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 One Night Stand 2014

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Gbacca
Luttologue bedonnant
Gbacca

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Humeur : Est-ce que je vous ai parlé du dernier match 5 star d'Ospreay ?

One Night Stand 2014 - Page 3 Empty
MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyVen 11 Avr - 21:58

Promo Psychedelic Warlords


(je précise que la promo a bien été écrite à quatre mains et presque un cerveau entier ! )



L'inspecteur Roode était un bon flic... du moins un efficace. Il a ses méthodes et sait calmer les gros dur et les barjots. Sûrement pour ça qu'on l'a mis sur cette affaire. Un vol avec violence, pas de mort, mais les victimes en sortait toujours avec de gros bobo... et ce n'était que le dernier d'une longue série.
Toujours le même procédé, les deux individus rentrent dans un des nombreux fast-food/Station service de WFA City et commencent à maltraiter les employés voir les clients, repartent avec quelques articles de la station et prennent la poudre d'escampette en volant à chaque fois un véhicule différent.

L'inspecteur se roula une vielle clope, celle qui vous graisse les poumons avant même de l'avoir allumé, puis but son café maintenant froid qui traînait dans sa portière... noir le café bien sûr. Noir comme les nuits à WFA City, noir comme un jazz mélancolique qui remue les tripes et réveilles les pulsions... et les regrets... aux choix.
Mais là on était loin de la city, en pleine cambrousse, sur l'auto-route... loin de tout. L'inspecteur remit la portière de sa voiture en place... elle avait la fâcheuse tendance à tomber toute seule ces derniers temps. Ça serait embêtant que ça le fasse en plein milieux de la route, son café risquerait de se renverser.

Le Fast-food/Station service s'appelle "El cactus abundante en caza". Ils font la meilleure choucroute frite de tout le patelin de ce qu'en dit la publicité. Le clochard sur lequel avait roulé l'inspecteur en se garant le lui avait confirmé. Le pauvre homme fouillait les poubelles de l'établissement tous les soirs afin de se nourrir des restes, triant dans les déchets afin de ne pas tomber sur les pilules de cyanure afin d'éviter une vilaine crise de foie.
Les pilules de cyanures dans les poubelles de fast-food/Station service, une nouvelle brillante idée du Maire Dibiase... dire que c'est ce mec qui paye son salaire. Pauvre vieux clodo', aux moins c'est pas une de ses saloperies qui l'aurait tué. Ouais ça mettait l'inspecteur de bonne humeur ça tiens.

"Aller au boulot." Fit l'inspecteur en enjambant le cadavre du pauvre SDF.

L'endroit était banal. Un Fast-food/Station service banal, sur une air d'autoroute banale, et en face de lui en train d'empêcher de saigner son gros nez avec du papier toilette bon marché de la marque Curtis Axel, un pauvre employé de Fast-food station service banal, dans un costume de cactus mexicain banal.

"Allez y l'ami. Dites moi ce que vous avez vu."

"J'ai vu que vous avez écraser ce vieux Bill. C'est dommage il était sympa. Je remplaçais les pilules de cyanures par de la mort au rat parfois pour lui éviter une indigestion. Maintenant il est mort, c'est triste, mais ça prouve que vous êtes un bon flic au moins."

"Pas un bon, un efficace. Mais parlez moi plutôt de ce nez."

"Un nez classique, toutes les pièces sont d'époques, mais on me l'a saccagé, ainsi que mon magasin."

"Rien n'a été volé ?"

"Quatre boite de choucroutes frites ( les meilleures du patelin ), une brochure pour le parc d'attraction "Bear Pit Splash" ( notre partenaire commercial ), et une boite de chocolat Suisse de la marque Cesaro. Enfin ils ont arraché la porte de nos toilettes extérieures, puis ce sont enfuit avec la décapotable d'un client, un encravaté nerveux avec un attaché caisse tout ce qu'il y a de plus banal dans ce patelin banal. Vous savez ceux qui font un métier dont vous ne savez rien sinon qu'il les fait transpirer et paniquer et qui ne vous intéresse pas plus que ça."

"Hum..."

L'inspecteur tourna la tête vers la vitre donnant sur le parking... ils étaient encore là. Ça faisait plusieurs Fast-food/Stations services qu'ils suivaient l'inspecteur. Deux hommes en chemise Hawaïennes, un grand avec une coupe afro' et un petit gros, laid avec un gros nez. L'inspecteur avec son flair légendaire les repérait toujours. Le petit gros souvent ivre rentrait dans la bagnole de l'inspecteur à chaque fois, ce qui avait pour conséquence de mettre la puce à l'oreille de l'homme de loi. Ils le suivaient... mais pourquoi bon sang ?

Hum... Un problème à la fois. D'abord les deux barbus. Le "Bear Pit Splash" hein ? Peut-être une piste à suivre ? Peut-être la prochaine destination de nos deux lascars ? Sûrement que les deux en chemises hawaïennes le suivrait en douce comme ils le font à chaque fois également ? Tant de questions... et pis l'employé qui commence à foutre du sang partout sur le comptoir merde... le PQ Curtis Axel c'est plus ce que c'était. Dans le temps il avait réussi à étrangler un manifestant juste avec un rouleau... misère... tout se perd dans cette ville corrompue, même le bon papier toilette.

Après avoir mis une tarte à l'employé pour lui apprendre à saigner sur son lieux de travail et qui plus est sur les lieux d'une enquête l'inspecteur posa une dernière question.

"Et comment ils ont dit qu'ils s'appelaient... cette fois ?"

"Joseph Staline et Baruch Spinoza"


**********


Sur la route, un peu plus loin, la décapotable de Staline et Spinoza, alias Ohno et Rowan soulevait un nuage de poussière en roulant dans le désert. Ohno était au volant, cheveux aux vents, probablement parce qu'ils avaient brisé les vitres de la décapotable (ou pas). Il portait des lunettes de soleil de la marque Slatie, parce qu'il n'y avait que ça dans les fast-food de la région. A ses côtés, Rowan venait de finir la boîte de chocolats suisses Cesaro. Il les jeta sur un enfant au bord de la route, ou un cactus, il n'aurait su dire et en plus il s'en foutait.

Erick :  Cher ami que penses-tu qu'il y ait dans cette mallette  ?

Kassius :  Je ne sais pas qu'est-ce que tu y as rangé  ?!

Erick :  Je crois que j'y avais laisser un exemplaire du petit livre rouge et noir de Jeanne Mas, mais j'imagine que ce mauvais opium du peuple aura plu à cet infâme propriétaire d'El sombrero de la plata del mar ".

Kassius :  D'où  ?

Erick :  Tu sais, là où on a acheté les quatre choucroutes, la brochure et la boîte de raviolis suisses. Elles n'étaient pas bonnes d'ailleurs. Arrière goût de chocolat.

Kassius :  S'foutu pays fout l'cas si on peut même plus trouver une vraie bonne boite de raviolis suisses  !

Erick :  Ouais ! Et tu sais d'où ça vient ça  ?

Kassius :  Non  !

Erick :  C'est à cause de tous ces connards du gouvernement. Ils se disent, ouais les mecs on leur donne des raviolis avec un goût de chocolat et bam, on s'habitue à tout et on croit plus en rien et là c'est le monde qui part en couille. Les gens ils ont peur, ils se méfient, et du coup ils demandent plus de sécurité, et ils s'habituent à voir des flics partout, à être contrôlé pour un oui et pour non ! Et boom on se retrouve avec cette foutue dictature sans s'en rendre compte ! Parce que c'est qui le plus grand fournisseur de cette dope qu'on appelle la peur hein ? C'est c't'enculé d'état ! Et qui c'est qui fournit le plus de quoi lutter contre la dope hein ? c'est c't'enculé d'état !

Kassius :  On devrait allez leur casser la gueule !

Erick :  Ouais, partons au capitole, ils vont voir de quels bois nous nous chauffons  !

Kassius :  Parfait ! Allons au "Bear Pit Splash" !

Erick :  Ouais ! Allons-y !

Kassius :  Hey Erick, tu sais ce qu'il y a dans cette mallette  ?

Erick :  Je ne sais pas, c'est mon arrière grand père qui me l'a léguée en me disant de ne surtout jamais l'ouvrir .

Kassius :  Tu crois qu'il y a de la came dedans  ?

Erick :  Nan j'pense pas. Il a voulu se faire enterrer on n'a pas pu avoir de cendres du coup .

Kassius :  Ah ouais... putain il est où ce "Bear Pit Splash !

Erick consulte la carte, le plan est on ne peut plus simple, on ne peut plus clair.

Erick :  Je ne comprends rien, je pense qu'on devrait s'arrêter gentiment au prochain Fast-Food, on trouvera sûrement un gentleman pour nous expliquer la route  .

Kassius :  Parfait  !

Erick :  Mais cette fois on ne part pas sans payer  !

Kassius :  D'accord, mais si quelqu'un me regarde de travers je le défonce  !

Erick :  Evidemment.

Kassius :  Oh putain Erick  !

Erick :  Quoi ?!

Kassius :  Y'a une mallette dans la voiture  !

Erick :  Sapristi fonce ! Il faut qu'on trouve un devin pour pouvoir l'opérer  !

La décapotable vient se garer sur le parking d'une autre station service fast-food, manquant de peu d'écraser un petit chat borgne avec un bandeau de pirate.
Les deux hommes descendent de la voiture et jettent un œil aux alentours. Des pompes à essences, des toilettes extérieures et un fast food aux nom évocateur : "Aux grands esprits de Tatanka ! Cassoulet frite à emporter !"

Erick : Typiquement amérindien.

Kassius : Bon on rentre ? J'ai faim moi. Pis y faut qu'on découvre le mystère de cette mallette qu'on a trouvé dans un bunker nazi.

Erick : On ne l'avait pas trouvée dans une voiture.

Kassius : Un bunker, une voiture, ne joue pas sur les mots Erick ! De toute façon c'était sûrement nazi.

Erick : Je te prie de ne pas m'appeler par mon prénom. Il est temps de changer d'identité d'ailleurs.

Kassius : 'Tain ! J'ai faillis oublié ! Bien vu part'naire.

Rowan ouvre une encyclopédie datant du début XX ème alors qu'Ohno de son côté farfouille nerveusement un magazine people avec son doigt.
Une fois prêts, les deux hommes firent leur entrée dans le fast-food. En face d'eux un comptoir derrière lequel se trouvait un jeune stagiaire grimé en indien des villages people. A côté un homme obèse était en train de manger très salement sa portion de cassoulet frite sans prêter aucune attention aux deux hommes qui viennent de rentrer. Et sur les côtés un présentoir regroupant cahier de coloriage pour les petits et juste en dessous, plus faciles d’accès, des cassettes vidéos "Melina a des croûtes" triste destin pour l'ancienne femme de John Morrison, mais il parait que ses films s’arrache donc... Sur l'autre présentoir d'authentique tambours de guerre amérindiens, fabriqués par d'authentiques ouvriers chinois de la firme "Dibiase&Burchill". Enfin affiché sur un mur la photo du plus gros mangeur de cassoulet frite jamais passé dans l'établissement... C... Curtis...Axel... Jamais entendu parlé de ce gars là, mais il a l'air heureux d'avoir fait péter le record sur cette photo en tout cas.

Les deux hommes s’approchent finalement du comptoir, le vendeur leur lançant un regard inquiet reste néanmoins commercial.

Vendeur : Oh peuchère ! Bienvenue "Aux grands esprits de Tatanka !" visageuh paleuh ! Je suis petit "Petite violette de prairie con" et je vous souhaite la bienvenue dans mon modeste établissement. Puisse le grand esprit de Tatanka vous apporter prospérité et tout le tralala...

Kassius : Hey vous avez un super chapeau ! Je me demande combien d'innocents coussin il a fallu éventrer pour se faire un couvre chef pareil.

Erick : Ne manquons pas à tout nos devoirs ami. Petite violette qui sent la rose a eu la courtoisie de se présenter, faisons donc de même. Je suis Max Weber...

Kassius : Je suis Lindsay Lohan.

Vendeur : Si vous le dites...

Kassius : Du coup... vot' chapeau là, vous les trouvez où ?

Vendeur : Chaque étudiant de l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" en reçoit un. Mais bonne mèreuh assez parlé de moi, que puis je faire pour vous ?

Erick : Tu viens d'éveiller ma curiosité face de terre cuite, qu'est ce que c'est que l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" ?

Kassius : Oh oui répond donc à Weber coyote à foie jaune, moi je vais aller tenir compagnie au gros lard qui mange là bas. Ces bruits de succions me rendent tout nerveux, je crois que je vais lui apprendre à manger en silence.

Vendeur : Et bien c'est bien simple con, l'université du "Grand esprit de Tatanka compagnie" c'est l'endroit où tous les employés de la compagnie du "Grand esprit de Tatanka Fast-food" apprennent les tenants, les aboutissants, les plus, les moins, les trop, les pas assez et tous les autres éléments du fascinant phénomène culturel, gastronomique et de société qu'est la gamme de fast-food du "Grand esprit de Tatanka". Et en sus un stage est offert sur les terres sacré de mes ancêtres dans l'ancienne réserve indienne de Toulouse. Stage intensif où l'on vous apprend le touillage de cassoulet, à appuyer sur les bon boutons de la friteuse et le plus important l'ouverture des boites de cassoulet.

Erick : C'est fascinant ! Fit Rowan en se caressant la barbe.

Kassius : Non ! Pas du tout. Fit Ohno en fracassant la tête du gros lard contre le comptoir.

Erick : Soit aimable Lindsay. Cet homme mérite le respect, il a suivi un entraînement vraiment intense c'est impressionnant.

Vendeur : C'est vrai mademoiselle Lohan, d'ailleurs sachez que je peux ouvrir n'importe quelle boite de cassoulet dans cette ville.

Kassius : M'en fout !

Erick : C'est impressionnant !

Vendeur : Bon maintenant comment puis je mettre a votre service ses longues années d'études ?

Kassius : En la fermant et en nous donnant le contenu de ce qu'il se trouve dans le tiroir caisse.

Vendeur : *soupir* Vous ne pouvez pas savoir le nombre de gens qui me répondent ça monsieur Weber.

Erick : J'en suis navré mon ami.

Vendeur : Y a pas de mal con !

Mais alors que nos deux amis allaient pour partir avec la caisse, les portes du Fast Food s'ouvrent avec fracas !

Bobby Roode : POLICE ! QUE PERSONNE NE BOUGE !

Kassius : BORDEL ! LE SHERIFF !

Erick : Vite Lindsay ! Sautons par la fenêtre !

L'idée ne manquait pas de ressource, d'autant que la sortie était entravée par le farouche policier. Hélas au fast-food du "Grand esprit de Tatanka" on a l'habitude de trois choses, les intoxications alimentaires, les plaintes diverses et variées, et les fusillades, ce qui explique donc que nos deux héros se soient assommés en se fracassant la tête contre la vitre, les mettant dans un état comateux, à la merci du vilain policier.

Bobby Roode : Je vous tiens gredins ! Vous allez payer pour vos crimes... tiens ? Qu'est ce que c'est que cette valise ?

Carlito : Pas touche à ça poulet !

Joe : Burps ! Ouais pas poule n'a touche là !

Bobby Roode : Damnation !

Joe : 'ch'té moi c Joe... Samoa Joe !

Carlito : Je t'ai déjà dit que Samoa c'était un pays pas un nom.

Joe : Kwah ?

Carlito : Laisse tomber !

Joe : Kwah ?

Carlito : Nan c'est au flic que je parle ! Laisse tomber la mallette !

Bobby Roode : Je n'ai pas l'habitude de laisser tomber pour des inconnus.

Carlito : Hey Joe t'entends ça, le flic me prend pour Pascal Legitimus !

Bobby Roode : Oh non ! Je sais qui tu es... tu es le pire revendeur d'alcool frelaté de l'île de Ré ! Tu es... Carlito !

Carlito : Ouais enfin en même temps c'est écrit avant que je parle depuis tout à l'heure t'as aucun mérite poulet !

Bobby Roode : Quoi ?

Carlito : Laisse tomber !

Joe : Hey Carlito y'a l'd'eux v'leurs qui s'réveillent !

Bobby Roode : Laissez la police faire son travail !

Joe : On pe'pas l'flicaillon, passceque t'vois les deux tant' là zont enl'vé la valiz où c'est qu'y'a les clefs qui déliv' Sara !

Carlito : Et puis ils ont aussi enlevé Sara mais apparemment ils s'en rappellent pas ces deux crétins !

Kassius "Lindsay Lohan" Ohno se jette alors sur Bobby Roode qui s'était emparé de la mallette et la lui dérobe à la volée tandis que Erick "Max Weber" Rowan aménage une sortie en balançant une boîte de cassoulet à travers la vitre (comme quoi il faut vraiment faire attention en ouvrant une boite de cassoulet. Mais laissons la place à Troy McClure pour vous parler des dangers des boîtes de cassoulet

Troy McClure : Bonjour je suis Troy McClure, vous m'avez déjà vue dans des vidéos de prévention comme "attention à ton anus, ce n'est pas un tire-bouchon" ou " Quand Hulk Hogan te dit de prendre des vitamines, il ne parle pas de mineures thaïlandaises monsieur le touriste allemand" et si j'interviens dans cette promotion c'est pour vous parler des dangers de l'ouverture d'une boîte de cassoulet. En effet, pour ouvrir une boîte de cassoulet, il faut, à l'instar de Petite violette de carrousel des années d'études, des années d'entraînement et une résistance à toute épreuve. N'oubliez pas les enfants, n'essayer pas ça chez vous ou à l'école, dans la rue oui, mais chez vous ou à l'école non. )

Erick Rowan et Kassius Ohno, valise en main se jettent dans la première voiture venue.

Erick :  Fonce Kassius fonce ! Tu avais raison ces enfoirés de Francs-Maçons sont à nos trousses  !

Kassius : Putain la voiture démarre pas !

Kassius donne un grand coup de poing dans la voiture, appuyant sur le klaxon. Sur la banquette arrière un homme de petite taille (bon un nain ok) se réveille en sursaut.

Nain : Bonjour je suis Dylan Alexander Remington, chauffeur et maître à penser, pour vous servir !

Erick : " Utilise-le Kassius ! Il doit nous servir pour démarrer la voiture ! J'pense que c'est un genre de quête " !

Kassius utilise DAR en le fracassant contre le volant. Comme cette promo n'est fondée sur aucune base technique, la voiture démarre en trombe. Derrière eux, Carlito et Joe se lancent à la poursuite des mallettenappeurs suivis eux-même par Bobby "Dame Nation" Roode ainsi que "petite violette truculente" qui tient absolument à se faire payer la boîte de cassoulet (la vitre il s'en fout mais on plaisante pas avec un cassoulet) !

La route étant leur domaine, Kassius et Erick s'enfuient à vive allure, poursuivis par trois véhicules, puis seulement deux lorsque Bobby Roode met une contravention à "petite violette qui serre les fesses" pour "personnage sans importance qui tente de s'incruster trop longtemps dans l'histoire" obligeant ce dernier à renoncer à se faire rembourser. Les deux amoureux des pilules guidés par leur instinct (ou kit le gps de la voiture (le deuxième mec qui était assis derrière à côté de DAR, Heath Slater))  arrivent finalement au Bear Pit Splash. Le parking est désert, et le parc s'avère en fait être une vieille ferme en bois. Néanmoins, une guitoune avec "entrée" écrit dessus en gros est installée devant l'entrée de la ferme. Kassius et Erick prennent leur valise et leur GPS avec eux ne songeant même pas à simplement faire le tour de la ferme à pied pour profiter de la grande attraction locale.

Kassius : Salut je suis Antonio

Erick : Et moi Langston

Slater : Arrêtez-vous, vous êtes arrivés.

Guichetier : Et moi je ne suis pas Mister Anderson et je ne vous souhaite pas bonjour. Quant à moi je suis Mister Anderson et je vous souhaite la bienvenue dans ce parc. Moi par contre j'en ai rien à foutre. De mon côté je pense que l'ignorance est la cause de toutes les peurs. Moi je pense le contraire. Je suis d'accord avec lui ! Pas moi !

Erick : Excusez-moi...

Mister Anderson : Vous voyez bien que nous sommes occupés là !

Erick : C'est-à-dire que...

Mister Anderson : Veuillez patienter s'il vous plaît !

Slater : Arrêtez-vous, vous êtes arrivés.

Kassius : Putain mais tu vas la fermer espèce d'enfoiré et nous filer des billets d'entrées où ta ferme je te la fais cramer moi !

Erick : Allons, allons Antonio, nous sommes des gens civilisés, nous ne brûlerons pas sa ferme, nous le brûlerons lui, c'est plus correct, sa ferme ne nous a rien fait après tout !

Mister Anderson : Vous avez le laissé passé A-38 ?

Kassius : Non mais nous avons un GPS.

Mister Anderson : Hum, je le prends, il fera un très bon mari pour ma cousine.

Kassius : Super...

Erick : Comme c'est intéressant ! Et qui est donc votre cousine ?

Mister Anderson : C'est moi !

Erick : Je suis enchanté !

Mister Anderson : Moi aussi. Vous savez mon cousin ne me laisse que rarement parler à des étrangers.

Kassius : Bon on le visite ce bouge !

Erick : Pardonnez mon ami mademoiselle mais il semblerait qu'il soit pressé.

Erick confie donc Slater aux bons soins de Mister Anderson (plus personne ne revit jamais Heath après ces évènements) tandis que Kassius et la mallette se dirigent vers l'entrée de la ferme. Un homme aux cheveux hirsutes se balance sur une chaise, à ses côtés, un autre homme à la coiffure au goût douteux est assis devant l'entrée et joue du banjo.


Kassius :  Bon l'est où l'entrée  !

Bouseux au banjo :  Dans ton cul  !

Kassius :  Mais je vais lui refaire le portrait à cet espèce d'enc...

Erick :  Ce que mon ami veut dire c'est qu'il serait plus approprié de ne pas nous insulter sous peine de subir incessamment sous peu notre juste courroux  !

Kassius :  Je pensais à lui latter la gueule en fait  .

Erick :  Oui c'est ce que j'ai dit.

Kassius : Langston tu es chiant avec tes phrases à rallonge.

Bouseux sur la chaise : Mon nom est Bray Wyatt, et lui c'est Sami Callihan. Il est pas méchant mais il aime la bagarre vous voyez. Et il aime pas les étrangers. Et vous, vous êtes des étrangers.

Kassius : Avec des tickets pour l'attraction !

Bray : Ce ticket n'est pas un bouclier mon frère, ah ah ah, allez Sami, vas jouer avec Justin ! Hey Justin magne-toi !

Un petit bonhomme tout rabougri sort en trombe de la ferme et se fait sauter dessus par Callihan qui lui éclate le banjo sur la tête avant de le projeter contre les murs puis de disparaître dans des hurlements à l'intérieur de la ferme.

Bray : Fais attention à ton jouet Sami ! Ah les enfants, vous savez ce que c'est, ils cassent tous leurs jouets. Après on est obligé de leur en trouver un autre. C'est déjà son dixième Justin du mois.

Kassius : J'en ai franchement rien à foutre.

Bray : Je vois... nos histoires ne vous intéresse pas, hein étrangers ?

Erick : Moi si ça m'int...

Kassius : Non.

Bray : Vous êtes là pour l'ours alors ? Dommage, je vous aurai bien raconter la foi où ma famille et moi on s'en est pris à une famille qui croyait en l'égalité de tous, qui croyait que les monstres en fait étaient gentils ah ah ah, ces imbéciles n'avaient pas quitté l'enfance, mais une fois devenus des Justin, ils ont beaucoup moins ri ah ah ah.

Kassius : Vous parlez trop.

Bray : Si vous le dîtes, faîtes le tour, la fosse à ours est juste derrière la ferme. Par contre faîtes attention, pas plus de deux couleurs de cheveux différentes au bout de l'élastique. C'est très important.

Aidé par Bray, qui les quitte rapidement, Kassius et Erick font du saut à l'élastique dans la fosse au grizzly qui tente, vainement, de les attraper à chaque passage. Quant tout à coup, sans avoir pris de tickets, Carlito et Samoe Joe arrivent devant la fosse à leur tour.

Carlito : Ah ah on vous tient bande de cons !

Joe : Burp !

Carlito : Merde ils s'enfuient !

Joe : Burp ! (désappointé )

Carlito : Ah les revoilà !

Joe : ch'p'ons-les !

Carlito : Oh non ! Ils sont repartis !

Joe : 'chier !

Carlito : Ah ah vous êtes finalement revenus !

La scène dure ainsi un long moment au gré des secousses de l'élastique jusqu'à ce que finalement les alcooliques se jettent sur celui-ci. Ce dernier semble supporter le poids des quatre hommes... mais il lâche finalement.

Bray : Je vous l'avais dit, pas plus de deux couleurs de cheveux ah ah ah ah ! Il est temps de danser avec le diable maintenant ! Sami, Andy, musique !


Les quatre hommes sont pris au piège. Le grizzly s'avance lentement. Momentanément, les alcooliques et les drogués oublient leur rivalité et se regroupent. Erick et Carlito proposent de réfléchir à un plan d'action. Dès lors, Kassius se jette sur l'ours ! Coup de la patte à linge ! Kassius a littéralement fait un 360° ! Samoa Joe ! Il se jette à son tour... Bearplex ! Bearplex ! C'est bien envoyé ! Kassius dans le dos de l'ours tente un sleeperhorld ! Mais le grizzly se baisse et Bearlbow drop ! Quel choc ! Joe se relève à son tour... Bearkick ! Bearkick ! Samoa Joe et Kassius Ohno sont dépassés par la force du massif ursidé !

Au-dessus de la fosse, la musique cesse car l'inspecteur Roode est arrivé, sans se presser, à la ferme parc d'attraction. Il observe le grizzly éclater les deux bandits. Sentant la pluie arrivée, il renfile son imper, visse son chapeau sur sa tête, et estimant que les quatre abrutis n'en avaient plus longtemps à vivre, allume son cigare qui signifie que l'enquête est résolue.

Bobby : Bon les Wyatt... vous êtes encore en infraction...

Sami : Hey ce que je fais de mes Justin ne vous...

Bray, le coupant : Monsieur l'agent ne parle pas des Justin, Sami. Pas vrai m'sieur l'agent ?

Bobby : Non en effet, vous avez le droit de manger du saucisson. Non je parle de ça (il désigne la fosse). Il est prohibé de nourrir les ursidés. Après ils s'habituent à la présence de l'homme et attaquent les campeurs. Alors vous serez bien gentil de venir demain au poste avec 500 dollars en liquide, j'voudrai offrir des études à mon gamin, si vous voulez pas d'ennuis.

Bray : Pas d'problème m'sieur l'agent !

Fier de lui, sûr d'avoir résolu une affaire, non en fait ça il s'en foutait, sûr de toucher ses biftons pour aller se payer une nuit avec des prostituées, l'inspecteur Roode pouvait envisager avec plus de tranquillité le week end qui s'annonçait. Il ne savait pas, qu'en ville, un gang avait utiliser un peu trop de ses flingues et fait de lui le dernier sherrif de la région et des faubourgs alentours (et qu'il n'aurait donc pas le temps d'aller aux putes le pauvre homme).

Dans la fosse, le grizzly avait pris le dessus sur Samoa Joe et Kassius Ohno grâce à son finisher, le Free-Hugs (...) . Carlito, a alors un éclair de génie et donne une pomme à l'ours qui la prend de bonne grâce, lui, qui n'aimait pas les fruits, mais à qui personne n'avait jamais rien offert. Enfin il rencontrait un ami, un frère, l'ours, qui n'avait même pas de nom allait verser une larme de joie lorsqu'Erick jeta dans sa gueule ouverte pour croquer la pomme une des pilules que Kassius et lui prenaient régulièrement pour éviter que des extra-terrestres s'emparent de leurs corps. L'ours commence à zigzaguer... il plane ! Non il vole ! Kassius et Erick s'en doutaient et sautent sur le dos de l'animal à propulsion gazeuse. Grâce au pouvoir des pilules anti-extraterrestres, l'ursidé pète des arcs-en-ciel... et c'est beau ! Sur leur monture, les deux hommes s'enfuient vers l'horizon laissant une traînée multicolore sur leur passage.

Kassius, Erick et l'ours entament alors ensemble une magnifique chanson en s'éloignant.


Plus bas, dans la fosse, désertée par les Wyatt partis chasser un nouveau Justin, l'ancien ayant cassé (mais ce n'est pas la faute de Sami).

Carlito : Et voilà, Joe, on retrouvera jamais Sara...

Joe : Pauv' Sara...

Carlito : On a récupéré la valise vu que les deux cons l'ont oubliée mais...

Joe : zont pas dit où l'ont m'née la Sara !

Carlito : Eh non...

"Mais qu'est-ce que vous faîtes là bande de cons " ?

Carlito et Joe : Sara ?

Sara : Ben évidemment ! Qui vous voulez que ce soit ? Le pape ! ça fait trois jours que je vous cherche ! J'suis tombée sur des gentils fermiers qui agressaient un mec à lunette, et ils m'ont dit que vous étiez là. Vous êtes parti sans moi du bar ! J'étais juste partie aux toilettes... je reviens... et vous avez disparu ! Les vitres étaient brisées et tout, j'ai demandé ce qui c'était passé et on m'a dit que vous vous étiez bagarrés avec deux mecs, Gomez et Dubois j'sais pas quoi là !

Carlito : Mais ? Ils t'avaient pas kidnappé tic et tac ?

Sara : Ben non !

Joe : J'crois qu'on 'vait 'core trop bu Carl' !

Carlito : Nous ? Boire trop ! Impossible !

Joe : J'sé ! S'quand t'as bu d'l'eau sans pastis, ça a foutu la merd' dans not' tête !

Carlito : Ah bah je me disais aussi...

Sara : Nan mais ils avaient bien enlevé quelqu'un, mais c'était pas moi. C'était une blonde, une certaine Goldust. Mais apparemment ils l'ont oublié dans une voiture devant un fast-food.

Carlito : ...

Joe : Mais 'lors la valise ?

Le samoan s'approche de la valise oubliée par les deux drogués quand...

" Non ne l'ouvrez surtout pas " !

Les trois :  Mais qui ?!

DH Smith :  Je suis l'agent Smith, gouvernement canadien, cette valise contient des documents top secret prouvant l'existence d'extra-terrestre. Personne ne doit être au courant, il ne faut surtout pas que ça se sache ! Qui plus est, il n'y a que des pilules d'une drogue très rare fabriquée par un hindou unijambiste lors de la pleine lune du sixième mois du calendrier secret des francs-maçons nazi infiltrés dans le gouvernement américain ayant collaboré avec le KGB qui peut empêcher ces extra-terrestres de prendre possession du corps de l'homme ! Il y a déjà eu des victimes... un certain Tyler Black aurait maintenait la capacité de résister aux flammes de l'enfer lorsqu'il porte une tenue intégrale ignifugée ! Malheureusement deux types ont percé à jour ce secret, fort heureusement personne ne les a cru ! Il s'agissait d'un rouquin et d'un blond teigneux... comment ils s'appelaient déjà... Charles Blondel et Arlette Chabot  !

THE END !




Pendant ce temps sur la lune, Erick, Kassius et l'ours contemplent la terre... BEST TRIP EVER !

_________________
WFA:

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SwantonBomb
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyVen 11 Avr - 23:34

Promo de D'Angelo Dinero pour WFA One Night Stand 2014 (SwantonBomb)


ATTENTION ! CERTAINS PROPOS ET SITUATIONS ABSURDES PEUVENT CHOQUER LES PLUS FANS D'ENTRE VOUS ! SWANTONBOMB RENIE TOUTE IMPLICATION DANS CE MOMENT WTF ! DU MOINS, SWANTONBOMB SOBRE RENIE TOUTE IMPLICATION ! VEUILLEZ RESPECTEZ TOUT DE MEME VOTRE NOUVEAU HEADBOOKER SINON CA VA CHIER DES BULLES !

(J'ai le CSA au cul avec ces conneries)

En 1973, le film le plus terrifiant de tous les temps sortait au cinéma. Un mythe qui terrifie encore le monde entier depuis maintenant plus de quarante ans.

One Night Stand 2014 - Page 3 L-exorciste.73243

En 1977, le film le plus terrifiant de tous les temps avait le droit à une suite... OH LES CONS ! Une suite ratée en plus ! OH LES GROS CONS !

One Night Stand 2014 - Page 3 Macdonald_happy_meal-film-d-horreur-exorciste
C'est comme McDo, c'est de la merde !

En 2001, le film le plus terrifiant de tous les temps sortait en version remastérisée, comme vous ne l'avez jamais vu.

One Night Stand 2014 - Page 3 18835952

En 2014, il a osé ! Après le remake de « Massacre à la tronçonneuse », après le remake de « Les Griffes de la Nuits », après le remake de « Piranha », il a fait le remake du plus grand film d'horreur de tous les temps.

One Night Stand 2014 - Page 3 Popexo10

The Popexorciste

Le film s'ouvre sur des fouilles archéologiques en Égypte, effectuées par le Pope D'Angelo Dinero, un jeune prêtre ayant la patate et la joie de vivre pas comme ce vieux crouton de Max Von Sydow (respect x1000). Il est accompagné par un vieux con, j'ai nommé Mikl. Les deux sont aussi accompagné par un prêtre, mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille. Les trois culs bénis... PARDON... Les trois hommes d’Église découvrent pendant leur fouille une petite tête de statuette du démon Mensah-X.


D'Angelo Dinero : Qui ça ?


Mikl : Zlatan-X


D'Angelo Dinero : Qui ça ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Mensah-X


D'Angelo Dinero : C'est quoi ça un acteur de film de...


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Au dernière nouvelle... non mais je sais que...


D'Angelo Dinero : Vil pêcheur que Dieu soit de bonne foi et ait pitié de lui.


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Non mon père, c'est un démon !


D'Angelo Dinero : Un démon ?


Mikl : Un démon ?


D'Angelo Dinero et Mikl : UN DEMON !


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!


Enfin bref, le démon Mensah-X.


D'Angelo Dinero : Qui ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Mensah-X


D'Angelo Dinero : Qui ?


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Kofi Kingston, quoi...


D'Angelo Dinero :


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!


Enfin bref, le démon Mensah-X. C'est toujours mieux que Petzouizouille.


Mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille : Si je puis me permettre, c'est Pazuzu.


Le réalisateur, William Freakin : Putain tu n'as rien à foutre là !


Enfin bref, le démon Mensah-X. Les trois commencent alors à se questionner et à s'interroger sur la nature du Mal au sein de la WFA. Ils continuent leur recherche, Mikl entre temps s'est perdu, mon père la « Grande Sainte Ni Touche » JoMouille et le Pope se retrouve faace à une grande statue du démon Mensah-X avec à côté un homme, Seth Rollins, crucifié ! Et une inscription rouge sang : BLACK POWER !


L'histoire commence alors à WFA City. Là où les politiciens sont incorruptibles, où les élites sont respectés et donnent aux pauvres... Mon cul, oui ! C'est une ville pourrie jusqu'à la moelle mai on s'y sent tellement bien ! L'intrigue s'ouvre alors à WFA City. John Morrison est un acteur célèbre de films peu recommandable pour les enfants qui semble mener une vie malheureuse avec son colocataire Dolph Ziggler, le déménageur Brodie Lee et l'homme de ménage Brock Lesnar. Leur vie n'est donc pas rose, Brodie Lee passe son temps à changer les meubles de place dans la maison, ce qui a provoqué plusieurs des situations assez honteuses puisque en échangeant parfois les chambres de l'un et de l'autre et qui les mettaient dans des situations assez...


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Brock Lesnar lui est le second domestique de la maison. Il passe son temps à faire le ménage en tenue de soubrette...


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Seulement, un soir, en pleine nuit, John Morrison est pris de violents spasmes. Dolph Ziggler s'inquiète alors pour son colocataire et cela ne s'arrange pas quand cela s'aggrave. Après une analyse foireuse des toubibs, Dolph Ziggler demande à Brodie Lee de casser la gueule à tous les médecins de WFA City. Un soir, Dolph Ziggler célèbre son titre de champion de la WFA au profit de... John Morrison. L'ambiance est devenu encore plus bizarre à la maison. Au cours de la soirée, John Morrison descend dans la salle de réception s'adresse à John Laurinaitis, un incompétent Général Manager, en lui disant très clairement avec une conviction froide et inquiétante : « Vous allez mourir là-haut » puis se met à faire la danse des sept voiles. Après ce terrible et ignoble événement, Dolph Ziggler décide de faire bouger les choses. Il veut accélérer les analyses médicales de John Morrison. L'avis des médecins est compréhensible. Selon le diagnostic, John Morrison n'a rien dans le crâne. Son cerveau est vide. La maladie « mikl » ! Rien d'inquiétant en soi mais les spasmes continuent et sont plus violents jour après jour et nuit après nuit. John Morrison parle désormais avec une voix de pucelle et pire, il est excité par les One Direction. Mais l'horreur atteint son paroxysme lorsque un soir alors que Dolph Ziggler chantait « Je te survivrai » de Jean-Pierre François avec Carlito et Samoa Joe, John Morrison descendit les escaliers dans une position très mal saine et horrifique. Il est à quatre pattes, le porc !


D'Angelo Dinero : NOOOOOOOOON !


Les « symptômes » ne s'arrêtent pas à cet acte provoquant puisque John Morrison twerk à longueur de journée, hurle le prénom de sa copine Ziggler en utilisant des propos violents et dégoutants. Et parfois même il crache.... du SANG voyons. Bandes de dégoutants. Son visage s'enlaidit encore plus qu'à l'origine.





Un soir, Samoa Joe est retrouvé mort au bas des escaliers qui donne sur la fenêtre de la chambre de John Morrison. Une enquête de police est ouverte et la thèse de l’alcoolisme est fortement privilégié (allez savoir pourquoi^^) (comme dans la version originale). Pas un seul instant John Morrison est mis en cause bien qu'on ait retrouvé dans sa chambre du vomi. Voilà qui en dit long sur les talents des détectives à la WFA (coucou Roode).





Dans le même temps, l'inspecteur Roode, toujours lui mène l'enquête... enfin il essaye et il n'y arrivera pas... comme d'habitude quoi. MOUAHAH ! Il interrogera tour à tour le prêtre par intérim de WFA City, le Père sans nom, Dolph Ziggler, le compagnon de beuverie de Joe, Carlito, Brock « the Soubrette » Lesnar et le déménageur breton Brodie Lee. Dolph Ziggler n'en peut plus et est exténué, il décide de faire appel à un psychiatre, le brillant docteur Shelby. Privilégiant le cas de la schizophrénie, le toubib se rend compte qu'il a tord et il l'a donc profondément dans l'os. Mais l'expérience tourne court : non seulement John Morrison abrite en lui une autre personnalité, mais celle-ci est en plus un être indubitablement démoniaque et violent. Une seule conclusion s'impose à Dolph Ziggler : sa petite-copine est possédée et il doit solliciter l'impensable pour lui : un exorciste. Dolph contacte alors le père Tarras, qui a pu connaître des difficultés dans sa foi personnelle et la terrible mort de sa mère, mort pour laquelle il se sent responsable : sur son lit de mort, sa mère lui avait reproché de l'avoir abandonnée, et depuis le père Tarras a des visions d'elle, exacerbant sa culpabilité et son chagrin. Oui je fais court.





Le père Tarras rencontre donc Dolph puis John ou plutôt le démon qui occupe le corps de poufiasse de Morrison. Le démon connaît les circonstances de la mort de sa mère. Tarras commence alors à comprendre que le véritable démon est non seulement l'incarnation diabolique dans le corps de la jeune fille, mais aussi la manifestation du Mal qu'abritent en eux ceux qui tentent de l'approcher. Ici, le père Tarras devra affronter le démon en affrontant le Mal qui est en lui : le démon au nom du Mal veut le pousser au désespoir suprême en décuplant son sentiment de culpabilité. Tarras commence alors le travail d'exorcisme. Il écoute des enregistrements de la voix de John non possédée, regarde ses dessins érotiques. Un soir, il est appelé d'urgence à la maison des deux amoureux pour observer un étrange phénomène : sur le ventre de John apparaissent ces mots : « Aidez-moi à gagner un match ! ».





Tarras effectue alors les démarches auprès de l'Église pour obtenir le droit de pratiquer un exorcisme. Cette dernière accepte mais confie le rôle de l'exorciste au Pope D'Angelo Dinero, prêtre expérimenté revenant d'Egypte et ayant déjà pratiqué un exorcisme en Afrique, connu et reconnu sous le nom de Popexorciste. Le Père Tarras devra l'assister en tant que prêtre et psychiatre expert. Le Pope et Tarras commencent donc leur exorcisme sur le démon en suivant le protocole religieux.


D'Angelo Dinero : Mon Dieu ! C'est lui !


Tarras : Qui ?


D'Angelo Dinero : Le démon ! Mensah-X !


Tarras : Qui ?


D'Angelo Dinero : Inculte !


John Morrison : CM Punk je t'aime !


D'Angelo Dinero : Cet enfant est perdu...Notre Père qui êtes aux cieux ... Que ton nom soit sanctifié. Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la Terre comme au ciel. Donne nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Ne nous laisse pas succomber à l'île tentation.

Père Tarras : Mais délivre nous du mal. Amen.

D'Angelo Dinero : Sauve-moi, mon Dieu, par ton saint nom. Par ta thune, défends mon compte en banque. Des femmes de joie se sont levés contre moi, des hommes de violence en veulent à ma vie, va te faire mettre Mensah-X mais Dieu ne me quitte pas et le Seigneur est le soutien de mon âme. Dans toutes les épreuves il m'a secouru et m'a protégé. Gloire au Pope et au Pope et au Pope. Amen.

Père Tarras : Tel que ce fut au commencement, tel que c'est et ce sera jusqu'à la fin des temps. Amen.

D'Angelo Dinero : T'es chiant, toi. Sauve ta servante ...

John Morrison : Je ne suis pas une fille. Veux pas être une salope.


Père Tarras : Qui s'en remet à toi, mon Dieu.

D'Angelo Dinero : Sois en elle, ô Seigneur, une place forte.


John Morrison : Oui soyez en moi Seigneur !

Père Tarras : Pour affronter l'ennemi.

D'Angelo Dinero : Que l'ennemi soit impuissant contre nous.


John Morrison : Je veux un homme fort

D'Angelo Dinero : Seigneur, écoute nos bourses.


John Morrison : Oui.

Père Tarras : Que mon cri te parvienne.


D'Angelo Dinero : Que le seigneur soit avec nous.

Père Tarras : Et avec notre esprit.

D'Angelo Dinero : Maintenant, prions. Toi, Seigneur, Toi, le Père tout-puissant, Toi, le Dieu éternel et le père de notre Seigneur Jésus Christ qui une fois pour toute a livré le tyran déchu aux flammes de l'enfer, Toi qui a envoyé Ton unique fils en ce bas monde pour terrasser le lion rugissant, hâte-Toi de répondre à notre appel. Arrache vivement à la ruine et aux griffes acérées de ce suppôt du diable cet être humain fait à Ton image et à Ta ressemblance.


John Morrison : Oui un suppôt !


D'Angelo Dinero : Frappe de terreur la bête, Seigneur, qui aujourd'hui ravage tes portes-feuille. Que Ta main puissante chasse le monstre de ton servant John Morrison pour qu'il ne puisse pas retenir captif cette personne que tu as cru bon de concevoir à ton image.

Père Tarras : Amen.

D'Angelo Dinero : Casses toi tu sers à rien. Seigneur, écoute ma prière. Tout-Puissant Seigneur de toutes créations qui donna à tes saints apôtres le pouvoir d'écraser sous leurs pieds les vipères et les bêtes. Accorde-lui, à lui ton indigne servant, le pardon de tous ses péchés.

John Morrison : Pouvoir aux noirs !

D'Angelo Dinero : Et donne-moi la force d'affronter ce cruel démon. Vois ce billet de six. Arrière puissance hostile ! Seigneur, écoute ma prière.


D'Angelo Dinero continue de réciter des prières et des formules d'exorcisme devant le démon Mensah-X, lui jette de l'eau bénite, mais le démon résiste en lui crachant un étrange vomi blanc, en se mettant à léviter au-dessus du lit et pivotant la tête à 360 degrés.


D'Angelo Dinero : Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer ! Le pouvoir du Christ te pousse à payer !


D'Angelo Dinero sort quelques instants, les poches pleines.


Dolph Ziggler : Pourquoi cette trainée ? Ça n'a pas de sens.

D'Angelo Dinero : Je crois que le but est de nous mener au désespoir. Que nous ne voyons plus en nous ... Que l'animal et sa hideur. Pour que soit impossible la lumière que Dieu peut nous offrir.



Dolph Ziggler : L'espoir ?


D'Angelo Dinero : Non..


Dolph Ziggler : L'amour ?


D'Angelo Dinero : Non..


Dolph Ziggler : Quoi donc mon Père ?


D'Angelo Dinero : Du pognon !


Dans un excès de folie, le Pope s'en prend alors violemment et physiquement au démon en le rouant de coups, puis, dans sa folie, l'exhorte à prendre possession de son propre corps plutôt que celui de Morrison. Le démon Mensah-X passe alors du corps de la trainée à celui du Pope.

Celui-ci, comprenant que Mensah-X entre en lui, se jette par la fenêtre et se retrouve dans un ring avec autour de lui une foule en délire. C'est One Night Stand !










Merci à TS pour l'affiche parodique
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TheStraightedge17
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptySam 12 Avr - 16:01

2009 :


One Night Stand 2014 - Page 3 Us-sol10


??? : Notre nation est la plus belle, la plus grande, et nous en sommes fiers ! Fiers de nos ancêtres, et de notre histoire ! Si vous avez été envoyé ici, tas de branles écervelés, c’est pour vous battre pour cette histoire ! Vous n’êtes plus noir, vous n’êtes plus blanc, vous n’êtes plus hispanique, vous êtes tous VERT FONCE comme votre uniforme, est-ce que c’est compris ?

Unité : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Tous les jours que dieu fait, vous vous battrez pour votre pays ! C’est ce pays qui vous a vu naitre, qui vous a vu grandir, qui vous a nourri ! Il a fait de vous ce que vous êtes aujourd’hui, et vous êtes les enfants dont il est le plus fier. Ce n’est pas pour rien si vous avez été choisis pour ce voyage, bande de petites couilles décomposées ! Regardez-vous, allez ! Aucun de vous ne mérites cet honneur ! Tous autant que vous êtes ! Y en a un de vous qui serais capable de me citer tous les Etats de notre belle Amérique ? Hein ? Alors ? FERGUS !

Fergus : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : C’est toi la tête de nœud qui a fait Harvard ?

Fergus : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Extraordinaire, tu devrais être capable de me donner le montant exact de ma retraite alors, hein Fergus ?

Fergus : Je…. CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : QUOI ? PUTAIN QUE C’EST DOMMAGE ! Tu veux me dire que papa et maman ont payés tes études pour rien ?

Fergus : CHEF, J’AI PAYE MON UNIVERSITE TOUT SEUL, CHEF !

Sergent Instructeur : Magnifique, on a là un étudiant modèle ! Tu crois que ça te donne le droit de me reluquer avec tes petits yeux de pucelle ?

Fergus : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Qu’est-ce que t’as, t’es amoureux de moi, Fergus ?

Fergus : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Quoi, tu trouves peut-être que j’ai l’air d’une truite en uniforme, Fergus ?

Fergus : CHEF, LE SERGENT INSTRUCTEUR EST VRAIMENT ELEGANT EN UNIFORME, CHEF !

Sergent Instructeur : Donc t’es qu’une petite folle qui paye ses études comme une grande et t’es amoureux de moi, pas vrai ? DANS TES REVES influre, à cette heure-ci t’es plus qu’un piège à foutre ! Lasse moi cette chaussure droite et va faire un tour de caserne pour chaque examens que t’as eu à Harvard ! Allez, grosse branle, dépêche-toi ! Les autres, est-ce que vous avez tous compris le message ?

Unité : CHEF OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Bon. Ca va faire maintenant six mois que vous êtes sur le terrain. J’devrais pas m’occuper de vous en temps normal, mais des petits nouveaux qui s’imaginent déjà butter de l’Irakien, de l’Afghan, ou ce genre de conneries. Mais le général Keyes est très déçu, et il m’a demandé gentiment de passer vous dire bonjour pour vous apprendre le respect. Allongez-vous par terre et faites-moi 25 pompes pour chaque membre de cette unité ! Allongez-vous face au sol ! Voilà… Alors, je vous entends pas compter ?

Unité : 1…2…3…4…5…

Sergent Instructeur : C’est drôle, non ? Presque autant que ce que je vais vous dire après, alors je veux entendre de la jovialité !

Unité (rires forcés) : Ha ha ha ha ha ! ! !

Sergent Instructeur : Fantastique, je me sens comme au réveillon du lapin de paques ! Maintenant fermez tous vos grandes gueules et laissez-moi continuer ! Vous étiez censé être les fers de lance de cette compagnie. Montrer l’exemple ! Le général ne tarissait pas d’éloges sur vous, son unité sans peur, sans pitié, et plus que jamais au service de son pays. Mais l’un de vous… L’un de vous, bande de petites merdes, est consciemment devenu une salope d’espion pendant les deux dernières semaines ! C’est nettement moins drôle maintenant, n’est-ce pas ? REYES ! Monte sur le dos de ton petit copain Escobar pendant qu’il fait ses pompes. J’ai l’impression qu’il se fout de ma gueule !

Reyes : CHEF…. OUI CHEF !

Sergent Instructeur : Quel bande de macaques, non, c’est trop d’honneur vous n’en êtes même pas là ! Je crois pas avoir jamais vu autant de connards pareil ! Regardez-vous, allez ! Nous savons qui c’est, et vous aussi, vous le savez. Non ? Personne ? Pourtant, il y en a un parmi vous dont les mains sont devenus les épluches bites de nos bons vieux afghans. Comme eux, il veut nuire à notre pays ! Mais là, c’est encore plus grave, il entraine des camarades dans sa chute ! Il les pousse à désobéir, à ME désobéir ! Je sais que tu es là. C’est à toi que je m’adresse. Est-ce que tu te prends pour Dieu, où que tu sois ? Hein ? Si tu es dans cette unité, c’est parce que le général l’a décidé, uniquement par sa volonté ! Si tu dors, c’est grâce à lui, si tu manges c’est grâce à lui et SI TU VIS C’EST GRACE A LUI ! Poignarde le dans le dos, petit enfoiré ! On va faire en sorte que tu n’oublies jamais le déshonneur américain, puisque t’as l’air d’adorer jouer les indiques. C’est toi, Lucius ?

Lucius : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Bien sûr, que c’est pas toi… Fox ?

Fox : CHEF NON CHEF !

Sergent Instructeur : Fire ? Camacho ? Ryan ? Pinko, Troy, Fowler, Cortez ? Pas de réponse ? Evidemment, vous êtes trop cons pour ça. Relevez-vous, sacs à foutre ! Allez, plus vite que ça ! Gardes à vous ! J’irais pas par quatre chemins. Droit et respectueux pour le Général Keyes !

(Le général entre dans la pièce réservée aux troupes, enlève son chapeau, une poignée de sable dans la main, et se fixe aux côtés du sergent)

G. Keyes : Merci sergent, vous pouvez disposer. Messieurs, je vais aller droit au but. Je connais bien votre unité, c’est moi qui l’ai conçu. Vous étiez pour moi les plus talentueux de toutes les épreuves subits jusque maintenant. Et dès votre arrivée en Afghanistan, vous avez bravé les chaleurs, l’attente, et les balles qui vous sifflaient à côté de la tronche. Je regrette la mort de Swafford, James, Harrison et Bing. Des pertes tragiques, qui ont laissé des marques dans votre esprit à travers les mois. Mais ce que je regrette encore plus, c’est qu’ils sont surement morts car l’un d’entre vous a donné leurs positions à l’ennemi. Vous connaissez tous les lois américaines, je vais pas vous faire un dessin. Mais ici, on n’est pas encore en Amérique. On est toujours dans le désert… toujours. J’ai ici une liste, que je vais vous clamer haut et fort. Vous n’aurez qu’une chose à faire, à savoir un pas vers l’avant si votre nom est bien sur celle-ci. Camacho, Ryan, Pinko, Troy, Fergus, Valencia, Damon, Fox, Carter, Nesta, Robert, Gunn et Kilmer. Faites tous… Voilà. Messieurs, j’ai le plus grand plaisir de vous annoncer que vous êtes transféré, on vous envoie dans le nord-est du pays pour l’opération « bouclier du désert ». Vous représentez votre unité, et nous savons très bien que vous n’êtes pas dans les tactiques d’espionnages. Nos rapports ne signalent rien à votre sujet, si ce n’est une loyauté et une bravoure sans faille. C’est exactement le genre de merde qu’il nous faut pour gagner cette guerre. Ne craignez rien, je sais ce que vous vous dites, on imaginait tous une guerre éclair, n’est-ce pas ? Rentrer au pays avant même d’avoir chier notre déjeuner de la veille. Pourtant… Messieurs, rompez ! Bien. Il ne me reste donc plus que six candidats… Et c’est là que mon job devient intéressant.

(Il sort une arme de son étui, qu’il pointe sur chacun des six hommes à tour de rôle)

G Keyes : Vous avez toujours entendu cette phrase, « tu ne tueras point ». Et bien mes amis, mes enfants, cette phrase… c’est de la CO-NNE-RIE.

(Il avance nez à nez d’un des soldats et lui tire une balle dans la tête. Celui-ci s’effondre sur le coup, alors que les autres hommes demeurent pétrifiés, abasourdis.)

G Keyes : Hum… Désolé, Martinez. Je sais ce que vous vous dites. Martinez n’était peut-être pas l’indique, Martinez était quelqu’un de bien, ou un gros con mais loyal, c’est vous qui voyez. J’appelle ça un dommage collatéral, ou disons une foutue vacherie. Car la taupe est parmi vous, et si je dois buter six hommes pour en sauver 1000, croyez moi que je n’hésiterai pas. Qu’est-ce que t’en dis, Jones ?

(Nouveau tir dans le crâne du Jones en question. Il s’écroule au sol, une mare de sang coulant au pied du Général)

G Keyes : Hé merde, faudra que je pense à laver mes chaussures. Vous pouvez encore sauver votre vie, messieurs ! Je vois sur vos visages que certains n’ont jamais vu la mort en face. L’attente, vous n’avez presque connu que ça, depuis votre arrivée. Le sang, pour vous, c’est du ketchup dans un film de Roméro ! Hé bien NON ! C’est réel ! C’est ce genre de sacrifice qui nous ferons gagner cette guerre ! Je tuerais les six d’entre vous s’il le faut, maintenant vous le savez aussi bien que moi. S’il reste une petite tache de fierté au fils de pute qui vient de me couter encore deux de mes gars, qu’il se…

Lucian : C’est moi, général…

G Keyes : Vraiment ?

Tournay : Non, c’est… C’est moi, général.

G Keyes : Hum. Alors là… Bravo. Je dois dire que vous me mettez la larme à l’œil. Autant de bon esprit et de sens du devoir… SAUF QUE JE NE SAIS TOUJOURS PAS QUI EST-CE PUTAIN D’INDIQUE ! VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE J’AI QUE CA A FOUTRE ? HEIN ? LUCIAN ! TU T’ES DESIGNE EN PREMIER, JE TE CROIS SUR PAROLE.

(Keyes se place devant Lucian, quand l’un des soldats s’avance vers lui. Le visage froid, perdu, il attrape le neuf millimètre du général, et le pointe vers lui. Les yeux de Keyes s’écarquillent. Il place ses mains devant l’arme, comme pour se défendre, quand la recrue se retourne. Et deux détonations se font entendre. Pas une de plus. Mais deux hommes s’écroulent…)

Keyes : Qu’est-ce que…

??? : C’était Lucian. Vous le saviez depuis des mois, tout comme nous. Nous, on voulait pas voir la vérité en face. Alors on a fermé les yeux.

Keyes : Pour… Pourquoi Barney ?

??? : C’était un enculé de raciste. Je détestais ce mec-là.

Keyes : Rendez-moi mon arme, Hunico.

Hunico : Avec plaisir. Quand je serais en taule, je pourrais dire que j’ai servi mon pays comme jamais vous ne l’aurais fait. Et puis, j’ai hâte que vous me mettiez ça sur le dos, « général ».

Keyes : Où est-ce que tu te crois, Arias ? Hein ? Plaquez le moi au sol, et emmenez le ! Fils de pute...


2011 :


One Night Stand 2014 - Page 3 Life-i10


??? : Ecoute mon pote, ça fait deux ans que t’es en taule maintenant. Il te reste quoi, une bonne dizaine de piges à faire de la muscu et te battre pour survivre, si ce n'est plus ? T'as pris pour combien, 20 ans ? Perpet', peut-être ? Te battre, souffrir, tu l’as déjà fait à la guerre, et tu mérites pas de croupir la dedans. Laisse-moi t’aider, bon dieu !

Hunico : Je vous emmerde, Paul. Tout ce qui touche à vos combines à la con, c’est ce qui me fait penser que j’aurais encore moins de liberté une fois dehors avec vous. C’est gentil de penser à moi, et même si je comprends pas pourquoi, je vous envoie gentiment vous faire foutre.

Paul Heyman : Je vois un immense potentiel en toi, Hunico. Je te demande pas de devenir un Heyman Guy, si tu ne le souhaites pas. Mais la Wrestling French…

Hunico : Wrestling ? Vous voulez d’un ancien militaire et ex taulard dans un show de catch ? C’est une blague ?

Paul Heyman : Bien sûr que non ! C’est toi, et toute ton histoire qu’il me faut ! J’ai eu accès aux dossiers, aux casiers judiciaires, à ton passé dans l’armée US… Tu étais un grand, tu avais tout pour devenir un grand, jusqu’à…

Hunico : Ouais. Jusqu’à.

Paul Heyman : Pourquoi, Hunico ?

Hunico : Pourquoi ? L’Amérique à donner la liberté à ma famille. En m’engageant dans les marines, je pouvais devenir un citoyen hispanique domicilié du côté de Los Angeles, avec ma femme, et mes deux gosses. C’est pas négligeable. Je devais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas laisser ma famille dans la merde. On vient tous de Tijuana, amigo. Marches ou crèves, on a suffisamment donné. Jamais je ne les laisserais repartir la bas. Je ferais tout pour eux, même le pire, même…

Paul Heyman : Même tuer deux hommes de ton escouade ?

Hunico : […] Si.

Paul Heyman : Tu savais que les informations étaient truquées ? Que Lucian n’avait jamais été le SEUL coupable dans cette histoire ?

Hunico : Je l’ai su, oui. Keyes était dans le coup depuis le départ. J’aurais dû le comprendre avant… Avant qu’il me piège dans ce trou à rat. Mais c’est plus mon problème, maintenant. Ici, je peux encore voir ma femme, mes filles, c’est tout ce qui compte. Je tuerais encore dix hommes pour ça.

Paul Heyman : Hunico, je ne t’en demande pas autant… Rejoins-moi. Rejoins la WFA. Laisse-moi te présenter mes amis, sur le point de devenir de grandes personnes. Moi-même, je pense être capable de devenir un grand monsieur dans quelques années. Pour l’instant, Stone Cold, les McMahon et compagnie mènent la danse. Mais un jour, la ECW renaitra de ses cendres ! Si tu viens avec moi, en deux ans, je ferais de toi une machine. Tu brilleras.

Hunico : Et la contrepartie ? Elle est où, votre combine ?

Paul Heyman : Payer la rançon d’un homme qui a vu les siens mourir au champ d’honneur, c’est le plus important pour moi…

Hunico : Vas te faire foutre. Tu as demandé huit rendez-vous avec moi, huit visites dans cette prison, et tu n’as eu que des refus. Comprends que ça ne m’intéresse pas.

Paul Heyman : Hum…. Très bien. Je vois que tu préfères jouer les petits chiens, c’est honorable. Malheureusement, les services d’immigrations risquent de ne pas l’entendre de cette oreille.

Hunico : QUOI ?

Paul Heyman : Au revoir, Hunico. Bonne chance. Elles t’enverront une carte postale, enfin… s’il y en a du côté de… Tijuana ? C’est ça ? Je ne m’y retrouve plus, avec ces villes mexicaines.

Hunico : Que… Paul ! PAUL !


2013 :


One Night Stand 2014 - Page 3 Maxres10


Paul Heyman : Alors alors alors ! Le grand Jorge Arias signe enfin dans la plus prestigieuse fédération de catch au monde ! J’en ai presque la larme à l’œil de voir ça… Quand je sais d’où tu… Jorge, qui c’est, le groupe derrière toi ?

Hunico : Oh, ça ? Des mecs de mon clan, tous rescapés des guerrilas mexicaines. Ça fait pas mal de gars, hein ? Disons que c’est une assurance, juste au cas où tu tenterais de me prendre pour con, amigo. Toi, et ta puta, la bas.

Paul Heyman : Du calme, Jorge, tu…

Hunico : C’est Hunico, perro.

Paul Heyman : Excuse moi… Ecoute, Hunico. Dans quelques mois, Avril pour être exact, les officiels mettront en place un Pay Per View nommé « One Night Stand ». C’est là que tu feras ta première apparition. A partir de ce jour là, je ne serais plus QUE celui qui t'as sauvé la mise et sorti de taule, c’est d’accord ? Tu seras livré à toi-même, ou plutôt au GM, John Layfield.

Hunico : Layfield ? Je croyais que tu m’envoyais à Smackdown, El Blanco ?

Paul Heyman : C’est le cas, mon ami. C’est le cas. Mais Layfield est plus… comme toi, tu me suis ? Un mec au sang chaud. Un mec prêt à tout. Si tu as besoin de quoi que ce soit, c’est lui que tu devras trouvé, tu m’as compris ?

Hunico : Si. Et pour ma famille ? Qu’est-ce qui va arriver aux Arias ?

Paul Heyman (sourire) : Oh, tu veux dire les Johnson, n’est-ce pas ? Disons que je connais un gars, qui connais un gars… Qui a fait accidentellement bruler les papiers d'identité de ta petite familia. Du coup, je connais encore un autre gars qui... comment te dire... a restauré les papelards. Maintenant, elles se nomment Lila, Arianne et Jelly Johnson. Américaines de naissance, mexicaines d’origine, avec l’assurance de rester un bon bout de temps dans ce beau pays qui est le nôtre. Inutile de te le dire, pour que les choses restent ainsi, il faudra obtenir des résultats. Je mise énormément sur toi, « amigo ». Et elle aussi.

Hunico : Elle ? Qui ? La nana derrière toi, qui se cache comme une SDF de Mexico ?

Stephanie McMahon : Un peu de politesse, jeune homme.

Hunico : Hahaha, voilà la patronne, amigos ! Matez sa caisse, les gars, cette femme est trop bien pour nous, pas vrai ? C'est du tapage oculaire, ou j'y connais rien ! Amigos, on dit tous bonjour aux putes riches !

Stéphanie : La ferme, Arias ! Tu ne serais pas là sans moi ! Sans moi, tu pisserais encore dans un bol avec un maton pour te tenir la bite. Et je suis pas venu jusque dans cette ruelle dégueulasse de L.A pour jouer aux billes, alors je vais faire court. Tu fais partie de la compagnie maintenant. En d’autres termes, tu es à moi. Quand je te dis de catcher, tu catches. Quand je te dis de parler, tu parles, et quand je te dis de te coucher, tu te couches, tu m’as compris ?

Hunico : Vas te faire foutre, salope.

Stéphanie : Tu crois que tes petites gamines sont américaines grâce à qui, connard ? C’était moi. Alors joue pas au con ! Je veux des résultats. Je veux que tu écrases tes adversaires comme tu l’as appris en taule, et en dehors, sur le ring avec Paul. T’as étais entrainé par Brock Lesnar, Bobby Lashley et Floyd Mayweather, c’est ça ?

Paul Heyman : C’est ça, Stéphanie. Mes connaissances sont… illimitées.

Stéphanie : Alors donne-moi des victoires. Décroche des titres. Ne me fais pas regretter le fric misé sur toi, et toi et ta famille vous serez dans mes petits papiers. Clair ? Fais attention, garçon. Si jamais tu me déçois, tu dégages. Pas de la ville. Pas de la fédération. Du pays. Si j’ai quelque chose, la moindre chose à te demander, tu t’exécutes. Sinon, tu sors. Si je veux que tu tabasses un autre lutteur, tu penses à l’Afghanistan, à Keyes, et tu le détruits, c’est d’accord ?

Hunico : Tu crois que j’ai besoin de toi pour me motiver, bomba no latina ? Je me suis toujours battu pour tout, et c’est pas aujourd’hui que je vais prendre quelqu’un en pitié. Comptes sur moi, je reculerais devant rien pour les miens, ma famille et ces gars, derrière moi. Je serais toujours un Jarhead. Là-bas, on ne m’a pas donné d’autres choix. Je suis toujours dans le désert.

Stéphanie : Bien. Très bien, même. Le désert, tu le retrouveras sur le ring. Tu commences à NXT, demain, contre Eric Rowan. Et à One Night Stand, tu intègres le roster principal. En attendant, dis-moi… Tu es entré dans l’armée américaine pour tes proches, c’est ça ? Cette guerre, tu l’as faite pour eux ?

Hunico : Si.

Stéphanie : Alors montre-moi ce qu’un ancien Jarhead peut faire pour protéger sa famille…

Hunico : Avec plaisir. ! Chicos, dan me una bate inmediato ¡

(Un des membres du groupe d’Hunico vient lui donner une petite batte de baseball, qu’il fracasse contre le crâne de son manager et ancien ami Paul Heyman. Les coups pleuvent sur le corps du pauvre homme qui ne s’y attendait absolument pas. Dans un silence de cathédrale, à peine obscurci par les ricanements de la présidente, Hunico s’acharne sur son ancien mentor, sans la moindre émotion sur son visage. Il observe les alentours, recommence, brandit haut son arme puis s’arrête. La batte tombe de ses mains. Des flashs de sa famille, de sa femme lui hante l’esprit. Il se retourne, fait signe à ses partenaires de quitter les lieux. D’un geste rapide de la main, il ôte une chaine de son cou, qu’il enfile sur celui de Paul Heyman.)

Hunico : Rien de personnel, amigo. Il fallait bien commencer par quelqu’un. On se retrouve à One Night Stand.


2014 :


One Night Stand 2014 - Page 3 Rbc-ce10


Une histoire. Una historia. Un homme part à la guerre pour protéger sa famille, lui qui jusque là n’avait jamais rien fait de bien dans sa vie. A la guerre, il attends. Il campe. Il voit les jours défiler, en se doutant bien qu’au moins, ses filles sont à l’abri. Le plus dur, pour les Jarhead qui n'ont pas connu les autres guerres, c'est l'attente. L'estomac noué entre ici, et les USA. Mais finalement, quand un homme n'a pas d'autres choix, quand un homme est bloqué, démuni, c'est là qu'il révèle sa vraie nature. C’est tout ce qui compte, au final. Il se bat, il tue, mais ça il l’avait déjà fait avant. Cette fois, c’est pour une bonne cause, pour son pays, pour le sol qu’il veut défendre, pour le sol où il veut voir ses petites faire du vélo pour la première fois. Il y passe plus d’un an, pour tomber dans le piège de la solitude, de la folie, et prend une décision qu’il pense juste. Qu’il pense honorable. Mais il n’est rien d’autres qu’un pion qui se déplace de cases en cases, du sable au béton de la prison, puis du béton aux cordes des rings. Toujours dans le même but, un but qu’il n’abandonnera pas.

Soy Hunico, le plus grand fils de pute que la WFA risque de voir arriver. La familia a fait de moi le protecteur le plus dangereux de l’histoire, et jamais vous ne verrez mes yeux avant de prendre “Tijuana” sur le sommet du crâne. Dieu marche avec moi. Le seul a pouvoir suivre mes pas, chaque jours. Je suis venu pour sauver les miens, et détruire les votre. Plus jamais, vous ne serez comme avant. Plus jamais vous verrez le Mexique, la guerre et la prison comme avant, car ce sera toujours avec le sourire que je viendrais prendre ce qui est à vous. SU CASA ES MIA CASA. Je suis encore dans le désert...






FIN.


PS : Tijuana est le nom de sa batte de baseball.
PS2 : Sachant que j'ai pas de match, si les HB ont des réactions sur la promo ça pourra m'aider pour la suite comme c'est la première, je pense avoir fait quelque chose de bon perso ^^'
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Nak
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptySam 12 Avr - 18:43

Intro à la promo des Wrestling Class Heroes



AJ Styles
"C'est dommage le concept aurait pu être intéressant, mais tout le monde n'a pas joué le jeu..."



Chris Jericho 
"Dans 30 ans, quand je regarderais en arrière ... j'oublierai que ça s'est passé."



Chris Hero 
"J'ai la panse bouffie !"



Carlito 
"Ce fut une expérience communautaire enrichissante qui m'a permis de découvrir des choses insoupçonnées sur ... Quoi ? Je dérive de mon texte ? Pardon ... HIPS ! BUUUUUUUUUURP !"



Christopher Daniels
"Le manque de goût de ces cancrelats me consterne. Mais AJ et moi savons ce que nous valons !"



Erick Rowan 
"Quiche. Héhéhéhéhéhé !"




Christian 
"Heureusement, on était payés pour ça. Très bien payés même."



Samoa Joe 
"BUUUUUUUUUUUUUUUUURRRRRRP !"





Mais qu'a-t-il donc pu bien se passer ? Petit retour en arrière.


Une semaine auparavant


Nous sommes au siège de la WFA. Chris Jericho et Christian arpentent les couloirs l'air ravi.

Jericho: Il était temps mine de rien !

Christian: Enfin on va avoir cette augmentation qu'on mérite pleinement depuis ...

Jericho: Qu'on a remporté nos troisièmes WFA Tag Team Titles ?

Christian: THREE TIMES ! THREE TIMES ! 

Les deux hommes font un high five et entrent dans une salle de réunion, ou JBL et John Laurinaitis les attendent. 

Ils se saluent, puis les Wrestling Class Heroes s'assoient, sourires de requins aux lèvres.
Mais ... Samoa Joe et Carlito entrent ! 

Joe: CHAIS ICI L'APERO ? ON A NOS JINVITATIONS !

Il montre un tract portant la mention "Apero festif" indiquant la salle de réunion.

Laurinaitis: Ahahah, oui l'apéro, on ... ahem verra plus tard, asseyez vous messieurs !

"C'est bien ici la vente de poudre magique messieurs ?"

Erik Rowan est là ! Accompagné de Chris Hero, il sourit avant de voir les APA et les Wrestling Class Heroes. Mais là encore JBL enjoint les arrivants à s'asseoir.

Jericho: Ca sent le coup fourré à plein nez.

Christian: Parlant de nez, j'en connais deux qui ont un sacré coup dans le pif.

Joe: BUUUUUUUUUUUURP. 

Chris Hero: J'ai le pressentiment qu'on ne verra pas de poudre magique.

Erik Rowan: J'ai la foi !

Christian: C'est bien tu pourras faire un don aux deux autres épaves !

Jericho: Mon dieu, on est piégés avec ces détritus.

Carlito: Hey ! Détra... détritus euh ... toi même !

"C'est ici la réunions des anciens de la TN..."

"Oh merde c'est un piège ..."

AJ Styles et Christopher Daniels ! Les Phenomenangels sont entrés, et voilà JBL qui ferme la porte à clef, rictus sadique aux lèvres. Les derniers arrivants sont assis. Les 4 équipes se toisent, mais demeurent silencieuses.

JBL: Messieurs, la division par équipe de la WFA ne s'est pas aussi bien portée depuis bien longtemps !

Laurinaitis: Et c'est grâce à vous tous !

Jericho: *tousse* *tousse* *tousse*

JBL: Hum. Et grâce à nos champions bien sûr.

Christian: *tousse* *tousse* *tousse*

Laurinaitis: 3 fois champions bien sûr ! People Power !

Styles: Bon arrêtez la branlette et accouchez, on a pas que ça à foutre.

JBL: La division par équipe se porte à merveille, et on s'est dit que c'était le moment pour faire un coup de pub, en partenariat avec la télévision ! 

Laurinaitis: On vous voit chaque semaine, sur le ring, vous battre et vous moquer de vos adversaires. Mais on aimerait voir plus ! Les gens en veulent plus ! 

JBL: Donc on s'est dit ... qu'est ce qui est à la mode ? La téléréalité bien sûr !

Laurinaitis: Pipolpoweure !

JBL: Donc messieurs, vous allez participer à une émission de Téléréalité, tous ensemble !

Les 8 hommes, ensemble: PAS QUESTION !

Laurinaitis: Sinon vous êtes virés. Héhéhé.

Jericho: Vous ne vireriez pas vos 4 équipes fétiches.

JBL: Certes mais on peut donner les titres aux Nasty Boyz.

Daniels: Et c'est quoi cette téléréalité.

JBL: Voici les contrats, signez les et on en parle après. Mais je peux vous dire que c'est novateur, que vous serez en compétition par équipe, et que ce sera très très violent. Le gagnant pourra affirmer sa suprématie !

Joe: Il y aura à boire ?

JBL: Bien sûr. 

Joe: J'en suis !

Au final, tous signent leurs contrats, méfiants mais convaincus par la description de JBL.

Laurinaitis: Maintenant que cette formalité est faite ... voilà l'émission à laquelle vous aller participer !





Une vidéo s'affiche sur l'écran.


Carlito: Ca, ca me plait ! 

Hero: Ca m'intrigue !


Daniels: J'espère que c'est une blague ?


Christian: On s'est fait avoir.







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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptySam 12 Avr - 23:37

Godot lol obligé de devoir faire appel à Swanton pour pouvoir espérer faire une promo au niveau. Quelle barre de rire Mister Green


Belle intro des WCH. Hâte de lire la suite :food:


Et purée Baccou et CB vous êtes deux grands malades. C'est quoi cette promo sans déconner ?  lol 

Et maintenant, voici la promo de Bobby RRRRROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO


PROMO DE l'IC CHAMP' cheers




_ Tu es sûre que c'est ici ?
_ Certaine.
_ Vraiment ?
_ Oui chef. Sans aucun doute.
_ Non parce que vu l'état de la maison j'ai du mal à imaginer un génie du crime vivre ici.
_ C'est justement en ça que c'est un génie. Il fait en sorte de vivre dans un endroit discret afin de ne pas éveiller les soupçons.
_ Si je voulais être discret j'aurais plutôt choisi une maison normal plutôt qu'une bicoque qui menace de se casser la gueule au moindre coup de vent Regarde-moi ça, on voit la façade qui se lézarde depuis la bagnole.
_ Chef ! Mes sources sont formels. Le type qu'on recherche habite ici. Et c'est pas parce que vous êtes IC Champ' qu'il faut prendre la grosse tête.
_ Bouarf. Je prends pas la grosse tête.
_ Hmpf.
La petite était du genre têtue mais il fallait avouer qu'elle avait rarement tort. Et comme il ne faut jamais contrarier une femme, surtout quand elle est rousse et qu'elle parle à une poupée, je décidai de sortir de la voiture et me dirigeai vers la maison. La petite en fit de même.
_ Nan mais sans blagues. Je veux bien reconnaître que ça doit coûter cher d'entretenir une piaule. Mais de là à la laisser dans cet état ! Même le jardin n'est pas entretenu. C'est pourtant pas compliqué de passer la tondeuse.
_ Chef, on est là pour discuter jardinage ou pour mener une enquête ?
Je ne pus m'empêcher de bougonner. Elle avait toujours raison et par-dessus tout, toujours le dernier mot. Tentant de cacher mon désarroi je frappai à la porte. J'étais loin d'imaginer le chambranle que je venais de déclencher.
_ Peg on frappe à la porte, fit une voix désabusée provenant d'un type qui semblait avoir perdu foi en la vie depuis des lustres.
_ Et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse, lui répondit une voix féminine ?
_ Ben va ouvrir !
_ Je me fais les ongles ! Vas-y toi.
_ Mais y a le match. Les Bears sont en train de gagner. Pour une fois.
_ Les quoi ?
_ Raaahhh.
Pendant ce dialogue épique, la petite et moi ne pûmes nous empêcher de nous regarder complètement effarés. Je refrappais de nouveau.
_ Ouvrez ! Police !
_ Hein ?
_ J'ai dit : « Ouvrez ! Police ! »
_ Ça va pas la peine de gueuler. On n'est pas chez les sauvages ici.
J'entendis des bruits de pas puis la porte finit par s'ouvrir sur un homme dont l'apparence, aussi bien physique que vestimentaire, était loin de dissiper mes doutes quand au potentiel d'avoir un hors-la-loi en face de moi. C'est bien simple, c'est comme si toute la misère du monde s'était abattue sur ce type. Son regard était inexpressif, ses joues creuses, le crâne dégarni, les épaules voûtées, les vêtements usés pratiquement jusqu'à la corde.


One Night Stand 2014 - Page 3 Img_title-big
Nak dans trente ans, quoi.


_ Et vous êtes, demanda le pauvre homme ?
_ Inspecteur Bobby Roode et agent Lufisto. Vous êtes bien Al Bundy ?
Il observa ma plaque ainsi que celle de la petite tout en plissant les yeux et en ouvrant la bouche. Après avoir constaté que la trogne sur la photo était la même que celle du gonze qu'il avait en face de lui il daigna nous laisser entrer.
_ Entrez inspecteur, je vous en prie. Et surtout ne faîtes pas attention à la grosse vache rousse assise dans la cuisine. D'ailleurs c'est bizarre qu'elle soit toujours fourrée dans la cuisine alors que je ne l'ai jamais vu avec une casserole à la main.
Un peu surpris par une telle présentation j'aperçus au loin une sorte de femme du genre maquillée vulgaire, avec une épaisse choucroute sur la tête et des vêtements couleur léopard. En bref j'avais devant moi l'exemple typique du couple américain de base. On était loin du bandit qui œuvrait pour une grosse organisation mafieuse comme la ouéfa. Cela dit il ne faut pas se méfier des apparences. Et peut-être que derrière son apparence de gros beauf américain banlieusard, ce type savait des choses qui pouvaient m'intéresser.
_ Je vous proposerais bien quelque chose à boire inspecteur, mais ma femme a préféré se payer une manucure avec mon argent plutôt que de faire les courses.
_ En même temps je ne risquais pas d'aller bien loin avec ton fric, répliqua l'intéressée. C'est une chance que Marcy accepte de nous aider.
Devant cette pique Al ne put s'empêcher de répliquer.
_ Hé ! Laisse la grosse dinde en dehors de ça veux-tu. Je ne gagne peut-être que 3$50 de l'heure, mais c'est à la sueur de mon front que je les gagne. Je n'ai jamais rien demandé à qui que ce soit, je ne doit rien à personne. Je suis un vrai américain moi, un patriote ! Le seul homme a avoir réussi la performance de marquer quatre touchdown en un seul match !
Visiblement ça n'était pas la première fois que sa femme entendait ce genre de discours vu comme elle leva les yeux au ciel.
_ Oui et maintenant tu travailles dans un magasin de chaussures, persifla-t-elle, avec pour toutes clientes des femmes en légers surpoids.
_ En léger surpoids ? De véritables baleines tu veux dire ! Mais elles chaussent toutes du 36 bizarrement.
_Une fois que tu auras fini de te plaindre, demande-leur ce qu'ils veulent plutôt que de les endormir avec tes histoires.
_ Tiens c'est vrai ça. Pourquoi vous êtes là ? C'est pas par rapport au sabotage des freins de la voiture de la grosse dinde au moins ?
_ Hein ?
_ Tu as saboté les freins de la voiture de Marcy Al ?
_ Heu... non non, rien. Que puis-je pour vous inspecteur ?
La petite est moi échangèrent un regard bref. Elle sourit et sortit une photo qu'elle montra au gars qui avait réussit la performance incroyable de marquer quatre touchdown en un seul match.
_ Nous recherchons cet individu, fit la petite. Il s'appelle Georges Bacca. D'après nos informations vous auriez travaillé avec lui il y a quelques années de ça.
Al prit la photo qu'il examina avec la même expression qu'il avait eu un peu plus tôt lorsqu'il avait reluqué nos badges. Au bout de quelques instants je crus déceler de la peur dans ses yeux. Il commença à suer comme un porc.
_ Je... je... je connais pas cet homme là. D'ailleurs ça n'est pas un homme mais une boule de poils.
_ Un wookie pour être exact monsieur Bundy, interrompis-je. Plusieurs personnes affirment l'avoir vu entrer dans votre magasin de chaussures à plusieurs reprises. Apparemment vous n'avez pas que des baleines comme clientes. Et ça n'est pas le genre de personne qu'on oublie quand on la croise.
Devant cette affirmation aussi péremptoire qu'affirmative il s'essuya le front. Il se dirigea ensuite vers le canapé et s'assit en fourrant délicatement sa main droite dans son futal.
_ Je... disons que j'avais réussi à effacer cette scène de ma mémoire. C'était... comme voir la grosse dinde à poil. Ou pire, voir ma femme à poil. Il est venu quelques fois oui, mais je ne saurais pas dire combien de fois. Je ne me rappelle pas de toutes les allées et venus des clients non plus.
_ Ouais déjà que c'est dure pour toi de te rappeler comment entretenir ta femme...
_ Peg ! Pas devant les gens.
Al gesticula désespérément ses mains pour tenter de faire comprendre à sa femme que ça n'était pas la peine d'évoquer ce genre de détail devant des inconnus mais il n'obtint qu'un repoudrage de nez en retour.
_ Oh ça va. Je me suis fait une raison depuis le temps.
_ En même temps comment veux-tu que je sois inspiré devant le spectacle que tu offres ?
_ Pfff. Parce que tu te crois meilleurs peut-être ?
_ Je ne sais pas si je suis meilleur, mais moi au moins j'ai ma fierté, dit-il en réajustant son pantalon et en refournant sa main dedans. Et ces cette fierté qui me permet aujourd'hui de vendre des chaussures à des baleines qui chaussent du 36 et de vivre avec une grosse vache rousse.
_ Monsieur Bundy, me risquais-je, si nous pouvions revenir à ce wookie.
Al se tourna vers moi et soupira pendant une bonne dizaine de secondes.
_ Très bien inspecteur. Donc oui je vous disais, maintenant que j'y repense ce gars-là me dis quelque chose effectivement. Mais à part des hurlements et des miaulements je ne comprenais pas grand chose à ce qu'il me disait. Mais ce qui est bizarre c'est qu'il réclamait sans cesse des chaussures, pour faire du carburant ou quelque chose comme ça je crois. Je n'étais pas trop étonné car j'ai déjà vu ça avec des chaussettes sales.
_ Du carburant avec des chaussures et des chaussettes sales ?
_ Tout à fait inspecteur. Et je vous jure sur la tête de ma femme que c'est tout ce qui se passait, rien de plus.
Vu comme il estimait sa chère est tendre j'avais des doutes quant à sa sincérité, l'intéressé ne put s'empêcher de secouer la tête tandis qu'elle se plongeait dans la lecture d'un magazine people. Mais comme l'avait fait remarquer la petite, c'était difficile d'imaginer ce type en gangster.
_ D'accord. Mais pourquoi venait-il dans votre magasin spécifiquement ? Vous n'êtes pas le seul vendeur de chaussure.
_ Aucune idée inspecteur. Je crois qu'il recherchait un type de modèle particulier, des Méphisto si je me souviens bien. Et je pense qu'il appréciait le fait que je ne pose aucune question. De plus c'est plutôt calme ici et on n'a pas beaucoup de clients.
_ Okay, et vous ne sauriez pas où il se trouve actuellement ?
_ Pas vraiment. Je sais juste qu'il s'est rasé et qu'il n'a gardé que les sourcils.
_ Pardon ?
_ Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. Il y a quelques temps de cela il est venu dans la boutique comme d'habitude. Mais il semblait agité. Ce qui était bizarre aussi c'est qu'un type déguisé en clown l'accompagnait en portant un sac. Ils sont entrés dans l'arrière-salle sans dire un mot puis le clown a sorti une tondeuse et a entièrement rasé le corps de son pote à l'exception des sourcils. Une fois qu'il a terminé, le clown a sorti un caleçon a fleurs du sac qu'il a donné au wookie. Puis ils sont sortis aussi vite qu'ils étaient apparus.
_ Sans prendre de chaussures, demanda la petite ?
_ Non madame. Et depuis je ne l'ai plus jamais revu. Pas plus que le clown d'ailleurs.
Une scène bizarre et surréaliste s'il en était. Mais ça n'était pas la première fois qu'on me parlait d'un clown. Était-ce le même que celui dont avait parlé mikl ? Je ne possède pas le sens de l'araignée mais mon intuition me disait qu'on était sur une bonne piste. Comme quoi se rendre dans des taudis pareil pouvait parfois s'avérer utile.
_ Vous parliez d'un clown monsieur Bundy. Pouvez-vous m'en dire plus à ce sujet ?
_ Pas vraiment inspecteur. C'était un clown quoi, avec des vêtements très sales mais un clown classique avec le maquillage, le bonnet à clochettes, des vêtements bariolés des pompes en plastiques sans doute plus grandes que du 36 et tout l'attirail. En revanche il paraissait agacé par quelque chose. Mais je ne saurais vous dire quoi.
_ D'accord. Et vous pourriez nous décrire l'apparence du wookie une fois rasé ?
_ Ben il ne ressemblait pas à grand chose. Il était blanc comme un linge et avait des sourcils très épais.
_ Dîtes-voir, interrompit sa femme, ça ne serait pas lui votre type des fois ?
Elle tendit son magazine afin de montrer une photo. La petite et moi-même la regardâmes attentivement. On pouvait voir un individu très pale et avec des sourcils énormes prendre la pose avec une mannequin la mode, le tout avec un sourire éclatant et un brushing parfait.
_ C'est pas un présentateur télé, demanda la petite ?
_ Oui il travaille pour M6, répondit la grosse vache rousse. Vous devriez peut-être aller voir là-bas. Si vous restez une minute de plus ici vous allez devenir aussi désespéré que mon mari.
Nous nous échangions un nouveau regard avec la petite et approuvèrent le conseil de la bonne dame.
_ D'accord. Eh bien monsieur et madame Bundy, nous vous remercions pour votre contribution.
_ Pas de soucis inspecteur, répondit Al en nous raccompagnant à la porte. Et si jamais vous revenez dans le quartier je vous conseillerais d'aller voir du côté de la voisine. Je suis sûr qu'elle planque de la drogue dans son soutien-gorge.
_ Al ! Laisse Marcy tranquille veux-tu ! Qu'est-ce qui te fait croire qu'elle pourrait cacher de la drogue dans son soutien-gorge ?
_ Peut-être le fait qu'elle est passée subitement du bonnet A au bonnet C.
_ Elle s'est fait refaire les seins Al.
_ Ouais ben elle aurait pu en profiter pour refaire toute la devanture. Voir tout le package. Ça ne lui aurait pas fait de mal.
Je me permis d'interrompre ce nouvel échange. C'est que cette historie commençait à s'éterniser.
_ Merci pour l'information monsieur Bundy. Au revoir.
_ Au revoir inspecteur.
Il referma la porte tandis que je me dirigeais avec la petite vers la voiture. Après avoir ouvert la portière elle me demanda :
_ Alors z'en pensez quoi chef ?
_ J'en pense que ce type a suffisamment de soucis dans sa vie pour qu'on évite de le soupçonner de quoi que ce soit. S'il est coupable de quelque chose, il a déjà été condamné pour devoir être obligé de vivre dans un endroit pareil en compagnie d'une telle greluche.
_ Pour sûr chef, j'ai trouvé ça limite flippant. On fait quoi maintenant ? On va voir du côté du présentateur télé ?
_ Exacte petite. Cette historie de carburant et de rasage dans un magasin de chaussures est plus que tirée par les cheveux mais j'ai l'impression que rien ne semble tenir debout dans cette affaire.
_ C'est le fait qu'on pourchasse un clown et un wookie qui vous fait dire ça ?
_ Entre autre, fis-je en démarrant la voiture. Mais dis-moi, tu n'as pas emmené Peek-a-Bouh aujourd'hui ?
_ Nan chef. Je l'ai laissé au bureau pour qu'elle s'occupe du téléphone.
J'hochais la tête tandis que nous quittions cette banlieue sordide. Je repensais à cette entrevue. Al Bundy était un minable, c'est clair. Je ne sais pas s'il m'avait tout dit mais il ne devait guère avoir fait de choses répréhensible. Et si jamais il s'avère que c'est le cas, le retour de bâton qui viendrait le frapper en pleine poire risquait de faire pas mal de dégâts.
Néanmoins il avait quand même donné quelques infos qui, aussi étranges qu'elles pouvaient paraître, pourraient s'avérer utile. Après tous comme le soulignait la petite, nous étions à la recherche d'un wookie. Or ce genre de créature vient d'une autre galaxie si on en croit tous les petits branlots boutonneux qui se touchent devant Star Wars et toutes ces conneries. Il devait donc certainement avoir un vaisseau spatial ou un truc dans le genre. Par conséquent il lui fallait du carburants pour faire marcher son tas de ferrailles. Enfin s'il avait décidé de se raser entièrement c'est qu'il voulait rester discret. Peut-être s'était-il fait repérer ou qu'il craignait quelque chose ou quelqu'un. Mais à ce moment-là pourquoi devenir présentateur télé ? Surtout qu'il ne parlait pas vraiment comme nous.
_ Lufisto !
_ Oui chef ?
_ Il faudrait voir quand cet animateur a commencé sa carrière et quels antécédents il a. Et comment il fait pour parler correctement. Si c'est bien notre homme, enfin notre wookie, on devrait pouvoir le démasquer assez facilement.
_ Bien chef. Je mets Peek-a-Bouh sur le coup.
Aussitôt elle dégaina son téléphone portable et composa un numéro. Je connaissais mon assistante depuis suffisamment longtemps pour savoir qu'il valait mieux rien dire dans ces moments-là. Après un monologue d'une ou deux minutes où elle expliqua la situation à son associée, elle raccrocha.
_ Elle va jeter un œil chef.
_ Parfait.
Je me contentais de jouer le jeu. La petite était parfois bizarre et elle avait ses lubies mais il fallait avouer qu'elle était très efficace pour trouver des informations. Peut-être qu'elle avait un micro caché dans sa poupée et qu'elle la plaçait au bon endroit au bon moment. Toujours est-il que je n'avais jamais cherché à savoir le pourquoi du comment. J'avais d'autres problèmes à gérer que ceux de ma coéquipière. Et puis si jamais on tentait de la titiller sur le sujet son visage se fermait et elle se contentait de grognements pour toute réponse.
_ On va d'abord passer au bureau histoire de récupérer les autorisations nécessaires pour cuisiner notre client. On tient peut-être un gros poisson et je ne compte pas le laisser filer.
_ Okay chef.



*
**


À peine nous étions arrivés au commissariat qu'on me signala que le commissaire Boudini voulait me voir. J'hésitai un instant à le faire poireauter mais je me disais que si je voulais attraper Gros sourcils j'avais plutôt intérêt à régler ça vite fait. La petite en profita pour aller voir les infos que sa poupée avait pu collecter.
En m'approchant du bureau de Boubou[url=#sdfootnote1sym]1[/url] je ne pus m'empêcher de tousser. L'interdiction de fumer sur son lieu de travail avait fait long feu ici. Pour ainsi dire, le commissaire avait pris le texte de loi l'avait roulé pour s'en faire une clope. C'en était au point que lorsque j'ouvris la porte un épais brouillard de fumée m'agrippa à l'intérieur.
_ Ah Roode, enfin vous voilà, fit-il en écrasant un cigare. Une plombe que je vous attend mon vieux.
Il se leva pour me serrer la main. Tandis qu'il m'invitait à m'asseoir il ouvrit un tiroir afin de dénicher un autre cigare.
_ Désolé chef, j'interrogeais un témoin.
_ Toujours cette histoire de wookie ?
_ Si fait. Et apparemment notre animal serait présentateur télé maintenant.
Boubou ne put s'empêcher d'hoqueter tandis qu'il allumait son précieux.
_ Présentateur télé ? Mais pourquoi un criminel irait-il faire mumuse devant la caméra ? Et vous avez une idée de quel présentateur ça peut-être ?
_ D'après ce que je sais, il travaillerait pour M6. Il se serait rasé, à part les sourcils. Ce qui m'intrigue c'est que ce type est incapable de parler correctement. Un gars qui ne s'exprime que par des hurlements à la télévision ça devrait se remarquer quand même.
Tandis qu'il m'écoutait religieusement, il tira une taffe sur son cigare et réfléchi.
_ Vous savez inspecteur, vu le QI moyen des gens qui regardent ce genre d'émissions, je serais tenté de vous dire qu'ils doivent avoir le même langage.
_ Certes. Mais j'imagine que ça n'est pas pour parler de mon enquête que vous m'avez demandé ?
Il sourit et tira sur sa moustache.
_ En effet non. Vous savez nous avons tous suivi vos performances à la ouéfa. Ce que vous faîtes là-bas est assez incroyable. Vous avez réussi à faire bouger ce gang de mafieux. Batista est de l'histoire ancienne et nous savons maintenant que John Bradshaw Layfield n'est qu'un pion dans cette histoire. Enfin vous avez semé une sacrée pagaille en prenant le titre Intercontinental à Brock Lesnar. Le Gang est désorienté maintenant, ses membres sont prenables.
_ C'est gentil de votre part monsieur. D'autant qu'à la base vous n'étiez pas trop partant pour que j'y aille.
Il ne put s'empêcher de maugréer quelques instants. Il n'appréciait guère quand on lui faisait remarquer ses erreurs de jugements. Ce qui était bien dommage pour lui car c'était un de mes passe-temps favoris.
_ Je n'étais pas pour que vous avanciez ainsi à visage découvert. Vous vous êtes mis en grand danger je vous rappelle. Vous vous êtes quand même retrouvé dans une cage avec trois membres du Gang.
_ Et j'aurais aimé qu'il y en ai plus. C'est plus facile d'attraper les mouches quand elles sont ensemble.
_ Mais très périlleux aussi. Enfin maintenant que vous êtes champion Intercontinental...
_ IC CHAMP' monsieur.
_ Hum... Si vous voulez. Bref, maintenant que vous êtes IC Champ' vous avez certaines obligations.
_ Ah bon ? Et de quels genres ?
_ Dans une semaine se tiendra la kermesse de la Police. Et vous avez été choisi pour animer la tombola.
_ Vous êtes sérieux là ?
_ On ne peut plus sérieux Inspecteur Robert.
_ Attendez, j'ai autre chose à foutre que de faire le mariole devant des gamins boutonneux.
_ Parce que parader en slip sur un ring c'est mieux peut-être.
_ Je me permet de vous rappeler que j'ai mon imperméable sur moi commissaire.
_ Moué. Question de détails. Enfin ça n'est pas comme si vous aviez le choix. Le maire sera là et son fils est un grand fan de vous.
_ Ah parce qu'en plus il va falloir que je fasse la nounou du chiard du maire. Super.
_ Je croyais que ça ne vous posez aucun problème d'aller à la rencontre de vos admirateurs.
_ Admira-trices commissaire, je n'ai aucun problème à aller à la rencontre de mes admiratrices.
Ma correction n'eut guère d'effet. Le commissaire tira une dernière bouffée de son cigare avant de l'envoyer rejoindre le précédent dans son cendrier.
_ Si vous voulez. Vous voilà informé en tout cas. Tâchez d'être présentable et de venir avec la ceinture.
_ Vous êtes au courant que j'ai une défense de titre dans l'intervalle ?
_ Oui. Mais vous affrontez Brock Lesnar non ? Vous lui avez déjà mis une raclée, vous n'aurez donc aucun mal à lui en coller une autre.
_ Hé ça c'est vous qui le dîtes. C'est peut-être « que » Brock Lesnar mais ça n'est pas un gamin cancéreux de huit ans non plus.
_ C'est tout comme. Maintenant vous pouvez disposer.
Il agita sa main afin de me signifier son congédiement.
_ Et pour le présentateur ?
_ Faîtes-le nécessaire, vous avez toute ma confiance.
Ne préférant point insister et ayant les yeux qui commençaient à piquer lourdement je quittais prestement cet antre de l'Enfer. À peine sortis-je de la pièce que j'aperçus la petite qui m'attendait avec un large sourire. Le sourire qu'elle avait quand elle avait trouvé quelque chose d'intéressant. Mais devant ma mine sombre son sourire disparut.
_ Qu'est-ce qu'il y a chef ? Boubou vous a disputé ?
_ Je dois aller faire le guignolo pour le gosse du maire à la kermesse de la Police.
Elle ne put s'empêcher de rire.
_ Bah ça n'est pas si grave. Puis ça vous fera sortir un peu.
Devant mon grognement de protestation elle préféra changer de sujet.
_ Sinon j'ai du nouveau pour notre présentateur chef. Il travaille bien pour M6. Il anime une émission sur l'économie.
_ L'économie ? Ah ben il peut pousser tous les hurlements qu'il veut personne ne doit regarder ça.
_ Au contraire chef, son émission est très populaire. Apparemment les gens n'ont d'yeux que pour ses sourcils.
_ Ben ça alors. Tu m'en diras temps. Et tu as trouvé où il habitait ?
_ Oui. Mais il ne risque pas d'être chez lui en ce moment. C'est bientôt l'heure de son émission.
_ Parfait, ça ne sera pas trop dure pour le trouver. Et c'est ta poupée qui a trouvé tout ça ?
_ Peek-a-Bouh n'est pas une poupée chef ! Il faudra vous le dire combien de fois ?
_ Chaque fois que ça vous foutra en pétard.
Elle secoua la tête avec un sourire en coin.

1 Diminutif affectueux attribué employé par l'inspecteur Bobby Roode et l'agent Lufisto afin de désigner le commissaire Boudini. Ce dernier n'étant, bien évidemment, pas au courant. 



*
**


C'est toujours fendart de voir la tête d'une personne se liquéfier lorsqu'on lui agite un badge d'inspecteur sous le pif. Surtout quand c'est un abruti de la sécurité. Ces types se croient tout permis parce qu'ils portent un costume mais il faut bien avouer qu'il faut avoir une certaine classe pour porter ce genre de fringue. Et puis de toute façon l'imperméable c'est mieux. Pas rancunier pour autant, le gonze nous indiqua la direction pour trouver la loge du dénommé Georges. Une fois devant la petite frappa à la porte qui s'ouvrit sur une charmante demoiselle aussi chétive que mignonne. Après avoir présenté ma plaque avoir mon sourire le plus charmeur, son joli petit minois s'éclaira.
_ Vous êtes de la police ? Pour de vrai ?
_ Pour de vrai charmante créature, répondit-je sans me départir de mon sourire de beau gosse. Et vous êtes ?
_ Je suis la maquilleuse. Je m'appelle Marlène.
_ Marlène ? Un beau prénom que voilà.
Aussitôt la petite embraya. Il fallait toujours qu'elle fracasse mes entrées. Mais bon il est vrai qu'il faut parfois rester professionnel.
_ Nous souhaitons voir monsieur Georges Bacca. On nous a dit qu'il était dans sa loge.
_ Oui ben sûr, affirma la nouvelle égérie de mes nuits en se retournant. Monsieur Bacca, ces personnes de la police souhaiteraient s'entretenir avec vous.
Elle nous laissa entrer et nous nous retrouvâmes nez à pif avec le même individu du magazine de la grosse vache rousse. Mis à part qu'il ne souriait pas comme sur la photo.
_ Bonjour monsieur Bacca, inspecteur Roode et agent Lufisto. Nous souhaiterions vous poser quelques questions si vous le voulez bien.
Je lui tendis la main mais il la serra mollement. Son regard faisait des allers-retours entre celui de Lufisto et le mien. Des gouttes de sueurs perlèrent sur son front tandis qu'il glapissait comme un animal apeuré.
_Très chère enfant, fis-je à l'attention de la maquilleuse. Vous pouvez disposer. Mais ne partez pas trop loin, je pourrais avoir besoin de vous.
Elle pouffa de rire puis sorti en fermant la porte tandis que je me retournais vers l'espèce d'erreur de la nature.
_ Monsieur Bacca, il paraît que vous êtes un animateur très populaire. Certains disent que c'est en grande partie à cause de vos sourcils mais je suis sûr que c'est surtout grâce à votre talent. Même s'il est vrai que pas tout le monde ne possède pareils sourcils.
Il siffla légèrement. Son stress était toujours visible même s'il paraissait en même temps avoir été touché par le compliment. Je continuai de le fixer en posant un regard bienveillant sur lui. Il ne fallait pas le brusquer ce pauvre petit. Il était tellement sur les nerfs qu'il ne faudrait pas le cuisiner bien longtemps pour qu'il vende père et mère.
_ Il ne faut pas vous affoler comme ça, assura la petite en s'approchant de lui. Nous n'allons pas vous manger. Nous menons simplement une petite enquête sur la ouéfa.
_ Oui la ouféa, embrayais-je, la fédération de catch. Je suis sûr que vous connaissez. Je suis même IC CHAMP'.
Cette nouvelle ne le rassura pas. Bien au contraire. Il continuait de nous regarder alors que sa respiration s'accélérer. Je commençais à me demander s'il n'allait pas claquer comme ça devant nous avec un infarctus.
_ Vous devez certainement connaître, renchérit la petite, puisque vous avez racheté cette fédération il y a quelques années de cela avec des amis à vous. D'après ce que nous savons, vous avez même fait parti du Conseil d'Administration avant de devenir un présentateur télé à succès. Une sacrée performance quand on pense que vous êtes un wookie incapable de s'exprimer normalement à la base.
_ Tout à fait chère collègue, approuvais-je. Vous, vot' pote le clown, sans oublier le fameux mystérieux investisseur luxembourgeois, vous avez fait fort. Oui oui ne me regardez pas comme ça avec votre air de chien battu nous sommes au courant pour ça aussi. Vous ne pensiez tout de même pas que JBL et les autres abrutis du Gang à la tête d'une telle organisation ça aller passer. Le seul problème que j'ai c'est vos motivation. Qu'est-ce qui va motiver un clown et une vulgaire boule de poils à s'acoquiner avec un troisième larron qui semble pourtant déjà pleins aux as pour racheter une fédération de catch ? Hein ? Et surtout pourquoi se débarrasser un à un des anciens propriétaires au point de les faire disparaître ? Vous ne voudriez pas m'aider monsieur le présentateur ? Au moins me donner une piste. Non parce que là je patauge depuis plusieurs jours. J'ai même dû en venir aux mains avec une montagne de muscles au QI d'une huître.
_ L'argent chef, c'est toujours l'argent dans ces cas-là.
_ Très juste Lufisto mais ça ne peut pas être que ça. Hein mon wookie ? Ça ne peut pas être que ça. Et puis pourquoi avoir besoin de toutes ces chaussures ? Et franchement, se raser le corps dans l'arrière-boutique d'un magasin. Mais faut être un poil dérangé mon bon tu ne crois pas ? D'ailleurs en parlant de poils, pourquoi t'as demandé à ton pote de te raser ? Vous ne seriez pas plus que de simples amis par hasard ? Pas que ça me dérange, mais j'aimerais bien connaître le fin mot de l'histoire.
Au fur et à mesure que je parlais l'ami Georges se liquéfiait complètement. Je pensais qu'il était à point lorsque l'expression de son regard se durcit. Il poussa un beuglement terrible qui me péta les tympans et m'administra un direct du droit dans la mâchoire. Profitant de l'effet de surprise, il nous bouscula, Lufisto et moi, et se précipita hors de la pièce. La petite voulut s'enquérir de mon état mais je lui signifiai rapidement par geste d'aller à la poursuite de ce petit fumier. Elle s'exécuta aussitôt tandis que je tentais de reprendre mes esprits. Je passai de l'eau sur mon visage puis touchai ma bouche. Ce salaud ne m'avait pas rater. Il allait passer un sale quart d'heure après que la petite l'ait chopé.
_ Bordel ! criais-je alors que Marlène entrait affolée dans la pièce.
_ Quelque chose ne va pas monsieur le commissaire ?
_ Inspecteur, répondis-je en sortant. Vous avez vu par où est parti cet enflure.
_ Heu, par-là, fit-elle en indiquant un couloir qui semblait mener vers un plateau télé.
J'entrepris aussitôt de suivre la direction en écartant les personnes, ou les boulets devrais-je dire, qui traînaient au milieu. Après avoir traversé le couloir je tombais effectivement sur un plateau télé. Vu les récriminations d'un vieux type en costume gris et à l'haleine moisi je devais me trouver en plein milieux du champ. J'avisais une porte au fond de la salle et entrepris de m'y rendre prestement, le tout en écartant l'infortunée vieillasse.
_ Laissez-passer ! Inspecteur IC CHAMP' ! Bordel de merde poussez votre gros cul !
Les insultes ça marche toujours dans ce genre de cas. Surtout quand on les hurlent en agitant un flingue. Et alors que je courrais à en perdre la raison, j'entendis des éclats de voix qui semblèrent correspondre au timbre de la petite. Il ne me fallut que quelques instants pour constater que c'était bien elle. Elle avait dégainé son arme et tenait l'ami Georges en joue.
_ On ne bouge plus, cria-t-elle à son attention.
_ Coup de point à agent de police en exercice ça va chercher loin mon pote, affirmais-je en rejoignant ma collègue. Et quand on est prêt à risquer une belle amende et un séjour en cabane c'est qu'on sait des trucs.
En me voyant l'ami Georges devenait de plus en plus nerveux. Devant le peu d'options qui lui restait il tenta une nouvelle fois de fuir mais cette fois-ci il eut moins de chances. Alors qu'il tenta un nouveau démarrage éclair, ses pieds se prirent dans les câbles d'une caméra et il s'écroula comme une vieille merde.
Retenant un fou rire, je me portais à sa rencontre et m'agenouillai pour qu'il puisse entendre distinctement ce que j'allais lui dire. Dans le même temps, la petite rengaina son arme et me rejoignit. Attirés par nos crient, des gens de la chaîne arrivèrent afin de comprendre ce qui se passait. Mes avis que ça allait jaser le lendemain matin à la machine à café, Jean Claude ou pas.
Je portais ma bouche à l'oreille de l'ami Georges qui gisait par terre en poussant des feulements. La petite lui prit les bras et attacha de beaux bracelets à ses poignets.
_ Bon monsieur Georges Bacca. Vous êtes en état d'arrestation pour avoir collé un pain à un inspecteur de police ainsi que pour intimidation, menace, extorsion de fonds, exhibitionnisme et encore je vous fais la version courte. Vous avez le droit de fermer votre gueule et tout le tralala. Compris ?
Pour toute réponse il ne put émettre qu'un « boohoo » tandis que la petite le releva.


One Night Stand 2014 - Page 3 33826
Gbacca, un wookie qui vous veut du bien.
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 0:31

UN DINER PRESQUE PARFAIT
EDITION WFA !

ÉPISODE 1 : CHEZ LES PSYCHEDELIC WARLORDS



Voix-off: 4 équipes, 4 dîners, mais un seul vainqueur ! Champions sur le ring, les Wrestling Class Heroes le seront-ils à table ? En tout cas la compétition promet d'être relevée ! Les règles ? Chaque équipe choisit un lieu, et organise son repas. Les autres donnent une note. A la fin, les notes seront révélées pour élir enotre gagnant ! Et nous commencons tout de suite avec la première joute ... culinaire ! Ahahaha !

La limousine des Wrestling Class Heroes s'embourbe. Le chauffeur s'excuse. Il faut dire que le chemin de champ boueux sur lequel ils sont engagés n'est guère adapté à leur véhicule. Proches de leur destination, Jericho et Christian descendent du véhicule.

SPROTCH

Jericho: PUTAIN. Et voilà. Un costard de ruiné. Et mes pompes sont foutues ...

Christian: Pas mieux... C'était bien la peine de nous habiller chic... Et on va par ou maintenant ?

Jericho: Tout droit je suppose ...

Christian: Forcément c'est des bouseux, fallait qu'on se mange la campagne...

VROUUUUUUUUM !

Samoa Joe: HEY ! C'est les Wrest... Wretl... C'est les Class Heroes ! On vous dépose les gars ?

Ce sont les APA sur un sémillant tracteur ! Samoa Joe au volant, Carlito à ses côtés, et des bouteilles de rhum vides.

Jericho: Je suppose qu'on doit dire oui.

Christian: Je suppose que la journée ne peut pas être pire.

Quelques instants plus tard

Et voilà nos héros devant le lieu choisi par les Warlords pour organiser le repas une splendide ... caravane. Vétuste, la caravane est trouée par endroit, et de la fumée s'échappe.
Kassius Ohno et Erick Rowan se tiennent devant, vêtus de tabliers et de ... masques à gaz ?

"Bienvenue les gars, bienvenue dans notre modeste demeure !"

Jericho: La journée ne pouvait pas être pire hein ?

Carlito: C'est tranquille chez vous !

Christian: Bon ca caille, on peut rentrer ?

Rowan: Rentrer ?

Ohno: AHAHAHAHAHAHAH ! C'est dehors qu'on mange les gars ! Dedans on a notre labo de Meth. Z'en voulez un peu ?

Christian: La prochaine fois je ferme ma gueule.

Pendant que les APA et les WCH s'installent sur des chaises de jardin miteuses, les Warlords amènent une vieille table en bois façon camping. Les Phenomangels arrivent à leur tour. Couverts de boue ils ont l'air dépités, mais leur visage s'illumine quand ils voient le pantalon de costume de Jericho.

Styles: Je me sens moins con d'un coup.

Daniels: Ouais, pareil. Au moins on est pas tout seul.

Tous les convives sont là, le repas va donc pouvoir débuter !

En aparté:

Citation :
Chris Jericho: Dans ma vie j'ai forcément fréquenté des endroits louches. Mais je n'étais pas préparé à ca.

Christian: On a froid. On a faim. On a soif. Et je crois qu'il y a des rats qui trainent dans le coin. J'ai peur de ne serait-ce que respirer dans ce tombeau...

Erick Rowan et Kassius Ohno apportent alors un énorme plat qu'ils posent sur la table.

Un énorme ... monticule ressemblant vaguement à une tourte. Mais vaguement. Du gras à en faire un infarctus dans la minute, dégoulinant de part et d'autre. Une odeur à vous réveiller les morts, et une couleur noirâtre de mauvais présage. Les Warlords posent une grande carafe d'eau jaunâtre, et des verres en plastique à côté de chaque personne.

Samoa Joe: Voilà qui a l'air ... HIPS ! Délicieux !

Chris Jericho, soudainement vert et nauséeux: Joe ... tu peux me passer à boire s'il te plait.

Joe sort une flasque de sa poche et la prête à Jericho ... qui la boit cul-sec !

Christian: Putain Chris et moi bordel ? Je suis sobre je peux pas toucher à ce ... ce ... truc !

Joe: Heeeey ! T'as tout bu Joricho ! Je te prêterai plus mon eau de vie !

Ohno : Goûtez messieurs, ca va être dé-li-cieux !

Styles: Euh on aimerait bien mais ... on a pas de couverts.

Daniels: Ni d'assiettes.

Ohno : Mais pas besoin ! Ce repas est placé sous le signe du partage ! On mange tous dans le même plat pour symboliser notre union momentanée !

Et sur ces mots le Warlord plonge sa main plus noire que blanche dans le plat et en sort une part qu'il donne à Styles, qui manque de tourner de l'oeil.

Styles: D'accord. Joe, t'as pas une autre flasque ? Non ? Sûr ?

Ohno continue de servir tout le monde. Carlito et Joe ont l'air ravis, Jericho sourit l'air béat. Styles, Daniels, et Christian se regardent, et semblent avoir un de ces moments de parfaite symbiose où les mots sont inutiles.

Rowan, sortant un fusil: Et maintenant, ON MANGE !

Les APA s'exécutent avec joie et mordent dans le "truc" à pleines dents.

Jericho mâche goulûment et mange sa part à une vitesse folle.
Christian le regarde, puis dépité mange un morceau de sa part.

"Oh mon dieu c'est immonde ! Putain ca me brule ! C'est gluant j'ai l'impression de bouffer de la morve en croûte ! Faut que je crache faut que je crache ! Non si je crache je vais me taper la honte. Chris a réussi, comment il a fait ? Regarde Daniels, regarde Daniels, le premier qui crache est une tarlouze !"

Christian regarde Daniels, les joues bouffies, le front dégoulinant de sueur, et les larmes aux yeux.

"Regarde Christian, regarde le ! Il va cracher ! Lâche pas l'affaire tu vaux mieux que ça, tu es le Fallen Angel, le seul et l'unique ! Les anges ne crachent pas ! Faut que j'avale bordel ! Ah putain je chiale ! Allez avale d'un coup et boit de l'eau ca passera !"

Pendant ce temps là Styles se dresse fièrement face à Rowan et Ohno, les regarde, et avale sa part avec un air de demeuré.

Rowan: 1,2, ...

BEUAAAAAAAAARGH !

Styles a tout rendu ! Les APA applaudissent avec un chant "il est des nôtres". Jericho rigole tout seul, pendant que Christian et Daniels ont avalé leur part et regardent dans la vide, leurs visages donnant l'impression qu'ils ont contracté la peste noire.

Carlito: C'était délicieux ! Quel est le nom de cette merveille ?

Rowan: C'était du Space Paté en croûte !

Ohno : Spécialité maison ! A base de viande, croûte, et d'un petit plus qui va vous déteeeeeeendre !

Rowan: Je vais chercher le plat de résistance !

Les convives se regardent, terrifiés.

Christian: Putain je me suis jamais senti aussi mal ! Comment t'as fait Chris ?

Jericho: L'eau de vie de l'autre idiot m'a anesthésié la bouche. Je sens plus rien. Mais j'ai le bide en feu ! Horrible !


Citation :
AJ Styles: Quand j'ai mordu dans ce truc, j'ai su que c'était fini. Je veux dire ... c'est comme manger une chaussette remplie de gelée pour chat... J'ai l'impression d'avoir pris une cuite. Et je suis plus tout seul... Je vois des choses ! Je vois des choses ! Hulk Hogan est assis a côté de moi ! Il me dit qu'il va revenir !

Citation :
Kassius Ohno : En fait il y avait vraiment de la gelée pour chat. J'ai toujours adoré ça, je trouve que c'est complètement sous-estimé !

Jericho: Putain je suis a moitié défoncé !

Christian: Chuuuuuuuut ! Ils vont revenir ? Ils vont revenir ? Je peux plus manger Chris ! Je peux plus !

Joe et Carlito eux sortent une bouteille de whisky et boivent.

Joe: Ca donne soif une entrée aussi délicieuse !

Styles: Joe, ta gueule. S'il te plait ta gueule.

Carlito: Vous savez pas apprécier les bonnes choses.

"Allez les gars, on passe aux choses sérieuses !"

Un plat immense. Un cochon entier ficelé dedans, rôti à moitié. Une sauce verte. Et à côté dans un grand saladier, des patates. Juste des patates.

"Le cochon royal sauce menthe-bière et ses patates !"

Joe et Carlito applaudissent comme des fous, tout excités par ce plat.
Styles tourne de l'oeil sur l'épaule de Daniels.

Jericho: C'est possible de prendre juste des patates ?

Rowan: Et pourquoi donc ?

Jericho: Euh ...

Christian: Euh ... NOUS, les Wrestling Class Heroes, ne mangeons pas de porc ! C'est évident voyons !

Jericho: Oui tout à fait hein ! ah ah !

Ohno : Oh ... messieurs me voilà rempli de honte ! Mais nous avions tout prévu ! Voilà pour vous un substitut ! Une innovation culinaire !

Christian: Je crois que t'aurais encore du la fermer Chris.

Jericho: Encore ?

Christian: Oui comme au Hall of Fame !

Jericho: Hey c'est pas juste c'est toi qui ...

"Voilà La poule aux oeufs d'or !"

Un plat avec deux poules à moitié rôties, et des oeufs crus, le tout baignant dans un jus de couleur dorée.

Christian: On est foutus ...

"Attendez, il faut un assaisonnement adapté !"

Et voilà Ohno qui arrive avec un énorme sac de poudre blanche, qu'il verse dans les plats, généreusement !

Carlito: J'ai toujours aimé le salé !

Joe: Hips ! Chétais pas du sucre ?

Les Phenomangels et les Wrestling Class Heroes se tournent vers les deux acolytes, l'air navrés.

Rowan sort à nouveau son fusil.

"ET MAINTENANT ON MANGE !"

Styles: Je m'en fous je suis un malade moi !

Et voilà Styles qui sniffe "l'assaisonnement" ! Et encore ! Complètement défoncé le voilà qui mange sans sourciller !

"T'en veux un bout Hulk ?"

Les autres convives se jettent des regards et font de même ! C'est une hécatombe !

Joe: Pourquoi ils sniffent du sucre ?

Carlito: C'est du sel ! On essaye pour voir ?

Et voilà comment la soirée bascula dans l'inénarrable.

Bien plus tard dans la nuit

Il est 5 heures du matin. Une lumière faible émanant d'une lampe d'extérieur éclaire la table en bois. Dessus, des restes de divers plats à l'aspect immonde. Christian et Erick Rowan parlent d'astronomie, pendant que Kassius Ohno perce le nez de Jericho pour lui mettre un piercing. Joe et Styles chantent, Daniels lit un exemplaire de Boule et Bill, pendant que Carlito s'est endormi à côté de ... Jeff Hardy !

La soirée touche à sa fin, et dans une scène surréaliste tout le monde se fait la bise. Les APA, les Phenomangels, et les Wrestling Class Heroes repartent sur le tracteur avec des petits tupperwares contenant des restes du Space Paté en croûte, et Jeff Hardy. Les Warlords font coucou à leurs invités, les larmes aux yeux.

Ohno : Ils étaient coincés au début mais finalement ce sont des bon gars.

Rowan: Ils me manquent déjà.

****

Le lendemain, les invités donnent leurs notes, tant bien que mal au vu de leur état.

La décoration :
Phenomangels : “On a rien contre les petits barbecues campagnards mais là ... j'ai cru que c'était une caméra cachée au début. Bouseux dans tous les sens du terme, et ces chaises en plastique ... Elles font mal au cul. 4/10 !”
APA : “C'était grand, beau, et il faisait frais ! Beaucoup d'espaces verts, on adore la nature alors c'est un 7/10 !”
Wrestling Class Heroes : “On s'est crus dans La Colline a des Yeux. Insoutenable ! 2/10 ! Et on est gentils ! ”.

L'accueil :
Phenomangels: “Franchement ... ils étaient sympas par moments, mais le coup du fusil ... Un peu too much. D'ailleurs on a retrouvé des impact de balle sur nos vestes... 3/10 ”
APA : “Des mecs sympas, très courtois et polis. Et des vrais hommes, des forces de la nature ! Mais par contre pas de vrai apéro ... On est déçus. 4/10”
Wrestling Class Heroes : “Ils n'ont pas un poil de cervelle et sont inconvenants au possible. Mais c'était de la bonne ! 6/10 !”

La nourriture :
Phenomangels : “Monstrueux. Au début j'ai cru qu'ils se foutaient de nous, mais non ils mangent vraiment ca. 2/10”
APA : “On a ADORE ! C'était authentique, on sentait le côté fait maison. Ils chassent leur nourriture, si c'est pas beau ca. Des hommes on vous dit, des vrais ! 8/10”
Wrestling Class Heroes : “ Une insulte à l'espèce humaine. D'ailleurs on a retrouvé des tupperwares bizarres dans nos affaires, on n'a pas compris. 1/10, pour les patates !”

Ce qui nous fait une moyenne de 4,1 !
Cela sera-t-il suffisant pour faire face à la concurrence ? On le verra bientôt avec le dîner chez les APA !
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Sexy Boy
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 2:33

Ta ta ta ! Ta ta ta ta ! Ta ta ta... Ta ta ta !

Cette promo vous est offerte par Craquage Complet Productions.



Laurinaitis : Bonsoir, je suis John "Johnny Ace" Laurinaitis. Bienvenue à "Voice of the People" ! Le seul endroit où les fans de la WFA peuvent tout savoir de leurs champions préférés : Trent Barreta, John Morrison, les Wrestling Class Heroes... Quoi ? On me dit quelque chose dans l'oreillette ! La magie du direct ! Comment ? J'ai dit "John Morrison" au lieu de... pardon, j'entends mal... il y a de la friture sur la ligne... Rhoff ? Le rappeur ? Bien sûr que je connais, je suis dans le coup... Rhoff Nibbler ? ... Je ne comprends pas ce que vous dîtes, monsieur. Ca doit être un mauvais numéro. Je vais raccrocher maintenant. Pardonnez-moi pour cette interruption. Au programme de ce soir, un show "People Power" que vous pouvez commenter sur... tvitère, bien sûr ! avec le... hash... hashtag ! Ah ah! Le Hashtag #LightCity. Mon premier invité est celui que vous attendez tous : le "People Champion" John Morrison !

John Morrison entre, le temps se ralentit, les yeux se dilatent, les poitrines se gonflent, les culottes se trempent. On dénombre déjà dix-huit orgasmes et trois évanouissements. Morrison s'avance vers Laurinaitis et lui sert la main.

Laurinaitis : Bienvenue, John ! Allons nous asseoir, si tu veux bien.

Femme : Oui, JoMo, assis-toi sur mon visage !

Les deux hommes se dirigent vers les fauteuils installés plus loin et s'installent.

Laurinaitis : Alors John, comment vas-tu ?

Morrison : Très bien.

Laurinaitis : Ah ! Quel orateur, quel lyrisme ! Cette soirée commence sur les chapeaux de roues !

Morrison : Merci à John Laurinaitis d'avoir eu l'idée d'inviter John Morrison.

Laurinaitis : Quel altruisme ! Quelle générosité ! Sans plus attendre, notre rubrique "L'œil du manager" ! HeelManiac nous donne son...



La musique retentit du Show-Off retentit dans le studio. Studio d'ailleurs complétement hostile à cette arrivée inopportune puisque composé à 99% de fans de John Morrison. ( Ne demandez pas ce qui est arrivé au pourcent qui reste. ). Ziggler semble s'être habillé précipitamment. En effet, il est en jeans-basket avec un T-Shirt rose à l'effigie de Britney Spears et une veste grise.

Dolph : Vous voyez, j'étais tranquillement assis dans mon canapé à regarder la télé. Je change de chaîne et soudain, je vois un zombie qui gémit d'une voix rauque et me bousille mes enceintes en passant. Je me dis "Merde ! C'est pourtant pas The Walking Dead, ce soir !" Et bien non, c'était mon ami John Laurinaitis qui enflamme le câble ! Ni une, ni deux, je saute dans un taxi. Et me voilà pour soutenir mon General Manager préféré et faire décoller les audiences de son émission.

Les huées redoublent.

Dolph : Merci, merci à vous de soutenir votre champion de la WF... et merde ! J'ai oublié la ceinture. Tant pis. Est-ce que vous permettez que je puisse m'asseoir ?

Le public scande des "No !" et des "Go Back to Toronto !".

Laurinaitis : Le peuple a parlé, monsieur Adolf Hitler. ( Point Godwin ! )

Dolph : C'est pas grave, je vais rester debout. ( comme les nazis toussa, ils étaient debout et ils marchaient en cadence en levant le bras )

Ziggler passe la main dans ses cheveux blonds ( saloperie d'aryen ! ) et va s'adosser contre un poteau ( un poteau d'exécution ! Schnell ! ).

Dolph : Alors qu'est-ce qu'on fait ? ( On envahit la Pologne ou quoi ? )

*Pardonnez-moi, je déteste plus que tout interrompre une promo. Ça casse le rythme, c'est pas drôle et ça prouve un cruel manque d'originalité. Mais je veux prévenir que j'ai embauché un stagiaire pour m'aider à écrire cette promo. Et ce petit con, il est vraiment à chier. A chaque fois qu'il parle, j'ai envie de le frapper. Mais bon, je l'ai pris parce que c'est le petit frère d'une amie d'un cousin. Donc les vannes sur les nazis, plus haut, c'est parce qu'il vient d'étudier la Seconde Guerre Mondiale en cours. Je vous prierai ( surtout les HB ) de ne pas m'en tenir rigueur merci.*

Dolph : Alors qu'est-ce qu'on fait ? John, c'est ton émission, reprends le contrôle !

Laurinaitis : Hum... oui, on me dit que nous n'avons pas le temps pour "l'œil du manager".

Il regarde dans ses fiches, se perd dans ses fiches, relève la tête, sourit, puis repart à la recherche de sa fiche, trouve sa fiche. (D'ailleurs, pourquoi il a des fiches alors qu'au début, il avait une oreillette ? )

Laurinaitis : Ah non, ce n'est pas la bonne fiche ! Mais qu'est-ce que j'ai fait de cette fiche ? Ah, voilà ma fiche !

*Hé, ptit con, on t'a jamais appris que c'était moche les répétitions ? T'es peut-être bon en Histoire mais tu sèches les cours de Français, hein ? Non, touche à rien, je vais m'en occuper. Ou alors je le laisse et je dis que c'est une accumulation pour mettre en exergue le fait qu'il y ait beaucoup de fiches et qu'elles se ressemblent toutes. Alors, ça t'en bouche, ptit con ? Ca, c'est ce qu'on appelle la licence poétique alors tu la fermes et t'en prends de la graine.*

Laurinaitis : Tout de suite, nous accueillons Johnny Starship, sosie officiel de John Morrison et Jean-Luc Materre, président du fan-club officiel de John Morrison et rédacteur en chef de Light My Fire Magazine.

*Jean-Luc Materre ? Sérieusement ? Me regarde avec ton sourire de débile ! Parce que sinon c'est ma main dans ta gueule ! Alors va me chercher un café... non ! Un thé, je suis déjà assez énervé comme ça !*

Johnny et Jean-Luc, il n'y pas de mots pour les décrire. Johnny et Jean-Luc, c'est la quintessence. C'est comme si Confessions Intimes et Tellement Vrai avaient copulé après s'être bourré la gueule et avaient donné naissance à des jumeaux sur le parking du Lidl de Roubaix, près de la sortie d'Autoroute *Celui où ptit con va piquer des Balisto. Balisto, c'est mon côté nature*. Et les jumeaux auraient été abandonnés et élevés par des fans de Frank Michael.

Dolph : Putain, je crois que je vais gerber.

Laurinaitis : Incroyable, Johnny, la ressemblance est frappante ! Ne bougez surtout pas parce que sinon, je vais finir par vous confondre. Vous ne trouvez pas John ?

Morrison : John Morrison comprend et apprécie l'envie qu'un homme peut ressentir, celle de ressembler à John Morrison. Mais on ne peut pas capturer la Lumière, elle vous file entre les doigts. On ne peut l'imiter, son spectre est large, fier et aux couleurs de l'arc-en-ciel.

Dolph : Il parle vraiment de son spectre ou d'autre chose ?

Laurinaitis : Alors Johnny et Jean-Luc sont là pour vous poser quelques questions. A vous messieurs !

Jean-Luc : Tout d'abord, John, c'est toujours un plaisir de vous rencontrer. Vous vous souvenez, on s'est déjà rencontrés lors du WrestleMania Axxess ?

Morrison : John Morrison ne se souvient pas du passé, il vit l'instant présent à la vitesse de la lumière.

*Hé ! Ptit con, combien ? La vitesse de la lumière ? Ah, t'es bien emmerdé, là ! Le bac, c'est pas pour cette année, j'ai l'impression !*

Jean-Luc : Hum... Très bien, alors première question. Qu'est-ce que vous mangez au petit-déjeuner ?

Morrison : John Morrison aime se réveiller avec le goût de l'abricot dans la bouche. C'est tout ce qu'il lui faut. Un fruit gorgé d'amour et de lumière.

Une petite culotte atterrit sur le bureau de Laurinaitis.

Johnny : Comment vous faîtes pour avoir de tels abdos ?

Morrison : John Morrison attendait cette question. Parce que John Morrison est perspicace, John Morrison a remarqué la couche de graisse qui se trouve au niveau de votre ventre. John Morrison ne fait pas de musculation. En fait, John Morrison ne fait pas attention à son corps. Car si il le regardait trop longtemps, John Morrison pourrait s'éblouir.

Femme : Montre-nous, John ! Montre-nous tes abdos !

Le reste de l'assistance reprend en chœur "Les abdos ! Les abdos !". John Morrison se lève et écarte son manteau. 18% de la salle perdent la vue, 2 spots explosent, le compteur d'orgasmes a atteint le PIB du Kosovo.

*Je parie que tu sais même pas où c'est, le Kosovo, hein ? Non, c'est un peu plus bas que la Belgique, quand même. Géographiquement, en tout cas.*

Femme : C'est comme si ses abdos regardaient à l'intérieur de mon âme avant de lui faire l'amour !

Dolph : Mais... Mais je connais cette graisse ! C'est...

Johnny : Je ne vois pas de quoi...

Ziggler s'approche de lui et lui retire sa perruque.

Dolph : Dwayne ? The Rock, c'est toi ? Mon pauvre vieux !

Le Brahma Hippopotamus se sauve en hurlant.

The Rock : Non ! Même le DDP Yoga n'a pas marché ! C'était mon dernier espoir !

Dolph : Il est toujours aussi sympa !

Laurinaitis : C'est une honte, monsieur Zimmer ! On vous tolère sur ce plateau et malgré ça, vous agressez nos invités !

Dolph : S'il te plaît John, ne hurle pas ! On dirait un tractopelle qui patine ! Bon, votre mascarade, c'était drôle deux minutes mais j'ai passé un petit coup de fil. Il y a deux pros qui n'avaient rien à faire, ce soir. Et ils viennent juste d'arriver.

Ziggler fait signe à la caméra, qui tourne pour découvrir Philippe Chéreau et Christophe Agius ! Ils entrent sur le plateau et serrent la main à Dolph.

Christophe : Au fait, vous avez raccroché avant, on est payés pour ça ?

Dolph : Moi, je suis un peu juste en ce moment mais vous demanderez à mon patron.

Jean-Luc se lève, contrarié.

Jean-Luc : Et moi ?

Superkick de Ziggler sur Jean-Luc ! Philippe et Christophe s'assoient dans les fauteuils vides.

Dolph : John, tu pourrais me prêter ton fauteuil ?

Laurinaitis : Hors de question !

Dolph : Allez ! Je vais pas m'asseoir par terre, je m'appelle pas CM Punk !

Morrison : John, laissez notre invité s'assoir. De toute façon, il vous reste du linge à repasser en coulisses.

Laurinaitis marmonne mais cède à sa demande.

Dolph : Et bien, dis-donc, tu te fais pas chier John. Que c'est confortable ! Et regardez ce tissu ! C'est de la soie ? Du cashmire ? Du poil de John Morrison ? Oui, pardon, ce n'est pas le sujet. John, vraiment navré d'hijacker ton show.

Morrison : John Morrison comprend qu'on souhaite partager sa...

Dolph : Wow wow ! Tu peux abandonner la troisième personne pendant quelques minutes ?

Morrison : John Morrison respecte trop John Morrison pour ça.

Christophe : Hum hum...

Dolph : Pardon, je vous en prie. Balancez les questions !

Christophe : Dolph, vous avez pendant longtemps collaboré avec la famille McMahon. Vous êtes un peu mal placé pour critiquer la relation entre Mr Morrison et Mr Laurinaitis.

Dolph : Bam, directement les questions qu fâchent, hein ? Je pense que, au contraire, je suis très bien placé pour porter ce jugement. La position dans laquelle John se trouve en ce moment, je l'ai connue. Le pouvoir en claquant des doigts, les matchs arrangés... mais tout ça, ça vous ramollit. Vous perdez vos réflexes, votre concentration et le jour où ça ne marche pas comme vous voulez, tout se casse la gueule. Et je crois que ce jour est arrivé pour notre ami.

Philippe : John, comment vous décririez votre relation avec Mr Laurinaitis ?

Morrison : John Laurinaitis est un homme dévoué, fidèle, qui sait choisir ses relations.

Dolph : Oh non, on en a encore pour des heures.

Morrison : John Laurinaitis a vu la Lumière le premier et elle l'a changé. Depuis nous partageons une relation privilégiée et sincère.

Dolph : C'est le début, John. Après, il t'oublie, il s'amuse avec d'autres gars, il met un putain de masque, il t'humilie et il te vole ton titre ! Tous les mêmes... Excusez-moi, je suis toujours un peu sensible quand on parle de ces choses là.

Philippe : Dolph, vous comptez battre le record de 308 jours ?

Dolph : Non. Enfin, j'y ai pas réfléchi. Je vais pas faire exprès de perdre mon titre avant mais c'est pas un de mes objectifs. Ce n'est pas la longueur qui compte... la longueur du règne, Philippe... ni le nombre de titres. Non, ce sont les moments marquants qui importent. J'ai remporté le titre dans une Elimination Chamber. John a encaissé une mallette.

Morrison : John Morrison a vaincu la mort pour l'avoir.

Christophe : En parlant de ça, John, que pensez-vous du rôle de Seth Rollins à Raw ?

Morrison : John Morrison ne regarde pas la WFA quand il n'y apparaît pas.

Christophe : Quant à vous, Dolph, que pensez-vous de Trent Baretta en tant que champion ?"

Dolph : Honnêtement, je le trouve un peu arrogant. Je sais, je sais, vous allez me dire que je suis mal placé pour dire ça. Mais je crois qu'il a un peu pris le melon. D'accord il a gagné un Royal Rumble. D'accord, il a envoyé Batista à la retraite. Mais là, il s'agit d'avoir les épaules pour représenter la WFA toutes les semaines, d'affronter le Gang, JBL, Rollins, les fans qui vont le huer... encore pire, qui vont se retourner contre lui. Il fanfaronne un peu trop à mon goût. Regardez ce qui est arrivé au Miz. Il était au sommet, plus haut que n'importe qui ne l'a jamais été à la WFA, ce mec avait pratiquement tout le monde derrière lui. Sauf qu'un jour, il est monté trop haut et s'est brûlé les ailes.

Philippe : Dolph, vous avez l'intention de prendre votre revanche sur le Gang ?

Dolph : Quelle revanche ? Ils ont voulu me recruter, j'ai refusé. Ted m'a volé mon titre et maintenant je suis champion du monde. Je ne crois pas que ce soit moi le plus à plaindre dans l'histoire.

Philippe : Malgré vos différends, vous ne semblez pas leur en vouloir plus que ça.

Dolph : Je n'en veux pas au Gang, j'en veux à Ted. Je lui en veux de croire qu'il est meilleur que moi. Pour être honnête, si le Gang, au lieu d'intervenir dans mes matchs, était venu me demander de les rejoindre, j'aurais peut-être accepté.

Philippe : On dirait que vous les admirez.

Dolph : Hola ! "Admirer" est un bien grand mot ! Je reconnais leur talent, même celui de Ted. C'est une mécanique super bien huilée. Et même quand on coupe une tête, une autre repousse immédiatement. Franchement, quand l'inspecteur Roode aura découvert le cerveau de tout ça, j'aimerais lui serrer la main... avant de lui foutre dans la tronche.

Christophe : Comment expliquez-vous que le WFA Championship soit moins bien considéré que le titre poids-lourd ?

Dolph : Euh... John Morrison. Je veux dire, quand on voit le palmarés : Mike Knox, Batista... bon, d'accord c'était une petite pute mais un putain de champion quand même... Puis Samoa Joe. Et là, BIM ! John Morrison. Ca en fout un coup au prestige, non ?

Morrison : John Morrison a sauvé ce titre de la perdition. Il était détenu par un ivrogne. Sois honnête, Dolph. On n'a jamais autant parlé de ce titre depuis que John Morrison l'a porté.

Dolph : Je le reconnais, tu fais réagir. Mais je n'appelle pas ça « être un bon champion ».

Morrison : Parce que tu penses en être la définition.

Dolph : Justin Gaybriel aurait fait un meilleur champion que toi.

Morrison : Retire ça, tout de suite.

Dolph : Excuse-moi, c'est vrai que c'est pas cool pour Justin d'être comparé à une femmelette comme toi.

Morrison : Ce n'est pas l'avis de toutes les femmes que John Morrison a conquér... a conqu... a visité.

Philippe : John, elle est vraiment si grosse que ça ?

Morrison : Encore plus.

Christophe : Joli désamorçage, Philippe. Vous êtes doués avec les questions dont tout le monde se fout.

Philippe : John, est-ce que les rumeurs de liaison entre vous et Britani Knight sont vraies ?

Morrison: John Morrison ne révèle jamais ce qui se passe dans la couche de John Morrison. Mais je comprends que les femmes souhaitent faire connaître au monde le bonheur de se sentir pénétrée par la lumière.

Christophe : Philippe, vous vous enfoncez. C'est digne de TMZ, ça.

Philippe : Dolph, vous avez revu Mickie James depuis son retour ?

Dolph : Je ne vois pas trop l'intérêt de cette question.

Philippe : Vous étiez bien ensemble au temps de la Team Perfection ?

Dolph : Je n'aime pas trop parler de ça.

Philippe : Pourquoi ? Parce que vous l'aviez manipulé pour qu'elle couche avec vous en direct devant des millions de téléspectateurs ?

Dolph : Vous voulez me faire dire quoi ? Que j'étais un enfoiré à l'époque ? C'est vrai et je ne vais pas chercher d'excuses. Il y a des choses que j'ai fait et que je regrette mais je crois qu'aujourd'hui, elle a autre chose à faire que remuer le passé.

Philippe : Mais...

Dolph : Autre question.

Christophe : Laissez moi faire, Philippe. Un avis sur les retours de Punk et de Bryan ?

Morrison : John Morrison n'aime pas vos questions. Elle ne parle pas assez de John Morrison.

Dolph : Content qu'ils se soient aperçus que c'étaient des putains de lutteurs ! Je respecte Punk même si je pense qu'il a un complexe du Messie. Je connais moins Bryan mais j'adorerais l'affronter un de ces jours.

Philippe : Dolph, ça fait pas mal au cul de voir que le Paulothon a été la plus grosse farce de l'histoire de la WFA ?

Dolph : Yep, j'avoue qu'il m'arrive encore de boîter quand je me réveille le matin. Et pour ça, Paul a réussi à se placer en haut de la liste des gens à que je voudrais casser la gueule.

Christophe : Revenons en à votre match, à One Night Stand. Il n'y aura pas de disqualification, vous pensez que ça va changer quelque chose au déroulement ou au résultat.

Dolph : Je vais essayer de ne pas le tuer. Non, je plaisante, je sais qu'il est résistant. Regardez, parfois, il se blesse à la cheville puis il guérit instantanément. C'est Wolverine, ce mec !

Morrison : A One Night Stand, Morrison régnera sur sa cité de Lumière, quelque soit les conditions. C'est immuable.

Dolph : J'adore discuter avec toi, John. On apprend tellement de choses.

Morrison : John Morrison partage ton point de vue. John Morrison apprécie la conversation de John Morrison. John Morrison aime discuter avec lui-même.

Dolph : John, je l'ai connu à l'époque où c'était encore personne et c'était déjà un très bon athlète. Je veux dire, on sait tous que ce mec est capable de faire de bonnes choses dans un ring. C'est ça qui est encore plus dégueulasse. Bon, Ted est une bite quand il s'agit de lutter donc tout le monde comprend qu'il contourne les règles. Mais John, quand il est poussé à bout, il se réveille et se souvient qu'il peut tourner 12 fois dans les airs. Alors je vais essayer de le pousser à bout à One Night Stand parce que sinon, je vais m'emmerder.

Philippe : Et vous...

Chéreau n'a pas le temps de finir sa question que John Morrison se lève de son fauteuil.

Philippe : Qu'est-ce que vous faîtes ?

Morrison : John Morrison s'ennuie, John Morrison s'en va.

Philippe : Mais j'ai encore des questions.

Christophe : Des questions pourries, Philippe. Je comprends qu'il se barre.

Dolph : Quoi, John ? Tu t'en vas déjà ? Moi, je m'amuse bien.

Morrison : John Morrison comprend votre jalousie mais n'apprécie pas votre manque de respect.

Dolph : Parce que tu m'en montres du respect ? Quand tu te moques de mon nom ou de mon look ?

Morrison : Tu n'es pas John Morrison.

Ziggler se lève.

Dolph : Et putain, Dieu merci ! Je t'aimais bien John au début. Parce qu'on ma craché dessus aussi, on m'a traité de tous les noms. On a des points communs tous les deux. Mais maintenant, ça commence à bien faire ! Tu n'es qu'une blague, John ! Ce show trafiqué le prouve ! Tu me balances tes jours de règne, tes conquêtes au visage parce que tu n'as rien d'autre ! Dis-moi, John. Quand tu es seul, chez toi, sans personne pour te lécher les bottes ou te sucer la bite, tu te rends compte combien tu es ridicule ? Est-ce qu'il n'y a qu'une seule once de dignité dans ta pauvre...

Oh mon Dieu ! John Morrison vient de se jeter sur Ziggler, sous les hourras de la foule ! Les coups de poing s'abattent sur sur le front du champion. Celui-ci repousse Morrison et se remet debout. Il l'enchaîne de coups d'avant-bras. Chaque coup est ponctué d'un « Bouh » du public. Coup de pied de John dans le genou de son rival. Et Swinging Neckbreaker ! La Lumière de la WFA prend appui sur un fauteuil. Chuck Norris Kick ! Esquivé par Dolph. Back Suplex ! Mais Morrison retombe surs ses pieds. Facelock ! Et il en profite pour frotter le visage de son adversaire avec sa montre. Ziggler le repousse et tente de reprendre ses esprits. Clothesline ! Esquivé par John. German Suplex ! Le Show-Off se relève en s'aidant du bureau. La Lumière s'élance et Forearm Smash qui les fait passer...


Philippe et Christophe : … par-dessus le bureau !

Les deux hommes se relèvent de l'autre côté. Morrison donne des coups de poing sur le crâne de Dolph. Mais Ziggler bloque et lui retourne le bras. Sleeper Hold ! C'est porté ! Le champion amène son challenger à genoux. Celui-ci faiblit. Mais la foule est derrière lui. C'est une vraie marée humaine ! La lumière se nourrit des encouragements et revient sur ses pieds. Il prend de l'élan et fonce vers le bureau. Il saute par-dessus et écrase Ziggler en passant ! John se relève, revigoré. Il s'approche du fauteuil et il le soulève. Il le prend et attend que Dolph Se remette debout. Coup de fauteuil sur le champion. Celui-ci s'effondre en arrière sur le bureau ! Du sang coule sur son front. Morrison lève le bras et les chants en son honneur redoublent d'intensité. Il montre le ciel, le soleil, la lumière... non, il montre la structure qui tient les spots ! Il se dirige vers le côté de la scène et... non, il ne va pas... si, il commence à grimper. Tel un acrobate, il arrive rapidement au sommet. Il regarde sous lui, manque de tomber. Starship Pain ! Starship Pain du haut de la structure ! OH MY GOD ! Le bureau s'écroule sous le choc ! John Laurinaitis débarque des coulisses en panique. Il hurle qu'on lance le générique avant de se ruer vers la Lumière étendue parmi les débris.



*Tu vois ce que je viens de faire là ? Ca s'appelle une épanadiplose. Non, n'essaie pas de répéter, ça vous nous énerver tous les deux ! Tu regarderas sur Wikipédia. Hein ? Il est déjà cette heure-ci ? Ouais, ouais, tu peux partir. Non, je ne sais pas comment tu rentres chez toi. Non, je ne te ramènerai pas. T'as qu'à appeler ta sœur. Non, j'ai pas le numéro de ta sœur, malheureusement. Et ben, prends le bus ! T'as pas d'argent. Ah non, mon gars, j'ai pas l'intention de te payer après que tu m'ais salopé mon boulot.*
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 11:56

PROMO SAMI CALLIHAN




*Nous sommes dans une petite fédération indépendante de la Nouvelle Orléans, avant l'arrivée de Callihan à la WFA. Son contrat avec la WFA est déjà signé mais il fini ses engagements indys*




Sami Callihan vs Earl Huff


Nous sommes déjà rendus à la fin du match. Huff est dans le coin, Callihan le charge mais se fait accueillir par la botte de son adversaire! Il tente à nouveau de le charger mais se reprend la botte de Huff! Callihan se retourne avec le coup, Huff monte sur la deuxième corde et missile dropkick dans la nuque de Callihan. Cover 1... 2 .. Callihan se dégage! Earl demande le soutien de la foule, il est chez lui ce soir, il attend que Sami se relève et lui envoi un high kick qui sonne le New Horror! Huff passe derrière et German Suplex avec ponté! 1...2... Callihan se dégage mais Huff ne lâche pas prise, une deuxième German avec ponté 1...2... Sami se dégage à nouveau! Earl veut partir pour une troisième mais Sami contre, il met tout son poids pour que ça n'arrive pas, elbow dans la face de Huff, un deuxième, un troisième, Huff lâche prise, Callihan prend son élan dans les cordes et bicycle kick sur Huff qui recule dans les cordes, un deuxième qui le fait passer par dessus la troisième corde!!!
Earl Huff a chuté durement mais se relève presque de manière instinctive, Callihan prend son élan et topé suicuida sur son adversaire qui vient s'écraser le dos cotre la barrière de sécurité!
Sami le relève et lui éclate la tête sur la tablier du ring! Puis sur les barrières! Puis sur l’escalier! Puis sur la table des commentateurs! Puis sur le poteau de ring! De nouveau sur les barrière, le tablier à plusieurs reprises maintenant!! Callihan est déchainé, il renvoi huff dans le ring qui ne bouge plus!!
Callihan remonte, il guète sa proie du soir... Huff se met péniblement à genoux et Callihan lui porte son Jobber Clobber!!! Earl Huff est out! Callihan lui attrape la jambe et stretch Muffler!!! Huff n'a pas d'autres choix que d'abandonner!.


Your winner.... SAMI CALLIHAN!!!


*Un peu plus tard dans la soirée, Callihan va voir le promoteur pour avoir sa paye*


Sami: Hey Toni, j'espère que t'as kiffé ce que t'as vu car c'est la dernière fois, la prochaine fois je mettrais à feu et à sang la WFA haha.

Toni: Tu crois que j'ai envie de rire Sami? J'ai vraiment une gueule à rire? Oui tu as daigné sortir un bon match match ce soir mais à quel prix?? Hein?

Sami: Au 1500$ que tu m'as promis ça va de soi.

Toni: Tu as blessé la top star de ma compagnie idiot! Mon gagne pain! Huff a une commotion de ta faute et ne pourra pas assurer les 3 prochaines dates! Tu veux que je paye mes lutteurs comment si ma tête d'affiche est out?!

Sami: Je sais pas, des pâtes?

Toni: Fais attention à ce que tu dis p'tit prétentieux! Ton fric t'es pas prêt de la voir!

*Callihan s'avance alors vers Toni qui fait signe à ses deux gorilles de se tenir prêt pour intervenir*

Callihan: Tu vas me donner mon fric maintenant où je redécores les murs de ta piteuse salle avec ta cervelle capiche?

Toni: Tu n'auras pas un sous! Les gars, mettez le moi dehors...

Les deux gars avancent vers Callihan qui ne réfléchit pas et saute dans le tas! Des coups sont échangés. Callihan en pousse un à travers une porte alors que le deuxième en profite pour le frapper dans le dos avec une batte de base ball. Callihan tombe à genoux. Il va se faire achever mais il envoi son poing dans les parties intimes du gars qui lâche la batte. Callihan la ramasse et met un coup dans le bide du premier qui revenait à la charge. Il s'effondre se tenant le ventre. Le deuxième lui se tient les c*****es, Sami lui envoi un coup sur le dos qui le met au sol!!
Quelqu'un tape sur le dos de Callihan, il se retourne de façon très brusque et envoi un énorme coup de batte sans même regarder...
Sami reprend doucement ses esprits et réalise le carnage autour de lui... Puis aperçoit Toni au sol dans une marre de sng les yeux grands ouverts. Callihan se tient la tête et se rend compte peu à peu de ce qu'il vient de faire...



*Nous retrouvons maintenant Callihan au fin fond d'une prison sordide, dans une petite cellule. Un témoin ayant aperçu la scène de bagarre, il n'a pas fallu longtemps à la police pour retrouver Callihan et le mettre derrière les barreaux. Il est à quelque jours de son procès. Callihan est assis dans un coin en position foetale, se balançant et se parlant à lui même.*



Je vais finir le reste de mes jours ici.
Je voulais pas le tuer! Quoi que... Peut être que si?
Mais pas comme ça! Même si la vue de sa tête de b**e dans son sang ça m'a fait du bien...
Sauf que maintenant ma carrière à la WFA est finie sans même avoir commencée... Ils doivent déjà tous être au courant avec ces paparazzi de merde! C'est eux qui devraient avoir le crane ouvert... Ouais eux!
Que vais je devenir? Je pourrais toujours casser la gueule du premier qui me regardera de travers... Je vais devenir The King Of The Jail! P'tain ça sonne bien en plus!
Mis non.... Je dis que de la merde, je peux pas rester ici!

*Callihan a alors l'impression d'entendre un bruit venant de très loin, comme un sifflement.*

Je commence déjà à devenir dingue ici. Faut que je sorte! Je dois sortir! Trouver un plan!
Je peux peut être ronger les barreaux jusqu'à ce qu'ils lâchent, frapper le mur jusqu'à voir au travers!

*Le sifflement se fait entendre de plus en plus*

TOI QUI SIFFLE, ARRETE CA TOUT DE SUITE DUCON OU C'EST MOI QUI VAIS TE FAIRE TAIRE!!!!


*plus de bruit*


Fais une chaleur à crever en plus ici. Gardien?! Gardien?!! Me faudrait un peu d'eau là!
Gardien?!! Y'a quelqu'un???

*Le sifflement reprend comme s'il était juste à côté,  on distingue le morceau "Sympathy For The Devil". Callihan se lève alors pour gueuler mais tombe nez à nez avec BRAY WYATT! Vêtu de son pantalon blanc, chemise à fleur et chapeau de paille. Sami recule ayant été surpris puis demande*

Callihan: Hey le hippie c'est toi qui...
Bray: Chuuuuuuuuuuuut...
Callihan: ...
Bray: Je ne suis pas un ennemi Sami, je ne suis pas ton ennemi. Je suis là pour toi Sami. Pour te sauver.
Callihan: Toi? Me sauver?
Bray: C'est bien celà Sami.
Callihan: T'es qui d'abord?
Bray: Je suis Bray Wyatt.
Callihan: Et tu comptes me sortir comment d'ici? J'ai pas un rond à te donner alors salut!
Bray: Ce n'est pas de l'argent que je veux en échange de ta liberté Sami. C'est tout autre chose. Ce que je veux à une plus grande valeur à mes yeux et surement pour toi aussi.
Callihan: Qu'est ce que tu veux?
Bray: Ton âme!

*Sami n'a pas le temps de répondre que Bray enchaine*

Bray: C'est la seule et unique chose que je souhaite, ton âme! Vends moi ton âme Sami et tu seras libre!
Callihan: J'accepte... J'ai pas à réfléchir indéfiniment, je ne sortirais jamais de ce trou, tu es ma seule chance. Si je sors d'ici, mon âme est à toi. Que dois je faire d'abord?

*Bray tend une carte de visite à Sami*

Bray: Tu appelleras cet avocat demain et tu lui demanderas de te défendre en disant que tu es un ami de Bray Wyatt. Il ne refusera pas et il ne te fera payer qu'un malheureux dollar symbolique en guise d'honoraires car il me doit un service, hahaha...

Callihan: Et une fois dehors, il se passe quoi?

Bray: Je veux que tu ailles à la WFA. Je veux que tu sois le psychopathe que tu es vraiment! Pas juste celui que tu veux nous faire croire être, non... Je veux que tu mettes la ville à feu et à sang Sami! Je sais que tu peux faire ça pour moi. Et quand ça sera fait, alors tu n'auras qu'à attendre ton heure. Un jour viendra ou Bray Wyatt apparaitra de nouveau à toi et à ce moment bien précis la seule chose que tu auras à faire sera de suivre les buses jeune ami. Quand j'apparaitrai à nouveau devant toi, aucune question ne sera tolérée, il faudra juste agir afin de rappeler à ce monde de quel genre de monstre il est composé!

*Wyatt disparu alors, juste le temps que Callihan cligne des yeux. Le lendemain Callihan passe son appel à l'avocat qui accepte de le défendre sans même broncher, ayant même une voix tremblante. Sami fût par la suite acquitté. Lorsque le juge annonça son verdict, Callihan cru, pendant un instant, apercevoir Bray dans un rockin chair en train de se marrer.*


QUELQUES SEMAINES PLUS TARD...


Spoiler:





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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 12:01

Les 3HB's est-ce qu'on aura un feedback comme Baccou le faisait avant de la part d'un d'entre vous? Smile

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Gbacca
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 12:19

Panda t'as bien fait d'attendre que je sois plus HB pour faire une promo avec du Al Bundy dedans, ç'aurait été injuste vis à vis de ton adversaire  Sad  Banane  cheers  !



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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 17:15

UN DINER PRESQUE PARFAIT

EDITION WFA !


ÉPISODE 2: CHEZ LES APA



Deuxième jour de compétition, et ce soir c'est au tour des APA de recevoir leurs concurrents dans un lieu méticuleusement choisi par leurs soins. Les trois voitures amenant les trois duos se garent tour à tour sur le trottoir devant le lieu de rendez-vous réservé pour la soirée. Les six hommes, à qui il avait été demandé d'apporter une tenue très décontractée, reconnaissent immédiatement l'endroit en question.


Citation :
Kassius Ohno: Ah ouais d'accord...

Erick Rowan : En même temps, ça leur ressemble tellement.



Citation :
AJ Styles : Quelle originalité ...

Christopher Daniels : Tu m'étonnes, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.



Citation :
Chris Jericho : Oh putain, non, putain, pas ça, c'est pas vrai.

Christian :
C'est pas vrai, merde, pas ENCORE ce taudis!


Les APA ont en effet retenu un endroit à leur image, un endroit dont la simple évocation soulève tout de suite des pans entiers de l'histoire de la WFA... Le Jobber Jungle!

Chris Jericho : Pas question que je refoute un pied dans ce bouge infâme, on va encore ressortir avec trois grammes dans le sang rien qu'en respirant!

AJ Styles : J'ai eu bien fait de pas prendre mes bottes blanches, tiens.

Erick Rowan : J'espère que je vais récupérer la petite boulette d'herbe que j'ai planqué derrière le radiateur la dernière fois que je suis venu ici.

Soudain, la porte du Jobber Jungle s'ouvre avec fracas, laissant apparaître Carlito et Samoa Joe, ayant déjà l'air bien atteint. Démarche titubante et oeil vitreux, le combo habituel pour quiconque est amené à les côtoyer plus de dix secondes en dehors des rings.

Carlito : “Hey, salut les copains! Bienvenue pour notre petite sauterie! On n'attendait plus que vous!”

Samoa Joe : “Ouais, entrez, on va se marrer! On a déjà tout préparé pour vous, vous allez voir ce que vous allez voir! Ca va être une soirée legen... wait for it...”

Après un long silence, Samoa Joe se retourne en faisant signe à ses convives d'entrée.

Kassius Ohno: “Attends, dude, on a pas la chute de ta blague?”

Samoa Joe : “Quelle chute?”

Kassius Ohno: “Bah le DARY! Legen... dary!”

Samoa Joe : “Ca me dit rien du tout. *léger déglutissement* J'entends des mots sortir de ta bouche, mais qui font pas sens, tu vois.”

Kassius Ohno: “Tu regardes vraiment la série?”

Samoa Joe : “Y a une chute à cette blague? Merde, à chaque fois je m'endors devant. Les lundis c'est soirée gin/cointreau au bar, ça m'achève toujours devant le télé quand je rentre! Mais voilà mon ami, tu viens de m'apprendre quelque chose, et ça tu vois, c'est un sens de la camaderie que je sais apprécier. Ouais voilà, ça t'arrive parfois d'être un sacré connard, mais là ce soir j't'aime bien.”

Kassius Ohno: “Je suppose que je dois prendre ça comme un compliment.

Samoa Joe : “Tu dois! Parce que putain c'était pas gagné! Si tu savais le nombre de fois ou Carlito et moi on a envie de péter la gueule quand on se croise dans les couloirs...”

Kassius Ohno: “Tu ferais mieux d'arrêter là, amigo...”

Samoa Joe, passant son bras autour de l'épaule de son interlocuteur : “On se dit avec lui : tiens ce mec, franchement, il a vraiment une gueule de con, mais un con de première, hein, un con top level, je veux pas manquer de respect.”

Kassius Ohno:“Du tout, du tout.”

Samoa Joe : “Et jusqu'à ce qu'on voit vos gueules se pointer devant le bar, on s'est dit : un jour on lui mettra sa race à ce minable et à l'espèce de salsifi géant qui le sert de copain...”

Erick Rowan : “Doucement, me traîne pas là-dedans, j'ai rien à votre avec ces conneries de legendary, moi.”

Samoa Joe : “Non parce qu'on se disait : c'est marrant parce que ces deux gars-là, c'est vraiment des sacrées gueules de con, ils se sont bien trouvé.”

Carlito : “T'as raison, haha. Et puis vu qu'on est censé vous péter la gueule face aux caméras, on s'est dit qu'on pourrait s'entraîner. Mais là, vous êtes cool, bien, réglos, tout ça, ça fait plaisir de voir qu'il y a des moments dans la journée où vous êtes pas des putains de connards.”

Kassius Ohno: “Si on peut rendre service...”

Samoa Joe, donnant au passage une accolade bourrue à Hero : “T'as bien raison, mon cochon! Allez viens on va aller faire la bringue!”

La tête de Hero bien coincée sous le bras, Samoa Joe ouvre la voie aux autres invités qui pénètrent dans un Jobber Jungle tout aussi bordélique. Rapidement se dessine une autre figure bien connue derrière le bar, en train de préparer quelques cocktails.


??? : “Salut la compagnie! Héhé, ça ça va être une soirée comme on les aime...”

AJ Styles : “Oh non, merde, pas lui...”

Christian : “Et au moment où on pensait que cette soirée ne pourrait pas tomber plus bas.”

Chris Jericho : “C'est un record : neuf minutes et j'ai déjà envie de m'enfermer dans le coffre de la voiture et de ne plus jamais en sortir.”

??? : “Une soirée People Power!”

John Laurinaitis, port altier, costume crème déjà maculé de diverses tâches d'alcools multicolores, teint rougeaud et regard vagabond, termine les préparatifs de la soirée avec une dévotion remarquable pour un individu dont l'alcoolémie atteint déjà 3,6 grammes par litre.

John Laurinaitis : “Allez les mecs, on s'installe! On est pas bien là entre potes, prêts à faire la fête jusqu'au bout de la nuit? C'est parti, avec un petit cocktail de bienvenue : le PEOPLE COCKTAIL!

Le General Manager préféré des APA tend à chaque invité des verres à cocktail emplis d'un liquide à la couleur indéfinissable, fruit de mélanges mystérieux à peine identifiables.

AJ Styles : “La vache, ça a l'ait costaud ce truc!”

Christian : “Pas question que je boive cette saloperie, ça va me filer des aigreurs d'estomac cette merde!”

Christopher Daniels : “Déjà que j'ai pas confiance dans les hôtes, alors si c'est lui le barman...”

Chris Jericho : “Ce sera bien la première fois de la semaine qu'on sera d'accord.”

Erick Rowan : “Cet aspect terreux, cette texture pâteuse, cette puissance d'arômes au nez... Ca me rappelle ce cannabis fraîchement préparé qu'on avait goûté en vacances à Hamamet. Mais en liquide.”


Citation :
Kassius Ohno: “Quand on a vu arriver le cocktail de bienvenue, on a presque pris ça pour un hommage. Une telle attention apportée au client c'est très agréable, surtout venu de leur part. On a vraiment senti le souci de partager, et ça on a beaucoup apprécié.”


Chacun porte le breuvage à ses lèvres et en avale une gorgée. AJ Styles en recrache une partie instantanément.

AJ Styles : “Putain, ça arrache ce truc! Qu'est-ce qu'il y a dedans!”

John Laurinaitis : “Bonne question mon ami! Normalement un magicien ne révèle jamais ses secrets, mais puisque c'est vous et que je veux qu'on passe une bonne soirée tous ensemble, je vais vous le dire! Le cocktail PEOPLE, c'est : un quart pastis, un quart eau-de-vie, un quart orgeat, un quart prune, un quart lait et encore un quart d'eau-de vie.

Christopher Daniels : “Ca fait beaucoup de quarts tout de même.”

Chris Jericho : “J'ai l'impression d'avaler de l'huile de foie de morue mélangée à de l'alcool à brûler.”

Carlito : “Et le mieux, c'est d'enchaîner avec l'autre spécialité de Johnny, le cocktail POWER!”

John Laurinaitis : “Oui, vous m'en direz des nouvelles. Mais attention, c'est pas pour les petites natures, ça c'est du cocktail de Main-Eventer! Pineau, orgeat, white spirit, Eristoff, Ratafia! Qui veut goûter?

Les six, à l'unisson, faisant fi du sourire béat des APA : Non, ça va, merci!

Samoa Joe : Bon allez, c'est pas qu'on est pas bien ici, mais on a préparé la table, ce serait con de pas en profiter, suivez-moi!

La petite troupe se dirige vers le fond du bar, où se trouvent trois tables collés les unes contre les autres, sans nappe pour les recouvrir. En guise de simple décoration, trois cendriers noirs, huit dessous de verre assortis disposés devant chaque assiette, et des serviettes en papier rouge.


Citation :
Christopher Daniels : “Quand on est arrivés devant la table, c'était franchement plus que succinct. Mais bon, pas de traces de fond de verre, les dessus de table collaient pas, c'est un début”.


Carlito : “Voilà maintenant qu'on a fait l'apéro, on va prendre l'entrée! Johnny, amène-nous les entrées!”

Le chantre du People Power s'exécute et revient, visiblement essouflé, les bras chargés d'un plateau énorme contenant huit pintes de bière, qu'il dépose devant chacun tous les convives.

Christian : “Euh, c'est tout, c'est juste ça, l'entrée?”

Carlito : “Mais non, faut pas s'inquiéter, Johnny revient avec la suite.”

Et en effet, quelques secondes après s'être absenté, notre J-Lau national revient avec un autre plateau contenant... des bols de cacahuètes et de pistaches, et deux pâtés en croûte en tranches.

Chris Jericho : “C'est... c'est... c'est...”

Christian : “Convivial, on peut dire ça comme ça.”

Carlito : “Je suis content de te l'entendre dire, mon ami! Content de voir que vous vous soyez sorti les doigts du fion! On pensait qu'on arriverait jamais à vous arracher un sourire!”

Christian : “N'allons pas jusque là quand même.”


Citation :
Chris Jericho : “Ca nous arrache de l'avouer, mais il faut dire que ces mecs savent choisir leur binouse. C'était tout sauf une entrée, mais cette bière était excellente.”


Les bols se vident assez rapidement, tout comme les verres, dans une ambiance chaleureuse faite de vannes de cul et de discussions conseil sur la légitimité morale du rosé pamplemousse, sur la suprématie japonaise sur le marché du whisky et sur qui de Johnnie Walker ou de Jack Daniels était le plus gros queutard à l'époque.

Samoa Joe : “Bon les amis, on va passer à l'activité? On a prévu un petit truc pour vous avant de passer au plat. Johnny, apporte les micros!”

Erick Rowan : “Les micros?”

Christian : “On non, merde, dis-moi que c'est pas ce à quoi je pense...

Christopher Daniels : “Oh putain, c'est pas vrai!”

Samoa Joe, s'emparant d'un des micros rapportés par Laurinaitis : “Un karaoké, les amis?”

Silence de plomb dans l'assistance.

Carlito : “Allez, décoincez-vous un peu. Attendez un peu, on va vous montrer. Johnny, donne-nous tout ce que t'as!”

D'une démarche à la fois chaloupée et zigzaguante, John Laurinaitis s'approche du micro qu'il empoigne d'une main de fer et d'un enthousiasme débordant.

John Laurinaitis : “Merci, public adoré! C'est pour toi que je vais chanter ce soir, toi le People à qui je dédie mon oeuvre, ma vie entière, à qui j'abandonne tout pour faire vibrer, en ces murs et ailleurs, l'esprit du People Power! PEUPLE C'EST POUR TOI QUE JE CHANTERAIS JUSQU'AU BOUT DE LA NUIT! A m'en arracher la chemise, je finirais nu pour toi, People Power! MUSIQUE, MAESTRO!”

Enthousiasmé par la ferveur de John Laurinaitis, Carlito appuie avec vigueur sur le bouton lecture qui lance la piste instrumentale.

John Laurinaitis, dodelinant de la tête au rythme de la musique : “Oh yeah! Rock'n'roll! On m'a trop donné, bien avant l'envie, j'ai oublié mes rêves et mes mercis...”

Christopher Daniels : “Oh non, pitié, non!”

John Laurinaitis : “TOUTES CES CHOSES QUI AVAIENT UN PRIX, QUI FONT L'ENVIE DE VIVRE ET LE DÉSIR! ET LE PLAISIR AUSSSSSSIIIIIIII!!!!!!”

AJ Styles : “Il n'y a bien que lui qui en prenne en ce moment, du plaisir...”

John Laurinaitis : “QU'ON ME DONNE L'ENVIE! L'ENVIE D'AVOIR ENVIIIIIIIIEEEEEEE!!!!!!!!”

Christian : “J'ai l'impression d'avoir perdu toute envie. Pour toujours. A jamais, plus rien.”

John Lauriniatis : “QU'ON M'ALLUME MA VVVVVIIIIIIIIEEEEEEEE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!”

Après une longue pause pour reprendre son souffle dans un silence gêné, John Laurinaitis, se relève, le front perlé de sueur, jambes tremblantes. Les applaudissements frénétiques de Carlito et Samoa Joe n'arrivent pas à dissiper l'atmosphère pesante qui s'est installée autour de la table faisant face au karaoké. L'écran de la télévision se met à se déformer, et finit par griller en laissant échapper derrière lui des volutes de fumée.

Chris Jericho : “...”

Christian : “...”

AJ Styles : “...”

Christopher Daniels : “...”

Erick Rowan : “...”

Kassius Ohno: “...”

Carlito : “Blurp.”

Samoa Joe : “Bon, on passe au plat?”

Un oui collégial salue la décision.


Citation :
Erick Rowan : “Je pense que c'est une stratégie de leur part. C'est une vieille technique de guerre, ça, je crois que c'est du Sun Tzu. Capter l'attention de l'ennemi, lui aspirer toute son énergie vitale, et frapper au moment opportun. C'est millénaire ce genre de posture, un truc, tu vois, transcendant...”


Samoa Joe : “Alors en fait, on vous préviens, on a juste eu un petit problème sur ce plat. En fait... (il commence à ricaner et faire des pauses tous les trois/quatre mots)... c'est une sacréé histoire... On a voulu... (il part dans un fou rire) On a voulu... On a voulu... Vas-y toi Carlito... car moi je pourrais pas...”

Carlito : “Oui en fait on avait prévu de vous faire un coq au vin. Sauf qu'on a eu un problème avec le coq. On l'a amené au moment de le faire cuire... mais il s'est barré au dernier moment. Au moment où on a voulu le plonger dans la marmite, il nous a volé dans les plumes, il est passé entre les jambes de Johnny, Johnny s'est pété la gueule contre le carrelage et le coq s'est barré par la porte de derrière. Donc résultat, on a dû s'organiser à la dernière minute...”

Samoa Joe, toujours rigolard : “ Sachant qu'entre temps... Johnny s'était sifflé la bouteille de rouge prévue pour le plat...”

Carlito : “ Donc on a improvisé : on a remplacé le rouge par du blanc, et on est allés chercher ce qui se rapprochait le plus du coq...”

Samoa Joe : “Et comme après 14h je me perds dès que je m'éloigne à plus de deux rues du bar...”

Carlito : “On est allés au KFC d'à-côté.”

Christopher Daniels : “Quoi? Il y a un KFC à côté de ce bar?”

Christian : “Mes exigences sont tombées tellement bas que j'en ai le ventre qui gargouille.”

Carlito : “Enfin bref, on a tout mélangé et on a laissé mijoter, et résultat...”

Remis sur pied, John Laurinaitis arrive avec la marmite contenant les chicken wings marinées au vin blanc. Mais par un prompt malheur, il dérape sur sa cravate rouge qu'il avait ôté au moment d'entamer son tour de chant et bascule vers l'avant. La marmite répand une partie de son contenu gluant et graisseux sur le sol tandis que Laurinaitis atterrit tête la première au fond du récipient.

Carlito : “Oh merde, non, pour une fois qu'on faisait la cuisine!”

Samoa Joe : “Attendez, je crois qu'il reste quelques morceaux qui sont pas tombés par terre.

Les six, à l'unisson : “Non mais ça va.”


Citation :
Chris Jericho : “Un don du ciel, littéralement. J'avais croisé les doigts tout le long en priant que ça arrive et c'est arrivé. Rien qu'un truc comme ça, ça peut nous sauver la soirée!”



Citation :
Erick Rowan : “Bon, je peux le dire maintenant, c'est moi qui ait balancé la cravate en plein milieu du passage. J'étais persuadé qu'il se planterait, ce con!”


Samoa Joe : “Bon, on passe au dessert alors?

Carlito, un peu dépité : “Omelette norvégienne flambée, ça vous va?”

John Laurinaitis, émergeant le visage recouvert de vin et de graisse animale : “J'y vais, j'y vais...”

Carlito : “Non ça va, Johnny, t'inquiète, je m'en charge.”

Le Porto-Ricain s'éclipse quelques secondes et revient avec une magnifique omelette norvégienne, parfaitement dressée, et une bouteille de Grand Marnier. Il s'exécute pour le flambage avec une minutie virtuose, et les flammèches rouges et bleues virevoltent en crépitant légèrement jusqu'à l'extinction. Il sert tour à tour chacun des convives qui goûtent le dessert avec un certain appétit.

Chris Hero : “Hmm...”

Kassius Ohno: “Eh bah putain...”

Chris Jericho : “Bordel de merde, mais c'est...”

Christopher Daniels : “C'est putain de délicieux!”

Erick Rowan : “La vache, qu'est-ce que c'est bon?”

Christian : “Mais c'est du frais, du fait maison en plus!”

Carlito : “Oui, c'est une recette de famille qu'on se transmet de génération en génération.”

Chris Jericho : “L'omelette norvégienne, c'est une spécialité de Porto Rico?”

Le groupe part alors dans un grand éclat de rire, franc et chaleureux, à la hauteur de la surprise de ce dessert réussi.


Citation :
AJ Styles : “Au fond, c'est ça les APA : des mecs qui font souvent de la merde, du n'importe quoi, jamais foutus d'être sérieux et de faire le plus élémentaire des boulots, mais qui, au moment où tu t'y attends pas, te prennent par surprise sur un coup de génie. C'est pour ça aussi qu'ils sont si dangereux.”


Christian : “Et bah écoutez, c'est sur cette note étonnamment positive, qu'on va vous dire au revoir, hein.”

Samoa Joe : “Bah, attendez, y a de la place pour le digestif, j'espère.”

AJ Styles : “Non, non ça va, on a suffisamment bu, là.”

Erick Rowan : “Et puis bon, on a de la route, hein, faut qu'on rentre normalement j'espère.”

Malgré l'insistance des APA, les WCH, Phenomangels et les Psychedelic Warlords disent au revoir à leurs hôtes et regagnent leurs véhicules avant de donner leurs notes sur le dîner qu'ils viennent de passer.

******

La décoration :

Phenomangels : “Y en avait aucune, donc difficile de donner une bonne note. Et vu qu'on en a pas envie... 3/10”

Psychedelic Warlords : “Sympathique et à la bonne franquette, mais c'est léger. Et surtout, j'ai pas retrouvé la boulette d'herbe derrière le radiateur. 3/10”

Wrestling Class Heroes : “Sale. Nul. Zéro. Bon, allez, 1/10 parce qu'ils avaient lavé pour une fois.”

L'accueil :

Phenomangels: “Ah c'est sûr ils savent mettre l'ambiance, mais ils sont un peu lourds à la longue. Et le tour de chant de Laurinaitis est sûrement punissable par la loi. Allons-y quand même pour un  6/10 ”

Psychedelic Warlords : “Il y a des moments où je me dis qu'on a tellement de points communs et qu'on se ressemble tellement... Et d'autres où je me souviens que ce sont tout de même des sacrés connards. 5/10”

Wrestling Class Heroes : “Ils ont fait tellement d'efforts pour se rendre minables qu'on a presque fini par s'apitoyer sur leur sort. Vu qu'on est magnanimes, on leur donne un 6/10 !”

La nourriture :

Phenomangels : “Tellement dégueulasse au début, tellement divin à la fin... 5/10”

Psychedelic Warlords : “ Ce dessert m'a fait tellement planer que j'ai ma petite idée sur ce qu'ils ont fait de la boulette de shit qu'ils  nous ont volée, ces crevards... 6/10”

Wrestling Class Heroes : “On s'étonne nous même, mais la bière était bonne, on a réussi à éviter la catastrophe du plat de résistance, et ce dessert. Bordel ça nous emmerde profondément, mais on va mettre 7/10”

Ce qui nous fait une moyenne de 4,7 pour le repas des APA!
Cela sera-t-il suffisant pour prétendre à la victoire finale ? Réponse avec la prochaine étape de la compétition chez les Phenomangels!


Dernière édition par ATEBA2014 le Dim 13 Avr - 19:01, édité 1 fois
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Nak
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 17:24

Promo de Ted DiBiase Jr.


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WFA Bookers. Faites le bon choix.  Cool 
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 17:28

lol lol lol 

Y'a pas à dire, la gimmick de Ted est bien respecté !

Show, j'ai beaucoup aimé l'orientation que tu as donné à Goldust dans ta promo. Vive EoC !
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 17:29

Promo CM Punk (Partie 2) :



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Le berger fuck la bergère, à vous, messieurs les bookers Cool
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 17:43

J'aime les promos courtes :food:
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 18:56

CTB !


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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 18:59

Cette promo est la suite du segment du dernier Smackdown.

-Qu'est-ce que c'est que cette merde?!

Mickie James tenait entre ses doigts la caméra qui avait permis aux spectateurs de voir et d'entendre la conversation entre la Diva et son intermédiaire. Ce dernier, à qui la question était posée, devenait rouge vif, puis blanc pâle, le tout en un dixième de seconde. Trop lent pour Mickie.

-Je ne sais pas ce que ça fous là?! Putain, on nous espionne ou quoi?

Mickie, d'un Lou Thesz Press dont elle a le secret, fit choir l'espion et lui cogna la tête à plusieurs reprises sur le sol froid de la pièce.

-Tu te rends compte qu'on nous a entendu avec ça!? Toute la WFA sait ce que nous sommes en train de faire!

Une violente giffle, et son retour, claquèrent les joues du malheureux informaticien.

-Mickie, je...
-Ta gueule! La WFA n'est pas très douée pour l'espionnage, mais elle est capable de pirater n'importe quelle caméra! Maintenant, avec tes conneries, tout le monde est au courant! Je comptais miser sur l'effet de surprise avant One Night Stand, connard!

Mickie appuya la glotte de son interlocuteur avec son genou droit, étouffant presque le malheureux bougre.

-Maintenant, tu vas me dire pour qui tu travailles! La caméra n'est pas venue là toute seule, et personne d'autre que toi et moi n'avait la connaissance de ce taudis! Alors!
-Jre traaille pou... pou le Qofristran!
-Dernière chance!
-Le Qofristrrran, Mickie!

D'un coup de talon savamment calculé, la prochaine championne des Divas encastre sa chaussure dans le front de l'informaticien.
Le temps qu'il retrouve ses esprits, James a le temps de l'attacher à une chaise, d'inonder la salle d'un baril d'essence qu'elle avait trouvé dans le local, de récolter de précieuses informations sur l'ordinateur et de réveiller son ami à grands coups de claque dans sa gueule. L'infortuné est à la limite de recracher ses poumons, vestige de l'étranglement au genou et de l'odeur insupportable de pétrôle.
Mickie s'alluma une clope.

-Mickie! NON!
-Chuuut, fait-elle en mettant son index sur les lèvres de l'autre. Si tu cries, ou que tu ne réponds pas à mes questions, je risque de faire tomber ma cigarette par accident. Si tu y réponds bien, je te laisse la vie sauve et tu pourras retourner au Qofistan. Tu as compris?

Il fait oui de la tête. La diva souffle sa fumée sur le visage de sa victime et fait tomber les cendres dans un verre en plastique.

-Bien. Tout d'abord, pour qui tu travailles?
-Tu crois vraiment que la mort me fait peur? Je...
-Oh c'est mignon! Tout juste sorti de l'AZERTY et ça se croit déjà être un grand.

Mickie plante son couteau dans le genou de la victime! Il hurle ce qu'il peut! MICKIE TOURNE LE COUTEAU!

-Rectification, tu rentreras au Qofistan en boitant un peu. Dis-moi tout ou je fais de même avec tes attributs sexuels.

Mickie savait que tous les hommes frissonnaient d'horreur à l'idée de perdre leur membre viril.

-Je... Je travaille pour le Qofistan, qui m'a envoyé ici pour te surveiller.
-...Continue.
-Le Bon Général a des soupçons quant à ta fidélité et pense que tu vas rejoindre les services secrets américains. En huilant les rouages de la WFA avec l'argent du pays, on avait la possibilité de t'espionner et de surveiller tes moindres faits et gestes.
-Question suivante : qui est cette fille qui m'a attaqué?
-Je l'ignore! Tout le Qofistan l'ignore. Visiblement, nos amis de la WFA nous ont trahi! Mickie, tu dois me croire!

Mickie lève son couteau et le plante... près de l'entrejambe du malheureux. Sans un mot, elle le libère de ses liens et laisse tomber la cigarette. L'entrepôt prend instantanément feu.

-Tu diras au Bon Général que je lui resterais fidèle. Tiens, en gage de ma bonne volonté, et comme tu as pu le voir sur tes putains de caméras, j'ai déjà recueilli des informations, contenues dans cette clé usb que je glisse dans l'enveloppe. Elles sont confidentielles. Si jamais le Bon Général apprend que tu les a ouvert, tu sais ce qu'il va t'arriver...

Sans attendre une réponse de sa part, la Qofistane donne un coup de pied dans le genou ensanglanté du pauvre, qui hurle de douleur. Mickie le laisse en train de se rouler par terre et remonte dans sa voiture.

****Une semaine plus tard****

Un bandage sur son genou, une béquille sous son aisselle, voilà le Lieutenant Ilmaniakovitch, revenant de sa mission d'espionnage aux USA. Il tient dans sa main libre la précieuse enveloppe.
Le Bon Général l'accueille chaleureusement.

-AAAAHHH MON BON ILMANIAKOSKI!
-C'est Ilmaniakovitch, mon Bon Général..
-Peu importe! Comment se porte mon petit sucre d'orge?
-Elle va affronter ce soir une mystérieuse adversaire.
-Toujours aucune info sur elle?
-Non mon Bon Général.
-BAH! Mickie trouvera. Voyons plutôt ce qu'elle nous a envoyé.

Le Bon Général retire la clé USB de son enveloppe, et l'introduit dans l'ordinateur.

20 minutes plus tard, le Qofistan entier pleure son Bon Général, tué dans l'attentat au Palais Royal.
Deux heures plus tard, Mickie écoute d'une oreille discrète BFMTV. D'un coup, flash spécial. Le Bon Général du Qofistan est mort. La Diva, en pleine série de pompes, sourit

-Enfin libre!

Au même moment, dans le bureau de Stacy Keibler, le téléphone sonne. La GM décroche.

-Allô?... Oui!... Oui j'ai vu les infos! Nous sommes enfin débarassés du Bon Général!... Non, j'ignore qui a fait le coup, mais qu'il en soit gracié!... Oui, visiblement une clé USB j'ai vu ça... Oh oui! Ca reste la grosse satisfaction, tu as désormais les mains libres! A toi de jouer! Bon courage pour ce soir!
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Bon Brute & Truand
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 19:04

François a deux jours supplémentaires pour promoter (parce qu'il a demandé gentiment et qu'il nous a promis de remplacer l'ampoule grillée du couloir, merci à lui)

Pour ceux qui nous ont demandé un délai supplémentaire, on vous donne la réponse au plus vite.
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Gbacca
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 19:18

Ouais bah ça m'arrange pas pour booker le Wyatt vs EoC et Ambrose salaud  lol !!!!

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Nak
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 19:30

UN DINER PRESQUE PARFAIT


EDITION WFA !

ÉPISODE 3: Chez les Phenomangels





On se retrouve au domicile retenu par les Phenomangels pour cette nouvelle journée de compétition. Petite demeure bien sous tous rapports, sans grande originalité. Elle ressemble à ces petites bâtisses des banlieues remplies de familles, de barbecues à gaz et de fox-terriers, aux jardinets bien propres. Une demeure bien éloignée de l'idée qu'on se fait de l'intérieur de quelqu'un comme AJ Styles ou Christopher Daniels. Ce point de rendez-vous cocasse provoqua l'étonnement des trois autres duos une fois arrivés sur le pas de la porte. Morceaux choisis :


Citation :
Erick Rowan : C'est ici?

Kassius Ohno : Me semble.

Erick Rowan : C'est mignon.

Kassius Ohno : Bien apprêté.

Erick Rowan : Bien décoré.

Kassius Ohno : Putain, je déteste.




Citation :
Chris Jericho : Le garage est pas mal.

Christian : Un peu de place pour la dépendance, ça m'étonne d'eux.

Chris Jericho : Bon par contre, où est la maison?

Christian : Je regarde, mais j'arrive pas à voir. Tout se ressemble un peu ici.

Chris Jericho : Attends, me dis pas que...

Christian : C'est ça la maison?

Chris Jericho : Cette maison de poupée?

Christian : Où est le porche? Où loge le majordome?

Chris Jericho : Péquenauds.





Citation :
Samoa Joe : Attends... a... ttends... Je... Je crois qu'on est... est... est... arrivé.

Carlito : Tu crois? L'ami? (se met à genoux) C'est petit.

Samoa Joe : Je crois que c'est la niche du chien ça.

Carlito : Ah ouais? Merde, on s'est plantés d'adresse?

Samoa Joe : Merde.




Les trois tandems sonnent tour à tour à la porte, qui s'ouvre les trois fois sur le même visage souriant.

Dixie Carter : Bonjour la compagnie? Comment allez-vous?

Tablier rose bonbon noué autour de la taille, Dixie Carter accueille ses hôtes avec la dévotion feinte de la parfaite petite housewife, fouettant énergiquement dans un saladier en plastique de la farine et des oeufs.

Dixie Carter : Entrez, entrez je vous en prie, installez-vous à table très chers!

Les Alcooliques Pochtrons Anonymes, les Psychedelic Warlords et les Wrestling Class Heroes entrent d'un pas peu assuré, parcourant les couloirs aux murs criards ornés de tableaux de chats et de sculptures en pâte à sel. Ils débouchent sur le salon où se déroulera le dîner de ce soir. La vue se passerait presque de commentaires si on n'était pas à l'écrit.

Une toile cirée bleue à motif coquillages recouvre le plateau ovale de la table centrale. Un napperon en dentelle blanche épaisse sert de chemin de table où de part et d'autre des petites bougies turquoises se consument dans des photophores en aluminium. Huit chaises en bois de synthèse recouvertes d'une assise en paille jaune et de coussins molletonnés attendent les fessiers des convives.


Citation :
Christian : Vision d'horreur, j'ai connu des stands de démonstration de la Foir'Fouille mieux décorés que ça. J'ai envoyé des photos à la Brésilienne de M6, elle s'est rasée le crâne de rage tellement c'était moche.

Chris Jericho : On aurait dit un best-of de D&Co sans Valérie Damidot et la bande-son de Coldplay.




Impatiente et faussement guillerette, Dixie Carter vivote autour de la table en ne laissant pas de repos à ses invités. Elle récupère leur manteaux, les accroche sur un porte-manteau à pied et en une fraction de seconde, les installer à leur place.

Kassius Ohno: Mais... Attendez, on fait pas d'activité, comme d'habitude?

Dixie : Mais non, penses-tu? Je sais déjà bien assez contente de vous avoir à ma table, ne gâchons pas ce beau moment en dépenses superflues. De toute façon dans le coin, il y a qu'un gymnase, un atelier de poterie et un coffee shop à marijuana dans le coin.

Kassius Ohno: Vous vous foutez de moi?

Dixie Carter : Je n'oserais pas, voyons, j'ai de l'éducation. Maintenant, mettez votre serviette au tour du cas, ce serait dommage de tâcher ce beau maillot avec mes bons petits plats!

Eric Rowan, voyant son partenaire serrer ses poings de toutes ses forces : Si je te roule un spif ammoniacal, tu te comporteras bien à table.

Kassius Ohno, boudeur : Oui.

En face, Samoa Joe et Carlito en sont à leur quatrième flask de schnapps. Et encore, uniquement depuis leur sortie de la voiture.

Pendant ce temps, le regard plongé dans leurs assiettes, AJ Styles et Christopher Daniels n'ont pour l'instant pas pipé mot depuis l'arrivée de leurs concurrents. Serviettes nouées autour du cou, ils cherchent à établir la conversation.

AJ Styles : Et sinon, vous avez trouvé facilement... Je veux dire avec le trafic en ce moment...

Daniels : Et puis vous avez vu cette météo? Pas un temps à mettre le nez dehors, vous trouvez pas?

AJ Styles : Non parce que je dis ça mais c'est parce que la route est assez piégeuse, vous voyez, en fait il faut...

DING!, résonne du minuteur en forme de citron sur la table de la cuisine américaine.

Dixie Carter, s'époumonne : A TABLE TOUT LE MONDE, QUI VEUT UNE BONNE PART DE QUICHE A L'ANDOUILLE!

Les APA et les Warlords se regardent de concert et se mettent à pouffer de rire.

Chris Jericho : Qu'est-ce qui vous fait rire, tous les quatre?

Les APA, en même temps : Quiche, haha...

Les Psychedelic Warlords, en même temps : Andouille, héhé...

Chris Jericho, à l'oreille de son partenaire : Péquenauds.

Dixie Carter : Je vais vous servir, vous voulez un peu de batavia?

Chris Hero : Hum, la batavia!

Samoa Joe : Dites-moi, chère Dixie, quel est donc le contenu de cette vinaigrette?

Dixie Carter : Euh, de l'huile et du vinaigre balsamique, avec une pincée de sel.

Carlito : Excusez-moi, madame, mais est-ce que vous auriez du xérès?

Dixie Carter : Oui, je crois que je dois avec une bouteille de vinaigre de xérès, je vous la ramène.

Pendant que Dixie s'absente, les Wrestling Class Heroes se penchent de plus près sur la quiche en question, fumante au milieu de la table.

Chris Jericho : Mais... mais... elle est complètement brûlée cette quiche!

Christian : Ce qui est fort c'est que tout est tellement brûlé qu'on sait pas où s'arrête le moule et où commence la quiche.

Réticents, les deux champions par équipes goûtent la part de quiche déposée dans leur petite assiette en faïence décorée de paysages champêtres.

Christian : C'est un exploit.

Chris Jericho : En effet, ça arrive à être plus dégueulasse au goût qu'à la couleur.

Christian : C'est trop cuit sur le dessus, et c'est presque congelé à l'intérieur. On dirait une crème brûlée, mais en dégueulasse.

Dixie revient de le cuisine avec une bouteille de vinaigre de xérès qu'elle tend à Carlito. Ce dernier ne s'embarrasse pas pour retirer le bouchon en plastique imitation liège avec les dents... et en verse la moitié du contenu restant dans son verre, et le reste dans celui de Samoa Joe!

Les APA, de concert : ALLEZ HOP, CUL SEC!

A peine la gorgée de vinaigre ingurgitée, les Alcooliques Pochtrons Anonymes répriment avec grand peine un reflux gastrique coupable. S'étant à moitié étranglé sur le coup, Samoa Joe manque de recracher le liquide par le nez et frappe d'un violent coup de poing le dessus de la table, renversant la salière sur la toile cirée. Paniquée, Dixie accourt à leurs côtés, pour ramasser une poignée du sel renversé pour le jeter par-derrière son épaule.

Carlito : La vache, un peu vieux ce xérès, j'ai pas l'habitude.

Samoa Joe : Ca passe, mais c'est vrai que c'est spécial...

Carlito : Ah c'est goûtu, ça a du retour.

Dixie Carter s'approche des deux APA et leur pince chacun la joue d'un air maternellement réprobateur.

Dixie Carter : Ah là là, vous êtes incorrigible tous les deux. Petits sacripans! Bon, je crois que tout le monde a terminé son assiette. Chris, AJ, vous m'aidez à débarrasser, les garçons, je vais préparer les assiettes pour le plat de résistance.

Toujours mutiques et ostensiblement mal à l'aise, les Phenomangels s'exécutent benoitement, avec l'intention de ne pas faire de vagues.

Pendant ce temps, les Wrestling Class Heroes se lancent dans un baillement profond.
Pendant ce temps, les APA lâchent un double rot synchronisé à la perfection.
Pendant ce temps, les Warlords s'allument un petit joint pépère, les pieds posés sur la table.

Quelques minutes plus tard, Dixie Carter et ses deux acolytes reviennent avec les assiettes remplies de viande en sauce et de ce que l'on suppose être des pommes de terre noyées sous le liquide.

Dixie : Un peu de daube, messieurs?

Une nouvelle fois, un frisson de rire parcourt l'auditoire, à l'exception des Wrestling Class Heroes qui restent stoïques, et même légèrement agacés.

AJ Styles, inquiet : Bon et bien, bon appétit, comme dirait l'autre...

Daniels, surjouant l'enthousiasme : Ca m'a l'air fameux! Vous m'en direz des nouvelles!

La dégustation de la daube s'effectue dans un silence de cathédrale, chacun scrutant les réactions de l'autre.



Citation :
Erick Rowan : C'était... Bizarre. La texture, franchement, je sais même pas à quoi ça ressemblait. De la viande pareille, ça me donne la même impression que les sandwichs au jambon que je mange à sept heures du matin quand je me réveille de bad trip. Mais ça c'est généralement parce que j'oublie d'enlever le cellophane.




Pensifs, Chris Jericho et Christian analysent méticuleusement le contenu de la nourriture qu'ils sont en train d'ingurgiter. Christian se penche pour chuchoter quelque chose (de désobligeant sans aucun doute) à l'oreille de son compère. Celui-ci, surpris par le trait d'esprit, recrache sa gorgée de vin rouge, qui atterrit en plein sur son élégant polo bleu décontracté.

Chris Jericho, toujours ricanant : Ah non, merde, pour une fois que je m'habillais en plouc!

Dixie Carter accourt à son niveau avec un torchon et se met à frotter vigoureusement la tâche. Jericho, qui apprécie peu un tel empressement, la repousse.

Chris Jericho : Non, non, lâchez-moi! Vous allez faire qu'empirer les choses avec votre merde! Débarrassez-moi plutôt de ce truc, c'est imbouffable! Alors arrêtez de m'emmerder et faites votre boulot pour une fois!

Déstabilisée, Dixie Carter garde néanmoins la tête froide et s'exécute. Juste à côté, les Phenomangels fulminent.



Citation :
Christopher Daniels : Ce qu'a fait Chris, ça ne se fait pas. On est entre adversaires, certes, mais le jeu reste le jeu, y a des règles. Et je trouve que sur ce coup-là, ils ont manqué de respect à tout le monde. Mais bon, je ne doute pas qu'il y ait une certaine part de stratégie là-dedans, on le sait bien. Mais on peut pas laisser un truc comme ça se dérouler sans rien faire en réponse.




AJ Styles : Je trouve ta réaction disproportionnée, Jericho, tu dépasses les bornes!

Chris Jericho : Ouh! Ouh! Des menaces! Ça y est, le petit se sent pousser des ailes!

Christopher Daniels : On peut pas passer un dîner tranquille bordel!

Christian : Ah mais ça y est, vous êtes réveillés! Non parce qu'on pensait sérieusement que votre petite maman vous avait castré pendant la nuit...

AJ Styles et Daniels, explosant de colère : CE N'EST PAS NOTRE MAMAN!

Samoa Joe : Hé hé, mollo sur les décibels, on est pas habitués, nous, ça donne mal au crâne tous ces mots prononcés très fort.

AJ Styles : Oh vous vos gueules! Quand on est pas foutus de faire la différence entre du vin rouge et du vinaigre, on ferme sa boîte à camembert.

Kassius Ohno: Hoho, so hardcore!

Christopher Daniels: Ah vous êtes encore là, vous, bande de larves! Je pensais que vous étiez partis chercher votre dose de dope fraîche à votre dealer proxénète moldave!

Erick Rowan : On ne crache pas sur ce très beau pays qu'est la Moldavie! Surtout au mois d'avril!

AJ Styles : On crache sur qui on veut connard! Ça vous gêne pas de rouler des joints, boire comme des trous et vous comporter comme des trous du cul chez nous, mais quand on vous répond, vous vous braquez comme une actrice porno qui attend sa première DP!

Chris Jericho : Enfin de l'animation! Vous auriez pu nous balancer des fions plus tôt, ça nous aurait évité de frôler l'infection alimentaire!

Christopher Daniels : Tu vas voir ce qu'il va prendre le tien de fion!

Carlito : Si on commence à toucher au fion des gens, moi je me barre, je vous préviens!

Kassius Ohno: Moi j'en ai par-dessus la tête de vos dingueries!

Dixie Carter, moule à tarte dans les mains : Qui veut une bonne petite part de flan?

Les huit hommes, à l'unisson : TOI, TA GUEULE!

Le dîner est en train de dégénérer, instant parfaitement choisi par la chaîne pour... lancer une page de pub, sur laquelle est ajoutée un bandeau en bas de l'écran : “Ce divertissement étant diffusé à une heure de grande écoute, les images qui ont suivi la conversation diffusée ne sont pas compatibles avec la ligne éditoriale de la chaîne. Votre programme reprendra son cours normal d'ici quelques minutes”.

Lorsque l'émission reprend, les quatre duos sont déjà en train de repartir dans leurs voitures respectives, où leur a été donné la fiche de notation du dîner. Les Psychedelic Warlords, ébouriffés, sont encore d'ôter des miettes de pain de leur masse pileuse : Rowan de sa barbe et Hero de ses cheveux. Les APA, titubent et boitent, même si on ne sait pas trop si cela est dû à la bagarre ou à leur état d'ébriété naturel. Quant aux Wrestling Class Heroes, leur démarche fière et altière contraste avec l'état de leur habillement, du polo déchiré à l'encolure et tâché de vin de Jericho à la chemise blanche maculée de flanc de Christian. Ils sont invités à donner leurs notes sur le dîner qu'ils viennent de passer.

La décoration :


Psychedelic Warlords : “C'était pas trop mal, on aime bien les toiles cirées, c'est plus facile pour éviter que la poudre se barre dans tous les sens. Déco pratique et fonctionnelle. On met un 8”

APA : “A un moment Joe a essayé de goûter ces espèces de shots de gelée colorée flambée disposés sur la table, et honnêtement c'était pas top. Y avait de l'idée, mais ce goût de cire... Ils auraient dû mieux nettoyer les verres. Ca vaut un petit 5.”

Wrestling Class Heroes : “Dégueulasse, on a vu des segments de restaurant à Smackdown mieux décorés que ça. 2/10”.

L'accueil :
Psychedelic Warlords : “Les deux petits puceaux avec leur maman étaient trop réservés. Pourtant avec un look de gothiques assumés, on pourrait leur conseiller du bon matos. Mais ils ont essayé. 6/10”

APA : “La serveuse était très gentille, malheureusement on a pas eu le droit à un happy hour, ce qui est regrettable, tout se perd. On met tout juste la moyenne : 5/10”

Wrestling Class Heroes : “J'ai passé des soirées plus agréables dans un métro en panne. 3/10”

La nourriture :
Psychedelic Warlords : “C'était expérimental, mais au final, on s'est pris au jeu. Si on se met à rejeter toutes les nouveautés qui arrivent sur le marché, on en a pas fini. L'esprit ouvert, comme les narines, c'est notre ligne de conduite. 8/10”

APA : “Boarf, on a du mal à se décider encore, nous on juge pas de la bouffe tant qu'on l'a pas dégueulée. Mais ça reste meilleur que la soupe à l'oignon de la cellule de dégrisement. 7/10”

Wrestling Class Heroes : “A partir de ce jour nous ne dirons plus jamais de mal de la choucroute en boîte et des lasagnes surgelées. Pour la première fois de notre vie, on se fera des nouilles lyophilisées en rentrant, on est enfin prêts. 1/10”

Ce qui nous donne une moyenne de 4,9/10! Les Phenomangels sont-ils encore dans la course pour la victoire finale! Réponse lors du dernier jour!
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Bon Brute & Truand
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 21:26

JoMo Styles, Tombstone, ici la Voix.

Pour vos rallonges de temps, c'est dakodak, mes petits promotiteurtounets!

Salut-salut!
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Nak
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 22:01

PROMO DE TED DI BIASE 




Doppelgänger











Le public hue par réflexe le champion Pure dès l'instant ou son thème retentit. Des pancartes en l'honneur de CM Punk sont déjà dressées, les célèbres "Roger DiBiase" sont également au rendez-vous. La foule est unanime et le fait savoir mais le jeune millionnaire n’apparaît pas.

"Non je ne suis pas encore là ! J'avais un petit détour à faire."

Di Biase fait son apparition sur l'écran du titantron. On voit son visage en gros plan, faiblement éclairé. Il marche dans un couloir. Barbe de trois jours mais soigneusement coiffé, une expression d'agacement se lit sur son visage. La caméra recule un peu ... mais ... Di Biase porte un pantacourt et un t-shirt "CM Punk". Ceinture Pure à la taille, sourire sarcastique aux lèvres, il continue de marcher. Le voilà dans la galerie principale de l'arène, provoquant l'ire des fans qui le croisent et le reconnaissent. Il prend alors un micro et commence à parler.

"Bonjour WFA Universe ! Comment allez vous aujourd'hui ? Ne vous inquiétez pas, aujourd'hui je suis avec vous, louons tous CM Punk pour son retour. IL est revenu ! ENFIN ! L'élu !"

Il agrippe un fan par le col de la chemise en lui disant:

"REGARDE ! CM Punk *Best In The World Since Day One* Il n'est pas merveilleux ce t-shirt ? Seulement 25 euros pièce. Mais peut-être n'as tu pas les moyens ?"

Et voilà Di Biase qui se saisit d'un sac tendu par son caméra man, et qui distribue des liasses de billets, les donnant aux fans les plus proches avec un sourire malsain, les jetant même à d'autres. Di Biase semble être devenu fou, en atteste son rire malsain, tandis qu'il continue son "oeuvre de charité".

"Achetez vous les T-shirts CM Punk ! Achetez les ! Vous savez quoi ? J'achète le stock !"

Et voilà Di Biase qui tend une liasse de billets de 500 euros au vendeur, et qui repart avec un carton entier de T-shirt ! Les fans sont interloqués, et un détachement de sécurité fait son apparition pour maintenir à distance les personnes les plus virulentes envers le jeune homme. Le Champion Pure jette maintenant des T-shirt à foison, tout en se dirigeant vers une porte d'accès à l'arena.

Et le voilà ! Sous un concerts de huées, mêlées d'expressions de surprise, il est en haut des gradins. Son carton sous le bras, il jette la marchandise aux fans les plus proches, des mains se tendent dans l'espoir d'obtenir le St Graal ! Il descend progressivement les marches, poursuivant son étrange manège, évitant soigneusement les mains des fans.

"Prenez les, ces merveilles ! Vous les voulez ? Prenez les ! C'est moi qui offre !"

Le silence revient dans l'arène, la foule est interloquée et observe Ted, qui semble possédé. Le voilà qui descend la dernière rangée, arrivant en Ringside. Il donne quelques t-shirts supplémentaires, enjambe la barrière de sécurité, et rejoint la table des commentateurs. Le voilà qui tend des t-shirt CM Punk à Jim Ross et Matt Striker ! Les deux hommes ne savent pas comment réagir, mais prennent tout de même les offrandes. DiBiase constate que son carton est vide et le balance par dessus son épaule. Il ne monte pas sur le ring, demeurant adossé à la table des annonceurs.

"YEAH ! C-M PUNK ! Tous ensemble ! C-M PUNK ! Vous savez quoi ? Aujourd'hui c'est le jour de mon pote,  Le Chicago Made Punk ! Phil Brooks pour les intimes. Alors je vais vous raconter une histoire. C'est l'histoire d'un mec hors du commun. Un mordu de catch, vous n'imaginez même pas. Et avant cela, une enfance difficile. Tous les ingrédients du parfait biopic hollywoodien !"

DiBiase commence à marcher en ringside, d'une démarche lente et assurée.

"C'est l'histoire d'un type que rien ne prédestinait à de telles choses. Un enfant, avec ses problèmes. Je ne reviendrait pas sur son enfance difficile, qui a sans doute forgé sa mentalité de conquérant. C'est avant tout l'histoire d'un type qui aime le catch, qui aime la lutte, et vit pour ça. Qui en a rêvé toute sa vie en regardant des Hulk Hogan et autres Randy Savage ou Ultimate Warrior. Qui rêvait de se faire une petite place dans leur famille. Alors il a parié tout ce qu'i avait, et il a commencé dans une petite fédération de quartier. Puis il a continué, et avec un travail acharné, a progressé et est allé dans une promotion de troisième zone. Puis de seconde zone. Il est devenu plus visible. On chuchotait sur lui, sur ce type qui faisait des choses extraordinaires. Dans le milieu les rumeurs vont vite. Et il est devenu LA rumeur. Le jeune prodige. Celui qui a un jour livré un match cinq étoiles contre Samoa Joe. Une autre époque. La ROH, une rampe de lancement vers la grandeur pour ceux qui saisissent leur chance. Et Punk l'a bien saisie, cette chance !"

Di Biase continue de faire les 100 pas en ringside, concentré sur son discours comme rarement, parlant vite et sans interruption.

"Il est arrivé à la ROH, est devenu une référence, et en toute logique la WWE s'est tournée vers lui. Et il a, en tout logique, cédé au chant des sirènes, car il savait qu'il pouvait réussir quelque chose là-bas. Et ses premières années l'ont prouvé. Champion ECW, Intercontinental ...Il était en passe de devenir un main eventer lorsque la WFA a succédé à la WWE. Ce ne fut que partie remise. Champion du monde chez nous à l'aube de l'existence de la WFA, et surtout champion Intercontinental. Un champion marquant, un règne de 312 jours. Hors normes. Içi, il a pris une autre dimension. Il est devenu une star. Une star qui est aujourd'hui de retour après UN AN d'absence ! UNE STAR que je vais avoir l'honneur d'affronter à One Night Stand ! Mesdames et monsieurs, C-M PUNK ! LE FUN LOVIN CRIMINAL CM PUNK !!!!!!"

Ovation de la foule. DiBiase arrête sa marche, sourire en coin.

"Fun, Lovin, Criminal. On y reviendra très vite. C'était le portrait d'un artiste. Un homme pas comme les autres. Car en dehors du ring, CM Punk est aussi un combattant. Un mental d'acier, pour assumer son mode de vie Straightedge comme peu avant lui. Souvent défini par ce mode de vie, il a appris à ne pas être une caricature, mais à en faire un atout. Cela lui a conféré une image propre sous tous aspects. Un combattant des temps modernes, luttant contre la tentation, contre les symboles de la décadence du monde moderne, avec une force sans cesse renouvelée. Il s'est extirpé d'un contexte difficile, avec un père alcoolique, une soeur rongée par les problèmes de drogue, et a su dire NON. Juste, NON ! CM Punk manquait à cette compagnie, dans laquelle il a souvent lutté contre les injustices, s'indignant des traitements de faveur de certains, et réclamant l'équité. Avec lui, la WFA est meilleure. Phil', merci !"

Ovation d'une partie du public, pendant que d'autres restent méfiants. DiBiase marque un nouveau temps mort, souriant à pleines dents.    

"C'était l'histoire de CM Punk. Celle que vous vouliez entendre et que l'on veut vous faire avaler. Maintenant il est temps pour moi d'être clair avec vous. On vous doit la vérité. Vous méritez d'être informés, de savoir. Laissez moi être votre voix. LA VOIX DES SANS VOIX ! The Voice of the VOICELESS !"

Les huées redémarrent. DiBiase semble possédé par son discours, et le voilà qui marche lentement en ringside, puis se dirige vers la rampe d'entrée.

"CM Punk était effectivement un de ces types sans histoire, parti de pas grand chose pour en arriver à ce qu'il est aujourd'hui. Mais il est devenu une autre personne. Vous rêvez qu'il soit comme vous l'imaginez, un homme humble, sympa, sans arrières-pensées... mais au fond de vous vous savez ce qu'il en est. Phil' Brooks est devenu une ordure corrompue par ses ambitions, un égocentrique, un hypocrite, et surtout un "control freak" assoiffé de pouvoir."

BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH

"Huez moi. C'est le prix de la vérité. Mais je ne vais pas me contenter de cracher mon venin. Non, je vais vous donner des faits. Parlons du départ de CM Punk de la compagnie il y a plus d'un an. Vous vous souvenez ? Sa "démission" ? Punk a changé radicalement au cours de son règne de champion. Il est devenu soudainement plus nerveux, s'accrochant à sa ceinture comme un forcené. En parallèle sa voix a commencé à devenir plus importante en coulisses, parce qu'il se trouve que Phil' a cartonné sur les ventes de produits dérivés. Vous savez, tous ces petits t-shirts comme ceux que je viens de vous donner, et autres gadgets ? Cela lui a donné la chose la plus importante: du pouvoir. Et avec ce pouvoir, il a tout fait pour s'accrocher à sa ceinture, refusant de la défendre à des moments clés, choisissant ses adversaires, et refusant de céder. Oh bien sûr on ne peut pas lui enlever que sur le ring il demeurait une référence. Mais le coeur n'était plus là. Parce qu'il n'avait plus cette rage de vaincre, mais seulement cette peur de perdre. Et finalement, il est parti. Parce qu'il préférait partir champion que de simplement concevoir l'idée de perdre sa ceinture sur le ring, comme tout le monde, dans la logique des choses... En pleine plongée dans la paranoïa, il est donc parti. Et quel départ... Souvenez vous encore ! Un show Raw "FAREWELL TO CM PUNK" ! Un Punk omniprésent du début à la fin ! S'octroyant même un match pour le championnat du monde dans un dernier élan de mégalomanie ! Du jamais vu, sans précédent. Et voilà, c'en était fini de Punk, et tant mieux, parce que nous avions frôlé l'indigestion !"

Les huées redoublent d'intensité, tandis que Di Biase est maintenant au pied du titantron, ... où il s'assoit en tailleur !

"Mais ce n'était pas fini. C'était l'heure d'un nouveau chapitre. Voiceless TV. Une émission TV, bon plan pour une retraite pépère. Un show créé pour "mettre en avant les stars de la WFA qui n'ont pas la chance de s'exprimer souvent". Mensonge. C'était avant tout, le CM PUNK SHOW ! Des guests connus uniquement de Punk, des références connues uniquement de Punk, des invités triés sur le volet qui phagocytaient les autres ... coucou John Morrison ! Punk ne pouvait plus s'exprimer sur nos rings, ni combattre. Il l'a fait dans son show, par procuration. Des matchs "de gala" chaque semaine ! Il s'est servi de Voiceless pour continuer son petit manège par procuration, en manipulant les lutteurs de la WFA qui étaient invité chez lui. La vérité, messieurs dames, c'est que Voiceless TV était surtout VoicePunk TV. Combien de fois avons nous eu l'occasion de voir des interviews de petits jeunes en manque de visibilités ? De reportages sur ces gens qu'on ne voit pas à l'écran mais qui permettent à la WFA d'exister ? A quelques exceptions près, jamais. Parce que ça n'a jamais été le but. C'était avant tout une émission faite PAR Punk, POUR Punk, lui permettant de combler sa soif de pouvoir, en attendant une opportunité. Un vrai requin ce Punk ! Et cette opportunité est arrivée avant Wrestlemania ..."

DiBiase se redresse, investi pleinement dans son discours, ignorant totalement les huées.

"Il fallait un sauveur, un mécène, pour racheter le contrat de De Burchill. Quelle occasion en or ! Retour en grâce de CM Punk, qui sauve De Burchill ! Ca a fait les gros titres de la presse spécialisée. LE coup de pub parfait. Sauf que Phil' n'avait pas prévu ce qui est arrivé ensuite. Quel camouflet ! Coup dur pour lui. Tant d'argent évaporé -merci au fait, ça nous a permis de financer une partie de la soirée de l'autre fois - pour rien ! Rien ! Le mal avait gagné, De Burchill était passé du côté obscur, c'était la fin. Mais il ne pouvait concevoir une telle humiliation. Alors le voilà qui revient finalement à Raw, soi-disant pour faire justice... En pratique il me semble avoir vu que les audiences de Voiceless TV n'étaient pas au beau fixe.
Mais admettons. Il revient donc, se prenant de nouveau pour le nombril du show, tentant de nous faire avaler que maintenant il est le Fun Lovin Criminal dieu sait quoi. Admettons. En toute logique il s'en prend à moi parce que je suis méchant  - et que je lui ai coûté 800 000 Dollars - et que j'ai corrompu son pote De Burchill... Admettons. C'est donc en toute logique que Punk obtient le droit de m'affronter à One Night Stand, pour MON titre, en revenant comme une fleur et en grillant la priorité des personnes méritantes ? 
Chose que lui même critiquait tant auparavant. Non ? Oh bien sûr depuis il n'a que cesse de dire qu'il ne veut pas de la ceinture, qu'il veut juste m'affronter moi ... mais sincèrement ? Qui le croit ? Et si c'était vrai ... quel dédain ce serait pour un des titres les plus prestigieux de la fédération, le titre PURE ! "


Le public conspue cette dernière tirade,et Di Biase jubile. Le voilà qui monte alors une échelle à la stupeur générale, afin de se hisser sur la rambarde qui borde l'écran géant de la salle. Debout, en hauteur, il poursuit.


"Où étais tu Punk, pendant que j'étais içi, à la WFA, sur le ring, à lutter pour obtenir mon titre ? Comment oses-tu croire que tu peux revenir, et avoir le privilège de m'affronter, alors que pendant que je sacrifiais tout ce que j'avais tu faisais mumuse avec les stars dans l'espoir de te taper l'incruste à Hollywood ? 
Car c'est de cela dont il s'agit messieurs dames ! CM Punk, frustré de son échec dans le showbiz, revient içi et fait sa loi, impose sa dictature. Et vous y participez tous ! Et encore, j'aurai pu parler de sa relation avec Kate Beckinsale qu'il a pris plaisir à exhiber aux yeux du monde içi même, de Julian MacMahon, de The Rock ... Mais ce n'est pas grave. Il y aura toujours des choses à ajouter. Mais je pense avoir dit ce que j'avais à dire. Vous allez vous demander ... où veut-il en venir ? "C'est Ted Di Biase qui crache son venin comme d'habitude", "Il parle pour compenser son manque de talent" ... Non. Je vais vous dire où je veux en venir. CM Punk était un type intègre, parti de rien, pour arriver au sommet. Tout nous oppose, je suis né plein d'argent, j'ai toujours plein d'argent, et je dépense plein d'argent pour arriver à mes fins. Je n'ai pas connu les mêmes choses que lui, je n'ai jamais eu à me battre, heureusement !"


BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH !


"Mais même si tout nous oppose, et que Phil' et moi ne pourrions avoir eu des parcours plus différents ...
Regardons où nous en sommes aujourd'hui ? Punk est maintenant un égoïste, un opportuniste, prêt à tout pour parvenir à ses fins. Un hypocrite, qui se sert de son pouvoir pour influencer l'opinion générale et obtenir ce qu'il veut. Et quoi qu'on en dise, un type qui s'accroche à ses titres et est prêt à tout pour en conquérir de nouveaux. Moi, J'AIME cette mentalité ! Parce que c'est plus ou moins ce que je suis. Et je l'assume. Parce que j'ai des atouts, je les utilise, et je le fais bien. Et ça me rapporte tout ce que je veux. Un jour, ça me rapportera le WFA Championship. Et vous verrez, ce jour là on se souviendra de mes paroles. La vérité c'est que aussi différents que nous ayons pu être, CM Punk et moi ne somme plus si éloignés maintenant. La seule différence qui persiste, c'est qu'il tente de se faire passer pour quelqu'un de bien, un type cool, un héros.  Nous sommes les mêmes, mais je n'essaie pas de me cacher de ma vraie nature. Lui si. A grand renforts d'artifices, de Voiceless TV par ci, de Fun Lovin Criminal par là... Tu n'es pas Fun Punk. L'amour que les gens te portent est basé sur des mensonges. Et surtout tu n'as rien d'un criminel... Ton plus grand crime, hormis ton règne de champion Intercontinental, c'est de te mentir à toi-même et aux autres. Ça suffit?  La vérité je vous la livre de suite ... CM Punk est juste un Ted Di Biase qui ne s'assume pas ! Un Ted Di Biase avec moins d'argent ! Un ..."


Di Biase est forcé de s'interrompre, les huées de la foule mêlées aux rires d'une partie du public, l'empêchent de se faire entendre. Il arbore un rictus satisfait toutefois.


Il descend de son perchoir, et détache sa ceinture. Il longe la rampe d'entrée, montrant sa ceinture aux fans du premier rang, et balançant quelques billets, s'attirant les foudres d'une arène lassée de ce spectacle. 
Il monte finalement sur le ring.


"Et c'est pour cela, pour toutes ces raisons qu'à One Night Stand je vais gagner. Parce que tous les coups sont permis, et que je suis prêt à tout. Je suis Ted Di Biase, et je n'en ai pas honte."


Le Pure Champion jette son micro et exhibe son titre, se galvanisant en poussant des cris. 
Les huées sont à leur summum.





CM Punk ! Le Fun Lovin Criminal fait son entrée micro en main, vêtu exactement comme Di Biase ! Ou l'inverse somme toute.


"Tu sais Ted, depuis tout à l'heure je t'écoute parler, et je me suis dit ... On va pas l'interrompre quand même, voyons un peu jusqu'où il va aller. Alors j'ai attendu, et je dois te dire ... Tu m'as bien fait rire. Mais je ne m'aventurerai pas sur ton terrain, celui des belles formules et du bla-bla inutile. Ce soir je n'ai pas envie de parler. Tu vas comprendre ce que veux dire Criminal."


Punk jette son micro et court vers le ring ! Di Biase se prépare et l'intercepte avec un coup de ceinture ... que Punk esquive ! Il rebondit dans les cordes, et Running Bulldog ! Di Biase tente de rouler à l'extérieur du ring, mais Punk le rattrape par les jambes ! 

"Frappe moi Punk, parce que tu sais que j'ai raison ! Tu es comme moi ! Tu es comme m..."


Punk le fait terre en le matraquant de coups de poings ! Il ne le laisse pas respirer ... OH ! ANACONDA VICE ! ANACONDA VICE ! 

Di Biase hurle, mais n'arrive pas à se défaire de la prise ! Prise que Punk maintient en hurlant comme un forcené ! 






Mais ... AUSTIN ARIES !


AUSTIN ARIES FAIT SON ENTREE !

La foule est en délire, et acclame le revenant ! On voit Punk sourire, ooooh Di Biase va passer un mauvais quart d'heure ! 


Aries court, monte sur le ring ... et repousse Punk ! Il repousse CM Punk, se dresse devant Di Biase, puis aide ce dernier à quitter le ring ! 

Punk est stupéfait et ne bouge pas, complètement surpris de la réaction de son ancien ami. Ce dernier prend le micro qui était en ringside et lâche:


"Tu sais qu'il dit la vérité ! Pauvre menteur ! Tu m'as trahi ! Et tout le monde doit le savoir !"

Il jette le micro.
Ces paroles achèvent Punk, qui s'adosse dans un coin du ring, l'air complètement perdu.
Dans un silence de cathédrale, Aries escorte Di Biase en backstage. Juste avant que ce dernier ne s'engouffre dans le sas, il se retourne, regarde Punk et lui lance un sourire discret.


***





En coulisses, plus tard:


"Merci Austin, tu m'as tiré d'un bien mauvais pas."

"Mais de rien Ted, c'était la chose à faire contre ce "menteur" de CM Punk hein ? Pour parler sérieusement ..."

"Bien sûr. Tu préfères en chèque ou en espèces ? "

"En chèque bien sûr"

Di Biase sort son carnet de chèque griffonne un 1, suivi de 4 zéros, et tend le précieux papier à Aries, qui s'éloigne non sans l'avoir gratifié d'une tape sur l'épaule.

"Vous savez, dans ce monde tout s'achète. Et comme je l'ai dit je n'ai pas honte de profiter de mes ressources. Parce que semer le doute dans l'esprit de ton adversaire ... ça n'a pas de prix. AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH ! "
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 22:44

UN DINER PRESQUE PARFAIT
EDITION WFA !

ÉPISODE 4 : CHEZ LES WRESTLING CLASS HEROES




Voix-off: Et c'est déjà le dernier dîner de cette édition spéciale ! Après une semaine mouvementée, et une bagarre générale à l'issue du repas chez les Phenomangels, les quatre équipes vont devoir ignorer les rancunes et pactiser une dernière fois. Ce soir ce sont les champions par équipe qui régalent !

PAF

Voix-off: Les géniaux champions par équipe ! Les meilleurs toutes générations et toutes fédérations confondues. Des gens honnêtes et bien élevés. Pas des ploucs immondes, des alcooliques, ou des rebuts d'une fédération disparue. VIVE CHRIS JERICHO ! VIVE CHRISTIAN ! VIVE ...

"Arrêtez le ! Il a assommé Roger ! Mais ... C'est Matt Striker ?"

***

Pendant ce temps, Styles et Daniels sont en voiture. Dans un quartier chic, en banlieue, ils ne peuvent qu'admirer les maisons sublimes qui se dressent devant eux.

Styles: Bon ce soir je te préviens, ils ont pas intérêt à me pomper l'air les deux champions de pacotille.

Daniels: Pareil. J'aurai pas honte de leur gâcher la soirée si ils font chier. Insulter Dixie franchement, mais quels salauds !

Styles: Ma Dixie ...

Daniels: Et puis venir jusqu'à Nice...

Styles: Ouais pas chiants les mecs quoi ... pouvaient pas trouver plus près ?

Suivant leur GPS, les voilà devant une immense propriété. Un manoir immense entouré d'un terrain immense, une allée immense avec un garage immense, et ... Enfin bref immense quoi.
Ils se garent, et un voiturier arrive, prend les clés des mains d'un AJ bouche-bée, et part avec la voiture.

Styles: Putain c'est quoi ce truc ?

Daniels: On se croirait chez Dracula.

Jericho: Dracula en Côte d'Azur alors messieurs !

Christian: Parce que cet endroit n'a rien de lugubre et incarne à merveille le côté sophistiqué "à la Francaise" !

Styles: Si vous le dites ...

Christian: Je vois que vous avez respecté le code vestimentaire. A peu près.

En effet, les Phenomangels sont habillés chic ce soir, en costume cravate, ce qui est inhabituel.
Les champions par équipe, eux, portent leurs costumes cravate blancs sertis de diamants, avec noeud papillons assortis.

Jericho: Alfred ! Veuillez débarrasser nos adv... invités.

L'homme répondant au nom de Alfred arrive, et se saisit des manteaux des Phenomangels.

Styles: Mais ...

Daniels: Sting c'est toi ?

Alfred: Chuuuuuut ! Moi c'est Alfred les mecs !

Styles: Mais c'est quoi cette histoire ? Qu'est ce que tu fous là ?

Sting: J'ai un peu déconné avec ma thune et ... je me suis fait avoir. Flair m'avait dit "je connais un super investissement tu vas voir". Et voilà ...

Jericho: Ah ah ! Monsieur Sting était un peu dans le besoin dernièrement, donc on l' a embauché pour la soirée. On s'est dit que ca vous ferait plaisir de revoir un de vos vieux camarades.

Christian: Voyez comme nous sommes généreux avec les anciens de la TNA et de l'UHW ?

Daniels: Je vais le tuer.

Styles: Oui je prop...

VROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM !

Une moto déboule dans l'allée à pleine vitesse, avant de s'écraser contre un muret ! Deux hommes sont éjectés, et atterrissent dans les haies. Haies parfaitement taillées qui forment le chiffre 3.
Kassius Ohno et Erick Rowan sont arrivés. Ils titubent dans la cour, et viennent saluer les autres. Leurs pupilles sont dilatées, ce qui n'étonne personne. Ils portent des costumes miteux, trop larges de 3 tailles, avec des vestes de motard par dessus.

"Hey Chris, t'as vu on a respecté l'étiquette !"

Jericho réprime une insulte et sourit bêtement.

"Alfred" les débarrasse également quand ...

"HEY STING !"

"C'est lui Sting ?"

"OUAIS ! COUPAIN !"

"Chuuut les mecs, ce soir je m'appelle Alfred déconnez pas !"

Samoa Joe et Carlito débarquent. Collier à fleurs autour du cou, ils portent chacun un bermuda et une chemise hawaïenne. Les mêmes.
Ils montrent fièrement les étiquettes de leur vêtements à Christian, (on apprend au passage que le bermuda coûte 10 euros, la chemise 5, que le tout vient de C&A et était démarqué).

Joe: T'as vu ? On a laissé les étiquettes ! C'est bien hein ?

Carlito: Ouais on a fait comme t'as dit ! On a respecté l'étiquette !

Les deux, en même temps: RESPECT !

Tous les autres convives se regardent d'un air consterné.

Jericho fait signe à tout le monde d'entrer, mais Joe a disparu.

Christian: Mais où il est passé le gros ?

Les deux hommes font patienter les autres et cherchent le membre des APA... qui est en train d'uriner sur une reproduction du "Penseur de Rodin".

Joe: Hips ! Les mecs vu que vot' baraque elle a l'air super chouette, je voulais pas souiller l'intérieur alors je pisse içi, hips !

Consternés, les Wrestling Class Heroes retournent vers l'entrée.
Une fois que Joe les a rejoint les voilà qui entrent dans la demeure. Un orchestre les attend dans le grand hall d'entrée, ou sont dressées des tapisseries ornées du Blason des WCH.




Joe: Ouah c'est chouette ca ! C'est Mozart ?

Carlito: Non je pense que c'est du Chopin.

Joe: Une chope ?

Styles: Elle me dit quelque chose cette musique. J'arrive plus à me rappeler mais ca me dit quelque chose.

Jericho et Christian arborent leur meilleur sourire de faux-cul.

"Alfred": Veuillez me suivre s'il vous plait.

Les 8 hommes sont menés par le majordome à travers le manoir. Ils traversent un vaste corridor. Les murs sont ornés de peintures classiques représentant Chris Jericho, Christian, et ... Ted DiBiase.

Daniels: Bravo, vous avez du goût ...

Styles: On comprend mieux comment vous avez eu ce manoir.

Ohno: J'aime beaucoup. Une touche de classicisme, mélangée à la modernité des personnages. Les poses sont valorisantes, et l'effet de lumière très saisissant.

Joe: Hein ?

Citation :
Erick Rowan:
Je n'ai rien dit sur le moment, mais j'ai trouvé ces peintures magnifiques. Comme quoi l'art accorde tout le monde. On aimerait beaucoup avoir les coordonnées du peintre, pour en faire pour nous !

Citation :
Christopher Daniels:
Au début j'ai cru à une mauvaise blague mais non. Ce n'était pas de l'autodérision, ces deux mecs prennent vraiment leur pied à se faire peindre en mode "Louis XIV" et n'ont pas honte d'afficher leurs liens avec Ted DiBiase...


Tout ce petit monde arrive dans une grande salle à manger. Une table immense, chaque couvert étant espacé de plusieurs mètres. Une nappe ornée de petits motifs en or, avec un "Three Times" brodé à plusieurs endroits. Une scène, où l'orchestre de tout à l'heure joue du violon sur un rythme envoûtant. Les noms de chacun sont écrit sur les assiettes, rien n'est laissé au hasard. Et à chaque place se trouve un petit cadeau.

Tout le monde prend place.

Jericho: On s'est permis de vous offrir de modestes présents !

Christian: Pour vous signifier le plaisir que l'on a à vous recevoir. Je vous en prie ouvrez les !

Joe: UNE BOUTEILLE DE GLEN MCKENNA 50 ANS D'AGE !

Carlito: DES LUNETTES QUI FONT UN FLOU COMME QUAND ON EST BOURRE !

Jericho, regardant Christian: Quel flou ?

Christian, un rictus méprisant aux lèvres: Il n'y en a pas Chris, ce sont des lunettes banales.

Styles: Mais ... c'est ma veste d'entrée.

Styles tient en effet une réplique de sa veste à capuche, si ce n'est qu'elle est ornée de petites diodes luminescentes.

Daniels: Ce chapeau est ma-gni-fique !

Ohno: Une paille en or ! Regarde Erick une paille en or !

Rowan: Ouah ! L'intégrale de Breaking Bad !!!!!

Les invités semblent tous ravis, et remercient les Wrestling Class Heroes, qui arborent toujours le même sourire hypocrite.


Citation :
Samoa Joe:
J'aime pas les riches, mais faut avouer qu'ils ont des trucs vachement chouettes !

Citation :
AJ Styles:
Aussi grandiloquent que cela soit, on ne peut que s'incliner devant un tel accueil.

Et de manière surprenante, les 8 invités se lancent alors dans des conversations banales plaisantant et se taquinant.
"Alfred" fait son retour avec un plateau de hors d'oeuvres et autres petits fours, et même ... du caviar !
Et bien sûr du champagne !

Les 8 hommes trinquent, et poursuivent le repas.

"Alfred": Je vous propose maintenant de délicieuses canelonnis à l'agneau délicatement relevées de citron et de thym !

Alfred sert les convives puis reste debout à côté de Christian.

Christian: Vous voulez quelque chose Alfred ?

"Alfred": Hum... Ce monsieur est-il satisfait du service ?

Christian: Oh je vois ! Mes excuses !

Christian glisse alors un billet de 5 euros dans la poche d'Alfred, qui retourne en cuisine la mine déconfite.

Style et Daniels qui ont observé la scène, semblent énervés mais évitent le sujet.

Joe: Délicieuses ces petites galettes apéritives !

Rowan: Ca manque d'assaisonnement je trouve ...

Ohno: Oui je trouve aussi.

Les deux hommes sortent alors leurs petits sachets de poudre, ce qui ne surprend plus personne à ce stade.

Jericho: Alors messieurs, quels sont vos projets d'avenir ?

Joe: Agrandir le Jobber Jungle et en faire un partenaire officiel de la WFA !

Christian: Grands dieux ! Tout mais pas ...

PAF


Jericho a donné un coup de pied à son partenaire, qui réprime un grognement !

Jericho: Voilà qui s'annonce excellent !

Carlito: Ouais, comme ca, tous les lutteurs de la WFA pourront venir boire un coup avant les matches !

Styles: Tu veux dire après les matches ?

Carlito: Non non, avant.

Rowan: Nous on sait pas trop, on a pas de projet à terme. On est là on s'amuse, on va battre les deux autres à One Night Stand ...

Joe: Je vous souhaite bon courage ! HIPS ! J'espère que vous arriverez à vaincre les méchants, z'êtes des bons gars !

Carlito: Euh Joe, c'est nous qu'on les affronte à One Night Stand !

Joe: Hein ? Ben zut alors !

Daniels: AJ et moi, on aime bien la WFA, et on a pas l'intention de se quitter de sitôt. On vise les titres par équipe !

Les Phenomangels sont tout sourire.
Les Wrestling Class Heroes forcent encore plus leur sourires de faux-culs à s'en bloquer la mâchoire.

Et finalement ...
"AHAHAHAHAHAHAHAHAHA"

Tout le monde rigole un bon coup, et vide sa coupe de champagne cul-sec dans un sublime élan d'hypocrisie.

"Alfred": Ces messieurs sont-ils prêts pur le plat de résistance ? Oh je vois que oui. Je vous présente notre fameux Dos de cabillaud, et son étuvée d'haricots verts en brunoise, accompagné d'une émulsion chorizo, d'un méli-mélo d'asperges et de pois gourmands en salade.

Rowan: Hein ?

Joe: Hein ?

Carlito: Hein ?

Ohno: Hein ?

Styles: Le poisson !

Rowan: Aaaaaaaaaah !

Joe: OKAY !

Carlito: Suis-je bête.

Ohno: Hein ?


Citation :
Kassius Ohno:
En fait à un moment donné, j'ai du sniffer trop fort avec la paille en or. J'ai les oreilles qui se sont bouchées, c'est un truc qui arrive souvent chez les plongeurs.


***

"Let me introduce to you ... L'Entrecôte de veau, son jus brun à la sauge, sa mousseline de petit pois et ses légumes de saison"

Joe: Chai encore du poissonnet ?

Carlito: Non c'est de l'entrecôte !

Rowan: C'est quel animal ça l'entrecôte ?

Ohno: Hein ?

Styles: Pour l'amour du ciel ...
Jericho: C'est du steak !!!

Christian: Du steak ahahahahaha ! Tu viens d'illuminer ma soirée Chris. La gastronomie pour les Nuls. Ahahahaha !

Joe: Miam !

Carlito: Je comprends plus rien.

Rowan: D'accord je connaissais pas cet animal !

Ohno: Hein ?

Citation :
Samoa Joe:
Chétais DU BON POISSONNET !


***

Joe: C'était bien sympa cette petite mise en bouche ! Et la suite ?

Jericho: Le dessert arrive !

Joe: Quoi déjà le dessert ? Mais on a rien mangé !

Christian: C'était gastronomique ! Ca te changera !

Ohno: Cette paille en or marche à merveille !

Rowan: Je peux essayer ? Steplait !

Styles: C'était ma foi mangeable, force est de la reconnaître.

Jericho: Mangeable ? On a Joel Robuchon en cuisine you idiot !

Christian: Chris tu t'emportes.

Jericho: Non je ne m'emporte pas, il est juste idiot !

Styles: C'est rien Christian, c'est l'inconscient qui parle. il sait qu'il va bientôt perdre sa ceinture, tout comme toi, il s'énerve, c'est humain. On comprend hein Daniels ?

Rowan: Oui !

Styles: Hein ?

Rowan: Oui. Je suis Daniels.

Styles: Putain encore un trip ...

Daniels: Oui AJ, on comprend.

Jericho: Espèce de petit conna...

Christian: ALFRED ENVOIE LE DESSERT ET LE DIGESTIF !

Alfred arrive en courant, et sert des crèmes brûlées magnifiquement présentées. Des femmes légèrement vêtues entrent dans la pièce, et viennent se coller à chaque personne. Cela a le mérite de faire retomber la tension.Finalement la soirée se termine sans fracas...

Et voilà tout ce beau monde réuni dans le salon. Les APA ivres et les Warlords défoncés, se livrent à un combat de shifumi par équipe. Les Phenomenangels sont assis en face des Wrestling Class Heroes, et c'est un combat de sourires hypocrites qui les opposent.


La décoration :
Phenomangels : “Prétentieuse, Trop grandiloquent, trop surjoué. Ridicule au final. ... 2/10”
Psychedelic Warlords : “Très beau, surtout les tableaux. D'ailleurs on va en prendre quelques uns discretos ! 7/10”
APA : “Trop propre. 4/10”

L'accueil :
Phenomangels: “Des cadeaux sympas mais un peu imposés ... et une insulte que d'embaucher Sting, le Grand Sting come majordome. Après Dixie, ça ... Et puis les prostituées ... aucune morale. 2/10 !!!”
Psychedelic Warlords : “Très classe, Chris et Christian ont été cool, le majordome était sympa mais il nous a fait chier à mendier toute la soirée pour une pièce. Ca fait un peu tâche. 5/10”
APA : “Très cool, rien à redire, supers cadeaux, Sting était là en plus ! Petit orchestre bien sympa. Et les vécéaches étaient très souriants, c'était bizarre. Mais les dames étaient gentilles. 6/10 !”

La nourriture :
Phenomangels : “Très bon, rien à redire ... Malheureusement. 7/10”
Psychedelic Warlords : “ Aucune prise de risque, trop facile, trop convenu... 2/10”
APA : “Trop léger, on a faim. 2/10”


******************************************


Les quatre équipes en course pour la victoire finale se retrouvent dans le salon des Wrestling Class Heroes pour la révélation des notes générales et par conséquent, le nom du vainqueur. Rassemblés autour d'une table basse et de quelques coupes de champagne mises à disposition par la production, les huit catcheurs de la WFA attendent fiévreusement les résultats.

Citation :
AJ Styles : Je suis persuadé qu'on va gagner. Nous avons été honnêtes, humbles, sérieux jusqu'au bout, et s'il y a bien eu quelques incidents, ils ont été bien moins importants et graves que chez nos adversaires.

Christopher Daniels : Et d'ailleurs ils ont été uniquement de leur faute, et du fait de leur absolue mauvaise foi. Mais qu'importe les tactiques et les combines de chacun, nous avons vraiment présenté le dîner le plus sincère et réussi de la semaine.

Citation :
Samoa Joe : On ne peut pas perdre! Franchement, vous vous souvenez de notre soirée!

Carlito : Ca nous arrangerait parce que nous c'est pas tout à fait le cas pour être honnête.

Samoa Joe : Mais enfin, de ce qu'on s'en souvient, c'était l'éclate totale! Et puis merde, ça nous a coûté une télé cette histoire!

Carlito : Notre pauvre ami John Laurinaitis n'a pas encore totalement décuvé de la soirée. Et contrairement à nous il a pas retouché à une seule goutte d'alcool depuis...

Samoa Joe : On va gagner, vous inquiétez pas.

Citation :
Erick Rowan : La victoire? Impossible qu'elle nous échappe.

Kassius Ohno : On est les seuls à avoir proposé un dîner au grand air, avec des plats originaux, faits maison.

Erick Rowan : Comment voulez-vous qu'on perde avec le pâté en croûte que leur a proposé? Nous même on a tenu trois jours dessus!

Citation :
Chris Jericho, et Christian, parlant d'une seule voix : La victoire? Oh, vous inquiétez pas. (Ils marquent une pause) On a tout prévu pour.

Les Psychedelic Warriors sont les premiers à décacher l'enveloppe contenant leur moyenne.

Kassius Ohno : “4,1”

Erick Rowan : Hein?

Kassius Ohno : “4,1, t'as bien entendu.”

Erick Rowan : “Putain.”

Sans perdre de temps, c'est au tour des APA d'ouvrir leur enveloppe.

Carlito : “4,7”

Samoa Joe : “Léger, mais en amuse-gueule ça passe.”

Carlito : “Non, c'est notre note.”

Samoa Joe : “Ca reste léger.”

Les Phenomangels enchaînent à leur tour dans l'espoir de battre le score de leurs prédécesseurs.

AJ Styles : “4,6”

Christopher Daniels : “Enfoirés.”

Les dés sont jetés! Les Wrestling Class Heroes vont décacheter leur enveloppe, la dernière de la compétition! Qui est le vainqueur de cette édition WFA d'Un Dîner Presque Parfait?

Chris Jericho : “Oh ben ça alors, ça c'est une surprise...”

Christian : “Presque une déception!”

Chris Jericho : “Non, j'ose pas, charge-t-en, toi.”

Christian : “Mais non, n'aie pas honte, ça reste honorable.”

Chris Jericho : “Si t'insistes...”

Y2J retourne le bout de papier en direction de la caméra avec inscrit dessus la moyenne qu'il répète à voix haute : “9,7”

Les Wrestling Class Heroes l'emportent! Sans doute dans un état second, les Warlords et les APA, simplément déçus de s'être inclinés, applaudissent poliment. Mais les Phenomangels, eux, ne sont pas dupes, et font savoir avec virulence leur colère face à ces résultats.

AJ Styles : “Bravo, les gars, vous auriez pu tricher de manière un peu moins évidente.”

Christian : “Persiflage! Vous n'accepterez donc jamais votre défaite. Évidemment vous avez perdu, mais jamais de votre faute.”

Christopher Daniels : “On nous la fait pas à nous! On vous a foutu des 3, des 4 ou je ne sais plus quoi, et vous vous ramassez cette moyenne? Vous foutez pas de notre gueule!”

Chris Jericho : “Je vous interdit de remettre en cause notre éthique morale, vous deux! D'ailleurs regardez bien les bulletins, il est mentionné dessus que les résultats ont été établis sous contrôle d'huissier!”

AJ Styles s'exécute rapidement et reprend le bout de papier où est inscrit sa moyenne de 4,6.

AJ Styles : Alors, voyons voir... “Les résultats et moyenne respectives de chaque équipe ont été établies sous le contrôle officiel d'huissier de justice, en l'occurence par maître Gilbert Co... COLLARD!” Bande d'ordure, vous allez payer ça!

Chris Jericho : Monsieur Collard est un grand avocat, intègre et sans reproches!

Christopher Daniels : Le pantin des millions de DiBiase oui! Jouez pas au con, vous en faîtes déjà bien assez au naturel!

Et sans prévenir les Phenomangels se jettent sur les Wrestling Class Heroes! En bousculant au passage les APA qui viennent se mêler à la bagarre qui devient générale lorsque les Warlords décident à leur tour de s'attaquer aux APA! C'est le chaos! Samoa Joe envoie valser Kassius Ohno PAR-DERRIERE LE CANAPÉ! Et Pele Kick d'AJ Styles sur Carlito! Rowan et Joe commencent à se jeter l'un sur l'autre et finissent par sortir du cadre dans leur élan! ET CODEBRAKER de Jericho sur Daniels! Et SPEAR de Christian sur Daniels! Les Wrestling Class Heroes sont déchaînés! Ils ôtent leurs vestes encombrantes et c'est alors que Jericho bloque les jambes de Daniels... Le Walls! Le Walls! Le Walls! Walls of Jericho porté sur le Fallen Angel! Pendant ce temps-là, Captain Charisma contemple son adversaire souffrant le martyr sur le soumission de son ami ; il relève un AJ Styles groggy... et lui porte son Killswitch à travers la table basse! Celle-ci explose en dizaine de petits éclats de bois tandis que Styles, inconscient, ne peut esquisser la moindre réaction. A ses côtés, Jericho a lâché son emprise sur un Daniels pas en meilleur état.

Les Wrestling Class Heroes, les deux seuls encore debout dans ce désordre ambiant prennent la pose, triomphants et confiants dans l'issue de leur rencontre à One Night Stand. C'est sur cette image que le générique de fin de l'émission se lance.
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Clown Bastard
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 23:21

WCH a écrit:
Chris Hero : “Hmm...”

Kassius Ohno: “Eh bah putain...”

Ah ben merde alors ! Je m'ai dédoublé ! XD
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MessageSujet: Re: One Night Stand 2014   One Night Stand 2014 - Page 3 EmptyDim 13 Avr - 23:27

PROMO KEVIN STEEN


 
Le public est euphorique au moment d’accueillir celui que l’on surnomme dans le milieu Mr.Wrestling. Pourtant, lorsque Kevin Steen finit par apparaître en haut de la rampe d’entrée, il a la trogne des mauvais jours. Un micro dans la main, il prend la direction du ring sans prêter attention aux applaudissements. Très vite il arrive sur la surface de combat et se place au milieu du ring, toujours sous une belle pop.
 
Kevin Steen : Vos gueules. Bon, j’vais pas tourner autour du pot, j’suis pas un connard de WCH ou une lopette du Gang. Si je suis ici, c’est pour régler deux ou trois détails avant One Night Stand. J’ai affronté Cesaro au dernier RAW, et cela s’est terminé par un Draw. Depuis, à chaque fois que j’sors me bourrer la gueule pénard, y a deux ou trois rigolos qui viennent me voir et qui me demandent si je considère cela comme une réussite d’avoir réussi à faire jeu égal avec lui. Les gars, j’ai deux mots pour vous : FUCK YOU ! J’en n’ai rien à branler de la nouvelle réputation de Cesaro, j’en n’ai rien à foutre qu’il soit membre du Gang ou du club de majorette de son putain de canton de bouseux en Suisse ! Je vais éclater sa gueule à One Night Stand, je vais lui faire cracher ses dents, je vais lui faire mal … Non pas que ça m’éclate spécialement, non. En faite, ce sera un simple service rendu. Cesaro … quel nom de merde ! Sérieusement Claudio, t’aurais pas pu foutre tes couilles sur la table quand ces abrutis de bookers t’ont proposé ça ? T’étais un bon, à l’époque. Pas autant que moi, mais bon quand même. Dommage que la WFA ait bien voulu te prendre seulement si tu acceptais la vasectomie … En tout cas, j’te promets qu’à One Night Stand, je vais faire résonner le son du catch, du vrai. A grands coups de tartes dans ta gueule ! Tu vas te rappeler ce qu’est un catcheur, juré, craché (Steen envoie effectivement un molard sur le ring, provoquant le dégoût de quelques âmes sensibles).
Ça, c’était le premier point. Le truc, c’est que c’t’empaffré de JBL a décidé que j’aurais pas un connard du Gang dans mes pattes, mais deux ! Comme quoi, y a pas à chier, les texans, c’est vraiment tous des cons ! Du coup, Burchill … De Burchill, pardon … enfin, perso j’le surnomme plutôt Paulo la baltringue, mais bon, paraît que j’ai pas le droit d’le dire en vrai parce que c’est pas correct. Oh … euh … putain de merde ! Enfin bref, la baltringue, c’est quand même un putain de paradoxe. Le mec est passé en une soirée du lutteur que tout le monde plaint à celui sur qui tout le monde chie. Bravo mon gars, j’aurais pas fait mieux ! Par contre, j’me demande quand même si le calcul est bon. De moins-que-rien à pire-que-tout, la différence est mince. Tout ça pour la thune, hein … et ça se prétend challenger au titre Pure … pff … Mon gars, j’vais t’apprendre un truc : un match de catch, ça se gagne pas avec des biffetons. Ça se gagne avec les tripes, ça se gagne avec le cœur ! Tu vas en faire l’amère expérience lorsque j’écraserai ton visage de ma botte à One Night Stand ! J’vais t’éclater l’fion Paulo, y aura pas assez d’argent sur terre pour combler le nouveau truc du cul giant size que j’vais t’faire …
Je crois que j’ai encore le temps pour un dernier mot doux … alors celui-là est pour Dibiase. Et cette fois, je vous préviens, c’est du sérieux. Ted, j’vais pas t’faire le topo du challenger qui va te piquer ton titre parce que t’es une pauvre bouse et que lui est trop fort et bla et bla et bla. Une fois que j’aurai démoli tes deux sbires, ce sera ton tour de morfler. Et je te ferai pas de cadeau, ça tu peux en être sûr. Pas parce que ta sale gueule me dégoûte, non. Parce que t’as osé salir mon honneur. Le titre Pure, c’est moi qui l’aie lancé. Je voulais avoir enfin le droit à du vrai catch, avec des vrais mecs. Pas à des bagarres entre deux losers badigeonnés d’huile pour faire mouiller trois cougars devant leurs écrans. Je voulais faire la part belle à l’essence même du catch. J’ai été le premier Pure Champion de la WFA, et quand je vois qu’au bout de seulement trois ans c’est toi qui le porte autour des hanches … ça me donne envie de brûler des chatons ! Jamais tu ne devrais porter la ceinture, tu n’as même pas été foutu de gagner toi-même ton match de championnat ! T’as aucune légitimité en tant que champion Pure, t’es une insulte à ce que j’ai débuté. Faut que ça s’arrête … faut que je t’arrête …
 
 
C’est le Gang ! Ou du moins une partie, puisque Cesaro, Paul De Burchill et le Pure Champion Ted Dibiase Jr. s’avancent à présent en direction du ring. Les trois hommes affichent leur air hautain habituel et prennent tout leur temps pour rejoindre le squared circle. Dibiase se place au centre, avec à sa droite Burchill et à sa gauche la nouvelle recrue Cesaro. Tous trois fixent Mr.Wrestling avec un sourire narquois le temps qu’on leur apporte des micros.
 
Ted Dibiase : Mesdames et messieurs, voici Kevin Steen dans ses œuvres ! Félicitations mon cher, tu viens de démontrer en moins de temps qu’il n’en faut l’infériorité des québecois par rapport au reste du monde. Oh, mais pardon, j’avais oublié qu’avant de t’insulter, je me devais de te remercier. Well … merci, Kevin. Merci à la fois pour la bonne poilade et pour m’avoir donné une nouvelle raison de venir exposer mon argent … notre argent, à la face de tous les pecnos qui entourent le ring.
 
Public : Bouuuuuuuuuuuh !
 
Ted Dibiase : Oooooh … j’ai insulté le roi des bouseux et ses sujets me huent … quelle dévotion ! Bon, assez pavoisé, passons aux choses sérieuses. Laisse-moi te dire une bonne chose, bouboule : tu ne retoucheras JAMAIS au titre Pure. Tu n’auras même jamais l’occasion de le reprendre, parce que tu ne gagneras pas à One Night Stand. Ni toi, ni Punk, ni Bryan. Aucun de vous ne pourra venir à bout d’un membre du Gang, et tu sais pourquoi ? Non ? Paulo, tu peux répondre à sa place ?
 
Paul De Burchill : Avec plaisir Teddy ! Le Gang ne perdra jamais face à un trio de lutteurs des bas-fonds comme vous … parce que nous sommes les plus forts, tout simplement. Non seulement chacun de nous fait preuve d’une dextérité à toute épreuve à chaque match qu’il dispute, mais en plus de ça notre classe au combat nous rend tout bonnement intouchables. Et ce n’est pas tout ! Contrairement à vous, lorsque nous nous fixons un objectif, nous faisons tout pour y parvenir. Vous autres, les êtres dénués de savoir, vous appellerez ça … de la triche. Mais il s’agit simplement de jouer sur nos atouts. Il faut dire que nous en avons tellement … haha ! Comme l’a dit mon cher comparse, le titre Pure restera fixé autour de ses hanches après One Night Stand, et lorsque que j’aurais gagné … moi ou mon cher ami suisse, évidemment … une lutte s’engagera pour ce titre. Un combat aura lieu, et il sera exceptionnel, puisque que quoi qu’il arrive, il opposera deux lutteurs exceptionnels. Et quoi qu’il arrive, le Gang en sortira vainqueur. Parce que nous sommes les meilleurs, tout simplement. Quelque chose à ajouter, Cesaro ?
 
Cesaro : Non, non. Je connais l’animal, il a déjà lâché prise depuis un bon moment de toute façon. Dès qu’un mot de plus de trois syllabes est prononcé, son cerveau se met en mode veille, c’est plus fort que lui. Le super-pouvoir des imbéciles, en somme.
 
Kevin Steen : C’est bon, vous avez fini ? Parce que je crois que tout le monde ici n’attend plus qu’une chose : un lattage de couilles en série !
 
Public : Yeaaaaaaaaaaaaaaah !
 
Ted Dibiase : Quoi, à trois contre un ? Décidémment, tu es encore plus idiot que je le croyais …
 
 
Voilà CM Punk ! Et il n’est pas tout seul ! Daniel Bryan est à ses côtés ! Les deux hommes sont accueillis par une standing ovation de la part du public alors qu’ils viennent rétablir le rapport de force entre le Gang et la faction des ex-ROH ! Dibiase, De Burchill et Cesaro sont pris de court, alors que l’American Dragon et la Straight-Edge Superstar avancent de plus en plus rapidement vers le ring … Superkick ! Superkick de Steen sur Dibiase ! Cesaro et Burchill n’ont pas le temps de répliquer qu’ils sont déjà assaillis de coups de poing ! Ils parviennent cependant à repousser le Wrestling’s Worst Nightmare, et tentent de contre-attaquer dans la foulée … Double Springboard Dropkick porté par Punk et Bryan ! Ils ont couché les deux membres du Gang sous les hourra des fans ! Les trois heels roulent sous les cordes et battent en retraite, le tout en se tenant le crâne. Victoire sans appel des trois favoris de la foule ! Bryan et Punk montent chacun sur un turnbuckle pour fêter ça, communiant quelques secondes avec un public en liesse. Mais lorsqu’ils redescendent, tous les deux se retrouvent face à un Steen furibond ! Celui-ci peine à retenir son pied, et Bryan comme Punk reculent d’un bon mètre en se demandant ce qu’il se passe. Finalement, Kevin parvient de façon miraculeuse à se calmer, et il reprend le micro qu’il avait du lâcher dans la bataille.
 
Kevin Steen : GET OUT OF MY RING ! Dégagez de là, ou je vous fourre mon pied directement sous le nez ! Comment avez-vous osé ! C’était mon putain de combat ! Dégagez !
 
Les deux lutteurs se regardent, et décident d’un commun accord de sortir du ring, sans trop comprendre ce qui pousse Kevin Steen à agir ainsi.
 
Kevin Steen : Je vous préviens, pour moi vous êtes des adversaires au même titre que ces trois guignols ! Rien à foutre que vous soyiez des ROH Originals ou je sais pas quoi, vous êtes sur mon chemin, et je vais vous aplatir aussi bien que les trois autres ! Je ne suis pas votre putain d’allié !
 

Kevin jette son micro au sol alors que Punk et Bryan, arrivés juste en-dessous du titantron, lui lancent des regards désapprobateurs. Pour seule réponse, Steen lève les majeurs dans leur direction. La pub est lancée durant cette double partie d’intimidation. Vivement One Night Stand !
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