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 Promos KOTR 2016

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Flying Panda
Glorieux Ursidé
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 15 Mar - 20:35

T'es Ioutubeur maintenant ?

damn

C'est vraiment devenu un métier d'avenir... Je suis né trop tard dans un monde trop antique...


Et je te rejoins pour le coup des promos. je suis dans le même cas ;) 
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Gbacca
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 15 Mar - 20:52

Moi non plus j'ai pas gagné un match de ppv depuis Mania, on fait une ronde Razz cheers I love you



(le dernier de mon écurie à enchaîner les victoires a rejoint les deux autres en fait, il s'est mis au niveau Sad )

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MrCoffeeInTheBank
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 15 Mar - 22:54

Promo de Matt Hardy


"Quelle désolation!", se disait-il, enjambant les seringues brisées, les canettes vides et les cadavres de rats en décomposition. "Comment peut-il vivre encore là-dedans?! Greg ne m'avait pas menti!" L'endroit, il fut un temps lieu d'échange et de festivités, avait bien changé depuis l'exode massive. Depuis, l'endroit avait été laissé à l'abandon. "Et dire que je me coltine comme manager" Soudain, Matt se tut. Il arrêta d'éviter de tacher son costume impeccable et tendis l'oreille. Il y avait comme un murmure sinistre qui passait par la porte, d'où sortait une timide lumière.

J'étais là. A chantonner un air que l'on me chantait quand j'étais enfant. Mon visage était impassible, mon corps bougeait sur l'air mélancolique. Je me reposais. Je fermais les yeux. Mes pieds sur le bureau, façon patron. J'étais le plus heureux des hommes. Une nouvelle feud avec Swanton Bomb. Des ceintures à gogo. Une Diva dont j'adore le booking. Une tag team toujours aussi populaire. Que demander de plus?
Matt frappa à la porte. Ca ne pouvait être que lui. Mon agenda était plein, mais je sentais que c'est lui. Il entra.

Le plus vieux des frères Hardy ne pensait pas voir pire. Entouré de gobelets de café, dans une salle poussiéreuse, les pieds sur un bureau vétuste, enveloppé dans une robe de chambre trouée, était son manager. Il frisonna à l'idée que c'était lui son manager, qu'il rencontra pour la première fois. Pourquoi voulait-il le rencontrer? Pourquoi maintenant alors qu'il a fait son retour depuis Summerslam?

Ah quel plaisir de le revoir! Il me parait toujours autant en forme, mon champion! Je l'accueillis comme il se doit. Avec une bonne poignée de main! Et un bon café chaud!

Matt trembla d'effroi. La main de son manager était si fine que le contact de ses os lui fit penser à la mort. Et le gobelet dans lequel Coffee avait servi une étrange mixture qui réchauffait dans une cafetière depuis Dieu sait quand était percé. Mais est-ce que Coffee en avait seulement conscience.

Tiens? Il ne boit pas son café? On va briser la glace.
-Assis-toi, vieux frère!
-Coffee, tu as vu l'endroit dans lequel tu es?! Allez, viens!
-NE ME TOUCHE PAS!

Matt était surpris par le hurlement de Coffee. Inconsciemment, il recula de quelques pas.

Mon univers... il... Matt me l'a brisé! Personne ne pourra donc me laisser imaginer ce que je souhaite? Me remémorer la prestigieuse dynastie de la WFA? Suis-je condamné à la voir mourir? Et... et lui?! Pourquoi me regarde-t-il ainsi? Oh je vois. Il me voit comme un doux dingue. Voire un fou à lier.

Que faisait-il ici? Pourquoi avoir accepté cette offre de revenir à la WFA?! Matt était dans la merde. Il aurait dû écouter les conseils de Swanton, qui lui disait qu'il n'était plus le même depuis le départ de Mensah-X, mais il pensait que c'était une façon de le déstabiliser. Matt se souvient en plus de ces histoires de disparition de Greg Helms. Ce jour-là, ce fut la première rencontre entre Coffee et le Hurricane. On entendit un coup de feu, puis les vautours s'en allèrent.
Autant en finir au plus vite.

-Coffee, on... on va s'expliquer. Je viens rompre mon contrat!
-Qu... Quoi?!
-Je suis désolé, mais je souhaite partir de la WFA!
-Mais pour quelle raison?
-Je... c'est compliqué.

Compliqué? Quand on sait que Matt aurait préféré avoir n'importe quel autre manager!

-Je vois, repris-je. Malgré tout ce que j'ai fait pour toi! Je me suis saigné pour toi! Personne ne voulait de toi! Je t'ai donné les ceintures par équipe sur un plateau d'argent! Et une feud avec ton frère! Et un King of the Ring qui te tend les bras!
-Calme-toi!
-Et maintenant, tu veux partir! Comme tous les autres!

Coffee prit la chaise en paille et la jeta sur le restant de vitre qui se brisa. La chaise s'écrasa trois étages plus bas, au pied de l'entrée de l'Asile. Matt fut surpris de voir Coffee se caler sur le bureau. Et sangloter.

-Je suis alors réellement condamné?!
-Condamné à quoi?
-Mensah me manque.
-Je ne comprends pas....

Coffee se leva. Il tira de son tiroir un revolver. Une envolée de vautours arrivèrent près de la vitre. Matt sursauta en les voyant

-Je n'ai jamais eu de chance, poursuivit Coffee. Je suis condamné à vivre ici. Jusqu'à mon dernier soupir. Je pensais pouvoir imaginer la WFA comme elle devrait être. Je pensais revoir Mensah.

Il chargea son revolver de 5 balles. Matt sua à grosses gouttes.

-Avec 5 balles sur 6, je devrais en avoir ce soir.

Il braqua son arme sur son catcheur... Puis posa le canon sous sa gorge.

Il tira.

Les vautours s'envolèrent.


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Diabolo
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 16 Mar - 15:42

PROMO AJ STYLES

Je ne sais pas écrire. Ce qui suit n'est pas un exercice de style. Ni une œuvre littéraire. Mon œuvre oui, oui. Après tout, on voit tellement de merdes. Musso, Levy, Abécassis et autres conneries du genre. Pourquoi pas ? Je comprendrais que tu ne veuilles pas t'emmerder avec le vulgaire pamphlet d'un pauvre type, d'un hooligan à la con. Un hools parmi tant d'autres. Mais pas sûr que tu perde ton temps à me lire.

A force d'entendre toujours les mêmes stéréotypes. Le couplet assommant sur les stupides décérébrés qui ne pensent qu'a se mettre sur la gueule, sans aucun autre but que celui de faire chier les gentils, les vrais supporteurs. Ceux qui le football est communion ou passion, ou les deux. N'est-il pas temps d'entendre autre chose ? De rétablir la vérité ? Au moins une vérité, mais pas celle des sociologues, ou pire, des journaleux infiltrés. Avant tout, et pour te mettre à l'aise, je vais être claire: Je suis un étranger, fils d'immigrés, né banlieusard et patriote. Voila, ça c'est pour calmer ta conscience abrutie à longueur de journée par la bien-pensance médiatique.

On ne devient pas hools du jour au lendemain. On se réveille pas un matin en disant devant la glace en se rasant: Tiens, j'ai décidé de faire chier les gens aujourd'hui, je vais cogner quelqu'un ! Tous les hools te diront. On a tous connu notre big-bang. Le choc qui te fait basculer du côté obscur. Dans mon cas, ça s'est fait par étapes.

Pour moi, tout à commencé le 15 mai 1993. OM/Milan, coup de tête de Boli, victoire en Ligue des champions, Tapie et Bernès en larmes dans ma télé. L'horreur, Freddy 4, l'exorciste, tout ce que tu veux, ça me conviendra. Dans mon quartier de merde de ma banlieue parisienne de merde, c'est la fête. Faut dire qu'à l'époque, ils sont tous pour l'OM, étant donné que la majorité est renoi et rebeu, black, blanc, beur si tu préfères, mais sans le blanc. Moi je suis un Renoi et je supporte le PSG, autant dire une sorte de traitre pour la communauté. Parce que le PSG, c'est un mix de feujs( facteur aggravant) et de capitale. C'est la France élitiste, bourgeoise, raciste, par opposition à Marseille, la multiethnique, l'acceuillante, le bled quoi ...

La France, elle nous à parqués comme des bêtes, elle s'est servie de nos parents pour la reconstruire et ils ont courbé l'échine, ces cons-là. Mais nous, ça ne sera pas pareil. Ah non non ! Nous, on ne se laissera pas faire. D'ailleurs, si elle ne nous aime pas, on ne l'aime pas non plus (Maurice Pialat R.I.P) On se prend ce qu'il y a à prendre ici, dans ce putain de pays de merde, et puis après, nique sa mère, on investi au bled, on va rendre la dignité à nos parents. On va reprendre ce que ce putain de système leur à volé, et tout ça en complet Lacoste-badckets Nike à 1000 balles monsieur, oui monsieur, voilà pourquoi on aime l'OM et on deteste le PSG...

Il paraît qu'ado, on se construit en opposition à nos parents. Bah moi c'était par rapport à la cité et à son environnement. J'entendais bien leurs arguments, mais ça ne me parlait pas. Au contraire, l'hypocrisie communautaire me sautait aux yeux. Les voir se galocher au coup de sifflet final, au nom d'une pseudo-alliance contre le méchant Blanc Français (Paris quoi), en occultant à quel point les Rebeus et les Renois ne peuvent pas se blairer, pire à quel point un Algérien ne pouvait blairer un Tunisien, un Antillais, Un Africain, un Camerounais, un Ivoirien et j'en passe. Tout ce me fesait doucement rigoler. En revanche, je voyais bien en vrai que le seul truc qui pouvait nous reunir, c'était la République, l'universerlisme, le concept liberté, égalité, bla-bla. Par je ne sais quel mystère et en opposition à ce Marseille multiethnique, le PSG était censé représenter cette chose horrible: se considérer comme Français. Pas de doute, je me sentais bien alors bien au PSG.

Pour être honnête non ... Non ... Je n'aime pas trop les gens qui emploient cette expression, ça sonne faux-cul. On va plutôt dire: Pour être tout à fait franc. Pour être tout à fait franc, donc, je t'ai menti il y a quelques minutes de cela, ou quelques heures, selon ta vitesse de lecture: mon véritable premier big-bang, je l'ai connu dix ans plus tôt. PSG-Nantes, 11 juin 1983. Le Parc des princes. J'y étais. PSG/Nantes. La légende veut que ce soit la plus belle finale de Coupe de France. Le but de ouf de Touré, la frappe de Susic, la baiser sur le sol de Borelli (trois fois). Il l'as fait mieux que l'année d'avant, le bon Francis. Bon j'avoue, je n'ai rien vu de tout ça, j'avais 8 piges. J'étais trop occupé à admirer le stade, ses couleurs, le bruit, l'ambiance. Le but de Susic, j'l'ai vu, on s'était déjà tous levés sur le dribble sur Adonkor. Il faut dire que mon père m'avait littéralement arraché du siège en me tirant par le col. Il était à fond, le daron, il s'évertuait à m'expliquer ce qu'il se passait sur le terrain et dans les tribunes. Il me montrait ou je devais m'extasier. Une sorte de maître de Yoga en beaucoup plus hystérique. Un Yoga supporteur, quoi. De toute façon, ça aurait pu être un match de merde, une ambiance de merde, j'aurais quand même adoré. Mon père me disait que c'était bien et je le croyais. Quand ton père assure, t'as tendance à le croire, comme le fils de Begnini sans la vie est belle. Au coup de sifflet final, on a embrassé le stade. J'ai exploser mes poumons, on a gagné, ouais !! On a gagné !! Une vrai communion. Tout le monde criait, tout Paris criait. Tous les parisiens, tous fiers, tous français. A 8 piges, ce genre de chose te marque, forcément. Surtout que six jours avant. t'as Noah qui avait gagné Roland Garros! T'imagine la semaine pour mon père, Camerounais et supporteur du PSG ? La plus belle de sa vie, comme il disait, quitte à le vexer ma mère pour avoir mis son mariage et l'accouchement de ses mômes en respectivement 3 éme et 2 éme positions. Mais lui, rien à foutre. Laissez-le kiffer ... Pour une fois ... Le pauvre, il avait débuté l'année avec la désillution socialiste qui commençait déjà à trahir toutes ces promesses électorales, Attali, la rigueur, tout ça ... Alors s'il vous plait, laissez-le apprécier. Moi, ce soir là, j'ai basculé du côté "éclairé" de la Force. Le logiciel PSG gravé à vie ... Parce que avant d'être un hools, je suis (j'était) un supporteur.

Supporters, Supporters. A l'époque, en banlieue, dans le début des années 80, c'était soit Paris soit ..rien. Il n'y avait pas de pro-OM en banlieue. Les grandes équipes s'appelaient Bordeaux, Nantes et à moins d'être franchement porté sur la bouteille, tu ne supportais pas Bordeaux ... Et puis Footix n'existait pas encore ... Et puis tout ça, c'est surtout un truc de gamins d'ados. Les grands dans le quartier, eux, ils s'en battaient les couilles du PSG, de l'unité ... Ils avaient autre chose à foutre. Les Blacks et les Arabes vivaient dans ce climat dans ce qu'on pourrait appeler un climat de guerre froide. Pas du tout dans le même délire, les mecs. Les Blacks que les Rebeus kiffaient, c'étaient les chanteurs de funk avec leur Curly dégoulinant. A coter de ça, ils étaient à bloc sur Scarface, un truc de fou. Au point de se donner tous des surnoms italiens. Que Tony Montana soit cubain dans le film semblait curieusement passer inaperçu. Tellement perchés qu'aujourd'hui, tu retrouve les mêmes surnoms dans leurs pizzérias: cher Gino, Pizza Enzo ... Les Renois eux, leus héros ne s'appelaient ni Arnold ni Willy mais plutôt Clubber Lang. Qui ressemblait étrangement à un pote de mon grand frère qui venait souvent à la maison, aussi souriant, aussi sympathique. Il me fesait flipper. Tous blacks, tous enervés, accoutrès comme s'ils partaient en guerre. C'est à cette époque que j'ai entendu parler de Yves le vent, des Blacks Dragons, des skins.

Bon, moi, je ne pense pas comme ça, j'ai 8 piges, j'suis trop petit. Et puis con comme je suis préfère collectionner et partager mes images Panini avec d'autres Youssef (pas encore barbisé) et David (pas encore sionisé). Regarder "Récré A2" Me rincer l'œil avec la Plyamate de Collaro et le générique de "Gym tonic". Dans une émission devenue culte, un jour Véronique et Davina ont même invité Bernard Tapie. "Tiens ! Il a une grande gueule d'enculé lui ! Je me suis dit à c'époque.)

Sinon, je vais bouffer à quatre heures les délieuses crêpes Suzette de madame Roblet, la maman de mon pote Sébastien (qui répond désormais au nom de Mabrouck Ben Mahmoud). On débat des heures de qui est le plus fort entre Platini, Susis ou Giresse. Et puis, j'étais tellement passionné par Paris et son histoire que je dévorais les encyclopédies qu'en 1976 un charlatan avait vendues plus de 15 000 balles à ma mère illettrée à l'époque de l'achat. Bref, pour des trucs à la con. Pire, j'ai adoré mon école primaire, t'imagines ?

AJ Styles se réveille en sursaut à cause de son mauvais rêve à cause de l'horrible personnage de Silas " Je vais le battre et l'éliminer, ce monde sera meilleure"
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Gbacca
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 16 Mar - 17:47

Promo Britani Knight






Cyber Sunday... Cyber Sunday et mon mariage raté... en direct, à la télévision, avec ma famille. Et ce numéro... voilà donc tout ce que j'étais pour lui. Il m'a trahi. Mais il n'est pas le seul. Georges m'a trahi. C'est lui qui m'a poussé à ne pas limiter ma vie à la WFA, au championnat, à ces trois titres que j'ai conquis. Sauf que... non seulement cela a donné des armes à Mickie James pour m'éloigner de la course... et que tout cela n'a conduit qu'à un désastre. Je n'ai plus rien... plus d'amour, plus de titre, plus d'amis. Tous ils m'ont poussé à changer... à cause d'eux je n'ai plus rien, je ne suis plus rien.


Je regarde Smackdown dans ce bar perdu, j'ai jeté mon téléphone, j'en avais assez de ne pas répondre aux appels d'AJ, de Mimi, de Georges, de mes parents. Moi qui était une combattante fière et prête à tout pour arriver à son but je ne suis plus qu'une marionnette, qu'une petite poupée dont la seule différence avec les barbies est la peau pâle et les cheveux noirs. Je ne suis plus qu'un produit de consommation, qu'on a pris et qu'on a jeté. Et je ne parle pas que de ce qu'a fait Brian... non... le public se fout de mon sort tout autant que lui. Les seuls qui s'intéressent à moi sont ceux qui m'ont trahi. Les seuls qui s'intéressent à moi sont ceux que je ne veux plus revoir.


Alors que je reprends une bouteille de vodka, que j'achète en liquide, il m'en reste encore assez, je découvre que désormais je ne serai plus que payer à l'apparition. Comme si j'allais revenir à la WFA après ça... après cette humiliation. Comment pourrai-je affronter les regards, les moqueries... non, cette fois s'en est fini. Ma vie a perdu tout sens, il n'y a pas de retour possible. Je jette un oeil aux autres tables, moi qui me suis installée, seule, au fond, mon identité dissimulée grâce à des vêtements amples et communs ainsi qu'une paire de lunettes noires sur les yeux. Certains regardent le show, ils sont, pour la plupart, en groupe, des amis, des couples, je me demande s'ils se doutent que leurs petites saynètes ne trompent qu'eux-mêmes. Quand les masques seront tombés, il ne restera plus rien. L'homme est un loup pour l'homme, je l'avais oublié, et la retour à la réalité a été difficile.


Une fois le show terminé, je quitte les lieux, en emportant le reste de ma bouteille. Je déambule dans les rues, à moitié aveuglée par les néons. Je reste sourde aux bruits de la nuit, véhicules comme individus. L'avantage de ces grandes villes, c'est que tu pourrais crever la bouche ouverte à côté des passants... personne n'y prêterait attention. Je finis par regagner le motel minable où je loge. Le concierge me supplie de ne pas tâcher les draps ou la moquette. Je lui file quelques billets de cent, je ne sais même pas combien à vrai dire, et j'articule difficilement un " pour le ménage ". J'entends qu'il grommèle avant de prendre l'argent. Je me traîne jusqu'à l'ascenseur, je rate le bouton du troisième étage, deux fois. L'attente est plus longue, du coup je me retrouve quasiment à cours de vodka quand j'arrive au bon étage. Je ne me rappelle plus quel est mon numéro de porte... je pars sur ma gauche et je m'effondre contre le mur, mes jambes ne me portent plus. Je m'avachis tranquillement. Au moins il fait chaud, c'est toujours ça.


Quand je me réveille, je suis allongée sur mon lit, dans la chambre. Je ne sais pas comment j'ai atterri là. Pendant un instant je crains de m'être fait voler mon pactole, ou d'être accompagnée. Mais non, je suis seule. Je suppose que j'ai dû réussir à me traîner jusque là. Mes soupçons se confirment quand je réalise que les clefs de la chambre sont du mauvais côté de la porte qui était restée entrouverte. Mon crâne me fait atrocement souffrir, mais moins que les premières semaines. Je sens une douleur aux pieds, je vois du sang sur la moquette. Visiblement j'avais cassé la bouteille en rentrant. J'ai mal. Je me dirige en zigzaguant avec la salle de bain... enfin si on peut appeler ça une salle de bain. Si Mickie ne m'avait pas privé de tout durant notre rivalité... je n'aurai jamais pu m'adapter. J'ôte les morceaux de verre. La douleur est insoutenable quand je retire le plus gros morceau. Je vomis dans la baignoire. Plusieurs fois. J'ai mal à la gorge et au ventre maintenant. J'ai faim. Mais j'ai pas envie de manger. Je nettoie la baignoire, je retourne dans l'autre pièce, j'ouvre les rideaux. Visiblement il est plus de midi et ce foutu soleil m'aveugle, en plus de me donner mal à la tête. Mon bras me protège de ses rayons le temps que ma vue s'adapte. Les rues sont pleines, les klaxons me font mal à la tête eux aussi. La vie continue, sans moi, j'en ai bien conscience. Il me reste quelques bières. Le petit déjeuner parfait. J'en avale deux cul sec, j'avais soif. Mauvaise idée les bulles... ça remonte. J'arrive à temps au-dessus de la cuvette. Par chance elle était ouverte. Je tire la chasse, j'enlève mes vêtements, je me douche. J'ai même pas de shampoing, encore moins de savon. Tant pis. Je nettoie vaguement mes vêtements sous la douche, avec un peu de chance ils seront un peu moins sales et puants. Ce sont les derniers qu'ils me restent de toute façon. Je pourrai en racheter... mais j'aurai besoin d'un minimum de lucidité pour ça. Et je ne veux plus être lucide.


Je dors encore un peu le temps que mes vêtements sèchent, et je les renfile. Je retourne à l'accueil, je règle ma note, je vais changer d'hôtel, sinon Georges va finir par me retrouver. Je sais qu'il me cherche, je sais qu'il a déjà dû trouver le téléphone, je ne veux pas qu'il me trouve moi. Pourtant... c'est évidemment ce qui finit par arriver, quelques soirs plus tard alors que j'entame ma deuxième bouteille de vodka, dans un bar miteux où les motards qui zonent dans les lieux ont la décence de me foutre la paix depuis que j'en ai assommé un avec ma première bouteille. La patronne ne m'a pas foutu dehors non, elle a assuré qu'il l'avait bien cherché, que les hommes sont tous des porcs. Je l'ai écouté, j'ai hoché la tête. Pas envie de parler, même avec quelqu'un avec qui je pourrai être d'accord sur le fond. Mais dire que les hommes sont des porcs tout en les servant, ça passe moyen. Georges est arrivé, dans son costume impeccable, comme d'habitude. Il s'est installé à côté de moi. Il n'a rien dit, il m'a demandé de l'accompagner dehors. La patronne m'a demandé si j'avais besoin d'un coup de main. J'ai fait non de la tête. Je l'ai accompagnée, après une autre lampée de vodka.


La limousine était là, garée sur le parking minable, au milieu des motos. Georges n'avait jamais été doué pour se fondre dans un paysage, il disait que le paysage devait s'adapter à lui et par l'inverse. Je vis dans ses yeux son inquiétude. Il voulut me serrer dans ses bras, je le repoussai. " Désolé, me dit-il de sa voix fatigué. Vous avez assez fui Mademoiselle Knight, laissez-moi vous soigner.

Votre dernier remède était Brian, Georges. Vous n'êtes plus à mon service.

Je suis à celui de vos parents, me répondit-il.

Vous leur direz que je ne veux pas être retrouvée.

Vous ne devez pas renoncer à la WFA à cause de...

Vous m'avez fait renoncé à mon titre pour lui... vous m'avez fait renoncé à ce que j'étais pour lui. J'ai changé, à cause de vous. C'est terminé. Maintenant, partez, laissez-moi. Je n'ai plus besoin de vous, de votre conseil, de votre prétendue sagesse. J'ai été humiliée... alors que j'ai trahi tout ce que j'étais... parce que vous disiez que je serai plus heureuse. J'ai goûté à votre vision du bonheur. Maintenant... foutez-moi la paix avec vos discours paternalistes et dépassés. Je ne veux plus de vous, je ne veux plus entendre parler de qui que ce soit.

Il m'empoigna. Je ne peux pas vous laisser mademoiselle, pas dans cet état.

Je lui envoie un coup de genou dans les parties intimes. Il ne s'y attendait pas. Je suis dans l'état dans lequel vous et tous les autres m'avez mise. Alors laissez-moi ".


Je quittai les yeux ensuite, et continuai à boire durant des semaines. Mais le chagrin ne passa pas, bien au contraire, il s'amplifia même. Je me surpris à me sentir complètement abandonnée, par ceux-là même que j'avais rejeté. Il m'avait tous abandonné, Brian, Georges, Mimi, AJ... ils m'avaient abandonné au moment où j'avais le plus besoin d'eux. Je les haïssais... presque autant que je me détestais. Presque autant. Finalement, une nuit, après avoir bu plus que de raison, j'étais là, sur un pont. En dessous, le trafic. Je montais sur la rambarde. Je n'avais plus qu'un pas à faire. Je pleurais à chaudes larmes... je devais mettre fin à la souffrance. Le néant était toujours une meilleur option que la douleur. Je n'avais pas d'autres solutions. Je titubais... je manquai monter. Je m'affalai sur la rambarde après cette chute, et je me mis à pleurer plus encore. Je fermai les yeux... ma respiration se fit plus lente. Je retrouvais mon calme, mes esprits... alors... je roulai. Je tombai, la chute fut rude, la douleur atroce. Je n'étais pas encore morte. J'entendis un crissement. Une nouvelle douleur puis... plus rien.

Lorsque je me réveillai, je ne sus pas combien de temps s'était écoulé, ni même où j'étais. Je n'étais pas morte. je m'étais ratée... pourtant... je n'étais pas à l'hôpital. Un homme était là, assis. Il veillait sur moi. Il se pencha vers moi et me sourit. " Britani est morte... vive Britani ". Et il éclata de rire...





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Jean-do
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 16 Mar - 21:32

PROMO Matt Sydal

Matt Sydal, étant considéré comme le bon gars sur le ring, estune personne très sympathique et aimable.
Lors de son interview, il nous a parlé de sa carrière, de sa famille et de WFA.

WeeMove : Pourquoi et comment êtes-vous devenu un catcheur?
MS : J’ai toujours été un grand fan de WFA, lors de mon premier match j’ai dit à mon père « C’est ça ce que je veux devenir : une super star de WFA ! » et après cela j’ai fait tout mon possible pour le devenir. Je vis mon rêve à ce moment précis, j’ai toujours voulu faire cela.

WeeMove : C'était donc un rêve d'enfant ?
MS : Oui, exactement.

WeeMove : Avez-vous une famille ? Qu'en est-il des enfants ?
MS : Non, je n’ai pas de femme ni d’enfants, j’ai seulement mes parents et mes deux petits frères, . Je suis très souvent loin de la famille, donc je les vois très peu.

WeeMove : Que pense votre famille du catch ?
MS : Ils n’étaient pas très fans au début, mais ils le sont devenus en regardant le catch avec moi.
De plus j’ai promis que j’allais finir mes études et ensuite m’entraîner pour réaliser mon rêve, ils m’ont soutenu depuis le début.

WeeMove : Pensez-vous que cela peut être une mauvaise influence pour les enfants ?
MS : Non, pas vraiment une mauvaise influence juste en regardant le catch parce nous sommes des grands professionnels, mais s'il vous plaît n’essayez ça nulle part, ce que nous faisons est très difficile et il faut beaucoup d’années d’entraînement, on s’entraîne chaque jour pour ceci, donc s'il vous plaît, regardez et appréciez le catch et surtout n’essayez pas de faire pareil à la maison.

WeeMove : Comment voyez-vous la suite de votre carrière ? Et que dire de la retraite ?
Dolph Ziggler : Je veux continuer avec WFA pour longtemps, remporter plusieurs championnats et mon but est de devenir le meilleur catcheur de WFA.
Pour la retraite, je ne me vois pas dans les années à venir, je me sens en plein forme, je pense que je suis seulement en train d’arriver au sommet de ma carrière actuellement.

WeeMove : Pourquoi avez-vous choisi ce surnom ?
MS : Je pense que « Matt Sydal » est un surnom intéressant, difficile d’oublier et quand je suis sur le ring, je préfère un nom qui représente mon personnage.

WeeMove : Combien d'années d'entraînement avez-vous ?
MS : Je crois que je m’entraîne depuis dix ans et demi maintenant.

WeeMove : Et combien de temps vous entraînez-vous chaque jour ?
Dolph Ziggler : Je ne m’entraîne pas avant d’aller sur le ring mais je fais beaucoup de cardio, de la musculation, je m’entraîne constamment.

WeeMove : Comment est votre alimentation pour éviter de perdre vos muscles ?
MS :J’ai une alimentation très saine, j’aime faire beaucoup de sport, c’est un régime très simple : je mange très équilibré, beaucoup de protéines et j’évite au maximum les sucreries.

WeeMove : Avez-vous déjà eu des blessures graves pendant le catch ?
MS: J'ai été très chanceux et je n'ai jamais eu de blessures graves au cours de ma carrière, mais comme je l'ai déjà dit, ce que nous faisons nécessite un entraînement professionnel parce que c'est très dangereux. Ah si une blessure au pied pendant 2 ans mais cela est oublier maintenant.

WeeMove : Pourquoi préférez-vous être le gars «sympa» ?
Dolph Ziggler : J’ai dû travailler sur moi-même, je suis ce genre de gars et je ne prétends pas être un gars « méchant ».

WeeMove: Quel est ton Pay Per View préféré ?
MS: Mon PPV préféré était le Saturday Night's Main Event, mais on ne le fait plus très souvent aujourd’hui, peut être une à deux fois dans l’année. Je dirai néanmoins que Wrestlemania est le préféré de tout le monde, tu vis et tu meurs pour Wrestlemania.

WeeMove: Tu es un catcheur expérimenté. Quelle est ton opinion sur l’industrie du catch en général ?
MS : Je pense que c’est une industrie forte, et la WFA est très forte. Nous avons parcouru de nombreuses villes où l’économie est mal en point, mais même s’ils en sont affectés, les fans sont toujours prêts à dépenser leur argent pour venir voir la WFA. Je pense donc que la compagnie se porte très bien.

WeeMove: Quelles sont tes ambitions pour cette année ?
MS : J’espère avoir une chance pour un des championnat.
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 16 Mar - 21:39

Promo de Mickie James (trop légère, mais je n'avais pas d'inspi)

Le silence était pesant. Enfin, surtout pour Coffee. Il ne scrutait que sa catcheuse, trop occupée à taper Dieu-sait-quoi devant lui sur son ordinateur. Assis en face d'elle, Coffee se balançait sur sa chaise. Il la regardait continuellement, elle qui était si concentrée sur son travail. Une question le taraudait encore et toujours, et malgré les réponses puis les insultes obtenues, il réitère la question.

-Mickie?
-Non.
-Quoi non?
-Tu vas encore me poser la même question!
-Mais non!
-Hmm... Dis toujours.
-Pourquoi t'es devenue subitement gentille d'un seul coup?

L'espionne soupira.

-Coffee, c'est la même question. Et je t'ai déjà répondu.
-Maaaaaiiiiis! Tu ne m'as pas dit la vérité!
-Tu ne me crois pas quand je te dis que j'ai changé?
-Venant d'une meuf qui a l'habitude de manipuler les gens pour ses propres intérêts...
-Coffee...
-... qui a l'habitude de suivre le sens du vent...
-Coffee!
-... qui a trahi le GANG juste pour sauver sa peau...
-Co-Ffee!
-... et qui, brusquement décide de se comporter gentiment et qui devient bras droit de sa pire ennemie.
-COFFEE!
-J'ai fini.
-Tu m'exaspères! Tu es comme tous les autres! Pourquoi personne ne peut croire que les gens peuvent changer!? Et donc, tout le monde est gentil à vie comme The Bryan Kendrick, et tout le monde est méchant à vie comme Mickie James! Ridicule...
-J'avoue que je ne comprends pas ce brusque changement de comportement... OK, ça a fait monter les achats de tes t-shirts, et donc mon propre profit, mais quand même! Tu aurais pu m'en parler!
-Te parler de quoi? Tu m'aurais dit non! Personne ne l'a vu venir, et je ne regrette pas mon choix!
-Le pire, c'est que Serena te croit...
-Si une femme aussi intelligente qu'elle me croit, tu pourrais faire de même, non?
-Je te connais depuis plus longtemps.
-La preuve que non...Ecoute, je sais que j'ai été une petite pute par moment, mais pourrais-je avoir ma seconde chance? S'il te plait, Coffee?
-Bof... tant que tu me rapportes des ceintures et du fric!

*facepalm*

-Mais du coup, pas trop dur de côtoyer Serena?
-On a eu des a priori l'une sur l'autre, j'avoue. Mais depuis, on a compris que nous voulions la même chose : que la division féminine devienne la vitrine de la WFA. Et nous sommes sur la bonne voie. Malgré les coups de crasse faits à Britani, j'avoue que je suis contente de ce que nous faisons.
-Et la perte de ton titre...
-Une question de temps avant que je ne le récupère.
-Je vois que tu n'as pas perdu ton ambition!
-Jamais! Ce n'est pas que j'ai changé que je ne veux pas le gagner à nouveau. Il faut que j'efface le record de Britani!
-Certes! (nda Sheik Gbacca)
-Et un bon vieux Mickie James vs AJ Lee, qui pourrait y refuser?
-Good for business, comme dirait le Big Boss. Bon! Je te laisse à faire Dieu sait quoi! Allez bisous et botte-moi le cul de Swanton!
-Tu veux dire de AJ?
-Hein? Ouais ch'ais plus. Peu importe! Allez, tchou!

Coffee ferma la porte du bureau, tandis que Mickie James retourna à ce qu'elle écrivait. La caméra se tourne et nous voyons un long texte que l'espionne écrivait. Le titre du document s'appelait "La princesse : Suite féministe du Prince. Comment être machiavélique?"
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyJeu 17 Mar - 15:38

PROMO POUR REY MYSTERIO

Assis tranquillement dans son canapé il regarde ses combats WFA.



And his opponent, from San Diego California, weighing in at 175 pounds, Rey Mysterio !


OH MY GOD ! Dés les premières notes de sa musique, les fans on immédiatement reconnu le thème du mexicain sous une ovation monumentale, il sort des vestiaires et s'arrête quelques instant pour regarder le public de la WFA présent et on peux lire sur ses lèvres "MERCI". Il descend vers le ring en tapant dans les mains des fans et offre comme à son habitude un masque à un enfant. QUELLE OVATION !





Rey Mysterio (Falker) vs Chris Masters (Nossair)





La cloche sonne, les deux lutteurs sont dans leur coin du ring, sous les vivas de la foule qui haule "Rey Rey " "Rey Rey" pour le luchador mexicain masqué de retour à la WFA. Quand Chris Masters s'avance et demande une épreuve de force sous les hués du public et hurle à Mystério d'essayer de prendre lui prendre sa main déjà en hauteur. Mais Rey Mystério n'as que faire et lui donne un kick, puis un second, puis un troisième s'en est trop pour Masters qui préfère rouler à l'extérieur du ring en se tenant la cuisse gauche ... Mais Rey Mystério s'avance vers les cordes pour un Springboard Somersault Plancha parfaitement d'exécuté par Rey Rey. Il remonte de suite vers le ring, il tape dans ses mains en attendant que Masters se relève il s'élance dans les cordes et par pour un Suicide dive mais s'est contré par Masters bloque Mystério et l'envoie dans les barrières de sécurité ! Chris Masters jubile et fesant bouger ses pectoraux en regardant la caméra. L'arbitre lui demande de remonter sur le ring ce qu'il fait de suite et demande à l'arbitre de compter. L'arbitre s'exécute 1,2,3,4,5,6, 7 et Mystério se relève doucement et monte sur le ring. Masters se rue vers Rey Rey et s'acharne sur lui droite et coup de pieds. L'arbitre repousse Masters plusieurs fois avant de compter 1,2,3,4 et NON pas 5 Masters s'arrête avant et fit un signe au public qu'il n'est pas simplement une bête mais un chef d'ouvre que le public fortement. Mystério se relève doucement mais Masters le prend à une main et le met sur au dessus de sa tête en position musculation et il lui porte un milary Press qui fait chuter Mystério lourdement à l'autre fou du ring. C'est dure pour le Mexicain qui semble souffrir. Masters le prend le place entre ses cuisse et PowerBombe, il fait le tombé 1 ! 2 et 3 NON dégagement pour le plus des bonheurs des fans tout heureux de son retour.

Masters qui hurle à l'arbitre il y avait 3 !! L'arbitre lui répond que non et le match continue. Masters relève Rey Mystério le projette dans les cordes et part pour un Polich hammer l'une des ces spécialité et c'est porter NON ! Mystério s'est abaisser juste à temps. Mystério reste dans les cordes, Masters court vers Rey Rey qui abaisse la 3 ème corde et fait chuter Masters à l'extérieur. Mystério se projette lui aussi dans les cordes et Suicida Drive bien porter par le Luchador. Mystério commence enfin à reprendre du poil de la bête. Il monte sur le 3 ème corde. Mais qu'es qu'il fait ? MOONSAULT sur le Masters Piece ! Quel saut du Mexicain ! Rey Rey remonte sur le ring et l'arbitre commence à compter 1,2,3,4,5,6,7,8,9 Et .... 10 NON ! Chris Masters et revenu juste à temps. Le match peux continuer et on se s'ennuye pas sur ce match. Mystério est dans les cordes toujours et saute par dessus la 3 éme pour donner un legdrop à Masters et tente le tombé. 1 ! 2 ! Et pas 3 ! Mystério se réleve alors que Masters roule vers un coin du ring. Mystério s'empresse d'aller le rejoindre car Masters et dans les cordes mais il lui met les doigts dans les yeux. Masters et projette dans les cordes, Mysrério est aveuglé ! POLICH HAMMER !! C'est fois c'est terminer, Rey Mytério est KO ! Il fait le tombé, 1 ! 2 ! 3 ! NOOOOOOONNNNNN ! Mystério s'est dégager à 2,99. Même le public s'en croit pas ses Yeux Mystério s'est dégager. Masters lui et fou de rage après l'arbitre et lui ordonne de lui donner la victoire. Masters releve Mystério et lui porte son MASTERS LOOK ! La double Neslon à la Française. Mais le corps du masters piece lui joue des tours trop transpirant et trop huilé Mystério glisse ce qui fait laché la prise. Mystério passe entre les jambes de Masters et saut chassé et fait chuter Masters sur la deuxième corde, position parfaite et 66666661111199999 porter par Rey REY. Masters est au centre du ring. Rey Mystério lève son doigt au ciel. Le public l'as compris et hurle Eddie Eddie EDDIE, il monte sur la 3 éme corde et Frog Spash de Rey Mystério ! L'arbite fait le tombé 1 ! 2 ! ET 3 OUI 3 ! Victoire de Rey Mystério ! Victoire dans la douleur mais victoire tout de même du Mexicain.



C'était tout de même approuvant.



Pendant qu'ils fêtent leur victoire, on voit Rey Mystério en coulisses qui semble apprécier mais un autre homme arrive : ohhhhhhhh ! Il s'agit de Kalisto ! Pas de poignet de mains entre les deux hommes mais juste un regard.... Suivi d'un énorme hug entre les deux Mexicains masqués. Quelques mots en espagnol sont prononcés et visiblement, les deux hommes sont heureux de se voir!




Je retrouve un pote du Mexique.



tournent pour l'instant autour, attendant l'occasion pour bondir l'un sur l'autre et ...


John Laurinaitis : Stop ! Arrêtez, arrêtez ce match malheureux !


Laurinaitis ! Que vient-il faire ici ?


John : Merci, merci ... Je suis désolé messieurs, mais vous n'allez pas lutter ce soir. Cela gâcherait tout suspense.


Les quatre hommes ainsi que les spectateurs regardent Laurinaitis sans réellement comprendre.


John : Bah oui, vous allez vous affronter pendant le Dark Match de King of the Ring ! Autant que vous réserviez vos meilleurs enchaînements pour ce soir là ! Deux équipes méritantes pour l'un des shows de l'année, haha ! Deux ... attendez, non, j'me suis trompé, y en aura trois ! A King of the Ring, ce sera John Cena et Matt Sydal vs Sin Cara et Rey Mysterio ... vs Super-Eric et Curtis Axel ! People power les amis !


Sur ces mots, Laurinaitis regagne les coulisses, content de sa performance pour une fois sans accroc. Du côté du ring, les quatre acteurs sont partagés entre la déception de ne pas lutter ce soir et la satisfaction d'être présents à King of the Ring. La foule, par contre, est unanime : elle hue la décision ! 

On nous annonce ce match pour le King of The Ring, l'occasion de briller un peu plus. Prêt Kalisto ?
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 12:22

Sujet mis à jour avec le rajout des stipus et l'ordre des matches.

Pas de news sur les matches des divas
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 13:15

PROMO CESARO



A-t-il des nouvelles de Tyson Kidd ?

Cesaro dit qu'il va mieux et qu'il faut attendre au moins 6 mois.

 

- La légende de catch qu'il aime le plus ?

« La France » dit-il pour rigoler. Il dit que c'est difficile d'en choisir qu'un, il y a Bret Hart, Owen Hart, Steiner Brothers, Papa Shango, Sylervester Lefort, Cesaro, Macho Man.

 

- Est-ce qu'il veut être comme les légendes qu'il vient de citer ?

Il dit non car il est lui. Il n'est pas comme les autres. Il pense que c'est très important d'être comme Cesaro.

 

- Son match le plus difficile ?

La bataille en mémoire à André the Giant à WrestleMania 30 (qu'il a gagné).

 

- Pour lui, les matchs les plus difficiles sont ceux qu'il perd ou ceux qu'il gagne ?

C'est difficile d'y répondre, des fois il y a des grands obstacles et il gagne et des fois il y a des grands obstacles et il perd mais il gagnera le prochain match.

 

- Comment il a ressenti sa victoire à WrestleMania 30 ?

C'est la plus grande victoire de sa vie. André the Giant est français, il est donc européen et Cesaro l'est aussi. C'est important pour lui.

 

- Quelle est la superstar qu'il voudrait affronter ?

Il n'a peur de personne. Son objectif est d'être champion du monde poids-lourds de la WWE.

 

- Comment va-t-il ? (Comme il est blessé au bras)

Il va bien, le docteur dit entre 4 et 5 mois. Il ne sait pas le jour où il va retourner sur le ring.

 

- Est-ce qu'il sera là pour la tournée à Paris en avril 2016 ?

Il voudrait bien mais il ne sait pas si le docteur dirait oui.

 

- Qu'est-ce qu'il lui a fait l'envie de monter sur le ring de la WWE ?

Déjà petit, il rêvait d'être une superstar de la WWE. Il a fallu 10 ans pour y arriver, ce n'était pas facile. Mais aujourd'hui il est heureux d'y être.

 

- Est-il célibataire ?

Non, il n'est pas célibataire. Beaucoup de déception ?

 

- Est-ce qu'il y a une superstar qu'il redoute ?

Toute les superstars redoutent de lui. Enfin, c'est ce qu'il espère.

 

- Quel est son rapport avec l'Autority ?

L'Autority s’occupe pour l'instant de Roman Reigns. Il peut faire ce qu'il veut.

 

- Philipe Chereau le remercie de faire l'effort de parler français et Cesaro dit que c'est difficile, il y a que deux catcheurs à la WWE qui savent parler français : Sylverster Lefort et Marcus Louis. Chereau dit que Kevin Owens parle aussi français. Cesaro dit qu'il est québécois, d'ailleurs il parle français avec lui mais seulement quand il veut que les autres ne comprennent pas.

 

- Que pense-t-il de Kevin Owens ?

C'est un très bon catcheur sur le ring. Même si l’attitude en dehors du ring…

 

- Quels sont ses meilleurs amis à la WWE ?

Il y en a beaucoup, Seth Rollins, Luke Harper, Viktor…

 

- Tyson Kidd pour lui, c'est qui ?

Tyson Kidd est comme un frère pour lui. Ils ont le même objectif.

 

- Que pense-t-il du catch français ?

Le catch français a été très important pour sa carrière. Il catchait souvent en France avant. Les fans sont très enthousiasmes. Il y a beaucoup de shows indy et ça permet aux talents de se développer et peut-être un jour, être à la WWE.
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 13:48

MrCoffeeInTheBank a écrit:
Sujet mis à jour avec le rajout des stipus et l'ordre des matches.

Pas de news sur les matches des divas

Hum ça sent la révélation sur l'identité en ME !

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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 14:58

Promo pour AJ Lee
 
A la veille de son vingt-neuvième anniversaire,

(TRUE FACT)
 
AJ Lee embarque sur un gigantesque paquebot pour retourner chez elle, à WFA City.
 
(GENRE IL VA OSER ADAPTER TITANIC EN PROMO, LE RINGARD)
 
Elle est accompagnée par son amie, Mimi Dashwood. À bord, elles profitent au maximum du navire, de sa piscine, de son salon de massage, de son sauna, de sa discothèque, des restaurants et des bars.

(C’EST UN GROS BATEAU)
 
Elles font connaissance avec une jeune femme anglaise, Britani Knight avec qui elles sympathisent. Le voyage se déroule parfaitement bien.
 
(QUAND CA VA PARTIR EN COUILLE ?)
 
Cependant,
 
(MAINTENANT !)
 
lors de la troisième nuit,
 
(ICEBERG DROIT DEVANT !)
 
en plein océan indien,
 
(AH BAH NON…)
 
le paquebot se retrouve pris dans une violente tempête. Le paquebot est vite rempli d'eau. Les passagers, ainsi que l'équipage, tentent de survivre. Seulement, la mer, le vent, la pluie et l'orage sont contre eux et ils ne peuvent rien faire. Le capitaine du bateau, Kofi Kingston, envoie un SOS.
 
(KOFI KINGSTON. SOS. COMPRIS ? C’EST RIGOLO, NON ?)
 
AJ et Britani essayent de retrouver Mimi, en vain.
 
(PAS MIMI MERDE !)
 
Le bateau est détruit de plus en plus minute après minute et la tempête ne s'arrête pas. Une explosion a lieu faisant biser le paquebot en deux. Lee et Dashwood sont séparées, chacune se retrouvant sur l'une des deux parties. Malgré plusieurs tentatives, AJ ne parvient pas à rejoindre son amie. Elle trouve ensuite Jeff,
 
(UN BON COPAIN)
 
pris au piège. Elle le sauve et ensemble courent vers la cabine du capitaine. Seulement, AJ trébuche et chute dans l'océan.
 
(NOOOOOOOON !)
 
Elle monte sur un débris et se couche dessus, épuisée. À l'aube, elle se retrouve sur une plage avec un décor apocalyptique. Elle est gravement blessée et se retire un débris de la hanche. Elle est faible et cherche un abri et de la nourriture mais elle s'écroule, sous une chaleur étouffante. Elle se réveille quelques heures plus tard et part fouillé les vestiges du bateau. Elle récupère quelques provisions et une trousse de soin. Elle voit les corps de dizaines de personnes flottés ou alors dans les cales du paquebot. Elle voit au loin un autre morceau du paquebot à dix kilomètres de là, à l'autre bout de l'île. Elle laisse passer la nuit où elle se repose et soigne ses blessures et ses brûlures. Elle mange pour récupérer des forces et s'endort. Le lendemain, elle part à l'aube pour se rendre dans les vestiges, à la recherche de survivants. Sur le chemin, elle trouve une femme empalée au niveau de l'épaule et très ensanglantée. Dans un dernier souffle, elle parle d'un bébé, son bébé. Elle continue à marcher vers les vestiges. Après trois heures de marches, elle arrive aux vestiges. AJ fouille chaque partie des vestiges du bateau et découvre une porte d'un compartiment fermée. Elle l'ouvre et découvre des corps flottant sur l'eau et parmi eux, Britani.
 
(DINGUE !)
 
Là encore, elle récupère les provisions et soins. Elle trouve un pistolet à fusées. Malheureusement, elle ne trouve pas de survivants. Elle retourne alors vers l'endroit où elle a passé la nuit. Une fois de retour, elle voit un corps sur la plage, celui du capitaine Kofi. Elle le traîne jusqu'à une caverne où elle le soigne.
 
(ELIPSE TEMPOREL DE 15 HEURES)
 
Kofi retrouve connaissance dix heures plus tard et est heureux de voir AJ. Lorsqu'il retrouve des forces, lui et AJ partent fouiller le cœur de l'île. En chemin, ils sont confrontés à un tigre.
 
(J’AI HESITE AVEC UN DINOSAURE)
 
Armé d'une machette, Kofi l'affronte et le tue.
 
(BADASS)
 
Après cela, ils découvrent des pas de pieds nus d'enfants. Ils continuent à suivre les pas jusqu'à apercevoir un village. Le chef du clan, Ekaraj, les accueille. AJ et Kofi Kingston passent la nuit dans le village.
 
Le lendemain, AJ apprend de Ekaraj qu'il existe un autre clan mais les gens qui en font parties sont plus modernes et vivent sans difficulté. Ils viennent souvent prendre des femmes et des enfants pour les asservir. L'île a la particularité d'être particulièrement fertile et par conséquent est vue comme une source de revenu conséquente. Des industriels sont venus s'installer il y a une dizaine d'année. Leur camp se trouve à une trentaine de kilomètres. Ekaraj dit qu'ils ont profané leur temple sacré, là où sont enterrés leurs ancêtres et ont volé l’Idole, « la griffe du Tigre ». Ekaraj supplie AJ et Kofi de les aider. Kofi dit à AJ qu'ils ne peuvent rien faire. AJ n'est pas d'accord et décide d'aider le clan. Ekaraj demande à Shashee de conduire AJ au temple. Finalement, Kofi se joint à eux. Après plusieurs heures de marche,
 
(AH ! VOUS AVEZ CRU QUE JE VOUS AVEZ OUBLIE ?)
 
ils atteignent le temple, ou plutôt les vestiges de ce qui fut un temple. Shashee les emmène aux tombeaux. AJ est fasciné par l'ancienneté des lieux. Là, ils découvrent avec effroi le pillage des tombeaux et le socle de l'Idole, vide. Shashee repart au village, seul, tandis que AJ Lee et Kofi Kingston prennent la route vers le nord, et donc vers le clan.
 
(SI VOUS N’AVEZ PAS COMPRIS, C’EST UN HOMMAGE A INDIANA JONES. OUAIS COMME IL Y A EU L’ANNONCE D’UN CINQUIEME VOLET, JE ME SUIS DIT : « ALLEZ, PROMO HOMMAGE »)
 
AJ Lee et Kofi arrivent et voient des champs de cultures et des usines. Ils arrivent devant un cultivateur, enchaîné. AJ veut leur venir en aide mais Kofi la retient en voyant un des esclavagistes. Ils sont emmenés devant Seth Rollins.
 
(MECHANT !)
 
Kofi explique qu'ils sont des naufragés et qu'ils ont besoin de nourritures et de repos. Rollins les invite à se laver et à se joindre à eux pour le dîner.
 
(SYMPA LE MECHANT)
 
En sortant de la douche, AJ tombe sur une jeune femme. Celle-ci lui souhaite la bienvenue ici et lui demande comment s'est passé le naufrage. La jeune femme lui dit que c'est peut-être le destin qui l'a fait venir ici.
 
(INSTANT WTF !)
 
Quelques minutes plus tard, AJ retrouve Kofi pour le dîner. Elle découvre que la jeune femme n'est autre que la femme de Rollins, Sara Haley.
 
(OU L’UNE DES FEMMES CAR VU LE GAILLARD…)
 
Pendant le dîner, le duo leur raconte leur naufrage pendant que Rollins leur explique leur travail. Une des remarques d’AJ choque la table mais Rollins préfère en rire.
 
(QUELLE REMARQUE ?)
 
Sara propose à AJ de lui faire visiter leur exploitation. AJ découvre avec horreur un grand nombre d'esclaves. Au cours de la visite, elles tombent sur Mickie James, la présidente du groupe industrielle.
 
(MOUAHAH !)
 
AJ se réveille en pleine nuit après un cauchemar.
 
(CLASSIQUE)
 
Elle décide de faire un tour discrètement. Elle découvre les cachots et à l'intérieur, il n'y a qu'une prisonnière. AJ apprend que la prisonnière n'est autre que la sœur de Ekaraj, le chef du village. Elle informe AJ que l’idole se trouve au sommet de la tour de direction dans le bureau de James.
 
(COMME PAR HASARD)
 
Pendant ce temps, Kofi Kingston est agressé et tabassé par deux brutes.
 
(COFFEE !!)
 
À son réveil celui-ci est enchaîné dans l'une des exploitations. Mickie James vient le voir et lui dit que ce ne sont pas lui et une gamine qui vont l'arrêter.
 
(WTF ! COFFEE VS COFFEE !)
 
À présent leur place est sur cette île.
 
Lorsqu’AJ retourne dans ses quartiers, elle ne voit pas Kofi.
 
(BAH OUI… IL EST PRISONIER)
 
Elle décèle quelques indices suggérant un combat. Des gardes arrivent pour attraper AJ mais celle-ci parvient à fuir. Elle se dirige incognito vers les bureaux de James. Elle y découvre l'idole volée dans une vitrine. Lorsqu'elle s'empare de l'idole, une alarme se déclenche.
 
(OH LA CON…)
 
AJ brise la vitre avec une chaise et saute de plus de quatre-vingt mètre de haut dans une rivière.
 
(CA C’EST ENORME)
 
AJ est emportée par le courant et est frappée par des rochers de tous les côtés. Des gardes tentent de la tuer en même temps. Elle ressort de la rivière vivante mais avec de nouvelles plaies. Les gardes l'attrapent et l'amène devant Rollins et Sara. Rollins lui demande ce qu'elle préfère : quitter l'île ou rendre l'idole au villageois. Elle crache au visage de Rollins,
 
(SO BADASS)
 
avant que celui-ci ne l'amène au cachot et ne l'attache à des chaîne au mur en gardant l'idole. AJ découvre avec effroi que la prisonnière a été tuée.
 
(INSTANT EMOTION)
 
Rollins retrouve James dans ses bureaux avec l'idole. James dit qu'elle veut montrer l'exemple avec AJ et que personne ne doit lui résister. Si elle résiste alors AJ connaîtra un sort encore pire que la mort.
 
(HONNETEMENT, JE SAIS PAS VOUS MAIS CA SENT LA FIN)
 
Sara ouvre le cachot et se met face à AJ. Sara dit qu’AJ est la femme qu'elle aurait aimé être. Sara embrasse AJ puis la libère et lui donne un arc avec un carquois. AJ lui demande pourquoi elle trahit son mari. Sara lui dit qu'elle la respecte et qu'elle a la possibilité de faire ce qu'elle n'a pas pu faire quitter cette île.
 
(LA BA DU JOUR. BRAVO !)
 
AJ Lee se faufile vers la tour. Une fois dans le bureau, elle blesse Rollins à la jambe avant de mettre en joug James et enfin prendre l'idole.
 
(POPOPO…)
 
(ET OUI, CA SENT LA FIN)
 
Rollins réalise que c'est Sara qui a libéré AJ.
 
(BAC+5 LE ROLLINS, C’EST UN GENIE)
 
Dans les plantations, les prisonniers attaquent les industriels.
 
(REVOLTE)
 
AJ fuit alors et est poursuivi par des dizaines d'hommes armés. Elle arrive alors dans les catacombes, véritable labyrinthe. Des enfants esclaves viennent l'aider à en sortir. Elle en profite pour détruire les catacombes et tout faire s'écrouler grâce à des barils de poudres. Kofi Kingston arrive pour y mettre le feu.
 
(COFFEE !)
 
Un combat commence entre Kofi et Rollins heureusement, AJ tue Rollins permettant à Kofi de rejoindre le groupe et tous fuient vers la rivière ou vers la forêt.
 
(YOUPI ! LES GENTILS ONT GAGNE !)
 
Le lendemain, à l'aube, AJ arrive au village avec l'idole. À présent, la paix est de retour. Shashee ramène l'idole dans le temple tandis que Kofi et AJ quittent l'île.
 

(HAPPY END)
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptySam 19 Mar - 9:37

EDIT de la carte avec les deux matches féminins (TS17, si tu passes dans le coin):

WFA Knockout Championship : AJ Lee(Swanton Bomb) vs Mickie James(mrcoffeeinthebank)


Queen of the Ring Gauntlet for Gold Match : Sasha Banks(HeelManiac) vs Candice LeRae(Aralar) vs Mimi Dashwood(Clown Bastard) vs Christina Von Eerie(TManiac) vs Awesome Kong(FOZ) vs Gail Kim(Sexy Boy) vs Britani Knight(Gbacca)
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptySam 19 Mar - 9:42

A part pour ceux qui ont des délais rallongés, la séance de promos se finit dimanche!
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptySam 19 Mar - 13:26

Batman&Robin a écrit:
A part pour ceux qui ont des délais rallongés, la séance de promos se finit dimanche!

Sans faire le curieux, mais pour savoir par rapport aux matchs que je choisirai à booker, qui a demandé des délais supp' ?

_________________
WFA:

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SwantonBomb
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptySam 19 Mar - 14:12

Promo de Jeff Hardy (SwantonBomb) pour WFA King of the Ring 2016
 
Jeff Hardy : Je me souviens…
 

Mon frère…

 
_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ce jour où toi et moi sommes partis en forêt quand on était gamins ? On s’est perdus pendant près d’une journée. J’avais peur et toi aussi. Mais jamais tu me l’as montré. Tu as veillé sur moi.
 

_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ce jour où on a eu ce trampoline ? Où on a découvert cette passion qui nous anime encore aujourd’hui. Ces premières minutes sur ce trampoline sont devenus des heures d’entraînement.
 

_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ce jour où ma vie a changé ? J’ai rencontré Beth grâce à toi.
 

_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ce jour où on a créé l’OMEGA ?
 

_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ce jour où notre vie a basculé dans une autre dimension. Ce jour de 1998 où on a signé ce contrat ensemble à la WWF ?
 

_ Et toi mon frère ? Tu te souviens ? Tu te souviens, Matt, de ces jours où on se levait pour se battre ensemble contre une équipe, contre le monde. On était ENSEMBLE !

 
_ ENSEMBLE ! Car c’est ensemble que doivent être les frères peu importe les haines, les rancunes et les jalousies.
 
Tu m’as abandonné mais tu restes mon frère


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Jeff : Et merde…

 
??? : Jeff ?

 
La femme de Jeff Hardy arrive et le voit déchirer sa lettre.

 
Britt : Matt ?

 
Jeff : J’ai besoin de rester seul. S’il te plait.
 

 
Quelques instants plus tard…
 

 
Jeff est face à son reflet dans le miroir.
 

Jeff : Comment est-ce que je vais pouvoir ?

 
Soudain son reflet devient celui de Matt.

 
Matt : Où est le vrai Jeff Hardy ? Le Jeff Hardy qui défie l'Undertaker à WrestleMania I, le Jeff Hardy suicidaire qui effectue des Swanton à plusieurs mètres de haut sur CM Punk, sur Abyss ou sur Orton, une de sept mètres de haut à deux semaines d'un match de championnat. Le Jeff Hardy qui remporte le Championnat de la X-Division lors du dernier show de l'UHW. Où est ce Jeff Hardy, là ?

 
Jeff : Vas-t-en…

 
Matt : Alors dis le moi Jeffrey Nero Hardy, où est-il ? Il est mort ? Il est cure de désynthoxe ? Il est en taule ? Où est le Jeff Hardy qui réveillait les foules, qui les faisaient hurler ? Où est-il ? L’ai-je éliminé ?

 
Jeff : J'ai pa... J'... J'ai passé les plus durs moments de ma vie dans des rings partout dans le monde, que ce soit à la WWE, à la TNA ou ici, à la WFA. J'ai fait des conneries. J'ai payé pour ça. Les gens m'ont pardonné. Quand je dis les gens, c'est Triple H qui accepte de me resigner, c'est Dixie Carter après les évènements de Victory Road, c'est Vince McMahon après mes deux contrôles positifs, c'est le staff de l'UHW qui font de moi le dernier champion de la division-X, c'est ma femme, c'est ma famille, les gens qui portent le même nom que le mien et que j'ai sali, c'est ces lutteurs qui étaient autrefois mes amis et qui le sont toujours, c'est ces fans qui continuent de m'applaudir après toutes mes conneries, c'est ces gamins maquillés à la manière de Jeff Hardy. Ils ont été là pour moi alors que moi,... je n'ai rien fait pour eux. La seule personne que j’ai aidé c’est toi. Et regarde ce que cela a donné ? Tu me hais plus que tu ne m’as jamais aimé. Et moi je n’arrive pas à te haïr !

 
Matt : Tu me haïras…
 

Jeff donne alors un coup de poing dans le miroir qui se brise.
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JGabriel68
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptySam 19 Mar - 18:04

Promo Finn Bàlor - King of the Ring 2016

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- Finn ?

- …

- Je ne te connaitrai pas aussi bien, je penserai que tu es entrain de douter de toi-même. Est-ce que je me trompe ?

- Ferme-là !

- Allons Finn, regarde-toi un peu. Fauteur de trouble, tu sèmes le chaos partout tu passes, mais tu es incapable de battre cet homme. Tu n'arrives pas à franchir le plafond de verre, celui que tu t'es mis tout seul au-dessus de la tête.

- Je l’ai déjà battu. Et je recommencerai.

- Cela fait combien de temps maintenant, que tu es à RAW ? Plusieurs mois ? Et tu n’as pourtant jamais été champion. Alors que les autres qui sont arrivés à la même période collectionnent les titres. Comment tu l’expliques ? Tu crois vraiment que les dirigeants te laisseront te pavaner impunément aussi longtemps. Ils te laissent ta chance pour l'instant, mais sache les convaincre que tu as le potentiel pour porter cette compagnie. Que tu es conditionné pour devenir l'un des tout meilleurs.

- Je suis fatigué, laisse-moi.

- Non mais vraiment, explique-moi !

- …

- Tu considères Ryder comme ta némésis, je l’ai bien compris. Mais est-ce qu’il doit pour autant être un obstacle infranchissable à l’évolution de ta carrière ? Des mois que tu fais un blocage sur lui. On ne pas dire pour autant qu'il soit des plus redoutables.

- …

- Est-ce que tu te sens réellement incapable de le battre en Pay-Per-View ? De gagner ce titre une fois pour toute ? De prouver qu'un talent pur pour le catch comme le tiens, est supérieur à une banale carrière sur Twitter ?

- Bien sûr que si, je m’en sens capable !

- Alors qu’attends-tu pour le faire ? Tu crois vraiment que tu recevras de telles opportunités à chaque fois que tu tabasseras un lutteur ?

- Je suis un des lutteurs les plus crains dans le main roster. Dès mon arrivée, j'ai imposé ma loi, mes règles. Je cogne plus fort que les autres, pour me faire entendre. Et surtout personne ne le voit venir. Quand ils se croient tous hors de portée, je suis là pour les faire descendre de leur petit nuage. Je rampe depuis les ténèbres, je sors de l’ombre, pour conquérir la lumière.

- Continue.

- Je suis fait pour devenir champion Pure. Je suis armé pour battre Zack Ryder et m’emparer de son titre. C'est ce que je veux. Prouver à tout ceux qui ne veulent pas me voir réussir, que je vaux aussi bien que tous ces nouveaux. Que je leur suis supérieur. Plus personne ne me résistera désormais. Mon futur règne sera le plus long que cette compagnie est connu. J'irai ensuite demander ce qui me revient de droit, un match pour le championnat WFA. ll est grand temps de laver l'affront de Wrestlemania...


- C’est donc cela qui t’obsèdes ? Tu n’as pas oublié cette défaite lors de ton premier combat, à Wrestlemania ?

- Comment le pourrais-je ? Je ne me crois plus capable d'y arriver.

- Tu dois te servir de cette expérience, pour devenir meilleur. Trouve au fond de toi l’énergie pour te battre, pour remporter la victoire.

- …

- Tu n’as plus le droit d’échouer, Finn, tu m’entends ? Si tu veux être digne de l’héritage de tes ancêtres, de leur courage qui coule dans tes veines, tu dois gagner ! Sors de l'ombre, et deviens celui que tu es appelé à être. Peu importe le chemin que tu utiliseras pour y arriver, tu dois y parvenir.


- Par n'importe quel moyen ?

- Tu m’as très bien compris, tu sais ce qu’il te reste à faire. A King of the Ring, tu seras le nouveau champion Pure.

- "A King of the Ring, je serai le nouveau champion Pure"

- Je dois te laisser maintenant. Ne me déçois pas.

[…]
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TheStraightedge17
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyDim 20 Mar - 20:53

Aujourd’hui :


Une goutte d’eau tombe sur un parquet brillant et impeccable. Très vite, une main vient doucement essuyer celle-ci, avant de rejoindre sa jumelle pour applaudir avec force. Au loin, une voix beugle pour se faire entendre entre applaudissements, cris et ferveur d’une salle de sport en plein match.

UNE VOIX RAUQUE : Allez les mecs on s’énerve un peu, on s’énerve ! Jim ! Remonte en défense sur le porteur du ballon ! Non… je… merde ! Vincent, toi aussi il faut que tu te mettes en défense ! Vincent ! T’as deux mains d’accord ? Deux mains ! Dieu t’as filé deux putain de mains y’a bien une raison quand même ! Ok temps mort monsieur l’arbitre. Temps mort ! Putain revenez-là…
Cette voix sombre est celle d’un homme au visage ferme, à la carrure imposante et au regard ampli d’une rage de vaincre à rude épreuve. Il ne fait cependant face qu’à une dizaine d’enfants, d’environ huit à dix ans, observant ce qui semble être leur coach avec admiration. Parmi eux, un seul n’est pas trempé de sueur. Il est jeune, ou du moins un peu plus que ses camarades, brun aux cheveux hirsutes. Son regard semble perdu dans le vide, quelques gouttes de sa bouteille de Gatorade s’écrasant sur le sol. Sa respiration est masquée par les clameurs d’une foule de plus en plus bruyante. Le jeune homme baisse la tête, ramasse sa gourde qu’il porte à ses lèvres. Cette voix rauque se fait alors entendre à nouveau, alors que le silence au sein de l’équipe est presque d’ordre religieux.
 
LE COACH : Bon c’est pas mal. Jo’, passe-moi l’ardoise. On s’affole pas les gars. Six points d’avance pour deux minutes à tirer c’est faisable, vous les avez fait courir en leur collant au train pendant tout le match, alors c’est maintenant qu’il faut y aller putain. Axel, on passe en indiv’ tout terrain, pression dès la remise en jeu. Les loulous, je sais bien que ma méthode de coacher diffère de votre ancien entraineur… mais c’est maintenant qu’il faut y aller. On y va ?
 
Sans vraiment comprendre les consignes du coach, le jeune garçon tourne légèrement la tête en direction des gradins, où son père lui ordonne d’un simple geste d’écouter. Comme souvent, aucune expression ne peut se lire sur le visage du padre. Juste un regard froid, l’un de ses regards qui vous pousse à se poser mille questions, tout en sachant que vous n’en aurez jamais les réponses. La voix de son entraineur perd peu à peu en intensité. Les sons deviennent de plus en plus difficiles à entendre. Tous, sauf ceux de l’enfant qui, eux, deviennent enfin audible. Le jeune homme peut entendre son cœur battre, sa respiration ralentir, alors que les consignes du coach ne sont plus qu’un fond sonore pour lui. 
 
LE COACH : Jim, Jeffrey, vous faites écran pour un shoot ouvert. Marc, tu prends. Je veux vous voir prendre votre temps les gars : soignez vos passes et faites tourner le jeu. Rien à foutre que vous preniez un shoot juste après la première passe. Une possession c’est 24 secondes alors utilisez-les merde, et cramez-vous en défense. Lamar ? Hé Lamar ? LAMAR ! T’es avec nous ?
 
LAMAR (il revient à lui) : Euh… ouais. Ouais ouais, désolé.
 
LE COACH : Tu rentres pour Vincent. Je sais que t’as pas encore le moindre match dans les jambes, mais j’ai besoin de toi. Fais ce que tu sais faire. Hé, hé… Lamar ?
 
LAMAR : Oui ?
 
LE COACH : Te focalises pas sur ton père. S’il te plait. Joue ton match, et il fera le sien pour toi, le moment venu. Je sais qu’il te fout la pression, j’aurais les boules aussi à ta place. Mais reste cool.  
 
LAMAR : Oui monsieur.
 
Sans demander son reste, l’équipe adverse est déjà sur le terrain. Drôle de manière de filer un coup de pression, alors que le temps mort tourne toujours. Cependant, l’arbitre de la rencontre fait signe au coach d’en finir au plus vite. Dans une ambiance de plus en plus folle, celui-ci murmure quelque chose à son assistant.
 
LE COACH : Ok les gars, on se rassemble. Il est pour nous ce match, lâchez rien. Le public est venu pour vous les gars, c’est aussi pour eux que vous jouez. Jim, à toi.
 
JIM (tend une main au milieu des joueurs) : What time is it ?
 
L’EQUIPE (ils mettent tous une main au-dessus de celle du capitaine) : Gametime ! Wouh !
 
Comme un seul homme, les cinq joueurs entrent sur le terrain et se dirige vers le rond central pour la remise en jeu. Seul reste Lamar, prenant une profonde respiration en passant une main dans ses cheveux. D’un simple mouvement de la tête, il devine des centaines de personnes encourager le retour de l’équipe, quelques minutes avant la fin du match. Parmi eux, son père. Lui en revanche n’applaudit pas. Il se contente de hocher la tête, avant de regarder sa montre. Sa mère vient se blottir contre lui, Lamar reprenant ses esprits sous les dires de son coach. Les images ralentissent. Les sons s’échappent encore, laissant place à un rythme cardiaque en pleine accélération. Ses yeux se perdent à présent sur la table de marque, sur l’arbitre, sur le panneau d’affiche et enfin sur son entraineur, lui beuglant quelque chose qu’il ne distingue pas. Ce n’est que l’immense paluche d’un géant d’un mètre soixante, sorti de nulle part, qui vient lui remettre les idées en place. Sa taille est aussi imposante que sa carrure, alors qu’il arbore les couleurs de l’équipe adverse.
 
L’ADVERSAIRE : On attend plus que toi, amigo…
 
 


THE ARIAS STORIES : LAMAR
 
 
10 semaines plus tôt :
 


Un appartement, plutôt luxueux, au beau milieu de Santa Monica. Un vieux tourne-disque chante Barry White et son titre « Basketball Jones » alors que Lamar est affalé dans un canapé, les yeux rivés vers un écran de télévision. Celui-ci diffuse les moments forts d’un match de basket-ball, le jeune homme scrutant la moindre action de ces joueurs avec un air enfantin, rêveur. Il sirote un soda en bougeant la tête au rythme des dunks, shoots et autres contres assassins des Denver Nuggets, luttant contre les Celtics d’Isaiah Thomas. Quelques années plus tôt, à l’époque de son père, Nuggets et Celtics trustaient les places fortes de la NBA. Comme quoi, les choses changent… Jorge lui avait longtemps parlé, fan de ballon orange, des duels opposant Paul Pierce à Allen Iverson, son héros. Les belles heures du basket-ball américain, comme il aimait lui dire. Allez savoir pourquoi choisir l’armée, puis la lutte… Lamar tends l’oreille, devine sa mère rentrer des courses, et s’empresse de ranger chips et boissons gazeuses avant que madame Arias ne pénètre dans la pièce. Encore une jolie journée de soleil… loin de son père.
 
 
8 semaines plus tôt :
 


Les flashbacks continuent. Loin, très loin de son domicile entre vibrations des voitures et sirènes de police, Lamar court comme si le diable était à ses trousses. Quelque part, sauvé par un parc de Los Angeles. Il est seul, shootant quelques lancers-francs devant une ribambelle d’habitués réclamant derechef le terrain. A quelques mètres de lui, deux amis, livres en main, se dirigent vers un immense bâtiment, le « Middle Town Jerry High School », école privée de L.A dont Lamar est lui aussi affilié.
 
LAMAR (interpelle son camarade en courant vers lui) : Yo, Junior ! Tu viens jouer ?
 
JUNIOR (continue sa route): Désolé, vieux.
 
LAMAR : Jim, ça te tente ? Hé, une main dans le dos !
 
JIM : Et pourquoi tu demandes pas à ton père, Lamar ? Lâche nous, gros !
 
LAMAR : Rho, allez quoi ! Non ? Sûre ? Bon… C’est pas grave…
 
 
4 semaines plus tôt :


Une situation semblable à beaucoup d’autres, pour toute famille normalement constituée. Seulement voilà, la famille Arias n’est pas une famille comme les autres. Jorge est absent,  sa femme le pleure une à deux fois par semaine, priant que ses anciens démons et autres souvenirs de Jarhead ne l’empêche pas de survivre à la Wrestling French Addict. Pour son fils, Lamar, et sa petite dernière, Naomi, c’est une toute autre histoire. Naomi est proche de son père, parfois trop. Quant à l’obsédé des OMG moments de la NBA, difficile pour lui d’avoir un véritable lien avec son paternel. Il avait toujours été froid, distant, comme volontairement dur avec lui, ce que la maturité frêle et naissante de Lamar ne comprenait pas. Cette nuit-la, il décortique encore lui-même les faits de jeu d’un match diffusé pendant la nuit, le son coupé. Il est à peine vêtu d’un caleçon et d’un maillot des Denver Nuggets, énième paquet de chips dans la main droite. Autant dire que sa mère était ravie que le jeune homme se dépense, évitant de devenir l’un de ces trop nombreux jeunes obèses américains. D’ordinaire calme et passionné, un dunk massif de Carmelo Anthony, devenu Knicks depuis cinq ans déjà lui fait faire un bond du divan, mettant vite un coup de pied dans une lampe qui s’écrase au sol. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre que la cavalerie arrivera très vite… Et ses craintes ne se font pas attendre.
 
??? (descend les escaliers à moitié endormi) : Hé, petit bonhomme. Je peux savoir ce que tu fais ? Ta mère t’a pas demandé d’aller dormir par hasard ?
 
LAMAR (n’y prête aucune attention) : Denver est sur le terrain, papa. je pouvais pas rater ce match !
 
JORGE : T’as vu l’heure ?
 
LAMAR (d’emblée moins enthousiaste) : Je sais… Je suis désolé. J’oublierais pas la lumière, t’inquiète.
 
JORGE : Mais… Depuis combien de temps t’es devant la télé au juste ? Y’avait quoi avant ton match ?
 
LAMAR : On est le premier samedi du mois, Papa. T’aimerais pas savoir ça. 
 
JORGE : QUOI ? Hum, d’accord… Bon je dirais rien pour cette fois, tu sais que j’ai pas souvent l’occasion d’être à la maison. J’en parlerais pas à ta mère, mais tu sais que c’est pas comme ça que tu deviendras ce que tu souhaites. Même à deux heures, j’aurais préféré te voir sur un terrain plutôt qu’avec un paquet de chips. Tu crois que ces mecs, sur le terrain, passaient leur temps à reluquer Jordan, Johnson ou Bird avec un peu de bouffe à la main ?
 
LAMAR : …
 
JORGE : Je… Excuse-moi, je suis fatigué. Juste… rêve pas ta vie, Lamar. Fais pas la même erreur que ton père. Bonne nuit.
 
LAMAR : Papa ?
 
JORGE : Il est tard, Lamar. Papa voit Paul Levesque demain pour un nouveau contrat. Bonne nuit… et fait rien tomber, cette fois.
 
 
Trois jours plus tôt :
 


Une sublime matinée de Mars, dans la cité des anges. Une vingtaine de degrés accompagne une légère brise soufflant depuis la crique de Santa Monica. Le PIER est peuplé de tout un tas de touristes, comme à son habitude. Plus loin, vers les falaises, Lamar et Vincent sont assis en bord de mer, un ballon de basket à côté d’eux. Le sourire aux lèvres, ils reluquent une passante courir en bikini les pieds dans l’eau, suivant le corps de la demoiselle jusqu’à risquer un torticolis. Qu’on se le dise, Vincent est un des plus vieil amis du fils Arias, et, à en croire son côté mateur, il est en avance sur son âge. Les deux jeunes hommes s’observent un instant, esquissent un sourire, et se marrent copieusement.
 
LAMAR (il fait tourner le ballon sur son doigt) : Si on jouait en NBA, on pourrait en avoir des dizaines quand on sera grand ! Enfin… Tu vois ce que je veux dire ?
 
VINCENT : Hum… La seule marque que t’auras jamais des Chicago Bulls, c’est celle qu’est sur ton maillot, mon pote.
 
LAMAR : Ouais… N’empêche qu’on serait nettement mieux là-bas. T’imagine quand même ? On pourrait devenir des champions ! Des légendes ! Toi, tu serais Stephen Curry ! Et moi… Hum… Je sais pas… Peut-être bien Kobe ! Rho ouais, l’héritier de Kobe !
 
VINCENT : Ouais, toi tu pourrais, ton père est une star de catch ! Y’a pas de mérites, tu vas vivre comme un prince toute ta vie !
 
LAMAR : Non, mon père il s’en fiche de tout ça… Au contraire, j’ai l’impression qu’il déteste le sport…
 
VINCENT : Pfff… N’importe quoi ! On rêve c’est tout ! Le basket, les USA… Peut-être que c’est dans notre tète. C’est qu’un truc psychosomatique, ou en rapport avec la lune ou le mouvement des planètes !
 
LAMAR : Hein ?
 
VINCENT : Excuse-moi, c’est une phrase de Space Jam, j’adore ce film.
 
 
Aujourd’hui :


Il n’a jamais eu l’impression de pouvoir le rendre fier. Son père. Jamais. Il y a toujours eu chez Lamar, même petit, un sentiment d’inquiétude, d’anxiété, comme s’il n’était pas à la hauteur de son héritage, des sacrifices de son père, de sa carrière de lutteur. Comme s’il n’était pas à la hauteur de Tijuana… Toutes ces questions, il se décide avant à les laisser de côté quand l’officiel du match annonce le changement. Il fait face, sans le vouloir, à une foule plus que jamais sur le qui-vive. Ses yeux se ferment lentement, ses mains agrippent avec force le bas de son maillot, estampillé du numéro « 03 ». Le même numéro qu’un certain Allen Iverson, à Denver ou Philadelphie. C’est son père qui l’a choisi. Vincent vient lui taper dans la main, lui murmure quelque chose au creux de l’oreille avant de lui céder sa place sur le terrain. Que la fête commence.  
 
LAMAR (à lui-même) : La, y’a du monde…
 
Le retour à la réalité et rapide, sans tambour ni trompette. Le tableau d’affichage indique trois points d’avance pour les locaux. A peine entré dans son premier combat, Lamar effectue un contre sur l’un des opposants sous les louanges d’un public voué à sa cause. Joueur, il n’hésite pas à chambrer ses proches. Malgré ça, il ne prête aucune attention à Jorge, qui ne pipe pas mot.
 
LAMAR (pointant du doigt sa mère) : C’est pour les stats !
 
La contre-attaque est rapide. Mais Jim, son meneur, perd le ballon peu de temps avant la moitié de la possession. Dans une situation de 2 contre 1, Lamar provoque la faute sur pénétration adverse, immédiatement sanctionnée par l’officiel. Un mauvais rictus au visage, celui-ci se mord les lèvres d’envoyer un shooteur aux lancers francs. Pour beaucoup de parents, ce n’est qu’une rencontre de benjamins. Aucun enjeu particulier. Mais pour Jorge comme pour son coach, c’est bien plus que ça. Le brouhaha de la salle l’empêche d’entendre les consignes du coach, alors qu’il ne reste déjà plus qu’une minute à jouer. Le premier lancer franc est loupé, une chance pour lui. Lamar se retourne, dévisage ses proches, conscient que le pari est risqué. Reconnaissez que c’est rare, chez des jeunes, de voir un tel niveau d’agressivité, de soif de victoire. Plus en réussite sur son deuxième lancer, l’adversaire marque et fait revenir son équipe à deux points. Les tambours dans les gradins donnent le rythme de cette nouvelle attaque pour les locaux. Lamar se place à gauche du meneur, lui offre un écran et voit son partenaire gicler sur le côté. C’est à ce moment que le « passe et va » fonctionne : le fils Arias délivre une sublime passe décisive pour deux points. De suite, le repli défensif est immédiat, et la défense individuelle tout terrain porte ses fruits : Jim récupère aussitôt la balle suite à une interception, délivrant une nouvelle passe pour Jeffrey qui profite de la situation pour aggraver le score. Au loin, par-delà les bruits sourds de la salle, Lamar devine son coach l’encourager. De bonne augure pour la suite.
 
Il ne reste plus qu’une option offensive pour l’équipe adverse, qui tire rapidement à trois points. Lamar s’attarde un bref instant sur l’entraineur opposé, beuglant sur son tireur. Le ballon percute l’anneau et termine sa course dans les tribunes, le saut d’un ailier adverse à la conquête de cette balle perdue ne lui valant que de finir sa chevauchée dans le public. La remise en jeu est rapidement effectuée, Jeffrey envoie la balle vers Lamar, agrippé par un joueur dans la foulée. Faute volontaire, tout de suite sur la ligne de lancer franc. Son regard se perd en direction de l’audience, avant qu’un équipier lui donne une tape amicale dans le dos. Le premier lancer rentre. Un sourire au coin des lèvres, il devine au score que la partie tourne à leur avantage. Concentré, il marque le second, profitant de l’occasion pour envoyer un léger clin d’œil en direction de sa mère avant que l’arbitre, après une remontrance nerveuse au coach opposé, ne siffle la fin du match sur un dernier tir manqué des challengers. L’entraineur rejoint aussitôt ses troupes, fier de cette victoire. Pour Lamar, c’est tout autre chose. Il ne participe pas aux festivités, recule de quelques pas, incapable de bouger. Il n’y a plus de peur, d’angoisse, pas plus qu’une quelconque fierté, ou le moindre signe de bonheur dans sa façon d’être. Il se contente de ramasser le ballon, se positionner sur la ligne de lancers-francs, et shooter. Encore et encore, comme si sa vie en dépendait. En face de lui, alors que sa mère se réjouit de cette victoire avec le reste du public, Jorge Arias, ou Hunico, quitte les gradins. Il se dirige vers son fils quand quelque chose le bloque. Sa respiration devient hésitante, ses mains se crispent, la vision de son fils, se tuant à la tache après un match pourtant remporté lui donne des sueurs. Comme si, au fond, le confort de sa famille et l’assurance financière qu’il leur avait apporté pendant des mois, à la Wrestling French Addict, n’était plus suivant. Au-dessus du tumulte de ses pensées, il devine qu’un signe d’affection, n’importe lequel, serait le bienvenu… Mais après avoir trimé comme un chien pendant des années à la recherche de sécurité, de respect, d’une vie meilleure, Jorge comprend qu’il en oublia peut-être, un instant, d’être père.
 
LE COACH : C’est aussi pour le public les gars. Saluez-les ! Allez, saluez ! Ahah, y’aura du boulot au prochain entrainement. Mais vous avez tout déchirés, tournée de glaces ! C’est pour moi !
 
VINCENT (se dirige vers Lamar et lui chipe la balle des mains) : On y est, mec. On a réussi !
 
LAMAR : C’est pas encore la NBA en face, Vincent. Et mon père ne m’a pratiquement pas regardé…
 
VINCENT (s’éloigne, un geste de la main pour sa famille, les yeux perdus en direction du public) : Ah oui ? Merde… Bah… il te regardera quand tu passeras à la télé !
 
LAMAR : Putain, oui…
 
Une heure s’écoule. Après une douche bien méritée, durant laquelle ses amis lui donnent un surnom, « Mr Big Shot » pour ses lancers ravageurs, Lamar est assis dans les gradins, les cheveux trempés et ébouriffés. Il porte une bouteille d’eau à ses lèvres, puis la referme en esquissant un sourire. Le voilà qui pose un casque sur ses oreilles, tapote un moment l’un des gradins avant de se lever, observant les paniers d’une salle vide. Il appuie brièvement sur son téléphone, le morceau « RUNNIN’ » des Pharcyde démarre.
 
LAMAR (rire, à lui-même) : Hum… Appelle-moi NBA Leader Price… Tsss… C’était plutôt pas mal. Ouais… Plutôt pas mal.
 
??? : Lamar ?
 
LAMAR : Oui ? Excusez-moi, je vais libérer la sa… Oh, salut papa.
 
JORGE (un peu gêné) : Comment tu te sens ?
 
LAMAR : Ça va. J’ai mal aux jambes.
 
JORGE (sceptique, voir gentiment moqueur) : En cinq minutes ?
 
LAMAR : Euh…
 
JORGE : Je plaisante. Viens par la, amigo. Je sais que j’ai pas l’habitude de te faire des compliments. Que je suis pas souvent là, que t’as mère s’inquiète sans arrêt. Elle est comme ça tu sais, et encore, tu l’as pas vu quand j’étais en Irak. Enfin bref… Je te mets surement un maximum de pression quand je suis près de vous… mais quand je suis pas là, quand ton père doit se battre à la télé, ou jouer la comédie pour la WFA, c’est à toi de garder la maison. J’ai… J’ai confiance en toi. Bien plus qu’en la plupart de mes collègues de boulot, c’est certain.
 
LAMAR : Comme John Morrison ?
 
JORGE : Non… Lui je sais que tu l’adores. Faudra penser à m’expliquer pourquoi, d’ailleurs… Enfin bref. Quand je dois aller au boulot, partir en tournée, et… faire toutes les choses que j’ai faites pour le GANG quand ils avaient besoin des services de papa, c’est à toi de préserver maman. T’es un bon joueur, et tu as le potentiel pour devenir un grand joueur. Mais fais pas les mêmes erreurs que ton père. Prends soin de Naomi et de ta maman, ça marche ?
 
LAMAR : Promis.
 
JORGE (le décoiffe) : Allez, dégage d’ici et monte dans la voiture.
 
LAMAR : Merci, papa…
 
JORGE (voyant son fils s’éloigner) : Oh et Lamar !
 
LAMAR : Oui ?
 
JORGE : T’as bien joué.
 
Un silence. Jorge regarde son fils quitter la salle en prenant son sac et son ballon. Le mexicain s'échappe vite de cette salle aux allures de NBA, et rejoint sa voiture. Ses poils se hérissent, il peine à brancher le contact. Devant lui s'étale une immense rue piétonne, à quelques mètres de sa femme, qui discute avec une autre mère de famille. Ses enfants sont à ses pieds. Les lumières de la ville lui aveuglant le visage, la grandiloquence des buildings lui donnent vite le vertige. Il n’avait jamais posé les pieds dans cette ville de banlieue avant aujourd’hui. Le vent emporte les premières feuilles de ces nouveaux arbres printaniers, la brise est parfaite. Une petite vingtaine de degrés, au maximum, quand il devine Tijuana sur le siège arrière. Très vite, il la range à l’intérieur de celui-ci avant que sa famille ne revienne. Jorge se perd, observe les riverains aller et venir, se promener, se presser, s'extasier, s’énerver, vivre. Sa respiration est lente mais son cœur bat la chamade. Sa femme lui fait signe de retourner dans la salle, Lamar ayant oublié sa veste dans les vestiaires. Il s’exécute. Cela étant, à peine entrer dans un complexe entièrement vide et peu lumineux, il entend quelqu’un applaudir, derrière lui. Il n’a pas le temps de se retourner qu’une ancienne voix se fait entendre, une voix qu’il semble connaitre mieux que personne.
 
??? (continuant d’applaudir) : Sacré match, ton gamin ! Pas long mais… on sent qu’il en veut ! Tu vois, moi… Je crois que j’aurais payé le coach pour que le mien joue plus longtemps. Enfin, on fait avec les moyens qu’on a !
 
JORGE : Ted… Explique-moi ce qui m’empêche de te coller une mandale là, maintenant ?
 
TED DIBIASE : Hum… Je sais pas. Peut-être le fait qu’une de mes Bella est actuellement dehors, avec ta femme ? Et que l’autre prend Naomi dans ses bras, en ce moment-même ?
 
JORGE (se rapproche de lui) : Hijo de…
 
TED DIBIASE : Oui oui, d’accord, je sais. Toujours le même discours, t’es usant, tu sais ça ?
 
JORGE : ¿Maldición, pero qué quieres ?
 
TED DIBIASE : Non non non. Arrêtes-moi tes chinoiseries et parles-moi anglais.
 
JORGE : Qu’est-ce que tu veux, Ted ?
 
TED DIBIASE : Moi ? Oh… Deux jours au frais de la princesse, une partie de jambe en l’air avec ta gonz peut-être… Qu’est-ce que tu crois que je veux à ton avis ? Je dosi te rappeler la date du jour ? J-7. Une petite semaine avant le King Of The Ring, l’ultime endroit où notre pseudo rivalité à la con prendra fin. Et je veux qu’une seule chose : le titre. La couronne. Revenir là où j’aurais toujours dû être. Au sommet. Alors j’attends qu’une seule chose de toi.
 
JORGE : Que je me couche ?
 
TED DIBIASE : Que tu te couches. Enfin merde quoi, Jorge, réfléchis ! T’as aucune carrière la dedans, tu t’en tapes de la WFA, t’as mis du fric de côté pour les gosses !
 
JORGE : Lamar. Il attend que son père gagne des matchs. Tu crois que tu peux venir ici, à l’évènement d’un de mes gamins, débarquer comme une puto et me menacer ? Vraiment ? Va te faire foutre. Va te faire foutre !
 
TED DIBIASE : Menacer ? Putain mais on se connait pourtant, Jorge ! Te menacer, toi ? Jamais ! On est amis non ?
 
JORGE : Je t’emmerde.
 
TED DIBIASE : Bon, collègues en tout cas. On l’a été. Alors je te propose un geste commercial : trente mille dollars.
 
JORGE : Quoi ?

TED DIBIASE : Trente mille dollars. Par mois, et à vie. C’est mon tarif pour que tu te couches. Et crois-moi que c’est respectable. T’as rien à gagner dans ce milieu. T’en as rien à foutre, et y’aura pas de primes pour un KOTR. Accepter mon offre, c’est assister à tous les matchs de ton fils, c’est rester auprès de ta femme, c’est voir grandir ta fille. Je… Je te laisse y réfléchir. Tu me connais, je suis pas un méchant ahah… Si toi et moi on se fait face au King Of The Ring, couches-toi. La petite piqure d’insecte que tu sentiras, ce sera ton amour propre. L’amour propre tu l’emmerdes. L’amour propre fait mal, et il sert à rien. Crois-moi. A bientôt Jorge. Oh et… tu féliciteras ton petit pour moi. 
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyLun 21 Mar - 15:14

Promo EoC (Goldust et Paul de Burchill)


Goldust, Dylan Alexander Remington et Paul De Burchill sortent de sous le titantron sous l’applaudissement des milliers de fans présents dans l'arène. Les trois hommes semblent détendu et arborent les ceintures par équipe avec fierté. Apres de longues secondes d’interactions avec les fans en ringside ils finissent par monter dans le ring.

Dylan Alexander Remington se saisit du micro:

"7 ans! 7 ans que cette aventure extraordinaire a commencé! 7 ans que nous nous battons Goldust et moi pour apporter de l'égalité dans le vestiaire de la WFA, dans tout la compagnie même et bien plus que cela. 7 ans que nous nous donnons quotidiennement pour les causes les plus nobles, 7 ans que nous nous battons pour que tout le monde ait la même opportunité, 7 ans que nous nous battons pour les non-représentés. 7 ans que vous nous suivez avec passion, d'abord apeurés vous nous avez détesté, maintenant chers fans c'est ENSEMBLE que nous faisons trembler la WFA et ses dirigeants dans son entièreté!"

Le public hurle "EoC! EoC! EoC!"

DAR: "Beaucoup de choses ont changées en 7 ans, beaucoup de lutteurs sont venus et sont partis, EoC a grandit, EoC s'est battue et les titres sont arrivés, certains membres sont repartis sans pour autant oublier ce que EoC a fait pour eux! La seule chose qui est restée la même pendant 7 ans c'est la WFA ou plutôt sa direction qui fait de son mieux pour nous saboter! On a réussi à se battre pour obtenir tout ce qu'on a. Champions par équipe, champions US multiple fois proches d'autres titres et pourtant quand viennent les gros events la WFA continue de nous couler! La WFA ne veut pas qu'on puisse s'approcher des titres majeurs tout simplement parce que nous ne sommes pas assez proche de ceux que ses ancêtres pense que doit être un "vrai" catcheur. On est pas assez grands, on est pas assez musclés, on ne crie pas comme des fous quand on a le micro en main! Notre erreur c'est d'avoir un cerveau et de parler de façon calme et composé, on n'est pas les plus musclés MAIS on peut battre n'importe qui dans le ring parce qu'on a du coeur et de la technique."

Dylan reprend son souffle, pendant ce temps la les autres membres de EoC remplissent le ring, Bo Dallas arrive. Le titantron d'EoC repasse


Bo Dallas est rejoint sur la rampe par les anciens du clan, Delirious, Vladimir Kozlov, Heath Slater et tant d'autres arrivent sous les applaudissements du public qui hurle de plus en plus fort, l'EoC, anciens comme actuels, remplit le ring.

DAR hausse le ton

"Depuis le début pourtant on nous prend pour une blague, c'est vrai pourquoi prendre un membre de EoC autour du WHC quand on a le gang et ces babouins de 200kg qui sont dans les vestiaires d'à côté, c'est ca qui est bon pour le business hein chere direction? Depuis le début combien de match #1 contender avons nous eu pour les titres principaux? Ils se comptent sur les doigts d'une main alors que nous avons gagné des titres à chaque fois qu'on nous a donné la possibilité et je n'évoquerais même pas les cas de James Storm et MVP qui se voient propulsé sur le devant de la scène de nouveau alors qu'ils ont de nouveau tout à prouver! Donc qu'est-ce qu'on va faire ce weekend? Bo Dallas VA garder son titre en battant Cesaro, EoC VA garder le titre par équipe en se débarrassant des insolants MVP et James Storm et ensuite on prendra ce qui doit être notre!

La WFA nous ignore de nouveau en plaçant exactement 0 membre de EoC dans le tournoi pour le KOTR, tout comme la WFA nous exclue systématiquement des meilleurs places au Royal Rumble ou de pratiquement tous les Money in the Bank, pourquoi? Parce que la WFA a peur que des lutteurs différents de leur norme ne s'approche du titre mondiale! Et si en sept ans on a réussi à faire tomber beaucoup de barrière, on continuera à être patient et à vous forcer un après l'autre à nous donner cette chance qu'on mérite enfin, la WFA et le monde nous suivront un jour, nous éliminerons tous les Rockbottom et leurs descendants qui pense pouvoir gérer la WFA de la meme façon que lui, ces temps sont révolus et si jamais la direction ne nous donne pas notre chance nous irons la chercher nous même!

On sait très bien que la direction essayera de nouveau de nous faire taire, qu'elle essayera de mettre Goldust à la retraite dès que possible, qu'elle essayera de forcer les partenaires de Goldy à participer à un career threatening match dès que possible et dès qu'on se fera trop remarquer mais croyez moi, même sans moi et sans Goldust EoC vivra parce que EoC c'est bien plus que un grand homo et un nain avec une grande gueule, EoC c'est un mouvement qui ne s'arrêtera jamais, EoC 4 life!"

Sur ces mots DAR lève quatre doigts en l'air avec sa main droite, suivi par les autres membres d'EoC présents dans le ring, une bonne partie de la foule se joint à eux tandis que les chants EoC résonne dans toute l'arène, le clan et les fans semblent près pour King of The Ring et pour la suite également!


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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 22 Mar - 16:51

@HB : Ma promo arrivera dans la soirée/nuit comme convenu ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 22 Mar - 21:39

Et voilà ma promo ! Alors vous verrez que c'est un risque, c'est TRÈS différent des promos de base mais je me suis dis que je pouvais essayer ce concept', j'espère que ça plaira. Si y'a des retours...  Very Happy

- - - - - - - -

22 MARS 2016.




- - - - - - -


PS : L'air de rien ça mets plus de temps qu'une promo écrite ^^'

PS 2 : C'es temporairement sur ma chaine officielle en non répertoriée. Si c'est possible, je fais confiance, de pas faire tourner ça partout... Cimer mes petites beautés ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMar 22 Mar - 23:04

Haha j'adore! Bien joué TS! Bon c'est pas aussi bon que EoC (lol rien en 2 ans, essaye 7 l'ami Razz )mais c'est très bon quand meme, j'adore! EY

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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 23 Mar - 0:02

Ah putain, même si tu m'as dit sur s'book de te donner un retour sur ta promo car se serait "inhabituel" t'as réussi à me surprendre !

J'ai beaucoup aimé aussi, bon évidemment tout le monde peut pas se permettre de faire ce genre de promos, mais ça a clairement le mérite d'être original. Le contenu est bon (à la fois pour la parodie de conférences de presse de footeux avec les deux trois "piques" habituelles, et bien sûr tu tiens bien le rôle de manager de Punk.

Vraiment cool !


(Bon par contre si Punk pouvait éviter de casher sur Rollins s'il venait à battre Ziggler et Lesnar (j'y crois au regain de titre, j'y crois aussi au cash-in vu que je pourrai pas me plaindre après le règne pharaonique précédent ^^' ).

Bref, pour résumé GG !

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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 23 Mar - 7:42

lol  :clapclap:

Très bon. Je m'attendais presque à un "au contraire je crois que bon" et "l'important c'est les trois points" vu comme t'imites bien Deschamps et Blanc.
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TheStraightedge17
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MessageSujet: Re: Promos KOTR 2016   Promos KOTR 2016 - Page 2 EmptyMer 23 Mar - 15:58

Ahah merci messieurs ! J'espère que ça plaira aussi aux HB...

@Panda, c'est du pur Lolo White dans le texte, quand j'ai entamé la vidéo l'accent m'est venu d'un coup, j'ai pas osé le retirer au fil de la vidéo lol

@Show : Merci ! Bon j'espère que j'aurais pas à refaire la même vidéo dans 5 ans cela dit ! Mais par principe je soutiendrais FOR THE FIRST TIME EVER l'EoC au prochain show. Allez c'est cadeau Razz

@Gbac' : Dans la carte y'a pas marqué en stipu que je pourrais récuperer la malette "officiellement"... alors bon on verra bien. J'aimerai pas casher sur Roode parce qu'il mérite son (sans doute) gain du titre WFA. Maintenant le WHC m'attire... mais je vois pas non plus ma promo à la hauteur de la tienne, le côte original en moins ^^'
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