear Pit Splash" !

Erick :  Ouais ! Allons-y !

Kassius :  Hey Erick, tu sais ce qu'il y a dans cette mallette  ?

Erick :  Je ne sais pas, c'est mon arrière grand père qui me l'a léguée en me disant de ne surtout jamais l'ouvrir .

Kassius :  Tu crois qu'il y a de la came dedans  ?

Erick :  Nan j'pense pas. Il a voulu se faire enterrer on n'a pas pu avoir de cendres du coup .

Kassius :  Ah ouais... putain il est où ce "Bear Pit Splash !

Erick consulte la carte, le plan est on ne peut plus simple, on ne peut plus clair.

Erick :  Je ne comprends rien, je pense qu'on devrait s'arrêter gentiment au prochain Fast-Food, on trouvera sûrement un gentleman pour nous expliquer la route  .

Kassius :  Parfait  !

Erick :  Mais cette fois on ne part pas sans payer  !

Kassius :  D'accord, mais si quelqu'un me regarde de travers je le défonce  !

Erick :  Evidemment.

Kassius :  Oh putain Erick  !

Erick :  Quoi ?!

Kassius :  Y'a une mallette dans la voiture  !

Erick :  Sapristi fonce ! Il faut qu'on trouve un devin pour pouvoir l'opérer  !

La décapotable vient se garer sur le parking d'une autre station service fast-food, manquant de peu d'écraser un petit chat borgne avec un bandeau de pirate.
Les deux hommes descendent de la voiture et jettent un œil aux alentours. Des pompes à essences, des toilettes extérieures et un fast food aux nom évocateur : "Aux grands esprits de Tatanka ! Cassoulet frite à emporter !"

Erick : Typiquement amérindien.

Kassius : Bon on rentre ? J'ai faim moi. Pis y faut qu'on découvre le mystère de cette mallette qu'on a trouvé dans un bunker nazi.

Erick : On ne l'avait pas trouvée dans une voiture.

Kassius : Un bunker, une voiture, ne joue pas sur les mots Erick ! De toute façon c'était sûrement nazi.

Erick : Je te prie de ne pas m'appeler par mon prénom. Il est temps de changer d'identité d'ailleurs.

Kassius : 'Tain ! J'ai faillis oublié ! Bien vu part'naire.

Rowan ouvre une encyclopédie datant du début XX ème alors qu'Ohno de son côté farfouille nerveusement un magazine people avec son doigt.
Une fois prêts, les deux hommes firent leur entrée dans le fast-food. En face d'eux un comptoir derrière lequel se trouvait un jeune stagiaire grimé en indien des villages people. A côté un homme obèse était en train de manger très salement sa portion de cassoulet frite sans prêter aucune attention aux deux hommes qui viennent de rentrer. Et sur les côtés un présentoir regroupant cahier de coloriage pour les petits et juste en dessous, plus faciles d’accès, des cassettes vidéos "Melina a des croûtes" triste destin pour l'ancienne femme de John Morrison, mais il parait que ses films s’arrache donc... Sur l'autre présentoir d'authentique tambours de guerre amérindiens, fabriqués par d'authentiques ouvriers chinois de la firme "Dibiase&Burchill". Enfin affiché sur un mur la photo du plus gros mangeur de cassoulet frite jamais passé dans l'établissement... C... Curtis...Axel... Jamais entendu parlé de ce gars là, mais il a l'air heureux d'avoir fait péter le record sur cette photo en tout cas.

Les deux hommes s’approchent finalement du comptoir, le vendeur leur lançant un regard inquiet reste néanmoins commercial.

Vendeur : Oh peuchère ! Bienvenue "Aux grands esprits de Tatanka !" visageuh paleuh ! Je suis petit "Petite violette de prairie con" et je vous souhaite la bienvenue dans mon modeste établissement. Puisse le grand esprit de Tatanka vous apporter prospérité et tout le tralala...

Kassius : Hey vous avez un super chapeau ! Je me demande combien d'innocents coussin il a fallu éventrer pour se faire un couvre chef pareil.

Erick : Ne manquons pas à tout nos devoirs ami. Petite violette qui sent la rose a eu la courtoisie de se présenter, faisons donc de même. Je suis Max Weber...

Kassius : Je suis Lindsay Lohan.

Vendeur : Si vous le dites...

Kassius : Du coup... vot' chapeau là, vous les trouvez où ?

Vendeur : Chaque étudiant de l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" en reçoit un. Mais bonne mèreuh assez parlé de moi, que puis je faire pour vous ?

Erick : Tu viens d'éveiller ma curiosité face de terre cuite, qu'est ce que c'est que l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" ?

Kassius : Oh oui répond donc à Weber coyote à foie jaune, moi je vais aller tenir compagnie au gros lard qui mange là bas. Ces bruits de succions me rendent tout nerveux, je crois que je vais lui apprendre à manger en silence.

Vendeur : Et bien c'est bien simple con, l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" c'est l'endroit où tous les employés de la compagnie du "Grand esprit de Tatanka Fast-food" apprennent les tenants, les aboutissants, les plus, les moins, les trop, les pas assez et tous les autres éléments du fascinant phénomène culturel, gastronomique et de société qu'est la gamme de fast-food du "Grand esprit de Tatanka". Et en sus un stage est offert sur les terres sacré de mes ancêtres dans l'ancienne réserve indienne de Toulouse. Stage intensif où l'on vous apprend le touillage de cassoulet, à appuyer sur les bon boutons de la friteuse et le plus important l'ouverture des boites de cassoulet.

Erick : C'est fascinant ! Fit Rowan en se caressant la barbe.

Kassius : Non ! Pas du tout. Fit Ohno en fracassant la tête du gros lard contre le comptoir.

Erick : Soit aimable Lindsay. Cet homme mérite le respect, il a suivi un entraînement vraiment intense c'est impressionnant.

Vendeur : C'est vrai mademoiselle Lohan, d'ailleurs sachez que je peux ouvrir n'importe quelle boite de cassoulet dans cette ville.

Kassius : M'en fout !

Erick : C'est impressionnant !

Vendeur : Bon maintenant comment puis je mettre a votre service ses longues années d'études ?

Kassius : En la fermant et en nous donnant le contenu de ce qu'il se trouve dans le tiroir caisse.

Vendeur : *soupir* Vous ne pouvez pas savoir le nombre de gens qui me répondent ça monsieur Weber.

Erick : J'en suis navré mon ami.

Vendeur : Y a pas de mal con !

Mais alors que nos deux amis allaient pour partir avec la caisse, les portes du Fast Food s'ouvrent avec fracas !

Bobby Roode : POLICE ! QUE PERSONNE NE BOUGE !

Kassius : BORDEL ! LE SHERIFF !

Erick : Vite Lindsay ! Sautons par la fenêtre !

L'idée ne manquait pas de ressource, d'autant que la sortie était entravée par le farouche policier. Hélas au fast-food du "Grand esprit de Tatanka" on a l'habitude de trois choses, les intoxications alimentaires, les plaintes diverses et variées, et les fusillades, ce qui explique donc que nos deux héros se soient assommés en se fracassant la tête contre la vitre, les mettant dans un état comateux, à la merci du vilain policier.

Bobby Roode : Je vous tiens gredins ! Vous allez payer pour vos crimes... tiens ? Qu'est ce que c'est que cette valise ?

Carlito : Pas touche à ça poulet !

Joe : Burps ! Ouais pas poule n'a touche là !

Bobby Roode : Damnation !

Joe : 'ch'té moi c Joe... Samoa Joe !

Carlito : Je t'ai déjà dit que Samoa c'était un pays pas un nom.

Joe : Kwah ?

Carlito : Laisse tomber !

Joe : Kwah ?

Carlito : Nan c'est au flic que je parle ! Laisse tomber la mallette !

Bobby Roode : Je n'ai pas l'habitude de laisser tomber pour des inconnus.

Carlito : Hey Joe t'entends ça, le flic me prend pour Pascal Legitimus !

Bobby Roode : Oh non ! Je sais qui tu es... tu es le pire revendeur d'alcool frelaté de l'île de Ré ! Tu es... Carlito !

Carlito : Ouais enfin en même temps c'est écrit avant que je parle depuis tout à l'heure t'as aucun mérite poulet !

Bobby Roode : Quoi ?

Carlito : Laisse tomber !

Joe : Hey Carlito y'a l'd'eux v'leurs qui s'réveillent !

Bobby Roode : Laissez la police faire son travail !

Joe : On pe'pas l'flicaillon, passceque t'vois les deux tant' là zont enl'vé la valiz où c'est qu'y'a les clefs qui déliv' Sara !

Carlito : Et puis ils ont aussi enlevé Sara mais apparemment ils s'en rappellent pas ces deux crétins !

Kassius "Lindsay Lohan" Ohno se jette alors sur Bobby Roode qui s'était emparé de la mallette et la lui dérobe à la volée tandis que Erick "Max Weber" Rowan aménage une sortie en balançant une boîte de cassoulet à travers la vitre (comme quoi il faut vraiment faire attention en ouvrant une boite de cassoulet. Mais laissons la place à Troy McClure pour vous parler des dangers des boîtes de cassoulet

Troy McClure : Bonjour je suis Troy McClure, vous m'avez déjà vue dans des vidéos de prévention comme "attention à ton anus, ce n'est pas un tire-bouchon" ou " Quand Hulk Hogan te dit de prendre des vitamines, il ne parle pas de mineures thaïlandaises monsieur le touriste allemand" et si j'interviens dans cette promotion c'est pour vous parler des dangers de l'ouverture d'une boîte de cassoulet. En effet, pour ouvrir une boîte de cassoulet, il faut, à l'instar de Petite violette de carrousel des années d'études, des années d'entraînement et une résistance à toute épreuve. N'oubliez pas les enfants, n'essayer pas ça chez vous ou à l'école, dans la rue oui, mais chez vous ou à l'école non. )

Erick Rowan et Kassius Ohno, valise en main se jettent dans la première voiture venue.

Erick :  Fonce Kassius fonce ! Tu avais raison ces enfoirés de Francs-Maçons sont à nos trousses  !

Kassius : Putain la voiture démarre pas !

Kassius donne un grand coup de poing dans la voiture, appuyant sur le klaxon. Sur la banquette arrière un homme de petite taille (bon un nain ok) se réveille en sursaut.

Nain : Bonjour je suis Dylan Alexander Remington, chauffeur et maître à penser, pour vous servir !

Erick : " Utilise-le Kassius ! Il doit nous servir pour démarrer la voiture ! J'pense que c'est un genre de quête " !

Kassius utilise DAR en le fracassant contre le volant. Comme cette promo n'est fondée sur aucune base technique, la voiture démarre en trombe. Derrière eux, Carlito et Joe se lancent à la poursuite des mallettenappeurs suivis eux-même par Bobby "Dame Nation" Roode ainsi que "petite violette truculente" qui tient absolument à se faire payer la boîte de cassoulet (la vitre il s'en fout mais on plaisante pas avec un cassoulet) !

La route étant leur domaine, Kassius et Erick s'enfuient à vive allure, poursuivis par trois véhicules, puis seulement deux lorsque Bobby Roode met une contravention à "petite violette qui serre les fesses" pour "personnage sans importance qui tente de s'incruster trop longtemps dans l'histoire" obligeant ce dernier à renoncer à se faire rembourser. Les deux amoureux des pilules guidés par leur instinct (ou kit le gps de la voiture (le deuxième mec qui était assis derrière à côté de DAR, Heath Slater))  arrivent finalement au Bear Pit Splash. Le parking est désert, et le parc s'avère en fait être une vieille ferme en bois. Néanmoins, une guitoune avec "entrée" écrit dessus en gros est installée devant l'entrée de la ferme. Kassius et Erick prennent leur valise et leur GPS avec eux ne songeant même pas à simplement faire le tour de la ferme à pied pour profiter de la grande attraction locale.

Kassius : Salut je suis Antonio

Erick : Et moi Langston

Slater : Arrêtez-vous, vous êtes arrivés.

Guichetier : Et moi je ne suis pas Mister Anderson et je ne vous souhaite pas bonjour. Quant à moi je suis Mister Anderson et je vous souhaite la bienvenue dans ce parc. Moi par contre j'en ai rien à foutre. De mon côté je pense que l'ignorance est la cause de toutes les peurs. Moi je pense le contraire. Je suis d'accord avec lui ! Pas moi !

Erick : Excusez-moi...

Mister Anderson : Vous voyez bien que nous sommes occupés là !

Erick : C'est-à-dire que...

Mister Anderson : Veuillez patienter s'il vous plaît !

Slater : Arrêtez-vous, vous êtes arrivés.

Kassius : Putain mais tu vas la fermer espèce d'enfoiré et nous filer des billets d'entrées où ta ferme je te la fais cramer moi !

Erick : Allons, allons Antonio, nous sommes des gens civilisés, nous ne brûlerons pas sa ferme, nous le brûlerons lui, c'est plus correct, sa ferme ne nous a rien fait après tout !

Mister Anderson : Vous avez le laissé passé A-38 ?

Kassius : Non mais nous avons un GPS.

Mister Anderson : Hum, je le prends, il fera un très bon mari pour ma cousine.

Kassius : Super...

Erick : Comme c'est intéressant ! Et qui est donc votre cousine ?

Mister Anderson : C'est moi !

Erick : Je suis enchanté !

Mister Anderson : Moi aussi. Vous savez mon cousin ne me laisse que rarement parler à des étrangers.

Kassius : Bon on le visite ce bouge !

Erick : Pardonnez mon ami mademoiselle mais il semblerait qu'il soit pressé.

Erick confie donc Slater aux bons soins de Mister Anderson (plus personne ne revit jamais Heath après ces évènements) tandis que Kassius et la mallette se dirigent vers l'entrée de la ferme. Un homme aux cheveux hirsutes se balance sur une chaise, à ses côtés, un autre homme à la coiffure au goût douteux est assis devant l'entrée et joue du banjo.


Kassius :  Bon l'est où l'entrée  !

Bouseux au banjo :  Dans ton cul  !

Kassius :  Mais je vais lui refaire le portrait à cet espèce d'enc...

Erick :  Ce que mon ami veut dire c'est qu'il serait plus approprié de ne pas nous insulter sous peine de subir incessamment sous peu notre juste courroux  !

Kassius :  Je pensais à lui latter la gueule en fait  .

Erick :  Oui c'est ce que j'ai dit.

Kassius : Langston tu es chiant avec tes phrases à rallonge.

Bouseux sur la chaise : Mon nom est Bray Wyatt, et lui c'est Sami Callihan. Il est pas méchant mais il aime la bagarre vous voyez. Et il aime pas les étrangers. Et vous, vous êtes des étrangers.

Kassius : Avec des tickets pour l'attraction !

Bray : Ce ticket n'est pas un bouclier mon frère, ah ah ah, allez Sami, vas jouer avec Justin ! Hey Justin magne-toi !

Un petit bonhomme tout rabougri sort en trombe de la ferme et se fait sauter dessus par Callihan qui lui éclate le banjo sur la tête avant de le projeter contre les murs puis de disparaître dans des hurlements à l'intérieur de la ferme.

Bray : Fais attention à ton jouet Sami ! Ah les enfants, vous savez ce que c'est, ils cassent tous leurs jouets. Après on est obligé de leur en trouver un autre. C'est déjà son dixième Justin du mois.

Kassius : J'en ai franchement rien à foutre.

Bray : Je vois... nos histoires ne vous intéresse pas, hein étrangers ?

Erick : Moi si ça m'int...

Kassius : Non.

Bray : Vous êtes là pour l'ours alors ? Dommage, je vous aurai bien raconter la foi où ma famille et moi on s'en est pris à une famille qui croyait en l'égalité de tous, qui croyait que les monstres en fait étaient gentils ah ah ah, ces imbéciles n'avaient pas quitté l'enfance, mais une fois devenus des Justin, ils ont beaucoup moins ri ah ah ah.

Kassius : Vous parlez trop.

Bray : Si vous le dîtes, faîtes le tour, la fosse à ours est juste derrière la ferme. Par contre faîtes attention, pas plus de deux couleurs de cheveux différentes au bout de l'élastique. C'est très important.

Aidé par Bray, qui les quitte rapidement, Kassius et Erick font du saut à l'élastique dans la fosse au grizzly qui tente, vainement, de les attraper à chaque passage. Quant tout à coup, sans avoir pris de tickets, Carlito et Samoe Joe arrivent devant la fosse à leur tour.

Carlito : Ah ah on vous tient bande de cons !

Joe : Burp !

Carlito : Merde ils s'enfuient !

Joe : Burp ! (désappointé )

Carlito : Ah les revoilà !

Joe : ch'p'ons-les !

Carlito : Oh non ! Ils sont repartis !

Joe : 'chier !

Carlito : Ah ah vous êtes finalement revenus !

La scène dure ainsi un long moment au gré des secousses de l'élastique jusqu'à ce que finalement les alcooliques se jettent sur celui-ci. Ce dernier semble supporter le poids des quatre hommes... mais il lâche finalement.

Bray : Je vous l'avais dit, pas plus de deux couleurs de cheveux ah ah ah ah ! Il est temps de danser avec le diable maintenant ! Sami, Andy, musique !


Les quatre hommes sont pris au piège. Le grizzly s'avance lentement. Momentanément, les alcooliques et les drogués oublient leur rivalité et se regroupent. Erick et Carlito proposent de réfléchir à un plan d'action. Dès lors, Kassius se jette sur l'ours ! Coup de la patte à linge ! Kassius a littéralement fait un 360° ! Samoa Joe ! Il se jette à son tour... Bearplex ! Bearplex ! C'est bien envoyé ! Kassius dans le dos de l'ours tente un sleeperhorld ! Mais le grizzly se baisse et Bearlbow drop ! Quel choc ! Joe se relève à son tour... Bearkick ! Bearkick ! Samoa Joe et Kassius Ohno sont dépassés par la force du massif ursidé !

Au-dessus de la fosse, la musique cesse car l'inspecteur Roode est arrivé, sans se presser, à la ferme parc d'attraction. Il observe le grizzly éclater les deux bandits. Sentant la pluie arrivée, il renfile son imper, visse son chapeau sur sa tête, et estimant que les quatre abrutis n'en avaient plus longtemps à vivre, allume son cigare qui signifie que l'enquête est résolue.

Bobby : Bon les Wyatt... vous êtes encore en infraction...

Sami : Hey ce que je fais de mes Justin ne vous...

Bray, le coupant : Monsieur l'agent ne parle pas des Justin, Sami. Pas vrai m'sieur l'agent ?

Bobby : Non en effet, vous avez le droit de manger du saucisson. Non je parle de ça (il désigne la fosse). Il est prohibé de nourrir les ursidés. Après ils s'habituent à la présence de l'homme et attaquent les campeurs. Alors vous serez bien gentil de venir demain au poste avec 500 dollars en liquide, j'voudrai offrir des études à mon gamin, si vous voulez pas d'ennuis.

Bray : Pas d'problème m'sieur l'agent !

Fier de lui, sûr d'avoir résolu une affaire, non en fait ça il s'en foutait, sûr de toucher ses biftons pour aller se payer une nuit avec des prostituées, l'inspecteur Roode pouvait envisager avec plus de tranquillité le week end qui s'annonçait. Il ne savait pas, qu'en ville, un gang avait utiliser un peu trop de ses flingues et fait de lui le dernier sherrif de la région et des faubourgs alentours (et qu'il n'aurait donc pas le temps d'aller aux putes le pauvre homme).

Dans la fosse, le grizzly avait pris le dessus sur Samoa Joe et Kassius Ohno grâce à son finisher, le Free-Hugs (...) . Carlito, a alors un éclair de génie et donne une pomme à l'ours qui la prend de bonne grâce, lui, qui n'aimait pas les fruits, mais à qui personne n'avait jamais rien offert. Enfin il rencontrait un ami, un frère, l'ours, qui n'avait même pas de nom allait verser une larme de joie lorsqu'Erick jeta dans sa gueule ouverte pour croquer la pomme une des pilules que Kassius et lui prenaient régulièrement pour éviter que des extra-terrestres s'emparent de leurs corps. L'ours commence à zigzaguer... il plane ! Non il vole ! Kassius et Erick s'en doutaient et sautent sur le dos de l'animal à propulsion gazeuse. Grâce au pouvoir des pilules anti-extraterrestres, l'ursidé pète des arcs-en-ciel... et c'est beau ! Sur leur monture, les deux hommes s'enfuient vers l'horizon laissant une traînée multicolore sur leur passage.

Kassius, Erick et l'ours entament alors ensemble une magnifique chanson en s'éloignant.


Plus bas, dans la fosse, désertée par les Wyatt partis chasser un nouveau Justin, l'ancien ayant cassé (mais ce n'est pas la faute de Sami).

Carlito : Et voilà, Joe, on retrouvera jamais Sara...

Joe : Pauv' Sara...

Carlito : On a récupéré la valise vu que les deux cons l'ont oubliée mais...

Joe : zont pas dit où l'ont m'née la Sara !

Carlito : Eh non...

"Mais qu'est-ce que vous faîtes là bande de cons " ?

Carlito et Joe : Sara ?

Sara : Ben évidemment ! Qui vous voulez que ce soit ? Le pape ! ça fait trois jours que je vous cherche ! J'suis tombée sur des gentils fermiers qui agressaient un mec à lunette, et ils m'ont dit que vous étiez là. Vous êtes parti sans moi du bar ! J'étais juste partie aux toilettes... je reviens... et vous avez disparu ! Les vitres étaient brisées et tout, j'ai demandé ce qui c'était passé et on m'a dit que vous vous étiez bagarrés avec deux mecs, Gomez et Dubois j'sais pas quoi là !

Carlito : Mais ? Ils t'avaient pas kidnappé tic et tac ?

Sara : Ben non !

Joe : J'crois qu'on 'vait 'core trop bu Carl' !

Carlito : Nous ? Boire trop ! Impossible !

Joe : J'sé ! S'quand t'as bu d'l'eau sans pastis, ça a foutu la merd' dans not' tête !

Carlito : Ah bah je me disais aussi...

Sara : Nan mais ils avaient bien enlevé quelqu'un, mais c'était pas moi. C'était une blonde, une certaine Goldust. Mais apparemment ils l'ont oublié dans une voiture devant un fast-food.

Carlito : ...

Joe : Mais 'lors la valise ?

Le samoan s'approche de la valise oubliée par les deux drogués quand...

" Non ne l'ouvrez surtout pas " !

Les trois :  Mais qui ?!

DH Smith :  Je suis l'agent Smith, gouvernement canadien, cette valise contient des documents top secret prouvant l'existence d'extra-terrestre. Personne ne doit être au courant, il ne faut surtout pas que ça se sache ! Qui plus est, il n'y a que des pilules d'une drogue très rare fabriquée par un hindou unijambiste lors de la pleine lune du sixième mois du calendrier secret des francs-maçons nazi infiltrés dans le gouvernement américain ayant collaboré avec le KGB qui peut empêcher ces extra-terrestres de prendre possession du corps de l'homme ! Il y a déjà eu des victimes... un certain Tyler Black aurait maintenait la capacité de résister aux flammes de l'enfer lorsqu'il porte une tenue intégrale ignifugée ! Malheureusement deux types ont percé à jour ce secret, fort heureusement personne ne les a cru ! Il s'agissait d'un rouquin et d'un blond teigneux... comment ils s'appelaient déjà... Charles Blondel et Arlette Chabot  !

THE END !




Pendant ce temps sur la lune, Erick, Kassius et l'ours contemplent la terre... BEST TRIP EVER !

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyVen 11 Avr - 23:34

Promo de D'Angelo Dinero pour WFA One Night Stand 2014 (SwantonBomb)


ATTENTION ! CERTAINS PROPOS ET SITUATIONS ABSURDES PEUVENT CHOQUER LES PLUS FANS D'ENTRE VOUS ! SWANTONBOMB RENIE TOUTE IMPLICATION DANS CE MOMENT WTF ! DU MOINS, SWANTONBOMB SOBRE RENIE TOUTE IMPLICATION ! VEUILLEZ RESPECTEZ TOUT DE MEME VOTRE NOUVEAU HEADBOOKER SINON CA VA CHIER DES BULLES !

(J'ai le CSA au cul avec ces conneries)

En 1973, le film le plus terrifiant de tous les temps sortait au cinéma. Un mythe qui terrifie encore le monde entier depuis maintenant plus de quarante ans.

One Night Stand 2014 - Page 2 L-exorciste.73243

En 1977, le film le plus terrifiant de tous les temps avait le droit à une suite... OH LES CONS ! Une suite ratée en plus ! OH LES GROS CONS !

One Night Stand 2014 - Page 2 Macdonald_happy_meal-film-d-horreur-exorciste
C'est comme McDo, c'est de la merde !

En 2001, le film le plus terrifiant de tous les temps sortait en version remastérisée, comme vous ne l'avez jamais vu.

One Night Stand 2014 - Page 2 18835952

En 2014, il a osé ! Après le remake de « Massacre à la tronçonneuse », après le remake de « Les Griffes de la Nuits », après le remake de « Piranha », il a fait le remake du plus grand film d'horreur de tous les temps.

One Night Stand 2014 - Page 2 Popexo10

The Popexorciste

Le film s'ouvre sur des fouilles archéologiques en Égypte, effectuées par le Pope D'Angelo Dinero, un jeune prêtre ayant la patate et la joie de vivre pas comme ce vieux crouton de Max Von Sydow (respect x1000). Il est accompagné par un vieux con, j'ai nommé Mikl. Les deux sont aussi accompagné par un prêtre, mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille. Les trois culs bénis... PARDON... Les trois hommes d’Église découvrent pendant leur fouille une petite tête de statuette du démon Mensah-X.


D'Angelo Dinero : Qui ça ?


Mikl : Zlatan-X


D'Angelo Dinero : Qui ça ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Mensah-X


D'Angelo Dinero : C'est quoi ça un acteur de film de...


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Au dernière nouvelle... non mais je sais que...


D'Angelo Dinero : Vil pêcheur que Dieu soit de bonne foi et ait pitié de lui.


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Non mon père, c'est un démon !


D'Angelo Dinero : Un démon ?


Mikl : Un démon ?


D'Angelo Dinero et Mikl : UN DEMON !


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!


Enfin bref, le démon Mensah-X.


D'Angelo Dinero : Qui ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Mensah-X


D'Angelo Dinero : Qui ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Kofi Kingston, quoi...


D'Angelo Dinero :


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!


Enfin bref, le démon Mensah-X. C'est toujours mieux que Petzouizouille.


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Si je puis me permettre, c'est Pazuzu.


Le réalisateur, William Freakin : Putain tu n'as rien à foutre là !


Enfin bref, le démon Mensah-X. Les trois commencent alors à se questionner et à s'interroger sur la nature du Mal au sein de la WFA. Ils continuent leur recherche, Mikl entre temps s'est perdu, mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille et le Pope se retrouve faace à une grande statue du démon Mensah-X avec à côté un homme, Seth Rollins, crucifié ! Et une inscription rouge sang : BLACK POWER !


L'histoire commence alors à WFA City. Là où les politiciens sont incorruptibles, où les élites sont respectés et donnent aux pauvres... Mon cul, oui ! C'est une ville pourrie jusqu'à la moelle mai on s'y sent tellement bien ! L'intrigue s'ouvre alors à WFA City. John Morrison est un acteur célèbre de films peu recommandable pour les enfants qui semble mener une vie malheureuse avec son colocataire Dolph Ziggler, le déménageur Brodie Lee et l'homme de ménage Brock Lesnar. Leur vie n'est donc pas rose, Brodie Lee passe son temps à changer les meubles de place dans la maison, ce qui a provoqué plusieurs des situations assez honteuses puisque en échangeant parfois les chambres de l'un et de l'autre et qui les mettaient dans des situations assez...


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Brock Lesnar lui est le second domestique de la maison. Il passe son temps à faire le ménage en tenue de soubrette...


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Seulement, un soir, en pleine nuit, John Morrison est pris de violents spasmes. Dolph Ziggler s'inquiète alors pour son colocataire et cela ne s'arrange pas quand cela s'aggrave. Après une analyse foireuse des toubibs, Dolph Ziggler demande à Brodie Lee de casser la gueule à tous les médecins de WFA City. Un soir, Dolph Ziggler célèbre son titre de champion de la WFA au profit de... John Morrison. L'ambiance est devenu encore plus bizarre à la maison. Au cours de la soirée, John Morrison descend dans la salle de réception s'adresse à John Laurinaitis, un incompétent Général Manager, en lui disant très clairement avec une conviction froide et inquiétante : « Vous allez mourir là-haut » puis se met à faire la danse des sept voiles. Après ce terrible et ignoble événement, Dolph Ziggler décide de faire bouger les choses. Il veut accélérer les analyses médicales de John Morrison. L'avis des médecins est compréhensible. Selon le diagnostic, John Morrison n'a rien dans le crâne. Son cerveau est vide. La maladie « mikl » ! Rien d'inquiétant en soi mais les spasmes continuent et sont plus violents jour après jour et nuit après nuit. John Morrison parle désormais avec une voix de pucelle et pire, il est excité par les One Direction. Mais l'horreur atteint son paroxysme lorsque un soir alors que Dolph Ziggler chantait « Je te survivrai » de Jean-Pierre François avec Carlito et Samoa Joe, John Morrison descendit les escaliers dans une position très mal saine et horrifique. Il est à quatre pattes, le porc !


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Les « symptômes » ne s'arrêtent pas à cet acte provoquant puisque John Morrison twerk à longueur de journée, hurle le prénom de sa copine Ziggler en utilisant des propos violents et dégoutants. Et parfois même il crache.... du SANG voyons. Bandes de dégoutants. Son visage s'enlaidit encore plus qu'à l'origine.





Un soir, Samoa Joe est retrouvé mort au bas des escaliers qui donne sur la fenêtre de la chambre de John Morrison. Une enquête de police est ouverte et la thèse de l’alcoolisme est fortement privilégié (allez savoir pourquoi^^) (comme dans la version originale). Pas un seul instant John Morrison est mis en cause bien qu'on ait retrouvé dans sa chambre du vomi. Voilà qui en dit long sur les talents des détectives à la WFA (coucou Roode).





Dans le même temps, l'inspecteur Roode, toujours lui mène l'enquête... enfin il essaye et il n'y arrivera pas... comme d'habitude quoi. MOUAHAH ! Il interrogera tour à tour le prêtre par intérim de WFA City, le Père sans nom, Dolph Ziggler, le compagnon de beuverie de Joe, Carlito, Brock « the Soubrette » Lesnar et le déménageur breton Brodie Lee. Dolph Ziggler n'en peut plus et est exténué, il décide de faire appel à un psychiatre, le brillant docteur Shelby. Privilégiant le cas de la schizophrénie, le toubib se rend compte qu'il a tord et il l'a donc profondément dans l'os. Mais l'expérience tourne court : non seulement John Morrison abrite en lui une autre personnalité, mais celle-ci est en plus un être indubitablement démoniaque et violent. Une seule conclusion s'impose à Dolph Ziggler : sa petite-copine est possédée et il doit solliciter l'impensable pour lui : un exorciste. Dolph contacte alors le père Tarras, qui a pu connaître des difficultés dans sa foi personnelle et la terrible mort de sa mère, mort pour laquelle il se sent responsable : sur son lit de mort, sa mère lui avait reproché de l'avoir abandonnée, et depuis le père Tarras a des visions d'elle, exacerbant sa culpabilité et son chagrin. Oui je fais court.





Le père Tarras rencontre donc Dolph puis John ou plutôt le démon qui occupe le corps de poufiasse de Morrison. Le démon connaît les circonstances de la mort de sa mère. Tarras commence alors à comprendre que le véritable démon est non seulement l'incarnation diabolique dans le corps de la jeune fille, mais aussi la manifestation du Mal qu'abritent en eux ceux qui tentent de l'approcher. Ici, le père Tarras devra affronter le démon en affrontant le Mal qui est en lui : le démon au nom du Mal veut le pousser au désespoir suprême en décuplant son sentiment de culpabilité. Tarras commence alors le travail d'exorcisme. Il écoute des enregistrements de la voix de John non possédée, regarde ses dessins érotiques. Un soir, il est appelé d'urgence à la maison des deux amoureux pour observer un étrange phénomène : sur le ventre de John apparaissent ces mots : « Aidez-moi à gagner un match ! ».





Tarras effectue alors les démarches auprès de l'Église pour obtenir le droit de pratiquer un exorcisme. Cette dernière accepte mais confie le rôle de l'exorciste au Pope D'Angelo Dinero, prêtre expérimenté revenant d'Egypte et ayant déjà pratiqué un exorcisme en Afrique, connu et reconnu sous le nom de Popexorciste. Le Père Tarras devra l'assister en tant que prêtre et psychiatre expert. Le Pope et Tarras commencent donc leur exorcisme sur le démon en suivant le protocole religieux.


D'Angelo Dinero : Mon Dieu ! C'est lui !


Tarras : Qui ?


D'Angelo Dinero : Le démon ! Mensah-X !


Tarras : Qui ?


D'Angelo Dinero : Inculte !


John Morrison : CM Punk je t'aime !


D'Angelo Dinero : Cet enfant est perdu...Notre Père qui êtes aux cieux ... Que ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la Terre comme au ciel. Donne nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Ne nous laisse pas succomber à l'île tentation.

Père Tarras : Mais délivre nous du mal. Amen.

D'Angelo Dinero : Sauve-moi, mon Dieu, par ton saint nom. Par ta thune, défends mon compte en banque. Des femmes de joie se sont levés contre moi, des hommes de violence en veulent à ma vie, va te faire mettre Mensah-X mais Dieu ne me quitte pas et le Seigneur est le soutien de mon âme. Dans toutes les épreuves il m'a secouru et m'a protégé. Gloire au Pope et au Pope et au Pope. Amen.

Père Tarras : Tel que ce fut au commencement, tel que c'est et ce sera jusqu'à la fin des temps. Amen.

D'Angelo Dinero : T'es chiant, toi. Sauve ta servante ...

John Morrison : Je ne suis pas une fille. Veux pas être une salope.


Père Tarras : Qui s'en remet à toi, mon Dieu.

D'Angelo Dinero : Sois en elle, ô Seigneur, une place forte.


John Morrison : Oui soyez en moi Seigneur !

Père Tarras : Pour affronter l'ennemi.

D'Angelo Dinero : Que l'ennemi soit impuissant contre nous.


John Morrison : Je veux un homme fort

D'Angelo Dinero : Seigneur, écoute nos bourses.


John Morrison : Oui.

Père Tarras : Que mon cri te parvienne.


D'Angelo Dinero : Que le seigneur soit avec nous.

Père Tarras : Et avec notre esprit.

D'Angelo Dinero : Maintenant, prions. Toi, Seigneur, Toi, le Père tout-puissant, Toi, le Dieu éternel et le père de notre Seigneur Jésus Christ qui une fois pour toute a livré le tyran déchu aux flammes de l'enfer, Toi qui a envoyé Ton unique fils en ce bas monde pour terrasser le lion rugissant, hâte-Toi de répondre à notre appel. Arrache vivement à la ruine et aux griffes acérées de ce suppôt du diable cet être humain fait à Ton image et à Ta ressemblance.


John Morrison : Oui un suppôt !


D'Angelo Dinero : Frappe de terreur la bête, Seigneur, qui aujourd'hui ravage tes portes-feuille. Que Ta main puissante chasse le monstre de ton servant John Morrison pour qu'il ne puisse pas retenir captif cette personne que tu as cru bon de concevoir à ton image.

Père Tarras : Amen.

D'Angelo Dinero : Casses toi tu sers à rien. Seigneur, écoute ma prière. Tout-Puissant Seigneur de toutes créations qui donna à tes saints apôtres le pouvoir d'écraser sous leurs pieds les vipères et les bêtes. Accorde-lui, à lui ton indigne servant, le pardon de tous ses péchés.

John Morrison : Pouvoir aux noirs !

D'Angelo Dinero : Et donne-moi la force d'affronter ce cruel démon. Vois ce billet de six. Arrière puissance hostile ! Seigneur, écoute ma prière.


D'Angelo Dinero continue de réciter des prières et des formules d'exorcisme devant le démon Mensah-X, lui jette de l'eau bénite, mais le démon résiste en lui crachant un étrange vomi blanc, en se mettant à léviter au-dessus du lit et pivotant la tête à 360 degrés.


D'Angelo Dinero : Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer !


D'Angelo Dinero sort quelques instants, les poches pleines.


Dolph Ziggler : Pourquoi cette trainée ? Ça n'a pas de sens.

D'Angelo Dinero : Je crois que le but est de nous mener au désespoir. Que nous ne voyons plus en nous ... Que l'animal et sa hideur. Pour que soit impossible la lumière que Dieu peut nous offrir.



Dolph Ziggler : L'espoir ?


D'Angelo Dinero : Non..


Dolph Ziggler : L'amour ?


D'Angelo Dinero : Non..


Dolph Ziggler : Quoi donc mon Père ?


D'Angelo Dinero : Du pognon !


Dans un excès de folie, le Pope s'en prend alors violemment et physiquement au démon en le rouant de coups, puis, dans sa folie, l'exhorte à prendre possession de son propre corps plutôt que celui de Morrison. Le démon Mensah-X passe alors du corps de la trainée à celui du Pope.

Celui-ci, comprenant que Mensah-X entre en lui, se jette par la fenêtre et se retrouve dans un ring avec autour de lui une foule en délire. C'est One Night Stand !










Merci à TS pour l'affiche parodique
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptySam 12 Avr - 16:01

2009 :


One Night Stand 2014 - Page 2 Us-sol10


??? : Notre nation est la plus belle, la plus grande, et nous en sommes fiers ! Fiers de nos ancêtres, et de notre histoire ! Si vous avez été envoyé ici, tas de branles écervelés, c’est pour vous battre pour cette histoire ! Vous n’êtes plus noir, vous n’êtes plus blanc, vous n’êtes plus hispanique, vous êtes tous VERT FONCE comme votre uniforme, est-ce que c’est compris ?

Unité : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Tous les jours que dieu fait, vous vous battrez pour votre pays ! C’est ce pays qui vous a vu naitre, qui vous a vu grandir, qui vous a nourri ! Il a fait de vous ce que vous êtes aujourd’hui, et vous êtes les enfants dont il est le plus fier. Ce n’est pas pour rien si vous avez été choisis pour ce voyage, bande de petites couilles décomposées ! Regardez-vous, allez ! Aucun de vous ne mérites cet honneur ! Tous autant que vous êtes ! Y en a un de vous qui serais capable de me citer tous les Etats de notre belle Amérique ? Hein ? Alors ? FERGUS !

Fergus : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : C’est toi la tête de nœud qui a fait Harvard ?

Fergus : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Extraordinaire, tu devrais être capable de me donner le montant exact de ma retraite alors, hein Fergus ?

Fergus : Je…. CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : QUOI ? PUTAIN QUE C’EST DOMMAGE ! Tu veux me dire que papa et maman ont payés tes études pour rien ?

Fergus : CHEF, J’AI PAYE MON UNIVERSITE TOUT SEUL, CHEF !

Sergent Instructeur : Magnifique, on a là un étudiant modèle ! Tu crois que ça te donne le droit de me reluquer avec tes petits yeux de pucelle ?

Fergus : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Qu’est-ce que t’as, t’es amoureux de moi, Fergus ?

Fergus : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Quoi, tu trouves peut-être que j’ai l’air d’une truite en uniforme, Fergus ?

Fergus : CHEF, LE SERGENT INSTRUCTEUR EST VRAIMENT ELEGANT EN UNIFORME, CHEF !

Sergent Instructeur : Donc t’es qu’une petite folle qui paye ses études comme une grande et t’es amoureux de moi, pas vrai ? DANS TES REVES influre, à cette heure-ci t’es plus qu’un piège à foutre ! Lasse moi cette chaussure droite et va faire un tour de caserne pour chaque examens que t’as eu à Harvard ! Allez, grosse branle, dépêche-toi ! Les autres, est-ce que vous avez tous compris le message ?

Unité : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Bon. Ca va faire maintenant six mois que vous êtes sur le terrain. J’devrais pas m’occuper de vous en temps normal, mais des petits nouveaux qui s’imaginent déjà butter de l’Irakien, de l’Afghan, ou ce genre de conneries. Mais le général Keyes est très déçu, et il m’a demandé gentiment de passer vous dire bonjour pour vous apprendre le respect. Allongez-vous par terre et faites-moi 25 pompes pour chaque membre de cette unité ! Allongez-vous face au sol ! Voilà… Alors, je vous entends pas compter ?

Unité : 1…2…3…4…5…

Sergent Instructeur : C’est drôle, non ? Presque autant que ce que je vais vous dire après, alors je veux entendre de la jovialité !

Unité (rires forcés) : Ha ha ha ha ha ! ! !

Sergent Instructeur : Fantastique, je me sens comme au réveillon du lapin de paques ! Maintenant fermez tous vos grandes gueules et laissez-moi continuer ! Vous étiez censé être les fers de lance de cette compagnie. Montrer l’exemple ! Le général ne tarissait pas d’éloges sur vous, son unité sans peur, sans pitié, et plus que jamais au service de son pays. Mais l’un de vous… L’un de vous, bande de petites merdes, est consciemment devenu une salope d’espion pendant les deux dernières semaines ! C’est nettement moins drôle maintenant, n’est-ce pas ? REYES ! Monte sur le dos de ton petit copain Escobar pendant qu’il fait ses pompes. J’ai l’impression qu’il se fout de ma gueule !

Reyes : CHEF…. OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Quel bande de macaques, non, c’est trop d’honneur vous n’en êtes même pas là ! Je crois pas avoir jamais vu autant de connards pareil ! Regardez-vous, allez ! Nous savons qui c’est, et vous aussi, vous le savez. Non ? Personne ? Pourtant, il y en a un parmi vous dont les mains sont devenus les épluches bites de nos bons vieux afghans. Comme eux, il veut nuire à notre pays ! Mais là, c’est encore plus grave, il entraine des camarades dans sa chute ! Il les pousse à désobéir, à ME désobéir ! Je sais que tu es là. C’est à toi que je m’adresse. Est-ce que tu te prends pour Dieu, où que tu sois ? Hein ? Si tu es dans cette unité, c’est parce que le général l’a décidé, uniquement par sa volonté ! Si tu dors, c’est grâce à lui, si tu manges c’est grâce à lui et SI TU VIS C’EST GRACE A LUI ! Poignarde le dans le dos, petit enfoiré ! On va faire en sorte que tu n’oublies jamais le déshonneur américain, puisque t’as l’air d’adorer jouer les indiques. C’est toi, Lucius ?

Lucius : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Bien sûr, que c’est pas toi… Fox ?

Fox : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Fire ? Camacho ? Ryan ? Pinko, Troy, Fowler, Cortez ? Pas de réponse ? Evidemment, vous êtes trop cons pour ça. Relevez-vous, sacs à foutre ! Allez, plus vite que ça ! Gardes à vous ! J’irais pas par quatre chemins. Droit et respectueux pour le Général Keyes !

(Le général entre dans la pièce réservée aux troupes, enlève son chapeau, une poignée de sable dans la main, et se fixe aux côtés du sergent)

G. Keyes : Merci sergent, vous pouvez disposer. Messieurs, je vais aller droit au but. Je connais bien votre unité, c’est moi qui l’ai conçu. Vous étiez pour moi les plus talentueux de toutes les épreuves subits jusque maintenant. Et dès votre arrivée en Afghanistan, vous avez bravé les chaleurs, l’attente, et les balles qui vous sifflaient à côté de la tronche. Je regrette la mort de Swafford, James, Harrison et Bing. Des pertes tragiques, qui ont laissé des marques dans votre esprit à travers les mois. Mais ce que je regrette encore plus, c’est qu’ils sont surement morts car l’un d’entre vous a donné leurs positions à l’ennemi. Vous connaissez tous les lois américaines, je vais pas vous faire un dessin. Mais ici, on n’est pas encore en Amérique. On est toujours dans le désert… toujours. J’ai ici une liste, que je vais vous clamer haut et fort. Vous n’aurez qu’une chose à faire, à savoir un pas vers l’avant si votre nom est bien sur celle-ci. Camacho, Ryan, Pinko, Troy, Fergus, Valencia, Damon, Fox, Carter, Nesta, Robert, Gunn et Kilmer. Faites tous… Voilà. Messieurs, j’ai le plus grand plaisir de vous annoncer que vous êtes transféré, on vous envoie dans le nord-est du pays pour l’opération « bouclier du désert ». Vous représentez votre unité, et nous savons très bien que vous n’êtes pas dans les tactiques d’espionnages. Nos rapports ne signalent rien à votre sujet, si ce n’est une loyauté et une bravoure sans faille. C’est exactement le genre de merde qu’il nous faut pour gagner cette guerre. Ne craignez rien, je sais ce que vous vous dites, on imaginait tous une guerre éclair, n’est-ce pas ? Rentrer au pays avant même d’avoir chier notre déjeuner de la veille. Pourtant… Messieurs, rompez ! Bien. Il ne me reste donc plus que six candidats… Et c’est là que mon job devient intéressant.

(Il sort une arme de son étui, qu’il pointe sur chacun des six hommes à tour de rôle)

G Keyes : Vous avez toujours entendu cette phrase, « tu ne tueras point ». Et bien mes amis, mes enfants, cette phrase… c’est de la CO-NNE-RIE.

(Il avance nez à nez d’un des soldats et lui tire une balle dans la tête. Celui-ci s’effondre sur le coup, alors que les autres hommes demeurent pétrifiés, abasourdis.)

G Keyes : Hum… Désolé, Martinez. Je sais ce que vous vous dites. Martinez n’était peut-être pas l’indique, Martinez était quelqu’un de bien, ou un gros con mais loyal, c’est vous qui voyez. J’appelle ça un dommage collatéral, ou disons une foutue vacherie. Car la taupe est parmi vous, et si je dois buter six hommes pour en sauver 1000, croyez moi que je n’hésiterai pas. Qu’est-ce que t’en dis, Jones ?

(Nouveau tir dans le crâne du Jones en question. Il s’écroule au sol, une mare de sang coulant au pied du Général)

G Keyes : Hé merde, faudra que je pense à laver mes chaussures. Vous pouvez encore sauver votre vie, messieurs ! Je vois sur vos visages que certains n’ont jamais vu la mort en face. L’attente, vous n’avez presque connu que ça, depuis votre arrivée. Le sang, pour vous, c’est du ketchup dans un film de Roméro ! Hé bien NON ! C’est réel ! C’est ce genre de sacrifice qui nous ferons gagner cette guerre ! Je tuerais les six d’entre vous s’il le faut, maintenant vous le savez aussi bien que moi. S’il reste une petite tache de fierté au fils de pute qui vient de me couter encore deux de mes gars, qu’il se…

Lucian : C’est moi, général…

G Keyes : Vraiment ?

Tournay : Non, c’est… C’est moi, général.

G Keyes : Hum. Alors là… Bravo. Je dois dire que vous me mettez la larme à l’œil. Autant de bon esprit et de sens du devoir… SAUF QUE JE NE SAIS TOUJOURS PAS QUI EST-CE PUTAIN D’INDIQUE ! VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE J’AI QUE CA A FOUTRE ? HEIN ? LUCIAN ! TU T’ES DESIGNE EN PREMIER, JE TE CROIS SUR PAROLE.

(Keyes se place devant Lucian, quand l’un des soldats s’avance vers lui. Le visage froid, perdu, il attrape le neuf millimètre du général, et le pointe vers lui. Les yeux de Keyes s’écarquillent. Il place ses mains devant l’arme, comme pour se défendre, quand la recrue se retourne. Et deux détonations se font entendre. Pas une de plus. Mais deux hommes s’écroulent…)

Keyes : Qu’est-ce que…

??? : C’était Lucian. Vous le saviez depuis des mois, tout comme nous. Nous, on voulait pas voir la vérité en face. Alors on a fermé les yeux.

Keyes : Pour… Pourquoi Barney ?

??? : C’était un enculé de raciste. Je détestais ce mec-là.

Keyes : Rendez-moi mon arme, Hunico.

Hunico : Avec plaisir. Quand je serais en taule, je pourrais dire que j’ai servi mon pays comme jamais vous ne l’aurais fait. Et puis, j’ai hâte que vous me mettiez ça sur le dos, « général ».

Keyes : Où est-ce que tu te crois, Arias ? Hein ? Plaquez le moi au sol, et emmenez le ! Fils de pute...


2011 :


One Night Stand 2014 - Page 2 Life-i10


??? : Ecoute mon pote, ça fait deux ans que t’es en taule maintenant. Il te reste quoi, une bonne dizaine de piges à faire de la muscu et te battre pour survivre, si ce n'est plus ? T'as pris pour combien, 20 ans ? Perpet', peut-être ? Te battre, souffrir, tu l’as déjà fait à la guerre, et tu mérites pas de croupir la dedans. Laisse-moi t’aider, bon dieu !

Hunico : Je vous emmerde, Paul. Tout ce qui touche à vos combines à la con, c’est ce qui me fait penser que j’aurais encore moins de liberté une fois dehors avec vous. C’est gentil de penser à moi, et même si je comprends pas pourquoi, je vous envoie gentiment vous faire foutre.

Paul Heyman : Je vois un immense potentiel en toi, Hunico. Je te demande pas de devenir un Heyman Guy, si tu ne le souhaites pas. Mais la Wrestling French…

Hunico : Wrestling ? Vous voulez d’un ancien militaire et ex taulard dans un show de catch ? C’est une blague ?

Paul Heyman : Bien sûr que non ! C’est toi, et toute ton histoire qu’il me faut ! J’ai eu accès aux dossiers, aux casiers judiciaires, à ton passé dans l’armée US… Tu étais un grand, tu avais tout pour devenir un grand, jusqu’à…

Hunico : Ouais. Jusqu’à.

Paul Heyman : Pourquoi, Hunico ?

Hunico : Pourquoi ? L’Amérique à donner la liberté à ma famille. En m’engageant dans les marines, je pouvais devenir un citoyen hispanique domicilié du côté de Los Angeles, avec ma femme, et mes deux gosses. C’est pas négligeable. Je devais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas laisser ma famille dans la merde. On vient tous de Tijuana, amigo. Marches ou crèves, on a suffisamment donné. Jamais je ne les laisserais repartir la bas. Je ferais tout pour eux, même le pire, même…

Paul Heyman : Même tuer deux hommes de ton escouade ?

Hunico : […] Si.

Paul Heyman : Tu savais que les informations étaient truquées ? Que Lucian n’avait jamais été le SEUL coupable dans cette histoire ?

Hunico : Je l’ai su, oui. Keyes était dans le coup depuis le départ. J’aurais dû le comprendre avant… Avant qu’il me piège dans ce trou à rat. Mais c’est plus mon problème, maintenant. Ici, je peux encore voir ma femme, mes filles, c’est tout ce qui compte. Je tuerais encore dix hommes pour ça.

Paul Heyman : Hunico, je ne t’en demande pas autant… Rejoins-moi. Rejoins la WFA. Laisse-moi te présenter mes amis, sur le point de devenir de grandes personnes. Moi-même, je pense être capable de devenir un grand monsieur dans quelques années. Pour l’instant, Stone Cold, les McMahon et compagnie mènent la danse. Mais un jour, la ECW renaitra de ses cendres ! Si tu viens avec moi, en deux ans, je ferais de toi une machine. Tu brilleras.

Hunico : Et la contrepartie ? Elle est où, votre combine ?

Paul Heyman : Payer la rançon d’un homme qui a vu les siens mourir au champ d’honneur, c’est le plus important pour moi…

Hunico : Vas te faire foutre. Tu as demandé huit rendez-vous avec moi, huit visites dans cette prison, et tu n’as eu que des refus. Comprends que ça ne m’intéresse pas.

Paul Heyman : Hum…. Très bien. Je vois que tu préfères jouer les petits chiens, c’est honorable. Malheureusement, les services d’immigrations risquent de ne pas l’entendre de cette oreille.

Hunico : QUOI ?

Paul Heyman : Au revoir, Hunico. Bonne chance. Elles t’enverront une carte postale, enfin… s’il y en a du côté de… Tijuana ? C’est ça ? Je ne m’y retrouve plus, avec ces villes mexicaines.

Hunico : Que… Paul ! PAUL !


2013 :


One Night Stand 2014 - Page 2 Maxres10


Paul Heyman : Alors alors alors ! Le grand Jorge Arias signe enfin dans la plus prestigieuse fédération de catch au monde ! J’en ai presque la larme à l’œil de voir ça… Quand je sais d’où tu… Jorge, qui c’est, le groupe derrière toi ?

Hunico : Oh, ça ? Des mecs de mon clan, tous rescapés des guerrilas mexicaines. Ça fait pas mal de gars, hein ? Disons que c’est une assurance, juste au cas où tu tenterais de me prendre pour con, amigo. Toi, et ta puta, la bas.

Paul Heyman : Du calme, Jorge, tu…

Hunico : C’est Hunico, perro.

Paul Heyman : Excuse moi… Ecoute, Hunico. Dans quelques mois, Avril pour être exact, les officiels mettront en place un Pay Per View nommé « One Night Stand ». C’est là que tu feras ta première apparition. A partir de ce jour là, je ne serais plus QUE celui qui t'as sauvé la mise et sorti de taule, c’est d’accord ? Tu seras livré à toi-même, ou plutôt au GM, John Layfield.

Hunico : Layfield ? Je croyais que tu m’envoyais à Smackdown, El Blanco ?

Paul Heyman : C’est le cas, mon ami. C’est le cas. Mais Layfield est plus… comme toi, tu me suis ? Un mec au sang chaud. Un mec prêt à tout. Si tu as besoin de quoi que ce soit, c’est lui que tu devras trouvé, tu m’as compris ?

Hunico : Si. Et pour ma famille ? Qu’est-ce qui va arriver aux Arias ?

Paul Heyman (sourire) : Oh, tu veux dire les Johnson, n’est-ce pas ? Disons que je connais un gars, qui connais un gars… Qui a fait accidentellement bruler les papiers d'identité de ta petite familia. Du coup, je connais encore un autre gars qui... comment te dire... a restauré les papelards. Maintenant, elles se nomment Lila, Arianne et Jelly Johnson. Américaines de naissance, mexicaines d’origine, avec l’assurance de rester un bon bout de temps dans ce beau pays qui est le nôtre. Inutile de te le dire, pour que les choses restent ainsi, il faudra obtenir des résultats. Je mise énormément sur toi, « amigo ». Et elle aussi.

Hunico : Elle ? Qui ? La nana derrière toi, qui se cache comme une SDF de Mexico ?

Stephanie McMahon : Un peu de politesse, jeune homme.

Hunico : Hahaha, voilà la patronne, amigos ! Matez sa caisse, les gars, cette femme est trop bien pour nous, pas vrai ? C'est du tapage oculaire, ou j'y connais rien ! Amigos, on dit tous bonjour aux putes riches !

Stéphanie : La ferme, Arias ! Tu ne serais pas là sans moi ! Sans moi, tu pisserais encore dans un bol avec un maton pour te tenir la bite. Et je suis pas venu jusque dans cette ruelle dégueulasse de L.A pour jouer aux billes, alors je vais faire court. Tu fais partie de la compagnie maintenant. En d’autres termes, tu es à moi. Quand je te dis de catcher, tu catches. Quand je te dis de parler, tu parles, et quand je te dis de te coucher, tu te couches, tu m’as compris ?

Hunico : Vas te faire foutre, salope.

Stéphanie : Tu crois que tes petites gamines sont américaines grâce à qui, connard ? C’était moi. Alors joue pas au con ! Je veux des résultats. Je veux que tu écrases tes adversaires comme tu l’as appris en taule, et en dehors, sur le ring avec Paul. T’as étais entrainé par Brock Lesnar, Bobby Lashley et Floyd Mayweather, c’est ça ?

Paul Heyman : C’est ça, Stéphanie. Mes connaissances sont… illimitées.

Stéphanie : Alors donne-moi des victoires. Décroche des titres. Ne me fais pas regretter le fric misé sur toi, et toi et ta famille vous serez dans mes petits papiers. Clair ? Fais attention, garçon. Si jamais tu me déçois, tu dégages. Pas de la ville. Pas de la fédération. Du pays. Si j’ai quelque chose, la moindre chose à te demander, tu t’exécutes. Sinon, tu sors. Si je veux que tu tabasses un autre lutteur, tu penses à l’Afghanistan, à Keyes, et tu le détruits, c’est d’accord ?

Hunico : Tu crois que j’ai besoin de toi pour me motiver, bomba no latina ? Je me suis toujours battu pour tout, et c’est pas aujourd’hui que je vais prendre quelqu’un en pitié. Comptes sur moi, je reculerais devant rien pour les miens, ma famille et ces gars, derrière moi. Je serais toujours un Jarhead. Là-bas, on ne m’a pas donné d’autres choix. Je suis toujours dans le désert.

Stéphanie : Bien. Très bien, même. Le désert, tu le retrouveras sur le ring. Tu commences à NXT, demain, contre Eric Rowan. Et à One Night Stand, tu intègres le roster principal. En attendant, dis-moi… Tu es entré dans l’armée américaine pour tes proches, c’est ça ? Cette guerre, tu l’as faite pour eux ?

Hunico : Si.

Stéphanie : Alors montre-moi ce qu’un ancien Jarhead peut faire pour protéger sa famille…

Hunico : Avec plaisir. ! Chicos, dan me una bate inmediato ¡

(Un des membres du groupe d’Hunico vient lui donner une petite batte de baseball, qu’il fracasse contre le crâne de son manager et ancien ami Paul Heyman. Les coups pleuvent sur le corps du pauvre homme qui ne s’y attendait absolument pas. Dans un silence de cathédrale, à peine obscurci par les ricanements de la présidente, Hunico s’acharne sur son ancien mentor, sans la moindre émotion sur son visage. Il observe les alentours, recommence, brandit haut son arme puis s’arrête. La batte tombe de ses mains. Des flashs de sa famille, de sa femme lui hante l’esprit. Il se retourne, fait signe à ses partenaires de quitter les lieux. D’un geste rapide de la main, il ôte une chaine de son cou, qu’il enfile sur celui de Paul Heyman.)

Hunico : Rien de personnel, amigo. Il fallait bien commencer par quelqu’un. On se retrouve à One Night Stand.


2014 :


One Night Stand 2014 - Page 2 Rbc-ce10


Une histoire. Una historia. Un homme part à la guerre pour protéger sa famille, lui qui jusque là n’avait jamais rien fait de bien dans sa vie. A la guerre, il attends. Il campe. Il voit les jours défiler, en se doutant bien qu’au moins, ses filles sont à l’abri. Le plus dur, pour les Jarhead qui n'ont pas connu les autres guerres, c'est l'attente. L'estomac noué entre ici, et les USA. Mais finalement, quand un homme n'a pas d'autres choix, quand un homme est bloqué, démuni, c'est là qu'il révèle sa vraie nature. C’est tout ce qui compte, au final. Il se bat, il tue, mais ça il l’avait déjà fait avant. Cette fois, c’est pour une bonne cause, pour son pays, pour le sol qu’il veut défendre, pour le sol où il veut voir ses petites faire du vélo pour la première fois. Il y passe plus d’un an, pour tomber dans le piège de la solitude, de la folie, et prend une décision qu’il pense juste. Qu’il pense honorable. Mais il n’est rien d’autres qu’un pion qui se déplace de cases en cases, du sable au béton de la prison, puis du béton aux cordes des rings. Toujours dans le même but, un but qu’il n’abandonnera pas.

Soy Hunico, le plus grand fils de pute que la WFA risque de voir arriver. La familia a fait de moi le protecteur le plus dangereux de l’histoire, et jamais vous ne verrez mes yeux avant de prendre “Tijuana” sur le sommet du crâne. Dieu marche avec moi. Le seul a pouvoir suivre mes pas, chaque jours. Je suis venu pour sauver les miens, et détruire les votre. Plus jamais, vous ne serez comme avant. Plus jamais vous verrez le Mexique, la guerre et la prison comme avant, car ce sera toujours avec le sourire que je viendrais prendre ce qui est à vous. SU CASA ES MIA CASA. Je suis encore dans le désert...






FIN.


PS : Tijuana est le nom de sa batte de baseball.
PS2 : Sachant que j'ai pas de match, si les HB ont des réactions sur la promo ça pourra m'aider pour la suite comme c'est la première, je pense avoir fait quelque chose de bon perso ^^'
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Nak
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptySam 12 Avr - 18:43

Intro à la promo des Wrestling Class Heroes



AJ Styles
"C'est dommage le concept aurait pu être intéressant, mais tout le monde n'a pas joué le jeu..."



Chris Jericho 
"Dans 30 ans, quand je regarderais en arrière ... j'oublierai que ça s'est passé."



Chris Hero 
"J'ai la panse bouffie !"



Carlito 
"Ce fut une expérience communautaire enrichissante qui m'a permis de découvrir des choses insoupçonnées sur ... Quoi ? Je dérive de mon texte ? Pardon ... HIPS ! BUUUUUUUUUURP !"



Christopher Daniels
"Le manque de goût de ces cancrelats me consterne. Mais AJ et moi savons ce que nous valons !"



Erick Rowan 
"Quiche. Héhéhéhéhéhé !"




Christian 
"Heureusement, on était payés pour ça. Très bien payés même."



Samoa Joe 
"BUUUUUUUUUUUUUUUUURRRRRRP !"





Mais qu'a-t-il donc pu bien se passer ? Petit retour en arrière.


Une semaine auparavant


Nous sommes au siège de la WFA. Chris Jericho et Christian arpentent les couloirs l'air ravi.

Jericho: Il était temps mine de rien !

Christian: Enfin on va avoir cette augmentation qu'on mérite pleinement depuis ...

Jericho: Qu'on a remporté nos troisièmes WFA Tag Team Titles ?

Christian: THREE TIMES ! THREE TIMES ! 

Les deux hommes font un high five et entrent dans une salle de réunion, ou JBL et John Laurinaitis les attendent. 

Ils se saluent, puis les Wrestling Class Heroes s'assoient, sourires de requins aux lèvres.
Mais ... Samoa Joe et Carlito entrent ! 

Joe: CHAIS ICI L'APERO ? ON A NOS JINVITATIONS !

Il montre un tract portant la mention "Apero festif" indiquant la salle de réunion.

Laurinaitis: Ahahah, oui l'apéro, on ... ahem verra plus tard, asseyez vous messieurs !

"C'est bien ici la vente de poudre magique messieurs ?"

Erik Rowan est là ! Accompagné de Chris Hero, il sourit avant de voir les APA et les Wrestling Class Heroes. Mais là encore JBL enjoint les arrivants à s'asseoir.

Jericho: Ca sent le coup fourré à plein nez.

Christian: Parlant de nez, j'en connais deux qui ont un sacré coup dans le pif.

Joe: BUUUUUUUUUUUURP. 

Chris Hero: J'ai le pressentiment qu'on ne verra pas de poudre magique.

Erik Rowan: J'ai la foi !

Christian: C'est bien tu pourras faire un don aux deux autres épaves !

Jericho: Mon dieu, on est piégés avec ces détritus.

Carlito: Hey ! Détra... détritus euh ... toi même !

"C'est ici la réunions des anciens de la TN..."

"Oh merde c'est un piège ..."

AJ Styles et Christopher Daniels ! Les Phenomenangels sont entrés, et voilà JBL qui ferme la porte à clef, rictus sadique aux lèvres. Les derniers arrivants sont assis. Les 4 équipes se toisent, mais demeurent silencieuses.

JBL: Messieurs, la division par équipe de la WFA ne s'est pas aussi bien portée depuis bien longtemps !

Laurinaitis: Et c'est grâce à vous tous !

Jericho: *tousse* *tousse* *tousse*

JBL: Hum. Et grâce à nos champions bien sûr.

Christian: *tousse* *tousse* *tousse*

Laurinaitis: 3 fois champions bien sûr ! People Power !

Styles: Bon arrêtez la branlette et accouchez, on a pas que ça à foutre.

JBL: La division par équipe se porte à merveille, et on s'est dit que c'était le moment pour faire un coup de pub, en partenariat avec la télévision ! 

Laurinaitis: On vous voit chaque semaine, sur le ring, vous battre et vous moquer de vos adversaires. Mais on aimerait voir plus ! Les gens en veulent plus ! 

JBL: Donc on s'est dit ... qu'est ce qui est à la mode ? La téléréalité bien sûr !

Laurinaitis: Pipolpoweure !

JBL: Donc messieurs, vous allez participer à une émission de Téléréalité, tous ensemble !

Les 8 hommes, ensemble: PAS QUESTION !

Laurinaitis: Sinon vous êtes virés. Héhéhé.

Jericho: Vous ne vireriez pas vos 4 équipes fétiches.

JBL: Certes mais on peut donner les titres aux Nasty Boyz.

Daniels: Et c'est quoi cette téléréalité.

JBL: Voici les contrats, signez les et on en parle après. Mais je peux vous dire que c'est novateur, que vous serez en compétition par équipe, et que ce sera très très violent. Le gagnant pourra affirmer sa suprématie !

Joe: Il y aura à boire ?

JBL: Bien sûr. 

Joe: J'en suis !

Au final, tous signent leurs contrats, méfiants mais convaincus par la description de JBL.

Laurinaitis: Maintenant que cette formalité est faite ... voilà l'émission à laquelle vous aller participer !





Une vidéo s'affiche sur l'écran.


Carlito: Ca, ca me plait ! 

Hero: Ca m'intrigue !


Daniels: J'espère que c'est une blague ?


Christian: On s'est fait avoir.







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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptySam 12 Avr - 23:37

Godot lol obligé de devoir faire appel à Swanton pour pouvoir espérer faire une promo au niveau. Quelle barre de rire Mister Green


Belle intro des WCH. Hâte de lire la suite :food:


Et purée Baccou et CB vous êtes deux grands malades. C'est quoi cette promo sans déconner ?  lol 

Et maintenant, voici la promo de Bobby RRRRROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO


PROMO DE l'IC CHAMP' cheers




_ Tu es sûre que c'est ici ?
_ Certaine.
_ Vraiment ?
_ Oui chef. Sans aucun doute.
_ Non parce que vu l'état de la maison j'ai du mal à imaginer un génie du crime vivre ici.
_ C'est justement en ça que c'est un génie. Il fait en sorte de vivre dans un endroit discret afin de ne pas éveiller les soupçons.
_ Si je voulais être discret j'aurais plutôt choisi une maison normal plutôt qu'une bicoque qui menace de se casser la gueule au moindre coup de vent Regarde-moi ça, on voit la façade qui se lézarde depuis la bagnole.
_ Chef ! Mes sources sont formels. Le type qu'on recherche habite ici. Et c'est pas parce que vous êtes IC Champ' qu'il faut prendre la grosse tête.
_ Bouarf. Je prends pas la grosse tête.
_ Hmpf.
La petite était du genre têtue mais il fallait avouer qu'elle avait rarement tort. Et comme il ne faut jamais contrarier une femme, surtout quand elle est rousse et qu'elle parle à une poupée, je décidai de sortir de la voiture et me dirigeai vers la maison. La petite en fit de même.
_ Nan mais sans blagues. Je veux bien reconnaître que ça doit coûter cher d'entretenir une piaule. Mais de là à la laisser dans cet état ! Même le jardin n'est pas entretenu. C'est pourtant pas compliqué de passer la tondeuse.
_ Chef, on est là pour discuter jardinage ou pour mener une enquête ?
Je ne pus m'empêcher de bougonner. Elle avait toujours raison et par-dessus tout, toujours le dernier mot. Tentant de cacher mon désarroi je frappai à la porte. J'étais loin d'imaginer le chambranle que je venais de déclencher.
_ Peg on frappe à la porte, fit une voix désabusée provenant d'un type qui semblait avoir perdu foi en la vie depuis des lustres.
_ Et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse, lui répondit une voix féminine ?
_ Ben va ouvrir !
_ Je me fais les ongles ! Vas-y toi.
_ Mais y a le match. Les Bears sont en train de gagner. Pour une fois.
_ Les quoi ?
_ Raaahhh.
Pendant ce dialogue épique, la petite et moi ne pûmes nous empêcher de nous regarder complètement effarés. Je refrappais de nouveau.
_ Ouvrez ! Police !
_ Hein ?
_ J'ai dit : « Ouvrez ! Police ! »
_ Ça va pas la peine de gueuler. On n'est pas chez les sauvages ici.
J'entendis des bruits de pas puis la porte finit par s'ouvrir sur un homme dont l'apparence, aussi bien physique que vestimentaire, était loin de dissiper mes doutes quand au potentiel d'avoir un hors-la-loi en face de moi. C'est bien simple, c'est comme si toute la misère du monde s'était abattue sur ce type. Son regard était inexpressif, ses joues creuses, le crâne dégarni, les épaules voûtées, les vêtements usés pratiquement jusqu'à la corde.


One Night Stand 2014 - Page 2 Img_title-big
Nak dans trente ans, quoi.


_ Et vous êtes, demanda le pauvre homme ?
_ Inspecteur Bobby Roode et agent Lufisto. Vous êtes bien Al Bundy ?
Il observa ma plaque ainsi que celle de la petite tout en plissant les yeux et en ouvrant la bouche. Après avoir constaté que la trogne sur la photo était la même que celle du gonze qu'il avait en face de lui il daigna nous laisser entrer.
_ Entrez inspecteur, je vous en prie. Et surtout ne faîtes pas attention à la grosse vache rousse assise dans la cuisine. D'ailleurs c'est bizarre qu'elle soit toujours fourrée dans la cuisine alors que je ne l'ai jamais vu avec une casserole à la main.
Un peu surpris par une telle présentation j'aperçus au loin une sorte de femme du genre maquillée vulgaire, avec une épaisse choucroute sur la tête et des vêtements couleur léopard. En bref j'avais devant moi l'exemple typique du couple américain de base. On était loin du bandit qui œuvrait pour une grosse organisation mafieuse comme la ouéfa. Cela dit il ne faut pas se méfier des apparences. Et peut-être que derrière son apparence de gros beauf américain banlieusard, ce type savait des choses qui pouvaient m'intéresser.
_ Je vous proposerais bien quelque chose à boire inspecteur, mais ma femme a préféré se payer une manucure avec mon argent plutôt que de faire les courses.
_ En même temps je ne risquais pas d'aller bien loin avec ton fric, répliqua l'intéressée. C'est une chance que Marcy accepte de nous aider.
Devant cette pique Al ne put s'empêcher de répliquer.
_ Hé ! Laisse la grosse dinde en dehors de ça veux-tu. Je ne gagne peut-être que 3$50 de l'heure, mais c'est à la sueur de mon front que je les gagne. Je n'ai jamais rien demandé à qui que ce soit, je ne doit rien à personne. Je suis un vrai américain moi, un patriote ! Le seul homme a avoir réussi la performance de marquer quatre touchdown en un seul match !
Visiblement ça n'était pas la première fois que sa femme entendait ce genre de discours vu comme elle leva les yeux au ciel.
_ Oui et maintenant tu travailles dans un magasin de chaussures, persifla-t-elle, avec pour toutes clientes des femmes en légers surpoids.
_ En léger surpoids ? De véritables baleines tu veux dire ! Mais elles chaussent toutes du 36 bizarrement.
_Une fois que tu auras fini de te plaindre, demande-leur ce qu'ils veulent plutôt que de les endormir avec tes histoires.
_ Tiens c'est vrai ça. Pourquoi vous êtes là ? C'est pas par rapport au sabotage des freins de la voiture de la grosse dinde au moins ?
_ Hein ?
_ Tu as saboté les freins de la voiture de Marcy Al ?
_ Heu... non non, rien. Que puis-je pour vous inspecteur ?
La petite est moi échangèrent un regard bref. Elle sourit et sortit une photo qu'elle montra au gars qui avait réussit la performance incroyable de marquer quatre touchdown en un seul match.
_ Nous recherchons cet individu, fit la petite. Il s'appelle Georges Bacca. D'après nos informations vous auriez travaillé avec lui il y a quelques années de ça.
Al prit la photo qu'il examina avec la même expression qu'il avait eu un peu plus tôt lorsqu'il avait reluqué nos badges. Au bout de quelques instants je crus déceler de la peur dans ses yeux. Il commença à suer comme un porc.
_ Je... je... je connais pas cet homme là. D'ailleurs ça n'est pas un homme mais une boule de poils.
_ Un wookie pour être exact monsieur Bundy, interrompis-je. Plusieurs personnes affirment l'avoir vu entrer dans votre magasin de chaussures à plusieurs reprises. Apparemment vous n'avez pas que des baleines comme clientes. Et ça n'est pas le genre de personne qu'on oublie quand on la croise.
Devant cette affirmation aussi péremptoire qu'affirmative il s'essuya le front. Il se dirigea ensuite vers le canapé et s'assit en fourrant délicatement sa main droite dans son futal.
_ Je... disons que j'avais réussi à effacer cette scène de ma mémoire. C'était... comme voir la grosse dinde à poil. Ou pire, voir ma femme à poil. Il est venu quelques fois oui, mais je ne saurais pas dire combien de fois. Je ne me rappelle pas de toutes les allées et venus des clients non plus.
_ Ouais déjà que c'est dure pour toi de te rappeler comment entretenir ta femme...
_ Peg ! Pas devant les gens.
Al gesticula désespérément ses mains pour tenter de faire comprendre à sa femme que ça n'était pas la peine d'évoquer ce genre de détail devant des inconnus mais il n'obtint qu'un repoudrage de nez en retour.
_ Oh ça va. Je me suis fait une raison depuis le temps.
_ En même temps comment veux-tu que je sois inspiré devant le spectacle que tu offres ?
_ Pfff. Parce que tu te crois meilleurs peut-être ?
_ Je ne sais pas si je suis meilleur, mais moi au moins j'ai ma fierté, dit-il en réajustant son pantalon et en refournant sa main dedans. Et ces cette fierté qui me permet aujourd'hui de vendre des chaussures à des baleines qui chaussent du 36 et de vivre avec une grosse vache rousse.
_ Monsieur Bundy, me risquais-je, si nous pouvions revenir à ce wookie.
Al se tourna vers moi et soupira pendant une bonne dizaine de secondes.
_ Très bien inspecteur. Donc oui je vous disais, maintenant que j'y repense ce gars-là me dis quelque chose effectivement. Mais à part des hurlements et des miaulements je ne comprenais pas grand chose à ce qu'il me disait. Mais ce qui est bizarre c'est qu'il réclamait sans cesse des chaussures, pour faire du carburant ou quelque chose comme ça je crois. Je n'étais pas trop étonné car j'ai déjà vu ça avec des chaussettes sales.
_ Du carburant avec des chaussures et des chaussettes sales ?
_ Tout à fait inspecteur. Et je vous jure sur la tête de ma femme que c'est tout ce qui se passait, rien de plus.
Vu comme il estimait sa chère est tendre j'avais des doutes quant à sa sincérité, l'intéressé ne put s'empêcher de secouer la tête tandis qu'elle se plongeait dans la lecture d'un magazine people. Mais comme l'avait fait remarquer la petite, c'était difficile d'imaginer ce type en gangster.
_ D'accord. Mais pourquoi venait-il dans votre magasin spécifiquement ? Vous n'êtes pas le seul vendeur de chaussure.
_ Aucune idée inspecteur. Je crois qu'il recherchait un type de modèle particulier, des Méphisto si je me souviens bien. Et je pense qu'il appréciait le fait que je ne pose aucune question. De plus c'est plutôt calme ici et on n'a pas beaucoup de clients.
_ Okay, et vous ne sauriez pas où il se trouve actuellement ?
_ Pas vraiment. Je sais juste qu'il s'est rasé et qu'il n'a gardé que les sourcils.
_ Pardon ?
_ Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. Il y a quelques temps de cela il est venu dans la boutique comme d'habitude. Mais il semblait agité. Ce qui était bizarre aussi c'est qu'un type déguisé en clown l'accompagnait en portant un sac. Ils sont entrés dans l'arrière-salle sans dire un mot puis le clown a sorti une tondeuse et a entièrement rasé le corps de son pote à l'exception des sourcils. Une fois qu'il a terminé, le clown a sorti un caleçon a fleurs du sac qu'il a donné au wookie. Puis ils sont sortis aussi vite qu'ils étaient apparus.
_ Sans prendre de chaussures, demanda la petite ?
_ Non madame. Et depuis je ne l'ai plus jamais revu. Pas plus que le clown d'ailleurs.
Une scène bizarre et surréaliste s'il en était. Mais ça n'était pas la première fois qu'on me parlait d'un clown. Était-ce le même que celui dont avait parlé mikl ? Je ne possède pas le sens de l'araignée mais mon intuition me disait qu'on était sur une bonne piste. Comme quoi se rendre dans des taudis pareil pouvait parfois s'avérer utile.
_ Vous parliez d'un clown monsieur Bundy. Pouvez-vous m'en dire plus à ce sujet ?
_ Pas vraiment inspecteur. C'était un clown quoi, avec des vêtements très sales mais un clown classique avec le maquillage, le bonnet à clochettes, des vêtements bariolés des pompes en plastiques sans doute plus grandes que du 36 et tout l'attirail. En revanche il paraissait agacé par quelque chose. Mais je ne saurais vous dire quoi.
_ D'accord. Et vous pourriez nous décrire l'apparence du wookie une fois rasé ?
_ Ben il ne ressemblait pas à grand chose. Il était blanc comme un linge et avait des sourcils très épais.
_ Dîtes-voir, interrompit sa femme, ça ne serait pas lui votre type des fois ?
Elle tendit son magazine afin de montrer une photo. La petite et moi-même la regardâmes attentivement. On pouvait voir un individu très pale et avec des sourcils énormes prendre la pose avec une mannequin la mode, le tout avec un sourire éclatant et un brushing parfait.
_ C'est pas un présentateur télé, demanda la petite ?
_ Oui il travaille pour M6, répondit la grosse vache rousse. Vous devriez peut-être aller voir là-bas. Si vous restez une minute de plus ici vous allez devenir aussi désespéré que mon mari.
Nous nous échangions un nouveau regard avec la petite et approuvèrent le conseil de la bonne dame.
_ D'accord. Eh bien monsieur et madame Bundy, nous vous remercions pour votre contribution.
_ Pas de soucis inspecteur, répondit Al en nous raccompagnant à la porte. Et si jamais vous revenez dans le quartier je vous conseillerais d'aller voir du côté de la voisine. Je suis sûr qu'elle planque de la drogue dans son soutien-gorge.
_ Al ! Laisse Marcy tranquille veux-tu ! Qu'est-ce qui te fait croire qu'elle pourrait cacher de la drogue dans son soutien-gorge ?
_ Peut-être le fait qu'elle est passée subitement du bonnet A au bonnet C.
_ Elle s'est fait refaire les seins Al.
_ Ouais ben elle aurait pu en profiter pour refaire toute la devanture. Voir tout le package. Ça ne lui aurait pas fait de mal.
Je me permis d'interrompre ce nouvel échange. C'est que cette historie commençait à s'éterniser.
_ Merci pour l'information monsieur Bundy. Au revoir.
_ Au revoir inspecteur.
Il referma la porte tandis que je me dirigeais avec la petite vers la voiture. Après avoir ouvert la portière elle me demanda :
_ Alors z'en pensez quoi chef ?
_ J'en pense que ce type a suffisamment de soucis dans sa vie pour qu'on évite de le soupçonner de quoi que ce soit. S'il est coupable de quelque chose, il a déjà été condamné pour devoir être obligé de vivre dans un endroit pareil en compagnie d'une telle greluche.
_ Pour sûr chef, j'ai trouvé ça limite flippant. On fait quoi maintenant ? On va voir du côté du présentateur télé ?
_ Exacte petite. Cette historie de carburant et de rasage dans un magasin de chaussures est plus que tirée par les cheveux mais j'ai l'impression que rien ne semble tenir debout dans cette affaire.
_ C'est le fait qu'on pourchasse un clown et un wookie qui vous fait dire ça ?
_ Entre autre, fis-je en démarrant la voiture. Mais dis-moi, tu n'as pas emmené Peek-a-Bouh aujourd'hui ?
_ Nan chef. Je l'ai laissé au bureau pour qu'elle s'occupe du téléphone.
J'hochais la tête tandis que nous quittions cette banlieue sordide. Je repensais à cette entrevue. Al Bundy était un minable, c'est clair. Je ne sais pas s'il m'avait tout dit mais il ne devait guère avoir fait de choses répréhensible. Et si jamais il s'avère que c'est le cas, le retour de bâton qui viendrait le frapper en pleine poire risquait de faire pas mal de dégâts.
Néanmoins il avait quand même donné quelques infos qui, aussi étranges qu'elles pouvaient paraître, pourraient s'avérer utile. Après tous comme le soulignait la petite, nous étions à la recherche d'un wookie. Or ce genre de créature vient d'une autre galaxie si on en croit tous les petits branlots boutonneux qui se touchent devant Star Wars et toutes ces conneries. Il devait donc certainement avoir un vaisseau spatial ou un truc dans le genre. Par conséquent il lui fallait du carburants pour faire marcher son tas de ferrailles. Enfin s'il avait décidé de se raser entièrement c'est qu'il voulait rester discret. Peut-être s'était-il fait repérer ou qu'il craignait quelque chose ou quelqu'un. Mais à ce moment-là pourquoi devenir présentateur télé ? Surtout qu'il ne parlait pas vraiment comme nous.
_ Lufisto !
_ Oui chef ?
_ Il faudrait voir quand cet animateur a commencé sa carrière et quels antécédents il a. Et comment il fait pour parler correctement. Si c'est bien notre homme, enfin notre wookie, on devrait pouvoir le démasquer assez facilement.
_ Bien chef. Je mets Peek-a-Bouh sur le coup.
Aussitôt elle dégaina son téléphone portable et composa un numéro. Je connaissais mon assistante depuis suffisamment longtemps pour savoir qu'il valait mieux rien dire dans ces moments-là. Après un monologue d'une ou deux minutes où elle expliqua la situation à son associée, elle raccrocha.
_ Elle va jeter un œil chef.
_ Parfait.
Je me contentais de jouer le jeu. La petite était parfois bizarre et elle avait ses lubies mais il fallait avouer qu'elle était très efficace pour trouver des informations. Peut-être qu'elle avait un micro caché dans sa poupée et qu'elle la plaçait au bon endroit au bon moment. Toujours est-il que je n'avais jamais cherché à savoir le pourquoi du comment. J'avais d'autres problèmes à gérer que ceux de ma coéquipière. Et puis si jamais on tentait de la titiller sur le sujet son visage se fermait et elle se contentait de grognements pour toute réponse.
_ On va d'abord passer au bureau histoire de récupérer les autorisations nécessaires pour cuisiner notre client. On tient peut-être un gros poisson et je ne compte pas le laisser filer.
_ Okay chef.



*
**


À peine nous étions arrivés au commissariat qu'on me signala que le commissaire Boudini voulait me voir. J'hésitai un instant à le faire poireauter mais je me disais que si je voulais attraper Gros sourcils j'avais plutôt intérêt à régler ça vite fait. La petite en profita pour aller voir les infos que sa poupée avait pu collecter.
En m'approchant du bureau de Boubou[url=#sdfootnote1sym]1[/url] je ne pus m'empêcher de tousser. L'interdiction de fumer sur son lieu de travail avait fait long feu ici. Pour ainsi dire, le commissaire avait pris le texte de loi l'avait roulé pour s'en faire une clope. C'en était au point que lorsque j'ouvris la porte un épais brouillard de fumée m'agrippa à l'intérieur.
_ Ah Roode, enfin vous voilà, fit-il en écrasant un cigare. Une plombe que je vous attend mon vieux.
Il se leva pour me serrer la main. Tandis qu'il m'invitait à m'asseoir il ouvrit un tiroir afin de dénicher un autre cigare.
_ Désolé chef, j'interrogeais un témoin.
_ Toujours cette histoire de wookie ?
_ Si fait. Et apparemment notre animal serait présentateur télé maintenant.
Boubou ne put s'empêcher d'hoqueter tandis qu'il allumait son précieux.
_ Présentateur télé ? Mais pourquoi un criminel irait-il faire mumuse devant la caméra ? Et vous avez une idée de quel présentateur ça peut-être ?
_ D'après ce que je sais, il travaillerait pour M6. Il se serait rasé, à part les sourcils. Ce qui m'intrigue c'est que ce type est incapable de parler correctement. Un gars qui ne s'exprime que par des hurlements à la télévision ça devrait se remarquer quand même.
Tandis qu'il m'écoutait religieusement, il tira une taffe sur son cigare et réfléchi.
_ Vous savez inspecteur, vu le QI moyen des gens qui regardent ce genre d'émissions, je serais tenté de vous dire qu'ils doivent avoir le même langage.
_ Certes. Mais j'imagine que ça n'est pas pour parler de mon enquête que vous m'avez demandé ?
Il sourit et tira sur sa moustache.
_ En effet non. Vous savez nous avons tous suivi vos performances à la ouéfa. Ce que vous faîtes là-bas est assez incroyable. Vous avez réussi à faire bouger ce gang de mafieux. Batista est de l'histoire ancienne et nous savons maintenant que John Bradshaw Layfield n'est qu'un pion dans cette histoire. Enfin vous avez semé une sacrée pagaille en prenant le titre Intercontinental à Brock Lesnar. Le Gang est désorienté maintenant, ses membres sont prenables.
_ C'est gentil de votre part monsieur. D'autant qu'à la base vous n'étiez pas trop partant pour que j'y aille.
Il ne put s'empêcher de maugréer quelques instants. Il n'appréciait guère quand on lui faisait remarquer ses erreurs de jugements. Ce qui était bien dommage pour lui car c'était un de mes passe-temps favoris.
_ Je n'étais pas pour que vous avanciez ainsi à visage découvert. Vous vous êtes mis en grand danger je vous rappelle. Vous vous êtes quand même retrouvé dans une cage avec trois membres du Gang.
_ Et j'aurais aimé qu'il y en ai plus. C'est plus facile d'attraper les mouches quand elles sont ensemble.
_ Mais très périlleux aussi. Enfin maintenant que vous êtes champion Intercontinental...
_ IC CHAMP' monsieur.
_ Hum... Si vous voulez. Bref, maintenant que vous êtes IC Champ' vous avez certaines obligations.
_ Ah bon ? Et de quels genres ?
_ Dans une semaine se tiendra la kermesse de la Police. Et vous avez été choisi pour animer la tombola.
_ Vous êtes sérieux là ?
_ On ne peut plus sérieux Inspecteur Robert.
_ Attendez, j'ai autre chose à foutre que de faire le mariole devant des gamins boutonneux.
_ Parce que parader en slip sur un ring c'est mieux peut-être.
_ Je me permet de vous rappeler que j'ai mon imperméable sur moi commissaire.
_ Moué. Question de détails. Enfin ça n'est pas comme si vous aviez le choix. Le maire sera là et son fils est un grand fan de vous.
_ Ah parce qu'en plus il va falloir que je fasse la nounou du chiard du maire. Super.
_ Je croyais que ça ne vous posez aucun problème d'aller à la rencontre de vos admirateurs.
_ Admira-trices commissaire, je n'ai aucun problème à aller à la rencontre de mes admiratrices.
Ma correction n'eut guère d'effet. Le commissaire tira une dernière bouffée de son cigare avant de l'envoyer rejoindre le précédent dans son cendrier.
_ Si vous voulez. Vous voilà informé en tout cas. Tâchez d'être présentable et de venir avec la ceinture.
_ Vous êtes au courant que j'ai une défense de titre dans l'intervalle ?
_ Oui. Mais vous affrontez Brock Lesnar non ? Vous lui avez déjà mis une raclée, vous n'aurez donc aucun mal à lui en coller une autre.
_ Hé ça c'est vous qui le dîtes. C'est peut-être « que » Brock Lesnar mais ça n'est pas un gamin cancéreux de huit ans non plus.
_ C'est tout comme. Maintenant vous pouvez disposer.
Il agita sa main afin de me signifier son congédiement.
_ Et pour le présentateur ?
_ Faîtes-le nécessaire, vous avez toute ma confiance.
Ne préférant point insister et ayant les yeux qui commençaient à piquer lourdement je quittais prestement cet antre de l'Enfer. À peine sortis-je de la pièce que j'aperçus la petite qui m'attendait avec un large sourire. Le sourire qu'elle avait quand elle avait trouvé quelque chose d'intéressant. Mais devant ma mine sombre son sourire disparut.
_ Qu'est-ce qu'il y a chef ? Boubou vous a disputé ?
_ Je dois aller faire le guignolo pour le gosse du maire à la kermesse de la Police.
Elle ne put s'empêcher de rire.
_ Bah ça n'est pas si grave. Puis ça vous fera sortir un peu.
Devant mon grognement de protestation elle préféra changer de sujet.
_ Sinon j'ai du nouveau pour notre présentateur chef. Il travaille bien pour M6. Il anime une émission sur l'économie.
_ L'économie ? Ah ben il peut pousser tous les hurlements qu'il veut personne ne doit regarder ça.
_ Au contraire chef, son émission est très populaire. Apparemment les gens n'ont d'yeux que pour ses sourcils.
_ Ben ça alors. Tu m'en diras temps. Et tu as trouvé où il habitait ?
_ Oui. Mais il ne risque pas d'être chez lui en ce moment. C'est bientôt l'heure de son émission.
_ Parfait, ça ne sera pas trop dure pour le trouver. Et c'est ta poupée qui a trouvé tout ça ?
_ Peek-a-Bouh n'est pas une poupée chef ! Il faudra vous le dire combien de fois ?
_ Chaque fois que ça vous foutra en pétard.
Elle secoua la tête avec un sourire en coin.

1 Diminutif affectueux attribué employé par l'inspecteur Bobby Roode et l'agent Lufisto afin de désigner le commissaire Boudini. Ce dernier n'étant, bien évidemment, pas au courant. 



*
**


C'est toujours fendart de voir la tête d'une personne se liquéfier lorsqu'on lui agite un badge d'inspecteur sous le pif. Surtout quand c'est un abruti de la sécurité. Ces types se croient tout permis parce qu'ils portent un costume mais il faut bien avouer qu'il faut avoir une certaine classe pour porter ce genre de fringue. Et puis de toute façon l'imperméable c'est mieux. Pas rancunier pour autant, le gonze nous indiqua la direction pour trouver la loge du dénommé Georges. Une fois devant la petite frappa à la porte qui s'ouvrit sur une charmante demoiselle aussi chétive que mignonne. Après avoir présenté ma plaque avoir mon sourire le plus charmeur, son joli petit minois s'éclaira.
_ Vous êtes de la police ? Pour de vrai ?
_ Pour de vrai charmante créature, répondit-je sans me départir de mon sourire de beau gosse. Et vous êtes ?
_ Je suis la maquilleuse. Je m'appelle Marlène.
_ Marlène ? Un beau prénom que voilà.
Aussitôt la petite embraya. Il fallait toujours qu'elle fracasse mes entrées. Mais bon il est vrai qu'il faut parfois rester professionnel.
_ Nous souhaitons voir monsieur Georges Bacca. On nous a dit qu'il était dans sa loge.
_ Oui ben sûr, affirma la nouvelle égérie de mes nuits en se retournant. Monsieur Bacca, ces personnes de la police souhaiteraient s'entretenir avec vous.
Elle nous laissa entrer et nous nous retrouvâmes nez à pif avec le même individu du magazine de la grosse vache rousse. Mis à part qu'il ne souriait pas comme sur la photo.
_ Bonjour monsieur Bacca, inspecteur Roode et agent Lufisto. Nous souhaiterions vous poser quelques questions si vous le voulez bien.
Je lui tendis la main mais il la serra mollement. Son regard faisait des allers-retours entre celui de Lufisto et le mien. Des gouttes de sueurs perlèrent sur son front tandis qu'il glapissait comme un animal apeuré.
_Très chère enfant, fis-je à l'attention de la maquilleuse. Vous pouvez disposer. Mais ne partez pas trop loin, je pourrais avoir besoin de vous.
Elle pouffa de rire puis sorti en fermant la porte tandis que je me retournais vers l'espèce d'erreur de la nature.
_ Monsieur Bacca, il paraît que vous êtes un animateur très populaire. Certains disent que c'est en grande partie à cause de vos sourcils mais je suis sûr que c'est surtout grâce à votre talent. Même s'il est vrai que pas tout le monde ne possède pareils sourcils.
Il siffla légèrement. Son stress était toujours visible même s'il paraissait en même temps avoir été touché par le compliment. Je continuai de le fixer en posant un regard bienveillant sur lui. Il ne fallait pas le brusquer ce pauvre petit. Il était tellement sur les nerfs qu'il ne faudrait pas le cuisiner bien longtemps pour qu'il vende père et mère.
_ Il ne faut pas vous affoler comme ça, assura la petite en s'approchant de lui. Nous n'allons pas vous manger. Nous menons simplement une petite enquête sur la ouéfa.
_ Oui la ouféa, embrayais-je, la fédération de catch. Je suis sûr que vous connaissez. Je suis même IC CHAMP'.
Cette nouvelle ne le rassura pas. Bien au contraire. Il continuait de nous regarder alors que sa respiration s'accélérer. Je commençais à me demander s'il n'allait pas claquer comme ça devant nous avec un infarctus.
_ Vous devez certainement connaître, renchérit la petite, puisque vous avez racheté cette fédération il y a quelques années de cela avec des amis à vous. D'après ce que nous savons, vous avez même fait parti du Conseil d'Administration avant de devenir un présentateur télé à succès. Une sacrée performance quand on pense que vous êtes un wookie incapable de s'exprimer normalement à la base.
_ Tout à fait chère collègue, approuvais-je. Vous, vot' pote le clown, sans oublier le fameux mystérieux investisseur luxembourgeois, vous avez fait fort. Oui oui ne me regardez pas comme ça avec votre air de chien battu nous sommes au courant pour ça aussi. Vous ne pensiez tout de même pas que JBL et les autres abrutis du Gang à la tête d'une telle organisation ça aller passer. Le seul problème que j'ai c'est vos motivation. Qu'est-ce qui va motiver un clown et une vulgaire boule de poils à s'acoquiner avec un troisième larron qui semble pourtant déjà pleins aux as pour racheter une fédération de catch ? Hein ? Et surtout pourquoi se débarrasser un à un des anciens propriétaires au point de les faire disparaître ? Vous ne voudriez pas m'aider monsieur le présentateur ? Au moins me donner une piste. Non parce que là je patauge depuis plusieurs jours. J'ai même dû en venir aux mains avec une montagne de muscles au QI d'une huître.
_ L'argent chef, c'est toujours l'argent dans ces cas-là.
_ Très juste Lufisto mais ça ne peut pas être que ça. Hein mon wookie ? Ça ne peut pas être que ça. Et puis pourquoi avoir besoin de toutes ces chaussures ? Et franchement, se raser le corps dans l'arrière-boutique d'un magasin. Mais faut être un poil dérangé mon bon tu ne crois pas ? D'ailleurs en parlant de poils, pourquoi t'as demandé à ton pote de te raser ? Vous ne seriez pas plus que de simples amis par hasard ? Pas que ça me dérange, mais j'aimerais bien connaître le fin mot de l'histoire.
Au fur et à mesure que je parlais l'ami Georges se liquéfiait complètement. Je pensais qu'il était à point lorsque l'expression de son regard se durcit. Il poussa un beuglement terrible qui me péta les tympans et m'administra un direct du droit dans la mâchoire. Profitant de l'effet de surprise, il nous bouscula, Lufisto et moi, et se précipita hors de la pièce. La petite voulut s'enquérir de mon état mais je lui signifiai rapidement par geste d'aller à la poursuite de ce petit fumier. Elle s'exécuta aussitôt tandis que je tentais de reprendre mes esprits. Je passai de l'eau sur mon visage puis touchai ma bouche. Ce salaud ne m'avait pas rater. Il allait passer un sale quart d'heure après que la petite l'ait chopé.
_ Bordel ! criais-je alors que Marlène entrait affolée dans la pièce.
_ Quelque chose ne va pas monsieur le commissaire ?
_ Inspecteur, répondis-je en sortant. Vous avez vu par où est parti cet enflure.
_ Heu, par-là, fit-elle en indiquant un couloir qui semblait mener vers un plateau télé.
J'entrepris aussitôt de suivre la direction en écartant les personnes, ou les boulets devrais-je dire, qui traînaient au milieu. Après avoir traversé le couloir je tombais effectivement sur un plateau télé. Vu les récriminations d'un vieux type en costume gris et à l'haleine moisi je devais me trouver en plein milieux du champ. J'avisais une porte au fond de la salle et entrepris de m'y rendre prestement, le tout en écartant l'infortunée vieillasse.
_ Laissez-passer ! Inspecteur IC CHAMP' ! Bordel de merde poussez votre gros cul !
Les insultes ça marche toujours dans ce genre de cas. Surtout quand on les hurlent en agitant un flingue. Et alors que je courrais à en perdre la raison, j'entendis des éclats de voix qui semblèrent correspondre au timbre de la petite. Il ne me fallut que quelques instants pour constater que c'était bien elle. Elle avait dégainé son arme et tenait l'ami Georges en joue.
_ On ne bouge plus, cria-t-elle à son attention.
_ Coup de point à agent de police en exercice ça va chercher loin mon pote, affirmais-je en rejoignant ma collègue. Et quand on est prêt à risquer une belle amende et un séjour en cabane c'est qu'on sait des trucs.
En me voyant l'ami Georges devenait de plus en plus nerveux. Devant le peu d'options qui lui restait il tenta une nouvelle fois de fuir mais cette fois-ci il eut moins de chances. Alors qu'il tenta un nouveau démarrage éclair, ses pieds se prirent dans les câbles d'une caméra et il s'écroula comme une vieille merde.
Retenant un fou rire, je me portais à sa rencontre et m'agenouillai pour qu'il puisse entendre distinctement ce que j'allais lui dire. Dans le même temps, la petite rengaina son arme et me rejoignit. Attirés par nos crient, des gens de la chaîne arrivèrent afin de comprendre ce qui se passait. Mes avis que ça allait jaser le lendemain matin à la machine à café, Jean Claude ou pas.
Je portais ma bouche à l'oreille de l'ami Georges qui gisait par terre en poussant des feulements. La petite lui prit les bras et attacha de beaux bracelets à ses poignets.
_ Bon monsieur Georges Bacca. Vous êtes en état d'arrestation pour avoir collé un pain à un inspecteur de police ainsi que pour intimidation, menace, extorsion de fonds, exhibitionnisme et encore je vous fais la version courte. Vous avez le droit de fermer votre gueule et tout le tralala. Compris ?
Pour toute réponse il ne put émettre qu'un « boohoo » tandis que la petite le releva.


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Gbacca, un wookie qui vous veut du bien.
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyDim 13 Avr - 0:31

UN DINER PRESQUE PARFAIT
EDITION WFA !

ÉPISODE 1 : CHEZ LES PSYCHEDELIC WARLORDS



Voix-off: 4 équipes, 4 dîners, mais un seul vainqueur ! Champions sur le ring, les Wrestling Class Heroes le seront-ils à table ? En tout cas la compétition promet d'être relevée ! Les règles ? Chaque équipe choisit un lieu, et organise son repas. Les autres donnent une note. A la fin, les notes seront révélées pour élir enotre gagnant ! Et nous commencons tout de suite avec la première joute ... culinaire ! Ahahaha !

La limousine des Wrestling Class Heroes s'embourbe. Le chauffeur s'excuse. Il faut dire que le chemin de champ boueux sur lequel ils sont engagés n'est guère adapté à leur véhicule. Proches de leur destination, Jericho et Christian descendent du véhicule.

SPROTCH

Jericho: PUTAIN. Et voilà. Un costard de ruiné. Et mes pompes sont foutues ...

Christian: Pas mieux... C'était bien la peine de nous habiller chic... Et on va par ou maintenant ?

Jericho: Tout droit je suppose ...

Christian: Forcément c'est des bouseux, fallait qu'on se mange la campagne...

VROUUUUUUUUM !

Samoa Joe: HEY ! C'est les Wrest... Wretl... C'est les Class Heroes ! On vous dépose les gars ?

Ce sont les APA sur un sémillant tracteur ! Samoa Joe au volant, Carlito à ses côtés, et des bouteilles de rhum vides.

Jericho: Je suppose qu'on doit dire oui.

Christian: Je suppose que la journée ne peut pas être pire.

Quelques instants plus tard

Et voilà nos héros devant le lieu choisi par les Warlords pour organiser le repas une splendide ... caravane. Vétuste, la caravane est trouée par endroit, et de la fumée s'échappe.
Kassius Ohno et Erick Rowan se tiennent devant, vêtus de tabliers et de ... masques à gaz ?

"Bienvenue les gars, bienvenue dans notre modeste demeure !"

Jericho: La journée ne pouvait pas être pire hein ?

Carlito: C'est tranquille chez vous !

Christian: Bon ca caille, on peut rentrer ?

Rowan: Rentrer ?

Ohno: AHAHAHAHAHAHAH ! C'est dehors qu'on mange les gars ! Dedans on a notre labo de Meth. Z'en voulez un peu ?

Christian: La prochaine fois je ferme ma gueule.

Pendant que les APA et les WCH s'installent sur des chaises de jardin miteuses, les Warlords amènent une vieille table en bois façon camping. Les Phenomangels arrivent à leur tour. Couverts de boue ils ont l'air dépités, mais leur visage s'illumine quand ils voient le pantalon de costume de Jericho.

Styles: Je me sens moins con d'un coup.

Daniels: Ouais, pareil. Au moins on est pas tout seul.

Tous les convives sont là, le repas va donc pouvoir débuter !

En aparté:

Citation :
Chris Jericho: Dans ma vie j'ai forcément fréquenté des endroits louches. Mais je n'étais pas préparé à ca.

Christian: On a froid. On a faim. On a soif. Et je crois qu'il y a des rats qui trainent dans le coin. J'ai peur de ne serait-ce que respirer dans ce tombeau...

Erick Rowan et Kassius Ohno apportent alors un énorme plat qu'ils posent sur la table.

Un énorme ... monticule ressemblant vaguement à une tourte. Mais vaguement. Du gras à en faire un infarctus dans la minute, dégoulinant de part et d'autre. Une odeur à vous réveiller les morts, et une couleur noirâtre de mauvais présage. Les Warlords posent une grande carafe d'eau jaunâtre, et des verres en plastique à côté de chaque personne.

Samoa Joe: Voilà qui a l'air ... HIPS ! Délicieux !

Chris Jericho, soudainement vert et nauséeux: Joe ... tu peux me passer à boire s'il te plait.

Joe sort une flasque de sa poche et la prête à Jericho ... qui la boit cul-sec !

Christian: Putain Chris et moi bordel ? Je suis sobre je peux pas toucher à ce ... ce ... truc !

Joe: Heeeey ! T'as tout bu Joricho ! Je te prêterai plus mon eau de vie !

Ohno : Goûtez messieurs, ca va être dé-li-cieux !

Styles: Euh on aimerait bien mais ... on a pas de couverts.

Daniels: Ni d'assiettes.

Ohno : Mais pas besoin ! Ce repas est placé sous le signe du partage ! On mange tous dans le même plat pour symboliser notre union momentanée !

Et sur ces mots le Warlord plonge sa main plus noire que blanche dans le plat et en sort une part qu'il donne à Styles, qui manque de tourner de l'oeil.

Styles: D'accord. Joe, t'as pas une autre flasque ? Non ? Sûr ?

Ohno continue de servir tout le monde. Carlito et Joe ont l'air ravis, Jericho sourit l'air béat. Styles, Daniels, et Christian se regardent, et semblent avoir un de ces moments de parfaite symbiose où les mots sont inutiles.

Rowan, sortant un fusil: Et maintenant, ON MANGE !

Les APA s'exécutent avec joie et mordent dans le "truc" à pleines dents.

Jericho mâche goulûment et mange sa part à une vitesse folle.
Christian le regarde, puis dépité mange un morceau de sa part.

"Oh mon dieu c'est immonde ! Putain ca me brule ! C'est gluant j'ai l'impression de bouffer de la morve en croûte ! Faut que je crache faut que je crache ! Non si je crache je vais me taper la honte. Chris a réussi, comment il a fait ? Regarde Daniels, regarde Daniels, le premier qui crache est une tarlouze !"

Christian regarde Daniels, les joues bouffies, le front dégoulinant de sueur, et les larmes aux yeux.

"Regarde Christian, regarde le ! Il va cracher ! Lâche pas l'affaire tu vaux mieux que ça, tu es le Fallen Angel, le seul et l'unique ! Les anges ne crachent pas ! Faut que j'avale bordel ! Ah putain je chiale ! Allez avale d'un coup et boit de l'eau ca passera !"

Pendant ce temps là Styles se dresse fièrement face à Rowan et Ohno, les regarde, et avale sa part avec un air de demeuré.

Rowan: 1,2, ...

BEUAAAAAAAAARGH !

Styles a tout rendu ! Les APA applaudissent avec un chant "il est des nôtres". Jericho rigole tout seul, pendant que Christian et Daniels ont avalé leur part et regardent dans la vide, leurs visages donnant l'impression qu'ils ont contracté la peste noire.

Carlito: C'était délicieux ! Quel est le nom de cette merveille ?

Rowan: C'était du Space Paté en croûte !

Ohno : Spécialité maison ! A base de viande, croûte, et d'un petit plus qui va vous déteeeeeeendre !

Rowan: Je vais chercher le plat de résistance !

Les convives se regardent, terrifiés.

Christian: Putain je me suis jamais senti aussi mal ! Comment t'as fait Chris ?

Jericho: L'eau de vie de l'autre idiot m'a anesthésié la bouche. Je sens plus rien. Mais j'ai le bide en feu ! Horrible !


Citation :
AJ Styles: Quand j'ai mordu dans ce truc, j'ai su que c'était fini. Je veux dire ... c'est comme manger une chaussette remplie de gelée pour chat... J'ai l'impression d'avoir pris une cuite. Et je suis plus tout seul... Je vois des choses ! Je vois des choses ! Hulk Hogan est assis a côté de moi ! Il me dit qu'il va revenir !

Citation :
Kassius Ohno : En fait il y avait vraiment de la gelée pour chat. J'ai toujours adoré ça, je trouve que c'est complètement sous-estimé !

Jericho: Putain je suis a moitié défoncé !

Christian: Chuuuuuuuut ! Ils vont revenir ? Ils vont revenir ? Je peux plus manger Chris ! Je peux plus !

Joe et Carlito eux sortent une bouteille de whisky et boivent.

Joe: Ca donne soif une entrée aussi délicieuse !

Styles: Joe, ta gueule. S'il te plait ta gueule.

Carlito: Vous savez pas apprécier les bonnes choses.

"Allez les gars, on passe aux choses sérieuses !"

Un plat immense. Un cochon entier ficelé dedans, rôti à moitié. Une sauce verte. Et à côté dans un grand saladier, des patates. Juste des patates.

"Le cochon royal sauce menthe-bière et ses patates !"

Joe et Carlito applaudissent comme des fous, tout excités par ce plat.
Styles tourne de l'oeil sur l'épaule de Daniels.

Jericho: C'est possible de prendre juste des patates ?

Rowan: Et pourquoi donc ?

Jericho: Euh ...

Christian: Euh ... NOUS, les Wrestling Class Heroes, ne mangeons pas de porc ! C'est évident voyons !

Jericho: Oui tout à fait hein ! ah ah !

Ohno : Oh ... messieurs me voilà rempli de honte ! Mais nous avions tout prévu ! Voilà pour vous un substitut ! Une innovation culinaire !

Christian: Je crois que t'aurais encore du la fermer Chris.

Jericho: Encore ?

Christian: Oui comme au Hall of Fame !

Jericho: Hey c'est pas juste c'est toi qui ...

"Voilà La poule aux oeufs d'or !"

Un plat avec deux poules à moitié rôties, et des oeufs crus, le tout baignant dans un jus de couleur dorée.

Christian: On est foutus ...

"Attendez, il faut un assaisonnement adapté !"

Et voilà Ohno qui arrive avec un énorme sac de poudre blanche, qu'il verse dans les plats, généreusement !

Carlito: J'ai toujours aimé le salé !

Joe: Hips ! Chétais pas du sucre ?

Les Phenomangels et les Wrestling Class Heroes se tournent vers les deux acolytes, l'air navrés.

Rowan sort à nouveau son fusil.

"ET MAINTENANT ON MANGE !"

Styles: Je m'en fous je suis un malade moi !

Et voilà Styles qui sniffe "l'assaisonnement" ! Et encore ! Complètement défoncé le voilà qui mange sans sourciller !

"T'en veux un bout Hulk ?"

Les autres convives se jettent des regards et font de même ! C'est une hécatombe !

Joe: Pourquoi ils sniffent du sucre ?

Carlito: C'est du sel ! On essaye pour voir ?

Et voilà comment la soirée bascula dans l'inénarrable.

Bien plus tard dans la nuit

Il est 5 heures du matin. Une lumière faible émanant d'une lampe d'extérieur éclaire la table en bois. Dessus, des restes de divers plats à l'aspect immonde. Christian et Erick Rowan parlent d'astronomie, pendant que Kassius Ohno perce le nez de Jericho pour lui mettre un piercing. Joe et Styles chantent, Daniels lit un exemplaire de Boule et Bill, pendant que Carlito s'est endormi à côté de ... Jeff Hardy !

La soirée touche à sa fin, et dans une scène surréaliste tout le monde se fait la bise. Les APA, les Phenomangels, et les Wrestling Class Heroes repartent sur le tracteur avec des petits tupperwares contenant des restes du Space Paté en croûte, et Jeff Hardy. Les Warlords font coucou à leurs invités, les larmes aux yeux.

Ohno : Ils étaient coincés au début mais finalement ce sont des bon gars.

Rowan: Ils me manquent déjà.

****

Le lendemain, les invités donnent leurs notes, tant bien que mal au vu de leur état.

La décoration :
Phenomangels : “On a rien contre les petits barbecues campagnards mais là ... j'ai cru que c'était une caméra cachée au début. Bouseux dans tous les sens du terme, et ces chaises en plastique ... Elles font mal au cul. 4/10 !”
APA : “C'était grand, beau, et il faisait frais ! Beaucoup d'espaces verts, on adore la nature alors c'est un 7/10 !”
Wrestling Class Heroes : “On s'est crus dans La Colline a des Yeux. Insoutenable ! 2/10 ! Et on est gentils ! ”.

L'accueil :
Phenomangels: “Franchement ... ils étaient sympas par moments, mais le coup du fusil ... Un peu too much. D'ailleurs on a retrouvé des impact de balle sur nos vestes... 3/10 ”
APA : “Des mecs sympas, très courtois et polis. Et des vrais hommes, des forces de la nature ! Mais par contre pas de vrai apéro ... On est déçus. 4/10”
Wrestling Class Heroes : “Ils n'ont pas un poil de cervelle et sont inconvenants au possible. Mais c'était de la bonne ! 6/10 !”

La nourriture :
Phenomangels : “Monstrueux. Au début j'ai cru qu'ils se foutaient de nous, mais non ils mangent vraiment ca. 2/10”
APA : “On a ADORE ! C'était authentique, on sentait le côté fait maison. Ils chassent leur nourriture, si c'est pas beau ca. Des hommes on vous dit, des vrais ! 8/10”
Wrestling Class Heroes : “ Une insulte à l'espèce humaine. D'ailleurs on a retrouvé des tupperwares bizarres dans nos affaires, on n'a pas compris. 1/10, pour les patates !”

Ce qui nous fait une moyenne de 4,1 !
Cela sera-t-il suffisant pour faire face à la concurrence ? On le verra bientôt avec le dîner chez les APA !
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Sexy Boy
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyDim 13 Avr - 2:33

Ta ta ta ! Ta ta ta ta ! Ta ta ta... Ta ta ta !

Cette promo vous est offerte par Craquage Complet Productions.



Laurinaitis : Bonsoir, je suis John "Johnny Ace" Laurinaitis. Bienvenue à "Voice of the People" ! Le seul endroit où les fans de la WFA peuvent tout savoir de leurs champions préférés : Trent Barreta, John Morrison, les Wrestling Class Heroes... Quoi ? On me dit quelque chose dans l'oreillette ! La magie du direct ! Comment ? J'ai dit "John Morrison" au lieu de... pardon, j'entends mal... il y a de la friture sur la ligne... Rhoff ? Le rappeur ? Bien sûr que je connais, je suis dans le coup... Rhoff Nibbler ? ... Je ne comprends pas ce que vous dîtes, monsieur. Ca doit être un mauvais numéro. Je vais raccrocher maintenant. Pardonnez-moi pour cette interruption. Au programme de ce soir, un show "People Power" que vous pouvez commenter sur... tvitère, bien sûr ! avec le... hash... hashtag ! Ah ah! Le Hashtag #LightCity. Mon premier invité est celui que vous attendez tous : le "People Champion" John Morrison !

John Morrison entre, le temps se ralentit, les yeux se dilatent, les poitrines se gonflent, les culottes se trempent. On dénombre déjà dix-huit orgasmes et trois évanouissements. Morrison s'avance vers Laurinaitis et lui sert la main.

Laurinaitis : Bienvenue, John ! Allons nous asseoir, si tu veux bien.

Femme : Oui, JoMo, assis-toi sur mon visage !

Les deux hommes se dirigent vers les fauteuils installés plus loin et s'installent.

Laurinaitis : Alors John, comment vas-tu ?

Morrison : Très bien.

Laurinaitis : Ah ! Quel orateur, quel lyrisme ! Cette soirée commence sur les chapeaux de roues !

Morrison : Merci à John Laurinaitis d'avoir eu l'idée d'inviter John Morrison.

Laurinaitis : Quel altruisme ! Quelle générosité ! Sans plus attendre, notre rubrique "L'œil du manager" ! HeelManiac nous donne son...



La musique retentit du Show-Off retentit dans le studio. Studio d'ailleurs complétement hostile à cette arrivée inopportune puisque composé à 99% de fans de John Morrison. ( Ne demandez pas ce qui est arrivé au pourcent qui reste. ). Ziggler semble s'être habillé précipitamment. En effet, il est en jeans-basket avec un T-Shirt rose à l'effigie de Britney Spears et une veste grise.

Dolph : Vous voyez, j'étais tranquillement assis dans mon canapé à regarder la télé. Je change de chaîne et soudain, je vois un zombie qui gémit d'une voix rauque et me bousille mes enceintes en passant. Je me dis "Merde ! C'est pourtant pas The Walking Dead, ce soir !" Et bien non, c'était mon ami John Laurinaitis qui enflamme le câble ! Ni une, ni deux, je saute dans un taxi. Et me voilà pour soutenir mon General Manager préféré et faire décoller les audiences de son émission.

Les huées redoublent.

Dolph : Merci, merci à vous de soutenir votre champion de la WF... et merde ! J'ai oublié la ceinture. Tant pis. Est-ce que vous permettez que je puisse m'asseoir ?

Le public scande des "No !" et des "Go Back to Toronto !".

Laurinaitis : Le peuple a parlé, monsieur Adolf Hitler. ( Point Godwin ! )

Dolph : C'est pas grave, je vais rester debout. ( comme les nazis toussa, ils étaient debout et ils marchaient en cadence en levant le bras )

Ziggler passe la main dans ses cheveux blonds ( saloperie d'aryen ! ) et va s'adosser contre un poteau ( un poteau d'exécution ! Schnell ! ).

Dolph : Alors qu'est-ce qu'on fait ? ( On envahit la Pologne ou quoi ? )

*Pardonnez-moi, je déteste plus que tout interrompre une promo. Ça casse le rythme, c'est pas drôle et ça prouve un cruel manque d'originalité. Mais je veux prévenir que j'ai embauché un stagiaire pour m'aider à écrire cette promo. Et ce petit con, il est vraiment à chier. A chaque fois qu'il parle, j'ai envie de le frapper. Mais bon, je l'ai pris parce que c'est le petit frère d'une amie d'un cousin. Donc les vannes sur les nazis, plus haut, c'est parce qu'il vient d'étudier la Seconde Guerre Mondiale en cours. Je vous prierai ( surtout les HB ) de ne pas m'en tenir rigueur merci.*

Dolph : Alors qu'est-ce qu'on fait ? John, c'est ton émission, reprends le contrôle !

Laurinaitis : Hum... oui, on me dit que nous n'avons pas le temps pour "l'œil du manager".

Il regarde dans ses fiches, se perd dans ses fiches, relève la tête, sourit, puis repart à la recherche de sa fiche, trouve sa fiche. (D'ailleurs, pourquoi il a des fiches alors qu'au début, il avait une oreillette ? )

Laurinaitis : Ah non, ce n'est pas la bonne fiche ! Mais qu'est-ce que j'ai fait de cette fiche ? Ah, voilà ma fiche !

*Hé, ptit con, on t'a jamais appris que c'était moche les répétitions ? T'es peut-être bon en Histoire mais tu sèches les cours de Français, hein ? Non, touche à rien, je vais m'en occuper. Ou alors je le laisse et je dis que c'est une accumulation pour mettre en exergue le fait qu'il y ait beaucoup de fiches et qu'elles se ressemblent toutes. Alors, ça t'en bouche, ptit con ? Ca, c'est ce qu'on appelle la licence poétique alors tu la fermes et t'en prends de la graine.*

Laurinaitis : Tout de suite, nous accueillons Johnny Starship, sosie officiel de John Morrison et Jean-Luc Materre, président du fan-club officiel de John Morrison et rédacteur en chef de Light My Fire Magazine.

*Jean-Luc Materre ? Sérieusement ? Me regarde avec ton sourire de débile ! Parce que sinon c'est ma main dans ta gueule ! Alors va me chercher un café... non ! Un thé, je suis déjà assez énervé comme ça !*

Johnny et Jean-Luc, il n'y pas de mots pour les décrire. Johnny et Jean-Luc, c'est la quintessence. C'est comme si Confessions Intimes et Tellement Vrai avaient copulé après s'être bourré la gueule et avaient donné naissance à des jumeaux sur le parking du Lidl de Roubaix, près de la sortie d'Autoroute *Celui où ptit con va piquer des Balisto. Balisto, c'est mon côté nature*. Et les jumeaux auraient été abandonnés et élevés par des fans de Frank Michael.

Dolph : Putain, je crois que je vais gerber.

Laurinaitis : Incroyable, Johnny, la ressemblance est frappante ! Ne bougez surtout pas parce que sinon, je vais finir par vous confondre. Vous ne trouvez pas John ?

Morrison : John Morrison comprend et apprécie l'envie qu'un homme peut ressentir, celle de ressembler à John Morrison. Mais on ne peut pas capturer la Lumière, elle vous file entre les doigts. On ne peut l'imiter, son spectre est large, fier et aux couleurs de l'arc-en-ciel.

Dolph : Il parle vraiment de son spectre ou d'autre chose ?

Laurinaitis : Alors Johnny et Jean-Luc sont là pour vous poser quelques questions. A vous messieurs !

Jean-Luc : Tout d'abord, John, c'est toujours un plaisir de vous rencontrer. Vous vous souvenez, on s'est déjà rencontrés lors du WrestleMania Axxess ?

Morrison : John Morrison ne se souvient pas du passé, il vit l'instant présent à la vitesse de la lumière.

*Hé ! Ptit con, combien ? La vitesse de la lumière ? Ah, t'es bien emmerdé, là ! Le bac, c'est pas pour cette année, j'ai l'impression !*

Jean-Luc : Hum... Très bien, alors première question. Qu'est-ce que vous mangez au petit-déjeuner ?

Morrison : John Morrison aime se réveiller avec le goût de l'abricot dans la bouche. C'est tout ce qu'il lui faut. Un fruit gorgé d'amour et de lumière.

Une petite culotte atterrit sur le bureau de Laurinaitis.

Johnny : Comment vous faîtes pour avoir de tels abdos ?

Morrison : John Morrison attendait cette question. Parce que John Morrison est perspicace, John Morrison a remarqué la couche de graisse qui se trouve au niveau de votre ventre. John Morrison ne fait pas de musculation. En fait, John Morrison ne fait pas attention à son corps. Car si il le regardait trop longtemps, John Morrison pourrait s'éblouir.

Femme : Montre-nous, John ! Montre-nous tes abdos !

Le reste de l'assistance reprend en chœur "Les abdos ! Les abdos !". John Morrison se lève et écarte son manteau. 18% de la salle perdent la vue, 2 spots explosent, le compteur d'orgasmes a atteint le PIB du Kosovo.

*Je parie que tu sais même pas où c'est, le Kosovo, hein ? Non, c'est un peu plus bas que la Belgique, quand même. Géographiquement, en tout cas.*

Femme : C'est comme si ses abdos regardaient à l'intérieur de mon âme avant de lui faire l'amour !

Dolph : Mais... Mais je connais cette graisse ! C'est...

Johnny : Je ne vois pas de quoi...

Ziggler s'approche de lui et lui retire sa perruque.

Dolph : Dwayne ? The Rock, c'est toi ? Mon pauvre vieux !

Le Brahma Hippopotamus se sauve en hurlant.

The Rock : Non ! Même le DDP Yoga n'a pas marché ! C'était mon dernier espoir !

Dolph : Il est toujours aussi sympa !

Laurinaitis : C'est une honte, monsieur Zimmer ! On vous tolère sur ce plateau et malgré ça, vous agressez nos invités !

Dolph : S'il te plaît John, ne hurle pas ! On dirait un tractopelle qui patine ! Bon, votre mascarade, c'était drôle deux minutes mais j'ai passé un petit coup de fil. Il y a deux pros qui n'avaient rien à faire, ce soir. Et ils viennent juste d'arriver.

Ziggler fait signe à la caméra, qui tourne pour découvrir Philippe Chéreau et Christophe Agius ! Ils entrent sur le plateau et serrent la main à Dolph.

Christophe : Au fait, vous avez raccroché avant, on est payés pour ça ?

Dolph : Moi, je suis un peu juste en ce moment mais vous demanderez à mon patron.

Jean-Luc se lève, contrarié.

Jean-Luc : Et moi ?

Superkick de Ziggler sur Jean-Luc ! Philippe et Christophe s'assoient dans les fauteuils vides.

Dolph : John, tu pourrais me prêter ton fauteuil ?

Laurinaitis : Hors de question !

Dolph : Allez ! Je vais pas m'asseoir par terre, je m'appelle pas CM Punk !

Morrison : John, laissez notre invité s'assoir. De toute façon, il vous reste du linge à repasser en coulisses.

Laurinaitis marmonne mais cède à sa demande.

Dolph : Et bien, dis-donc, tu te fais pas chier John. Que c'est confortable ! Et regardez ce tissu ! C'est de la soie ? Du cashmire ? Du poil de John Morrison ? Oui, pardon, ce n'est pas le sujet. John, vraiment navré d'hijacker ton show.

Morrison : John Morrison comprend qu'on souhaite partager sa...

Dolph : Wow wow ! Tu peux abandonner la troisième personne pendant quelques minutes ?

Morrison : John Morrison respecte trop John Morrison pour ça.

Christophe : Hum hum...

Dolph : Pardon, je vous en prie. Balancez les questions !

Christophe : Dolph, vous avez pendant longtemps collaboré avec la famille McMahon. Vous êtes un peu mal placé pour critiquer la relation entre Mr Morrison et Mr Laurinaitis.

Dolph : Bam, directement les questions qu fâchent, hein ? Je pense que, au contraire, je suis très bien placé pour porter ce jugement. La position dans laquelle John se trouve en ce moment, je l'ai connue. Le pouvoir en claquant des doigts, les matchs arrangés... mais tout ça, ça vous ramollit. Vous perdez vos réflexes, votre concentration et le jour où ça ne marche pas comme vous voulez, tout se casse la gueule. Et je crois que ce jour est arrivé pour notre ami.

Philippe : John, comment vous décririez votre relation avec Mr Laurinaitis ?

Morrison : John Laurinaitis est un homme dévoué, fidèle, qui sait choisir ses relations.

Dolph : Oh non, on en a encore pour des heures.

Morrison : John Laurinaitis a vu la Lumière le premier et elle l'a changé. Depuis nous partageons une relation privilégiée et sincère.

Dolph : C'est le début, John. Après, il t'oublie, il s'amuse avec d'autres gars, il met un putain de masque, il t'humilie et il te vole ton titre ! Tous les mêmes... Excusez-moi, je suis toujours un peu sensible quand on parle de ces choses là.

Philippe : Dolph, vous comptez battre le record de 308 jours ?

Dolph : Non. Enfin, j'y ai pas réfléchi. Je vais pas faire exprès de perdre mon titre avant mais c'est pas un de mes objectifs. Ce n'est pas la longueur qui compte... la longueur du règne, Philippe... ni le nombre de titres. Non, ce sont les moments marquants qui importent. J'ai remporté le titre dans une Elimination Chamber. John a encaissé une mallette.

Morrison : John Morrison a vaincu la mort pour l'avoir.

Christophe : En parlant de ça, John, que pensez-vous du rôle de Seth Rollins à Raw ?

Morrison : John Morrison ne regarde pas la WFA quand il n'y apparaît pas.

Christophe : Quant à vous, Dolph, que pensez-vous de Trent Baretta en tant que champion ?"

Dolph : Honnêtement, je le trouve un peu arrogant. Je sais, je sais, vous allez me dire que je suis mal placé pour dire ça. Mais je crois qu'il a un peu pris le melon. D'accord il a gagné un Royal Rumble. D'accord, il a envoyé Batista à la retraite. Mais là, il s'agit d'avoir les épaules pour représenter la WFA toutes les semaines, d'affronter le Gang, JBL, Rollins, les fans qui vont le huer... encore pire, qui vont se retourner contre lui. Il fanfaronne un peu trop à mon goût. Regardez ce qui est arrivé au Miz. Il était au sommet, plus haut que n'importe qui ne l'a jamais été à la WFA, ce mec avait pratiquement tout le monde derrière lui. Sauf qu'un jour, il est monté trop haut et s'est brûlé les ailes.

Philippe : Dolph, vous avez l'intention de prendre votre revanche sur le Gang ?

Dolph : Quelle revanche ? Ils ont voulu me recruter, j'ai refusé. Ted m'a volé mon titre et maintenant je suis champion du monde. Je ne crois pas que ce soit moi le plus à plaindre dans l'histoire.

Philippe : Malgré vos différends, vous ne semblez pas leur en vouloir plus que ça.

Dolph : Je n'en veux pas au Gang, j'en veux à Ted. Je lui en veux de croire qu'il est meilleur que moi. Pour être honnête, si le Gang, au lieu d'intervenir dans mes matchs, était venu me demander de les rejoindre, j'aurais peut-être accepté.

Philippe : On dirait que vous les admirez.

Dolph : Hola ! "Admirer" est un bien grand mot ! Je reconnais leur talent, même celui de Ted. C'est une mécanique super bien huilée. Et même quand on coupe une tête, une autre repousse immédiatement. Franchement, quand l'inspecteur Roode aura découvert le cerveau de tout ça, j'aimerais lui serrer la main... avant de lui foutre dans la tronche.

Christophe : Comment expliquez-vous que le WFA Championship soit moins bien considéré que le titre poids-lourd ?

Dolph : Euh... John Morrison. Je veux dire, quand on voit le palmarés : Mike Knox, Batista... bon, d'accord c'était une petite pute mais un putain de champion quand même... Puis Samoa Joe. Et là, BIM ! John Morrison. Ca en fout un coup au prestige, non ?

Morrison : John Morrison a sauvé ce titre de la perdition. Il était détenu par un ivrogne. Sois honnête, Dolph. On n'a jamais autant parlé de ce titre depuis que John Morrison l'a porté.

Dolph : Je le reconnais, tu fais réagir. Mais je n'appelle pas ça « être un bon champion ».

Morrison : Parce que tu penses en être la définition.

Dolph : Justin Gaybriel aurait fait un meilleur champion que toi.

Morrison : Retire ça, tout de suite.

Dolph : Excuse-moi, c'est vrai que c'est pas cool pour Justin d'être comparé à une femmelette comme toi.

Morrison : Ce n'est pas l'avis de toutes les femmes que John Morrison a conquér... a conqu... a visité.

Philippe : John, elle est vraiment si grosse que ça ?

Morrison : Encore plus.

Christophe : Joli désamorçage, Philippe. Vous êtes doués avec les questions dont tout le monde se fout.

Philippe : John, est-ce que les rumeurs de liaison entre vous et Britani Knight sont vraies ?

Morrison: John Morrison ne révèle jamais ce qui se passe dans la couche de John Morrison. Mais je comprends que les femmes souhaitent faire connaître au monde le bonheur de se sentir pénétrée par la lumière.

Christophe : Philippe, vous vous enfoncez. C'est digne de TMZ, ça.

Philippe : Dolph, vous avez revu Mickie James depuis son retour ?

Dolph : Je ne vois pas trop l'intérêt de cette question.

Philippe : Vous étiez bien ensemble au temps de la Team Perfection ?

Dolph : Je n'aime pas trop parler de ça.

Philippe : Pourquoi ? Parce que vous l'aviez manipulé pour qu'elle couche avec vous en direct devant des millions de téléspectateurs ?

Dolph : Vous voulez me faire dire quoi ? Que j'étais un enfoiré à l'époque ? C'est vrai et je ne vais pas chercher d'excuses. Il y a des choses que j'ai fait et que je regrette mais je crois qu'aujourd'hui, elle a autre chose à faire que remuer le passé.

Philippe : Mais...

Dolph : Autre question.

Christophe : Laissez moi faire, Philippe. Un avis sur les retours de Punk et de Bryan ?

Morrison : John Morrison n'aime pas vos questions. Elle ne parle pas assez de John Morrison.

Dolph : Content qu'ils se soient aperçus que c'étaient des putains de lutteurs ! Je respecte Punk même si je pense qu'il a un complexe du Messie. Je connais moins Bryan mais j'adorerais l'affronter un de ces jours.

Philippe : Dolph, ça fait pas mal au cul de voir que le Paulothon a été la plus grosse farce de l'histoire de la WFA ?

Dolph : Yep, j'avoue qu'il m'arrive encore de boîter quand je me réveille le matin. Et pour ça, Paul a réussi à se placer en haut de la liste des gens à que je voudrais casser la gueule.

Christophe : Revenons en à votre match, à One Night Stand. Il n'y aura pas de disqualification, vous pensez que ça va changer quelque chose au déroulement ou au résultat.

Dolph : Je vais essayer de ne pas le tuer. Non, je plaisante, je sais qu'il est résistant. Regardez, parfois, il se blesse à la cheville puis il guérit instantanément. C'est Wolverine, ce mec !

Morrison : A One Night Stand, Morrison régnera sur sa cité de Lumière, quelque soit les conditions. C'est immuable.

Dolph : J'adore discuter avec toi, John. On apprend tellement de choses.

Morrison : John Morrison partage ton point de vue. John Morrison apprécie la conversation de John Morrison. John Morrison aime discuter avec lui-même.

Dolph : John, je l'ai connu à l'époque où c'était encore personne et c'était déjà un très bon athlète. Je veux dire, on sait tous que ce mec est capable de faire de bonnes choses dans un ring. C'est ça qui est encore plus dégueulasse. Bon, Ted est une bite quand il s'agit de lutter donc tout le monde comprend qu'il contourne les règles. Mais John, quand il est poussé à bout, il se réveille et se souvient qu'il peut tourner 12 fois dans les airs. Alors je vais essayer de le pousser à bout à One Night Stand parce que sinon, je vais m'emmerder.

Philippe : Et vous...

Chéreau n'a pas le temps de finir sa question que John Morrison se lève de son fauteuil.

Philippe : Qu'est-ce que vous faîtes ?

Morrison : John Morrison s'ennuie, John Morrison s'en va.

Philippe : Mais j'ai encore des questions.

Christophe : Des questions pourries, Philippe. Je comprends qu'il se barre.

Dolph : Quoi, John ? Tu t'en vas déjà ? Moi, je m'amuse bien.

Morrison : John Morrison comprend votre jalousie mais n'apprécie pas votre manque de respect.

Dolph : Parce que tu m'en montres du respect ? Quand tu te moques de mon nom ou de mon look ?

Morrison : Tu n'es pas John Morrison.

Ziggler se lève.

Dolph : Et putain, Dieu merci ! Je t'aimais bien John au début. Parce qu'on ma craché dessus aussi, on m'a traité de tous les noms. On a des points communs tous les deux. Mais maintenant, ça commence à bien faire ! Tu n'es qu'une blague, John ! Ce show trafiqué le prouve ! Tu me balances tes jours de règne, tes conquêtes au visage parce que tu n'as rien d'autre ! Dis-moi, John. Quand tu es seul, chez toi, sans personne pour te lécher les bottes ou te sucer la bite, tu te rends compte combien tu es ridicule ? Est-ce qu'il n'y a qu'une seule once de dignité dans ta pauvre...

Oh mon Dieu ! John Morrison vient de se jeter sur Ziggler, sous les hourras de la foule ! Les coups de poing s'abattent sur sur le front du champion. Celui-ci repousse Morrison et se remet debout. Il l'enchaîne de coups d'avant-bras. Chaque coup est ponctué d'un « Bouh » du public. Coup de pied de John dans le genou de son rival. Et Swinging Neckbreaker ! La Lumière de la WFA prend appui sur un fauteuil. Chuck Norris Kick ! Esquivé par Dolph. Back Suplex ! Mais Morrison retombe surs ses pieds. Facelock ! Et il en profite pour frotter le visage de son adversaire avec sa montre. Ziggler le repousse et tente de reprendre ses esprits. Clothesline ! Esquivé par John. German Suplex ! Le Show-Off se relève en s'aidant du bureau. La Lumière s'élance et Forearm Smash qui les fait passer...


Philippe et Christophe : … par-dessus le bureau !

Les deux hommes se relèvent de l'autre côté. Morrison donne des coups de poing sur le crâne de Dolph. Mais Ziggler bloque et lui retourne le bras. Sleeper Hold ! C'est porté ! Le champion amène son challenger à genoux. Celui-ci faiblit. Mais la foule est derrière lui. C'est une vraie marée humaine ! La lumière se nourrit des encouragements et revient sur ses pieds. Il prend de l'élan et fonce vers le bureau. Il saute par-dessus et écrase Ziggler en passant ! John se relève, revigoré. Il s'approche du fauteuil et il le soulève. Il le prend et attend que Dolph Se remette debout. Coup de fauteuil sur le champion. Celui-ci s'effondre en arrière sur le bureau ! Du sang coule sur son front. Morrison lève le bras et les chants en son honneur redoublent d'intensité. Il montre le ciel, le soleil, la lumière... non, il montre la structure qui tient les spots ! Il se dirige vers le côté de la scène et... non, il ne va pas... si, il commence à grimper. Tel un acrobate, il arrive rapidement au sommet. Il regarde sous lui, manque de tomber. Starship Pain ! Starship Pain du haut de la structure ! OH MY GOD ! Le bureau s'écroule sous le choc ! John Laurinaitis débarque des coulisses en panique. Il hurle qu'on lance le générique avant de se ruer vers la Lumière étendue parmi les débris.



*Tu vois ce que je viens de faire là ? Ca s'appelle une épanadiplose. Non, n'essaie pas de répéter, ça vous nous énerver tous les deux ! Tu regarderas sur Wikipédia. Hein ? Il est déjà cette heure-ci ? Ouais, ouais, tu peux partir. Non, je ne sais pas comment tu rentres chez toi. Non, je ne te ramènerai pas. T'as qu'à appeler ta sœur. Non, j'ai pas le numéro de ta sœur, malheureusement. Et ben, prends le bus ! T'as pas d'argent. Ah non, mon gars, j'ai pas l'intention de te payer après que tu m'ais salopé mon boulot.*
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyDim 13 Avr - 11:56

PROMO SAMI CALLIHAN




*Nous sommes dans une petite fédération indépendante de la Nouvelle Orléans, avant l'arrivée de Callihan à la WFA. Son contrat avec la WFA est déjà signé mais il fini ses engagements indys*




Sami Callihan vs Earl Huff


Nous sommes déjà rendus à la fin du match. Huff est dans le coin, Callihan le charge mais se fait accueillir par la botte de son adversaire! Il tente à nouveau de le charger mais se reprend la botte de Huff! Callihan se retourne avec le coup, Huff monte sur la deuxième corde et missile dropkick dans la nuque de Callihan. Cover 1... 2 .. Callihan se dégage! Earl demande le soutien de la foule, il est chez lui ce soir, il attend que Sami se relève et lui envoi un high kick qui sonne le New Horror! Huff passe derrière et German Suplex avec ponté! 1...2... Callihan se dégage mais Huff ne lâche pas prise, une deuxième German avec ponté 1...2... Sami se dégage à nouveau! Earl veut partir pour une troisième mais Sami contre, il met tout son poids pour que ça n'arrive pas, elbow dans la face de Huff, un deuxième, un troisième, Huff lâche prise, Callihan prend son élan dans les cordes et bicycle kick sur Huff qui recule dans les cordes, un deuxième qui le fait passer par dessus la troisième corde!!!
Earl Huff a chuté durement mais se relève presque de manière instinctive, Callihan prend son élan et topé suicuida sur son adversaire qui vient s'écraser le dos cotre la barrière de sécurité!
Sami le relève et lui éclate la tête sur la tablier du ring! Puis sur les barrières! Puis sur l’escalier! Puis sur la table des commentateurs! Puis sur le poteau de ring! De nouveau sur les barrière, le tablier à plusieurs reprises maintenant!! Callihan est déchainé, il renvoi huff dans le ring qui ne bouge plus!!
Callihan remonte, il guète sa proie du soir... Huff se met péniblement à genoux et Callihan lui porte son Jobber Clobber!!! Earl Huff est out! Callihan lui attrape la jambe et stretch Muffler!!! Huff n'a pas d'autres choix que d'abandonner!.


Your winner.... SAMI CALLIHAN!!!


*Un peu plus tard dans la soirée, Callihan va voir le promoteur pour avoir sa paye*


Sami: Hey Toni, j'espère que t'as kiffé ce que t'as vu car c'est la dernière fois, la prochaine fois je mettrais à feu et à sang la WFA haha.

Toni: Tu crois que j'ai envie de rire Sami? J'ai vraiment une gueule à rire? Oui tu as daigné sortir un bon match match ce soir mais à quel prix?? Hein?

Sami: Au 1500$ que tu m'as promis ça va de soi.

Toni: Tu as blessé la top star de ma compagnie idiot! Mon gagne pain! Huff a une commotion de ta faute et ne pourra pas assurer les 3 prochaines dates! Tu veux que je paye mes lutteurs comment si ma tête d'affiche est out?!

Sami: Je sais pas, des pâtes?

Toni: Fais attention à ce que tu dis p'tit prétentieux! Ton fric t'es pas prêt de la voir!

*Callihan s'avance alors vers Toni qui fait signe à ses deux gorilles de se tenir prêt pour intervenir*

Callihan: Tu vas me donner mon fric maintenant où je redécores les murs de ta piteuse salle avec ta cervelle capiche?

Toni: Tu n'auras pas un sous! Les gars, mettez le moi dehors...

Les deux gars avancent vers Callihan qui ne réfléchit pas et saute dans le tas! Des coups sont échangés. Callihan en pousse un à travers une porte alors que le deuxième en profite pour le frapper dans le dos avec une batte de base ball. Callihan tombe à genoux. Il va se faire achever mais il envoi son poing dans les parties intimes du gars qui lâche la batte. Callihan la ramasse et met un coup dans le bide du premier qui revenait à la charge. Il s'effondre se tenant le ventre. Le deuxième lui se tient les c*****es, Sami lui envoi un coup sur le dos qui le met au sol!!
Quelqu'un tape sur le dos de Callihan, il se retourne de façon très brusque et envoi un énorme coup de batte sans même regarder...
Sami reprend doucement ses esprits et réalise le carnage autour de lui... Puis aperçoit Toni au sol dans une marre de sng les yeux grands ouverts. Callihan se tient la tête et se rend compte peu à peu de ce qu'il vient de faire...



*Nous retrouvons maintenant Callihan au fin fond d'une prison sordide, dans une petite cellule. Un témoin ayant aperçu la scène de bagarre, il n'a pas fallu longtemps à la police pour retrouver Callihan et le mettre derrière les barreaux. Il est à quelque jours de son procès. Callihan est assis dans un coin en position foetale, se balançant et se parlant à lui même.*



Je vais finir le reste de mes jours ici.
Je voulais pas le tuer! Quoi que... Peut être que si?
Mais pas comme ça! Même si la vue de sa tête de b**e dans son sang ça m'a fait du bien...
Sauf que maintenant ma carrière à la WFA est finie sans même avoir commencée... Ils doivent déjà tous être au courant avec ces paparazzi de merde! C'est eux qui devraient avoir le crane ouvert... Ouais eux!
Que vais je devenir? Je pourrais toujours casser la gueule du premier qui me regardera de travers... Je vais devenir The King Of The Jail! P'tain ça sonne bien en plus!
Mis non.... Je dis que de la merde, je peux pas rester ici!

*Callihan a alors l'impression d'entendre un bruit venant de très loin, comme un sifflement.*

Je commence déjà à devenir dingue ici. Faut que je sorte! Je dois sortir! Trouver un plan!
Je peux peut être ronger les barreaux jusqu'à ce qu'ils lâchent, frapper le mur jusqu'à voir au travers!

*Le sifflement se fait entendre de plus en plus*

TOI QUI SIFFLE, ARRETE CA TOUT DE SUITE DUCON OU C'EST MOI QUI VAIS TE FAIRE TAIRE!!!!


*plus de bruit*


Fais une chaleur à crever en plus ici. Gardien?! Gardien?!! Me faudrait un peu d'eau là!
Gardien?!! Y'a quelqu'un???

*Le sifflement reprend comme s'il était juste à côté,  on distingue le morceau "Sympathy For The Devil". Callihan se lève alors pour gueuler mais tombe nez à nez avec BRAY WYATT! Vêtu de son pantalon blanc, chemise à fleur et chapeau de paille. Sami recule ayant été surpris puis demande*

Callihan: Hey le hippie c'est toi qui...
Bray: Chuuuuuuuuuuuut...
Callihan: ...
Bray: Je ne suis pas un ennemi Sami, je ne suis pas ton ennemi. Je suis là pour toi Sami. Pour te sauver.
Callihan: Toi? Me sauver?
Bray: C'est bien celà Sami.
Callihan: T'es qui d'abord?
Bray: Je suis Bray Wyatt.
Callihan: Et tu comptes me sortir comment d'ici? J'ai pas un rond à te donner alors salut!
Bray: Ce n'est pas de l'argent que je veux en échange de ta liberté Sami. C'est tout autre chose. Ce que je veux à une plus grande valeur à mes yeux et surement pour toi aussi.
Callihan: Qu'est ce que tu veux?
Bray: Ton âme!

*Sami n'a pas le temps de répondre que Bray enchaine*

Bray: C'est la seule et unique chose que je souhaite, ton âme! Vends moi ton âme Sami et tu seras libre!
Callihan: J'accepte... J'ai pas à réfléchir indéfiniment, je ne sortirais jamais de ce trou, tu es ma seule chance. Si je sors d'ici, mon âme est à toi. Que dois je faire d'abord?

*Bray tend une carte de visite à Sami*

Bray: Tu appelleras cet avocat demain et tu lui demanderas de te défendre en disant que tu es un ami de Bray Wyatt. Il ne refusera pas et il ne te fera payer qu'un malheureux dollar symbolique en guise d'honoraires car il me doit un service, hahaha...

Callihan: Et une fois dehors, il se passe quoi?

Bray: Je veux que tu ailles à la WFA. Je veux que tu sois le psychopathe que tu es vraiment! Pas juste celui que tu veux nous faire croire être, non... Je veux que tu mettes la ville à feu et à sang Sami! Je sais que tu peux faire ça pour moi. Et quand ça sera fait, alors tu n'auras qu'à attendre ton heure. Un jour viendra ou Bray Wyatt apparaitra de nouveau à toi et à ce moment bien précis la seule chose que tu auras à faire sera de suivre les buses jeune ami. Quand j'apparaitrai à nouveau devant toi, aucune question ne sera tolérée, il faudra juste agir afin de rappeler à ce monde de quel genre de monstre il est composé!

*Wyatt disparu alors, juste le temps que Callihan cligne des yeux. Le lendemain Callihan passe son appel à l'avocat qui accepte de le défendre sans même broncher, ayant même une voix tremblante. Sami fût par la suite acquitté. Lorsque le juge annonça son verdict, Callihan cru, pendant un instant, apercevoir Bray dans un rockin chair en train de se marrer.*


QUELQUES SEMAINES PLUS TARD...


Spoiler:





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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyDim 13 Avr - 12:01

Les 3HB's est-ce qu'on aura un feedback comme Baccou le faisait avant de la part d'un d'entre vous? Smile

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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 2 EmptyDim 13 Avr - 12:19

Panda t'as bien fait d'attendre que je sois plus HB pour faire une promo avec du Al Bundy dedans, ç'aurait été injuste vis à vis de ton adversaire  Sad  Banane  cheers  !



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