« Chers amis télé-acheteurs, bonj… Ah zut ! Excusez-moi… un vieux réflexe… Chers téléspectateurs, bonsoir ! Dans quelques instants, la cérémonie va débuter. Mais avant cela, je dois vous narrer une petite histoire, une histoire extraordinaire, car cet énergumène qui se trouve hors champ me tient en joue avec un Walter PPK chargé… ma foi, un fort bel objet qui… Pardon, l’histoire oui, tout de suite… (se râcle la gorge)

A l’occasion des festivités, les organisateurs avaient fait appel à Valérie Damidot et toute son équipe de larbins pour s’occuper de la déco, mais jugeant le résultat de leurs travaux (and I quote) « totalement à chier », ils décidèrent de raccompagner la grosse et ses ouvriers sans papiers jusqu’à la sortie à grands coups de pompe dans l’arrière-train. La charmante et sympathique UNIC appela alors sa cousine Mary Poppins au secours sur la demande expresse des organisateurs. Après s’être fait déposée par son parapluie magique (un fort bel objet là aussi), Miss Poppins fut briefée, on lui montra la plus grande salle de l’asile, le réfectoire, et on lui demanda d’installer un décor et une scène (and I quote) « qui déchirent la race de leur grand-mère, genre cérémonie des Oscars qui roxxe du poney qui mange des sushis ».

Devant l’ampleur de la tâche, l’enchanteresse demanda une bouteille de whisky, on alla la lui chercher, elle la descendit d’une traite, se retroussa ensuite les manches, cracha dans ses mains avant de se les frotter, puis demanda qu’on ne la dérangeât point avant de s’enfermer dans le réfectoire… Les organisateurs, l’oreille collée contre la porte, entendirent Miss Poppins beugler des chansons paillardes ainsi que des bruits de meubles que l’on déplace et autres brouhaha de bricolages divers. Les organisateurs virent même des éclats lumineux multicolores surnaturels s’échapper par les interstices de l’encadrement de la grande porte. Après une bonne demi-heure, Miss Poppins ouvrit la porte avec fracas, complètement lessivée. Elle demanda son dû (un sacrifice humain) et le dénommé Tombstone lui refila de bon coeur un Nossair ligoté et bâillonné. La dame magique se retira avec sa victime, satisfaite, dans un cercle de feu avec une pluie de paillettes… ou bien elle sauta dans une bouche d’égout, on ne sait plus trop, il y avait du brouillard ce soir-là… Mary Poppins avait fait de l’excellent boulot et les organisateurs, comblés au-delà de toute espérance en restèrent pantois. Tout était tellement parfait qu’ils condamnèrent la salle jusqu’au jour J… C’est bon ? Je peux y aller maintenant, les enfants ? Dites, je ne sais pas qui a écrit cette merde mais c’est nul à ch… (PAN !) »

Les rideaux s’écartent et Homer Simpson émerge en smoking du fond de la scène, un grand sourire forcé sur le visage, faisant le V de la victoire avec ses doigts. Il se positionne derrière le pupitre installé légèrement sur la gauche de la scène. Il tapote un peu le micro devant lui…

Homer : 1, 2… 1, 2, 3… Test. Bon le micro fonctionne… Hey ! Le gars de la lumière ! Un peu moins fort les spots ! Hem… Salut tout le monde ! Hey dites-donc, il y a vachement de monde pour des répétitions ! Les organisateurs poussent vraiment loin le réalisme. Ce sera super quand on sera en direct. Bon alors… (il sort un papier de la poche de son pantalon et une paire de lorgnons avant de le lire à voix haute) Je suis très heureux de donner le départ de cette magnifique croisière sur la Méditerranée à bord de ce navire extraordinaire, le Costa Concordia, un chef d’œuvre d’architéture navale au sein duquel vous vous sentirez en totale sécurité. Vous pouvez d’ailleurs accorder une confiance aveugle au commandant Francesco Schettino, un marin chevronné, loyal, courageux et… Attendez une pitite seconde ! J’ai l’impression d’avoir déjà lu ça… et puis j’ai un bidule dans le dos qui me gêne… Argh !

Après quelques contorsions, le maître de cérémonie parvient à attraper l’oreillette qui pendait dans son dos et la porte à son oreille… il ouvre alors grand les yeux sous le choc des révélations que lui fait la régie…

Homer : Hou la vache ! On est en direct… et je me suis trompé de texte ? D’OH ! Bon écoutez, je vais recommencer, vous inquiétez pas. Hum hum… (Il fouille dans l’autre poche de son pantalon et en sort une autre feuille de papier et commence à lire) Bonsoir les Freaks ! Bonsoir à toutes et à tous. Je suis Homer J. Simpson et je suis ce soir votre maître de cérémonie pour les Breaker Awards 2011 !

Applaudissements nourris de l’auditoire.

Alors, je ne sais pas du tout de quoi il s’agit, m’enfin ça m’a l’air quand même vachement important, mais rassurez-vous, j’ai des gens qui m’aident grâce à l’oreillette et qui peuvent me donner des consignes de façon continue… comme par exemple en ce moment où ils me disent d’arrêter d’improviser et de reprendre le script, et là ils me traitent d’imbécile et… Ho ! Bécile toi-même ! (il reprend la lecture de sa feuille) Alors… je suis très heureux d’être là ce soir et d’être le grand ordonnateur de la fête. Je vous remercie tous de m’accueillir au sein de votre magnifique asile… (il interrompt sa lecture) D’ailleurs, j’insiste là-dessus, l’accueil est super et les organisateurs sont super sympas. Ils ont accepté que je vienne avec quelques-uns des habitants de Springfield, même Flanders ! Vous vous rendez compte ? MEME FLANDERS ! Haha ! Les couillons ! Surtout, ils ont mis des donuts et de la bière dans ma loge… et même une masseuse thaïlandaise avec un nom exotique (mais dites rien à Marge surtout) : « Orange Sanguine » je crois qu’elle s’appelle. Enfin bref, merci les mecs ! (il reprend sa lecture) Ce soir, il y aura des invités prestigieux, des surprises, de la vanne et surtout nous célèbrerons les meilleurs éléments de la communauté comme il se doit… patati patata… Pfff… Qu’est-ce que c’est barbant ces discours, je crois que je vais sauter quelques paragraphes, hihihi ! Mmmh… blablabla… ah voilà : et je déclare solennellement et officiellement ouverte la cérémonie des Breaker Awards 2011 ! Youhou !

Homer : Sans plus attendre, nous allons commencer avec la première catégorie… qui concerne la W…F… A… Qu’est-ce que c’est que ce truc ? Ah, ça doit encore être une association pour le cancer ou un truc comme ça… Docteur Hibbert ! Ca vous dit que’que chose « WFA » ?

Le docteur Julius Hibbert monte sur scène et rejoint Homer.

Dr. Hibbert : Héhéhé… Bonsoir Homer. Je regrette que vous n’ayez pas passé de visite médicale avant d’accepter ce job de maître de cérémonie. Avec vos antécédents, cela aurait été plus prudent…

Homer : Ah mais je vous arrête tout de suite, docteur. Il y a quinze jours, j’ai passé une cosmoco… une colono… une scoloscopie… D’OH !

Dr. Hibbert : Une coloscopie ? Mais vous ne m’avez pas prévenu. Vous n’êtes pas venu la faire à l’hôpital ? Vous êtes encore allé chez ce charlatan de docteur Riviera, c’est ça ?

Dr. Hibbert : Je vois, je vois… De toute façon, c’est toujours pareil, j’ai l’impression de toujours être la cinquième roue du carrosse…

Homer : J’ai jamais bien pigé cette espression. Si on est la cinquième roue du carrosse, c’est qu’on est la roue de secours, donc c’est bien, non ? En plus, vous êtes docteur, vous dépannez en cas de pépin, ça colle !

Dr. Hibbert : **Facepalm** Crétin ! Mais ce n’est rien, car j’ai pris mes dispositions… Sur les conseils avisés de mon agent, je vais ce soir mettre en avant mon personnage. C’est le quart d’heure de gloire du docteur Julius Hibbert ! Héhéhé ! La régie ! Envoyez la vidéo, s’il vous plaît !

Dr. Hibbert : Mais ce n’est pas la vidéo que j’avais remis à la régie ?! J’avoue que je ne comprends pas ce qui a bien pu se passer…

Dr. Riviera (en voix off depuis la régie) : Œil pour dent, dent pour œil, comme on dit ! A charge de revanche, Julius ! Mouhahaha !

Dr. Hibbert : AH LE CHIEN ! Tu ne perds rien pour attendre, sale escroc !

Le docteur Hibbert regagne les coulisses en courant, visiblement dans l’intention d’aller casser la gueule à son rival.

Homer : Docteur ! Attendez ! On sait toujours pas ce que c’est la WFA ! Oooh… tant pis, ça fera un mystère de plus à disséquer pour Carole Rousseau et Jacques Legros, comme la localisation du clitoris et le fantôme de Jeanne Moreau… Quoi ? elle est pas morte celle-là ? Bon ok, j’enchaine, j’enchaine… Et pour remettre le prix du micro d'or de l'année, merci d'accueillir comme il se doit… (il lit sa fiche) HEIN ?! Christian Jeanpierre, Arsène Wenger et Bixente Lizarazu !? Oh pinaise, pas eux ! Je vais me chercher un donut…

Christian Jeanpierre : OHLALALALALALA ! C'EST MAGNIFIQUE ! Merci de nous rejoindre pour cette remise de prix du micro d'or WFA. Nous remercions la rédaction de Catch Addict d'avoir pensé à nous pour ce prestigieux trophée. IL FAUT LE PRENDRE, n'est-ce pas Arsène ?

Arsène Wenger : Oui.

David Astorga (en voix off) : Christian ?

Christian Jeanpierre : Ouiiiiii David ?

David Astorga : Oui, c’est une pelouse bien verte ce soir et… oups ! Désolé, réflexe…

Christian Jeanpierre : C’est rien, David. Vous êtes à côté de Raymond Domenech, j'imagine, dans les COULOIRS de l’équipe de France…

David Astorga : Dieu m'en préserve, Christian. Non, je suis avec les dirigeants qui me font savoir que ce n'est plus Catch Addict, mais Catch Asylum.

Christian Jeanpierre : OUIIII merci David ! N'hésitez pas à venir nous voir ! Alors, comme je le disais, Arsène, quel joueur, ce Messi ! Il est imprenable.

Arsène Wenger le regarde d'un air interrogateur.

Christian Jeanpierre : Haha ! Excusez-moi ! Je voulais bien sûr parler de ce magnifique réfectoire où nous nous trouvons ! Bravo à la rédaction de Catch Breaker pour l'organisation. QUE C'EST BEAU !

Christian Califano (en voix off) : Christian ?

Christian Jeanpierre : OUIIII Cali ?

Califano : Ouais, je suis à côté de la rédac là, et ils me demandent si vous êtes vraiment con ou si vous prenez des cours du soir pour le devenir ? C'est Catch Asylum, té !

Christian Jeanpierre : Hé, vous avez raison de le rappeler à nos amis téléspectateurs, Cali. L’arbitre Alain Rolland est né de mère française, c'est pour ça qu'il parle si bien notre langue, tout à fait ! N'est-ce pas, Arsène ?

Arsène Wenger : Oui.

Christian Jeanpierre : Et sans plus tarder, nous allons passer aux nominés de cette catégorie du micro d'or de la WFA. Les nominés sont :

Christian Jeanpierre : Hem... Merci Bixente. Et sans plus tarder, le nom du vainqueur !

CJP déchiquète la précieuse enveloppe et tous les trois regardent le nom de l'heureux élu.

Christian Jeanpierre : WHOOOO C'EST DOMMAGE pour les autres, mais le vainqueur … et QUEL JOUEUR ! QUEL JOUEUR, ARSENE !

Incroyable retournement de situation ici au réfectoire de l'asile ! Thierry Rolland et Jean-Michel Larqué, savamment déguisés en cantinière pour le premier, en concierge pour l'autre, font irruption en plein direct, sous les vivats de la foule ! Et suivis de près par Charles Robinson déguisé en gardien !

Thierry Rolland : Vous, les trois merdeux de TF1, foutez le camp ! Vous vous prétendez commentateurs ?! Laissez-moi rire ! Et puis d'abord, qu'est-ce que vous y connaissez en catch, ma première amante ? A moins que "Oui-oui" et "Samuraï Jack" préfèrent m'affronter dans... un handicap match ! Les vaincus dégageront !

Jean-Michel Larqué : Thierry Rolland à un contre deux ! C'est pas gagné ! Mais ATTENTION ! ATTENTION ! C'est bien frappé !

Christian Jeanpierre : C’est un joueur qui A DU GAZ ! Essai ! Essai !

Jean-Michel Larqué : Ta gauche, Thierry ! Ta gauche, ta gauche, ta gauche ! AH NOOOOON ! Rolland a manqué de conviction dans sa frappe !

Christian Jeanpierre : PENALITE ! PENALITE POUR L’EQUIPE DE FRANCE ! ATTENTION, CA PEUT FAIRE MAL !

Jean-Michel Larqué : Oh ! Wenger qui... mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu ! On n’a pas le droit de rater ça à cette distance ! Et Lizarazu, notre ami Bixente, qui est parti dans le zig, et Rolland dans le zag !

Christian Jeanpierre : Mêlée IMPORTANTE ! Et la CHARGE de Pascal Papé ! Quel joueur !

Jean-Michel Larqué : Le temps pour moi de vous signaler ce weekend un tournoi des moins de 9 ans et demi à Saint-Marcellin sur Yvette… Mais Rolland a peut-être le temps d'achever ce combat avec un double leg drop ! Allez Thierry ! Avec tes grands compas ! Comme elle vient ! La volée, la volée ! Pas de faute, pas de faute !

Christian Jeanpierre : Et ça passe Thierry ! En-avant ! QUELLE ACTION FRANCAISE !

Jean-Michel Larqué : Vous dites n'importe quoi, Christian, allons ! L'air néo-zélandais ne vous a pas arrangé. Mais houla ! Il y a le feu ! Danger ! Danger ! Danger ! Danger ! OUI ! BRAVO THIERRY !

Thierry Rolland, ensanglanté, vêtements déchirés, célèbre sa victoire avec son comparse de M6 et avec le public, tandis que CJP ramasse les restes de Wenger et de Lizarazu. Jean-Michel Larqué et Rolland se dirigent vers le pupitre.

Thierry Rolland : Dis donc, z'avez vu que ce je leur ai foutu dans la boîte à ragoût, hein ? J'ai appris ça de l'Ange Blanc et du Bourreau de Béthune. Ah putain ! Après un match comme ça, je peux mourir tranquille ! Chuis chaud pour une blague là…

Deux personnages qu’on croirait tout droit sortis des années 70, font leur apparition arborant des costumes flashy, des pantalons pattes d’eph, des chaussures à semelles compensées, de larges cols ouverts et des chaines en or ; ils dansent sur la musique disco comme s’ils étaient en transe, façon John Travolta dans « Saturday night Fever » ! C’est Disco Inferno et Disco Stu bien sûr !

Disco Stu : Disco Stu adore remuer son popotin sur de la musique disco, yeah !

Disco Inferno : Oh yeah ! Boogie time !

La musique s’arrête et les deux hommes récoltent des applaudissements.

Disco Stu : Contrairement à ce que tout le monde croit, le disco n’est pas mort !

Disco Inferno : Ouaiiiiis ! On en a gros !

Disco Stu : Merci Homer de nous donner l’opportunité de plaider pour le retour au premier plan du disco, c’est très chic de ta part. Le disco, c’est plus qu’un courant musical, c’est une philosophie, un art de vivre. Regardez-nous ! Nous sommes les hommes les plus heureux du monde ! C’est grâce au disco tout ça !

Disco Inferno : Ouaiiiiiiiiis ! Stu a raison ! Vive le disco, baby ! Il n’y a que ça de vrai. Le disco peut aider tout le monde à se sentir mieux, surtout dans cette période de crise où tout le monde est déprimé, où tout est gris, où tout est en train d’être condamné à la nuit !

Disco Stu : Exactement ! Regardez-nous : de la bonne musique, des vêtements ultra classes et stylés, une attitude positive, du LSD, de la coke plein les narines…

??? : AH NON ! JE M’INSURGE ! Le disco c’est nul ! Ecoutez plutôt ça…

Dès les premières notes, le public hurle de joie et commence à danser. On voit alors le seul et unique Funkasaurus, Brodus Clay, qui arrive sur la scène en dansant accompagné d’un HeelManiac déchainé. Clay est accompagné de ses deux bombasses, tandis que Heel est encadré par des bananes dansantes. C’est la folie dans le réfectoire de Catch Asylum ! Brodus explose une des bananes involontairement. Il beugle alors « my bad ! » avant de reprendre sa danse. Bientôt, la musique est terminée ainsi que la chorégraphie.

HeelManiac : Voilà, ça c’est de la bonne ! VIVE LE FUNK ! Le disco c’est tout moisi. Le funk c’est mieux ! Pas vrai les gens ?

Majorité du public : YEAAAAAAAH !!!

Homer : Dites, c’est bien gentil de demander à ce qu’on appelle vos mamans, mais donnez au moins les numéros de téléphone…

HeelManiac : (facepalm) Bon je crois qu’il n’y a rien à dire de plus, la supériorité du funk sur le disco n’a même pas besoin d’être prouvée, c’est évident et…

Disco Stu : QUOI ? PARDON ? Alors toi, ton gros lard de pote, tes fruits et tes pétasses vous croyez que le disco va se rendre sans se battre ? Je rêve !

Disco Inferno : Le funk est un sous genre qui n’a jamais fait recette d’abord ! Sans disco, il n’y aurait pas eu de funk. (high five avec Stu)

HeelManiac : Le funk est encore vivant aujourd’hui, lui ! Brodus en est la preuve. Où est le disco ? Je vais te le dire où il est moi, il est dans ton c…

Mais HeelManiac n’a pas le temps d’achever sa phrase qu’une nouvelle musique est diffusée dans la salle…

Une musique au saxo issue d’un mauvais porno des années 80 se fait entendre et la plantureuse Aksana apparaît, elle se dirige vers le GM de Smackdown et commence à jouer avec sa cravate…

Aksana : Mon rrroudoudou d’amourrr, je m’ennuie en coulisses. Viens jouer avec moi, viens vite. (la nymphomane saisit la cravate de Teddy puis s’en va, entrainant le GM troublé avec elle en direction des coulisses…) Toi êtrrre strrressé à forrrce prrrendrrre décision difficile comme ça…

Teddy Long : Hem… je vais être occupé… allez-y, playas ! Holla holla holla !

En coulisses, Santino Marella est pensif…

Santino : Mamma mia, j’adore danser moi… Si seulement j’avais une partenaire, peut-être que je pourrais participer… Quel dommage !

??? : Besoin d’aide, mon petit chou à la crème ? Je suis là, moi !

Santino : (son visage s’illumine) Toi ? Tu veux bien ? BRAVISSIMO !

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